View allAll Photos Tagged Chatbot

UC Davis Team Gunrock invited students to chat with their developed Amazon Alexa AI in hopes to improve their project as they will later compete against other socialbots in a competition hosted by Amazon. January 23, 2020 (Josh Moy/UC Davis)

Ian Cheng’s 2013 simulation “Baby feat. Ikaria”, which uses artificial intelligence to make work of infinite duration -- an audio conversation among three online service chatbots that animates swirling debris.

Installation view of “Programmed: Rules, Codes, and Choreographies in Art”

The Whitney Museum of American Art

New York, New York

September 28, 2018 – April 14, 2019

flockbot lives in #flock-dev ... flockbot is there 24/7 ... flockbot gets lonely... here is a friend for flockbot

Today, we will explore a complete guide on using ChatGPT as a beginner to help you make the most of it and make your life easier. This guide will help beginners to use ChatGPT to generate unique, informative, quality, and relevant content in different formats. Get More information How to Use ChatGPT

 

Follow Me on: 10techdesign, webnextreview

Comment redonner envie aux jeunes de sortir de chez eux

France 24, 15 octobre 2018.

Emilie Laystary

 

www.france24.com/fr/20181015-jeunesse-sport-environnement...

  

La perception qu'ont les jeunes de la nature et des activités "outdoor" semblent avoir évolué ces dernières années. Comment les inciter à nouveau à sortir de chez eux ?

 

"Certains jeunes ne savent plus quoi mettre dans la case 'Hobby' de leur CV et se retrouvent à inscrire 'Instagram' et 'Snapchat'...", se désole Monelle Barthelemy, qui travaille chez le chatbot Jam, vendredi 5 octobre alors qu'était présentée à Annecy une vaste étude sur les jeunes et les activités outdoor.

 

Menée par l'agence PopRock durant 5 mois, cette enquête est le fruit d'une soixantaine d'entretiens individuels, de questionnaires auxquels plus de 10 000 jeunes ont répondu, ainsi que de journées d'immersion auprès de la communauté des 15-25 ans. Quelle perception a la jeunesse des sports à faire en extérieur ? Comment envisagent-ils la nature ? Quels imaginaires associent-ils au grand air ?

 

Alors que le cap des 10 000 heures d'écran est passé à la pré-adolescence et que la culture de l'immédiateté du monde connecté est devenue la norme, quels sont les leviers pour pousser les adolescents et jeunes adultes à passer du temps dehors ?

 

"Avant 18 ans, les activités des jeunes dépendent en grande partie de ce que leurs parents leur font faire. Après 25 ans, les amateurs d'activités outdoor reviennent. Mais entre les deux âges, où sont-ils ?", interroge Laureline Chopard, de l'agence PopRock, sur la scène du festival High Five. Pour celle qui a travaillé sur l'étude "Tout le monde dehors", il est évident que c'est à cet âge-là qu'il est important de montrer aux jeunes toutes les potentialités de la nature. Car sans efforts déployés de la part des acteurs de l'industrie outdoor et des personnels pédagogiques, "dehors" continuera à être synonyme de "danger".

 

"Dehors", une notion qui perd du terrain

 

Alors que 75 % de la population de l'Union européenne vit désormais en ville et que chaque seconde qui passe, le continent européen perd 31m² d'espaces naturels, la place de l'environnement extérieur dans l'imaginaire collectif est rudement mise à l'épreuve. "Quand tu grandis en ville, tu reçois plein de messages qui te disent que dehors, c'est dangereux : "Ne traverse pas la route, "tu pourrais te faire agresser", "c'est sale", "ne rentre pas trop tard après le sport", égrène Loïc, 27 ans, un jeune adulte interrogé sur la perception du dehors qu'il a été amené à avoir quand il était adolescent.

