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Jean Dubuffet: "Nung stans" (1965, vinyl on paper, detail). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

mémoire2cité - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -

 

La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?

 

L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.

 

L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».

 

L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...

 

youtu.be/S87xlgogdeI

  

Jean Dubuffet: "Epokhê" (1977, ceramic tiles) at the Asger Jorn Museum, Silkeborg, Denmark. Photo from the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "Winter garden" (Jardin d’hiver, 1968). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Chinese ancient city at Sukhumvit Soi 38. Build in this decade by Thai Ong-ard Satrabhandhu, archictect and famous national artist.

 

From the streets you mainly nearly only see the immense wooden gates and the watch tower. Note the Watch Tower in the middle of the complex.

 

Sukhumvit Soi 38

[just after/behind the hawker food shops]

Bangkok and not China!

© Andy Zingo

 

Jean Dubuffet: "Epokhê" (1965, vinyl on canvas). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Detail of the Meo Arena (formerly Pavilhão Atlântico), a multi-purpose indoor arena built for the Expo 1998 and capable of acommodating 20,000 spectators. Designed by Portuguese archictect Regino Cruz.

Jean Dubuffet: "Tower with figures" (Tour aux figures, 1967). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "The blue wall" (Le mur bleu, 1967, polyurethan, detail). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Building created by archictect Jan Duiker in the Hague (Scheveningen).

Duiker also is famous for the Nirvana Building in The Hague and Sanatorium Zonnestraal in Hilversum.

Jean Dubuffet: "President Vernier-Palliez signing, in front of the board, the order to remove the Summer Garden" (1977).From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "Bedroom under the tree" (1970). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Leaders of the Tokyo 2016 bid: IOC member Sunichiro Okano, Japan Olympic Committee President Tsunekazu Takeda, archictect Tadao Ando, Tokyo Governor Shintaro Ishihara, bid president Ichiro Kono and IOC member Chiharu Igaya. (ATR / Panasonic:Lumix)

Jean Dubuffet: "Bedroom under the tree" (1970). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

"Chaque module faisait 15 cm, travaillé à la main, avec un guidage laser 3D pour une très grande précision, indique Vincent Speller, archictecte

From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "Chaufferie avec cheminée" (Fyrkjele med pipe, 1970). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "Chaufferie avec cheminée" (Fyrkjele med pipe, 1970). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "Jardin d’émail" (1968). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

mémoire2cité - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -

 

La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?

 

L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.

 

L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».

 

L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...

 

youtu.be/S87xlgogdeI

  

Jean Dubuffet: "Nung stans" (1965, vinyl on paper). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

mémoire2cité - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -

 

La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?

 

L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.

 

L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».

 

L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...

 

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mémoire2cité - 34 - Hérault Languedoc-Roussillon - la Ville Nouvelle de la Grande Motte - l' architecte Jean Balladur invente le tourisme balnéaire des classes moyennes @ un démarrage des constructions dés 1962 avec l' A.U.A. - En 1962, l’Etat décide d’aménager la côte qui s’étend de la Provence à la Catalogne. Les plages de sable fin, le soleil - l'ensoleillement est de 2 650 heures par an, dont 1 240 en été - la mer chaude, douce et bleue, font de ce rivage un lieu idéal pour les vacanciers. Mais les touristes, français et étrangers, fuient encore vers l’Espagne, car il n’y a ici aucune structure pour les accueillir. Afin d’éviter que le littoral ne se développe de façon désordonnée comme la Côte d’Azur ou les côtes espagnoles, il est nécessaire d’organiser l’espace. Un plan d’ensemble va donc être étudié. Il faudra démoustiquer, irriguer, créer des routes, planter des arbres, construire, et ménager entre les zones bâties des espaces naturels protégés et inconstructibles. Dès 1961, l’Etat avait commencé à acheter des terrains, il va continuer ses acquisitions durant plusieurs années Entre 1958 et 1962, germe l’idée d’aménager les côtes du Languedoc-Roussillon, au cabinet de Pierre Sudreau, alors ministre de la Construction. Le Premier ministre de l’époque, Georges Pompidou, en prend la décision en 1962. Le gouvernement voulait aider cette région de monoculture de la vigne à trouver dans l’industrie touristique une nouvelle vocation appelée par sa géographie. De plus, il fallait un lieu d’accueil pour les vacanciers bénéficiant des congés payés.