 

Selon le chatbot Jam qui a discuté avec près de 1 000 jeunes, une majorité d'entre eux (53 %) ont "tendance à rester chez eux" plutôt que sortir lorsqu'ils ont du temps libre. Il faut dire que le nombre de moyens d'être "connectés au monde extérieur tout en restant à l'intérieur" a augmenté. Jeux en ligne, plateformes de partage de contenus sur Internet, massification de la possession de smartphones avec une connexion 4G... Comment peut-on encore donner envie aux adultes de demain de passer du temps au vert ? Les acteurs du tourisme alpin regrettent ainsi que les jeunes vivant à la montagne sont de plus en plus nombreux à se détourner du ski. Or, des jeunes qui n'aiment plus skier, ce sont aussi de futurs parents qui n'emmèneront pas leurs enfants aux sports d'hiver. "En sautant une génération, on court le risque de perdre le fil...", commente Laureline Chopard. La suppression de nombreuses classes de neige et déplacements scolaires en classes vertes n'aide pas à endiguer cet effondement des activités outdoor chez la jeunesse.

 

Le rôle des infrastructures sportives en bas de chez eux

 

Toujours selon l'enquête "Tout le monde dehors", la simplicité d'usage est un véritable moyen de séduire un public plus large. "On se souvient par exemple de la mode des snowblades, qui était un peu 'la trottinette du ski' et a incité beaucoup à se mettre au ski", exemplifie Laureline Chopard, qui exhorte à un soutien collectif de l'accès des plus jeunes à la nature et au sport. Là où Lili, une petite interviewée de 11 ans, trouve que "marcher pieds nus dans l'herbe c'est sale parce qu'il y a plein de bêtes", il faudrait au contraire réussir le pari à lui montrer que la nature est un incroyable espace de jeu. Après tout, au Danemark, 20 % des classes maternelles sont établies en pleine nature. Un dispositif qui incite forcément les enfants à ouvrir leurs horizons.

 

"Moi, mon terrain de sport c'est en bas de chez moi, avec un skate-board, un ballon de foot, on joue un peu partout entre potes", explique Timotheo, 15 ans. S'approprier l'espace urbain, voilà une façon de se connecter aux activités outdoor. Et donc, de ne pas considérer l'environnement extérieur comme un endroit à fuir à tout prix.

 

Multi-activité et esthétisme

 

S'il est difficile de demander aux jeunes de se prendre de passion tout à coup pour le ski, les randonnées pédestres ou le kayak tandis qu'ils vivent en ville, il est en revanche tout à fait possible de les séduire avec des activités outdoor simples d'accès en milieu urbain. Une première façon de libérer leur imaginaire, pour ensuite peut-être les laisser être tentés par des escapades au vert alors qu'ils grandiront.

 

La culture de la mono-activité semble aujourd'hui dépassée. Les pratiques sont réinventées, à l'instar du parkour couplé à de la gym (que l'on appelle freerunning) ou encore associé aux arts martiaux (pour devenir du tricking). Surtout, les jeunes ont aujourd'hui à cœur de dessiner les contours de leur identité en ligne. Dans ce contexte, la recherche de photos à partager à leur communauté est un véritable moteur à sorties, ont constaté les équipes de PopRock. Ainsi, pour la promesse d'un paysage à couper le souffle ou un hashtag communautaire bien utilisé, de nombreux jeunes pourraient accepter de chausser leurs Van's pour faire une randonnée. À ce titre, le fait de proposer des formats d'activités courts, ludiques, proches des villes pourraient bien permettre de recruter un plus large public afin de les emmener, à terme, plus loin encore. Une réflexion que cette étude (qui sera disponible en ligne fin octobre) pourrait bien aider les pouvoirs publics et acteurs des industries de sport à mener.

Chatbots have been on the rise since a couple of years and have already faced a wide adoption. Let’s take a look at the best 6 benefits of chatbots for business, and have a better understanding of how they can contribute to your business.

Need more information, Reach us- www.sunsmartglobal.com/herbie-bot.html

Debate sobre Práticas e Perspectivas de Conteúdo Digital interativo: Caso Jornal do Comércio. Com participação de Donald Reis; Eduardo Boff; Patrícia Knebel e Eduardo Jandt Tavares. Foto Bruna de Oliveira/Famecos/ Pucrs.

13.11.18: Última palestra do identidade RP "Chatbot – Robôs e atendimento ao cliente: uma relação possível?" que ocorreu dia 13/11 no auditório do Prédio 7. Foto: Pedro Munhoz/FAMECOS/PUCRS

I just tried out the site mycybertwin.com which is a chatbot. So you key in your question and it gives you back a response according to how it has interpreted what you said. This conversation is with "my boyfriend".

13.11.18: Última palestra do identidade RP "Chatbot – Robôs e atendimento ao cliente: uma relação possível?" que ocorreu dia 13/11 no auditório do Prédio 7. Foto: Pedro Munhoz/FAMECOS/PUCRS

According to Mobile Marketer research, around 40% of millennials say they chat with Chatbots on a daily basis.

Create your own #Chatbot for your business - bit.ly/2PuXmRw

My conversation with a chat bot

You Too Can Build a Bot w/@anthonyjesmok of @misixanalytics #dcc16 @DesertCodeCamp

We're talking about Psychology of Chatbots w/@anthonyjesmok #dcc www.psychologytoday.com/blog/behind-online-behavior/20160...

 

LG전자가 최근 고객들과 문자를 주고 받으면서 차별화된 애프터서비스(A/S)를 제공하는 챗봇(Chatbot) 서비스를 본격 시작했다. LG전자 모델이 챗봇 서비스를 소개하고 있다.

You Too Can Build a Bot w/@anthonyjesmok of @misixanalytics #dcc16 @DesertCodeCamp

We're talking about Psychology of Chatbots w/@anthonyjesmok #dcc www.psychologytoday.com/blog/behind-online-behavior/20160...

 

Bruit d'orage dans l'escalier.

Des acouphènes le dévalent comme des dératés, précipité d'un sirop de gros vers qui viennent de vider les étriers et s'en vont percer, pâte de glucose en fusion, les longues marches qu'ils frappent de leurs chatbots insonores.

Tu n'as pas moins laid comme image ?

T'es toi.

Barrage contre le brûlage du paraphe acoustique.

Ils caramélisent leur estime de soi en selffigie.

Bruissellement d'un solfège cliqueté de cris sans clefs pour déchiffrer les mutations de son prospère mutisme.

Grand Mars Changeant automatiquement d'ailes, et son bail de pigments à travers champs et prés d'une esthétique où s'ébattent les duels de nos phénomènes optiques.

Et dans les bris de photons, l'ébriété de notes retrouvées.

Le côté des sourires en guerre avec nous-mêmes ne ment plus, il se fond comme laisse de mer sur la terre.

Qui répare l'hélice des grains à notre papier.

Le défi de devoir capter son propre reflet dans les gouttes de pluie.

Ou lors d'un passage frugal entre les croûtes de sa calcination très exceptionnellement terminale.

J'aime, éviscérées dans l'antre de leur acosmie même, les Sylvies des incendies du selfie.

Ton sur ton l'action de la tonte à leur dos des pixelons sur la laine du don ultime de leur droit à l'hommage fait sensation.

Tout est bon dans cette mise en faction, tout dépôt en soute de soi fait tentation à l'autel des vents de nos traits qui mènent la faciale onction à se démouler de son masque de surrection.

Sur le pont du selfie aux Avignons interrompus dont la ficelle des murailles enfarinées de céruse fuite vers le large en Watteau.

Se mirer self et sauf comme le jaune dans l'armoire à glas, oh mon beau tiroir de Delft.

Faisant office d'œufs du replay de leurs émois, la ponte soudaine d'un graphisme colle ses ions sur les yeux.

Alors vous saurez que vous êtes des fils d'argent qui cousent l'homme au revers de sa photographie comme jadis dans le tissu d'autres cadres nous le fûmes aussi.

Ils sont désormais un en deux.

Flambée de particules de machaons.

Des picotements de cils, affinés à la pointe du poil de ces papillons, toujours venus de la couche filtrante des orbites d'une tête de vivant sous leur crâne de mort.

Visages déventés du voile de leur incarnat, les regards immobiles tiennent ici leur incantation.

Des exobits, des frottis de lumière non encore inhibés, acousmats de frottons grands électeurs.

Y'aura-t-il de la perte ou du gain au feu dans les Nuages de Pixellan cette année - que l'on annonce une fois de plus à neige - pendant les selfies avec le Mensch Noël ?

Sonder les commandements de ce recours aux fils de self pour suturer le gap de l'âme avec le mort n'a pas de sens.