 

C’est le Général de Gaulle qui est Président de la République à cette époque-là. Afin de combattre les moustiques, une Entente Interdépartementale de Démoustication associant l’Hérault, le

 

Gard, les Bouches-du-Rhône, puis l’Aude et les Pyrénées Orientales, avait été mise en place dès 1955.

 

En 1955 , est créée, à l’initiative de Philippe Lamour, la Compagnie du Bas-Rhône, qui va mettre en place

 

un vaste système comportant canaux d’irrigation, barrages de retenue, stations de pompage et d’élévation,

 

centre d’expérimentation... et permettre d’arracher à la sécheresse des centaines de milliers d’hectares sur

 

les départements de la façade méditerranéenne occidentale.

 

Mois après mois, l’Etat se constitue de vastes réserves foncières. Max Pons, chef du service juridique et domanial

 

de la Compagnie du Bas-Rhône achète alors des terrains à 1 franc le m2 Puis l’Etat crée des Z.A.D., zones d’aménagement différé, où il possède un droit de préemption sur les transactions immobilières : 25 000 hectares ont été «zadés» dans les trois départements de l’Hérault, de l’Aude,

 

et des Pyrénées-Orientales. Des semaines de discussion sont parfois nécessaires pour convaincre un paysan

 

ou un viticulteur de se dessaisir du bien appartenant à la famille depuis plusieurs générations. L’argument

 

principal pour les convaincre est que la Compagnie du Bas-Rhône achète pour reboiser le littoral.

 

En 1963, la côte du littoral Languedoc-Roussillon connaissait un des plus faibles taux de boisement de France

 

Jean Balladur et la Grande-Motte, l'architecte d'une ville file:///C:/Users/u/Downloads/3%20BalladurGdeMotte_web.pdf - Construction : les dates clés lagrandemotte-architecture.com/construction-les-dates-cles/ - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -

 

La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?

 

L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.

 

L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».

 

L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...

 

youtu.be/S87xlgogdeI - www.caue-lr.fr/sites/default/files/documents/la_grande_mo... -

Jean Dubuffet: "Villa Falbala" (1971). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

204 W. 101st St. near Amsterdam Ave. New York. 1986.

 

New York City Dept. of Buildings records indicate that 5 New Building Permits were filed for 204-208 W. 101st St. between the years 1901 to 1927. These include four 1-story sheds in 1901, a 1- and 2-story garage for the Unexcelled Garage Co. in 1907, a 3-story garage designed by Emery Roth in 1926, and a 1-story garage to run through the block to 100th St. in 1927.

 

The Bates Rent-A-Car sign was on a 5-story garage. So it is not clear whether this building is an Emery Roth design. The front facade features winged wheels. See www.flickr.com/photos/wgrooch/2967106566/

 

In Sept. 2007 the skyscrapers database at Emporis.com listed no less than 87 structures credited to Emery Roth. Some of these include the San Remo, Beresford, and Eldorado on Central Park West, the Belleclaire on Broadway, the Carteret Hotel on W. 23rd St., and the Hotel Dorset on W. 54th St. Henry Roth and fellow archictect, D. Everett Waid, have left their names on a cornerstone at 244 E. 14th St. (see

www.flickr.com/photos/wgrooch/4428484738/ ).

Ceramic tiles by Jean Dubuffet. From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "Group of 4 trees" (Groupe de quatre arbres, 1970/72). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

St Georges Anglican Church.