Une professeur de français des salines fictives de notre petite enfance fort lissée aimait Prévert comme tous ses congénères mais se méfiait des gens qui jouissaient dégoiser les portraits enfermés dans les écrans classiques de nos automoimêmes.

Pierrot de circonstance, Gilles de la tablette, bon public à son cours je la comprenais, ayant toujours aimé les selfies du dernier homme méprisant son pécule dans les additions des petits plaisirs, au fond de l'outre à paresse, entre sommier et matelas, et les aimant sans cesse.

Tu aimeras ton überselfie comme lui-même.

Debate sobre Práticas e Perspectivas de Conteúdo Digital interativo: Caso Jornal do Comércio. Com participação de Donald Reis; Eduardo Boff; Patrícia Knebel e Eduardo Jandt Tavares. Foto Bruna de Oliveira/Famecos/ Pucrs.

Once upon a time, there was a girl named Rainbow who had all the colours in the world in her hair. Everywhere she went, people would stop and stare at her bright and colourful locks.

 

One day, Rainbow went to the beach, and as she was sunbathing, a seagull flew overhead and pooped on her hair. Rainbow was horrified and ran into the ocean to wash it out, but as she emerged from the water, her hair had turned into a tie-dye mess!

 

Rainbow was so embarrassed, but then she realised something - she was still the only person in the world with hair like this! So she stood up tall, flipped her hair, and walked confidently down the beach, smiling at all the stares and pointing fingers.

From that day on, Rainbow embraced her unique hair, and she became known as the most colourful and fun-loving girl in town.

 

You might think that’s not up to our usual standard of write up and you’d be right. That was constructed by an AI chatbot about our picture. The world is a strange and wondrous place.

 

‘Rainbow in her hair’ has been produced on classy A2 Somerset paper using the magic of spray paint, stencils, paint pens and imagination. Drop us a line if you need her to adorn your wall or she'll be making her way to our website in due course (www.id-iom.com).

 

Cheers

 

id-iom

ChatBot, l'intelligenza artificiale per umanizzare le relazioni tra la Pubblica Amministrazione e i cittadini.

Brumfitt and Kondo doing box divvy with the toxic after-effects of re-activating PEP-11 and PEP-12 offshore gas exploration licenses.

Debate sobre Práticas e Perspectivas de Conteúdo Digital interativo: Caso Jornal do Comércio. Com participação de Donald Reis; Eduardo Boff; Patrícia Knebel e Eduardo Jandt Tavares. Foto Bruna de Oliveira/Famecos/ Pucrs.

Want to Grow your Business?

Must Read Guide for Businesses and Entrepreneurs

Link- www.relinns.com/blog/chatbot-development/

Share your Opinion with Us.

www.wired.com/story/us-chip-sanctions-kneecap-chinas-tech...

 

US Chip Sanctions ‘Kneecap’ China’s Tech Industry

The toughest export restrictions yet cut off AI hardware and chipmaking tools crucial to China’s commercial and military ambitions.

 

Last month, the Chinese ecommerce giant Alibaba revealed a powerful new cloud computing system designed for artificial intelligence projects. It is used by Alibaba’s cloud customers to train algorithms for tasks like chatbot dialogue and video analysis, and was built using hundreds of chips from US companies Intel and Nvidia.

 

Last week, the US announced new export restrictions that will make future projects like that unlikely. The Biden administration’s rules forbid companies from exporting advanced chips needed to train or run the most powerful AI algorithms to China.

 

The sweeping new controls are designed to keep the country’s AI industry stuck in the dark ages while the US and other Western countries advance. The restrictions also block the export of chipmaking equipment and design software, and ban the world’s leading silicon fabs, including Taiwan’s TSMC and South Korea’s Samsung, from manufacturing advanced chips for Chinese companies.

 

“The United States is saying to China, ‘AI technology is the future; we and our allies are going there—and you can’t come,’” says Gregory Allen, director of the AI governance project at the Center for Strategic & International Studies (CSIS), a think tank in Washington, DC.

 

Chris Miller, a professor at Tufts University and author of the recent book Chip War: The Fight for the World's Most Critical Technology, says the new export blockade is unlike anything seen since the Cold War. “The logic is throwing sand in the gears,” Miller says.

 

The US action takes advantage of a decade-long boom in artificial intelligence in which new breakthroughs have become coupled to advances in computing power. Pioneering new projects often involve machine learning algorithms trained on supercomputers with hundreds or thousands of graphics processing units (GPUs), chips originally designed for gaming but also ideal for running the necessary mathematical operations. That leaves China’s AI ambitions heavily dependent on US silicon.

 

Baidu, the leading Chinese web search provider and a key player in cloud AI services and autonomous driving, also uses Nvidia chips extensively in its data centers. Last October the company announced one of the world’s largest AI models for generating language, built using Nvidia hardware.

 

ByteDance, the Chinese company behind TikTok and its counterpart in China, Douyin, relies on Nvidia hardware to train its recommendation algorithms, according to its own software documentation. Several Chinese companies, including Alibaba and Baidu, are developing silicon chips designed to compete with those from Nvidia and AMD, but these all require manufacturing from outside China that is now off-limits. Alibaba and Baidu both declined to comment on the new rules. WIRED did not receive responses to requests for comment made to ByteDance and several other Chinese chip firms.

 

Big Tech companies in China—as in the US—have made large AI models increasingly central to applications including web search, product recommendation, translating and parsing language, image and video recognition, and autonomous driving. The same AI advances are expected to transform military technology in the years to come, and shape how the US and China butt heads over issues like Russia’s invasion of Ukraine and Taiwan’s claims to independence.

 

“The Biden administration believes that the hype around the transformative potential of AI in military applications is real,” says Allen of CSIS. “The United States also has a pretty good understanding of which computer chips are going into Chinese military AI systems, and they are American, which is viewed as unacceptable.”

 

The new export restrictions contribute to the steady decline in US-China relations in recent years, despite decades of technological codependence during which Chinese manufacturing has become the bedrock of the US tech industry. In recent years, the US government has sought to take a more active role in boosting its domestic AI industry and chip production due to an increased sense of competition with China.

 

Shares in several Chinese tech firms, as well as Nvidia and AMD, fell this week as the scope of the restrictions sank in with investors. The Department of Commerce had warned Nvidia and AMD last month that they would have to halt exports of advanced AI chips to China, but the rules announced last week are far broader. The new export rules add to a bruising 18 months for China’s tech firms, after a broad government crackdown aimed at regulating the industry more tightly after years of freewheeling growth.

 

Being cut off from US chips could significantly slow Chinese AI projects. China’s leading domestic chipmaker, Semiconductor Manufacturing International Corporation (SMIC), produces chips that lag several generations behind those of TSMC, Samsung, and Intel.

 

SMIC is currently manufacturing chips in what the industry calls the 14-nanometer generation of chip making processes, a reference to how densely components can be packed onto a chip. TSMC and Samsung, meanwhile, have moved to more advanced 5-nanometer and 3-nanometer processes. SMIC recently claimed that it can produce 7-nanometer chips, albeit at low volume.

 

The capacity of any Chinese company to keep pace with advances in chip manufacturing is limited by its lack of access to the extreme ultraviolet lithography machines needed to make chips with components smaller than those of the 7-nanometer generation. The sole manufacturer, ASML in the Netherlands, has blocked exports to China at the request of the US government.

 

David Kanter, president at chip analysts Real World Insights, says that one from the 5-nanometer generation of semiconductor technology is roughly three times faster or more efficient than a 14-nanometer one because of a greater density of transistors and other design improvements.

 

The move will not cut China’s AI industry off overnight, however. A person at a Chinese venture capital fund that specializes in AI, who spoke anonymously because of the sensitive nature of the topic, says that some Chinese companies have been stockpiling GPU components since parts of the rule change were disclosed in September. It may also be possible for companies to train AI models outside of China using equipment installed elsewhere.

 

The CEO of a Chinese AI startup, who also spoke on condition of anonymity, said the new restrictions would slow down AI advances at Chinese companies in the long run, but predicted that they could keep up with the US in the short term by running older hardware for longer, making AI models that can do more with the same computing power, or gathering more data. “If the target is to achieve certain accuracy, the amount of data can be more helpful than computational power,” the CEO says. “For most AI tasks, training AI models does not always need huge power.”

 

The most important question now is how the rules are enforced, says Douglas Fuller, an associate professor at Copenhagen Business School who studies China’s tech industry. “In the short term, I think this will do what it intends to do—kneecap the high performance computing efforts of China,” he says. But Fuller says China will look to other countries that have chipmaking expertise and may try to smuggle components in.

This wee robot has a built in tape recording system so you can record and playback messages. The future is NOW!

La casa del futuro è al Salone del Mobile e chatta con te.

 

Casa Jasmina se ne va in trasferta a Milano per il Salone del Mobile: negli spazi di Cariplo Factory sarà esposta Postcard from Casa Jasmina - Chatting with the Home of the Future. Un'installazione interattiva che riproduce un sistema di home automation con cui i visitatori potranno chiacchierare attraverso il loro smarphone, grazie a un chatbot.

 

La mostra fa parte di tech.NO.MAD, il grande evento in collaborazione con ThingsCon Milan. In programma anche un workshop gratuito per costruire il tuo chatbot!

 

...e oltre!

 

Postcard from Casa Jasmina non si ferma: il 5 aprile sarà presente anche a Torino Social Innovation e, dal 21 al 28 aprile, sarà esposta alla Shenzhen Design Week - Design for the Future!

 

Infine, giovedì 13 aprile da Toolbox Coworking non perdetevi Casa Jasmina - Chatting with the Home of the Future, l'intervento di Davide Gomba a BotConference 2017.

 

In the early days of virtual WW1, Google and Facebook chatbots had a faceoff. They both concluded Meta was not fun but ordered employees to work there anyway in the swamp.

 

Size: 11 x 14 inches

 

paintings for sale: www.shawnshawn.co

Newsletter: www.shawnshawn.co/contact.html

Artcode: MM02235

ChatBot, l'intelligenza artificiale per umanizzare le relazioni tra la Pubblica Amministrazione e i cittadini.

All the gear no idea - Bard AI - Budget Direct - achievement unlocked - Zombie 'frankenstein' rabbit

Comment redonner envie aux jeunes de sortir de chez eux

France 24, 15 octobre 2018.

Emilie Laystary

 

www.france24.com/fr/20181015-jeunesse-sport-environnement...

  

La perception qu'ont les jeunes de la nature et des activités "outdoor" semblent avoir évolué ces dernières années. Comment les inciter à nouveau à sortir de chez eux ?

 

"Certains jeunes ne savent plus quoi mettre dans la case 'Hobby' de leur CV et se retrouvent à inscrire 'Instagram' et 'Snapchat'...", se désole Monelle Barthelemy, qui travaille chez le chatbot Jam, vendredi 5 octobre alors qu'était présentée à Annecy une vaste étude sur les jeunes et les activités outdoor.

 

Menée par l'agence PopRock durant 5 mois, cette enquête est le fruit d'une soixantaine d'entretiens individuels, de questionnaires auxquels plus de 10 000 jeunes ont répondu, ainsi que de journées d'immersion auprès de la communauté des 15-25 ans. Quelle perception a la jeunesse des sports à faire en extérieur ? Comment envisagent-ils la nature ? Quels imaginaires associent-ils au grand air ?

 

Alors que le cap des 10 000 heures d'écran est passé à la pré-adolescence et que la culture de l'immédiateté du monde connecté est devenue la norme, quels sont les leviers pour pousser les adolescents et jeunes adultes à passer du temps dehors ?

 

"Avant 18 ans, les activités des jeunes dépendent en grande partie de ce que leurs parents leur font faire. Après 25 ans, les amateurs d'activités outdoor reviennent. Mais entre les deux âges, où sont-ils ?", interroge Laureline Chopard, de l'agence PopRock, sur la scène du festival High Five. Pour celle qui a travaillé sur l'étude "Tout le monde dehors", il est évident que c'est à cet âge-là qu'il est important de montrer aux jeunes toutes les potentialités de la nature. Car sans efforts déployés de la part des acteurs de l'industrie outdoor et des personnels pédagogiques, "dehors" continuera à être synonyme de "danger".

 

"Dehors", une notion qui perd du terrain

 

Alors que 75 % de la population de l'Union européenne vit désormais en ville et que chaque seconde qui passe, le continent européen perd 31m² d'espaces naturels, la place de l'environnement extérieur dans l'imaginaire collectif est rudement mise à l'épreuve. "Quand tu grandis en ville, tu reçois plein de messages qui te disent que dehors, c'est dangereux : "Ne traverse pas la route, "tu pourrais te faire agresser", "c'est sale", "ne rentre pas trop tard après le sport", égrène Loïc, 27 ans, un jeune adulte interrogé sur la perception du dehors qu'il a été amené à avoir quand il était adolescent.

 

Selon le chatbot Jam qui a discuté avec près de 1 000 jeunes, une majorité d'entre eux (53 %) ont "tendance à rester chez eux" plutôt que sortir lorsqu'ils ont du temps libre. Il faut dire que le nombre de moyens d'être "connectés au monde extérieur tout en restant à l'intérieur" a augmenté. Jeux en ligne, plateformes de partage de contenus sur Internet, massification de la possession de smartphones avec une connexion 4G... Comment peut-on encore donner envie aux adultes de demain de passer du temps au vert ? Les acteurs du tourisme alpin regrettent ainsi que les jeunes vivant à la montagne sont de plus en plus nombreux à se détourner du ski. Or, des jeunes qui n'aiment plus skier, ce sont aussi de futurs parents qui n'emmèneront pas leurs enfants aux sports d'hiver. "En sautant une génération, on court le risque de perdre le fil...", commente Laureline Chopard. La suppression de nombreuses classes de neige et déplacements scolaires en classes vertes n'aide pas à endiguer cet effondement des activités outdoor chez la jeunesse.

 

Le rôle des infrastructures sportives en bas de chez eux

 

Toujours selon l'enquête "Tout le monde dehors", la simplicité d'usage est un véritable moyen de séduire un public plus large. "On se souvient par exemple de la mode des snowblades, qui était un peu 'la trottinette du ski' et a incité beaucoup à se mettre au ski", exemplifie Laureline Chopard, qui exhorte à un soutien collectif de l'accès des plus jeunes à la nature et au sport. Là où Lili, une petite interviewée de 11 ans, trouve que "marcher pieds nus dans l'herbe c'est sale parce qu'il y a plein de bêtes", il faudrait au contraire réussir le pari à lui montrer que la nature est un incroyable espace de jeu. Après tout, au Danemark, 20 % des classes maternelles sont établies en pleine nature. Un dispositif qui incite forcément les enfants à ouvrir leurs horizons.

 

"Moi, mon terrain de sport c'est en bas de chez moi, avec un skate-board, un ballon de foot, on joue un peu partout entre potes", explique Timotheo, 15 ans. S'approprier l'espace urbain, voilà une façon de se connecter aux activités outdoor. Et donc, de ne pas considérer l'environnement extérieur comme un endroit à fuir à tout prix.

 

Multi-activité et esthétisme

 

S'il est difficile de demander aux jeunes de se prendre de passion tout à coup pour le ski, les randonnées pédestres ou le kayak tandis qu'ils vivent en ville, il est en revanche tout à fait possible de les séduire avec des activités outdoor simples d'accès en milieu urbain. Une première façon de libérer leur imaginaire, pour ensuite peut-être les laisser être tentés par des escapades au vert alors qu'ils grandiront.

 

La culture de la mono-activité semble aujourd'hui dépassée. Les pratiques sont réinventées, à l'instar du parkour couplé à de la gym (que l'on appelle freerunning) ou encore associé aux arts martiaux (pour devenir du tricking). Surtout, les jeunes ont aujourd'hui à cœur de dessiner les contours de leur identité en ligne. Dans ce contexte, la recherche de photos à partager à leur communauté est un véritable moteur à sorties, ont constaté les équipes de PopRock. Ainsi, pour la promesse d'un paysage à couper le souffle ou un hashtag communautaire bien utilisé, de nombreux jeunes pourraient accepter de chausser leurs Van's pour faire une randonnée. À ce titre, le fait de proposer des formats d'activités courts, ludiques, proches des villes pourraient bien permettre de recruter un plus large public afin de les emmener, à terme, plus loin encore. Une réflexion que cette étude (qui sera disponible en ligne fin octobre) pourrait bien aider les pouvoirs publics et acteurs des industries de sport à mener.

 

1 2 ••• 4 5 7 9 10 ••• 79 80