The story of St George’s begins in 1836 with services commencing in 1838. The church was consecrated by Bishop W. G. Broughton, the first and only Bishop of Australia. St George's was designed in the Neo-Classical style then current in London. The only other examples of this style of church left in Australia are one in Richmond and one in Sydney. The Government architect, John Lee Archer, designed the body of the building; the tower and porch were designed by convict architect, James Blackburn. The church has an unusual layout, with two side aisles instead of a single central aisle. It still has its original cedar box pews. The Government agreed to grant convict labour, stone and timber for the church tower. Lime, lead and glass had to be provided by the church members. By 1847 the tower was finally completed, but the porch and the rooms at the basement of the tower were left unfinished. St George’s porch was not added until 1888. The stone for its fine fluted Grecian columns was quarried at Bellerive. James Blackburn (1803–1854), was a civil engineer, surveyor and architect who had been transported for forgery in 1833. He was pardoned in 1841, but continued in private practice as an architect until 1849. His work included: St Mark's Anglican Church at Pontville (Romanesque), the Lady Franklin Museum (Grecian) and The Grange at Campbell Town (Tudor).

 

The huge structure now called the Balmoral, formerly the North British

Hotel, formed part of the new North Bridge following demolition of the

Georgian building on the same site - a far more modest building, classical

in proportion.

 

The current maginificent oppulence was presented in a competition by W.

Hamilton Beattie in 1895. It was completed in 1902 and it's bulbous 58m

clock tower, probably Edinburgh's most famous landmark after the Castle and

Scott Monument, never fails to impress or shock depending on your point of

view!

 

Purist archictects and critics often deride it and sight the lack of need

for such a giant structure in an otherwise Georgian landscape around the

Capital's main street, of course surrounded by beauty from the early 1800's.

Yet it is revered all over the world (the clock tower is just out of the

photograph here but see picture 122 for a view from Princes Street).

 

Dr. Anderson of Edinburgh University has a personal dislike of it and preferred the original Georgian building, which in comparison was entirely modest in proportion on this corner of Princes Street and the North Bridge.

 

I think it is the recognised icon of Edinburgh everywhere and on television

news programmes public figures sit infront of the famous view of Edinburgh

with the Balmoral clock tower a symbol of pride and distinction. Not to have

this building would be like London without Big Ben, in my view.

88/144

Jean Dubuffet: "Jardin d’émail" (1968). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

People's Gas Education Pavilion, Lincoln Park, Chicago

Jean Dubuffet: "Bedroom under the tree" (1970). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "Villa Falbala" (1971). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

work by request for archictects from www.augustoquijano.com

www.espazio101.com

www.arquimaya.com Bicentennial Arch contest Mexico City

 

VISIT www.360-render.com.mx

 

Encargo para el concurso del Arco Conmemorativo del Bicentenario en Cd. de méxico

para los arquitectos de www.augustoquijano.com

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Jean Dubuffet: "Salon au nuage" (1971). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Jean Dubuffet: "The blue wall" (Le mur bleu, 1967, polyurethan, detail). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Au début du XXème siècle, l'association culturelle Agoudah Hakehiloth (union des communautés) , qui regroupait neuf sociétés orthodoxes, russes pour la plupart, présidée par Joseph Landau et don tle rabbin était JOel L. Herzog, voulait avoir sa propre synagogue. L'association acheta un terrain de 12 mètres de façade et de 30 mètres de profondeur et fit appel à Hector Guimard, dont l'épouse Adeline Oppenheim était une artiste-peintre américaine d'origine juive. La synagogue fut inaugurée le 7 juin 1914. Hector Guimard (1867 - 1942° le célèbre archictecte de l'art nouveau, auteur des entrées de métro et du Castel Béranger, voulut donner l'illusion d'une plus ample façade par un jeu de courbes. La façade en recul par rapport à la rue , est tripartite; elle se compose d'une partie centrale concave et de deux parties convexes. elle comprend trois portails, trois travées centrales et trois étages au dessus de l'entresol. Des pilastres et d'étroites fenêtres en accentuent la verticalité. Les baies regroupées par deux reprennent le thème des tables de la loi qui couronnent l'édifice. Des pilastres ornés de motifs végétaux stylisés caractéristiques de l'art nouveau et de de Guimard, égayent la façade. Celle-ci fut endommagée par une attentat durant l'Occupation. Les trois triangles qui sommaient à l'origine les linteaux des portes ont été lors de la restauration par une étoile de David au dessus de la porte centrale. A l'intérieur la nef de quatre travées est bordée de collatéraux surtmontés de deux étages de tribunes . Elle est éclairée par des ouvertures zénithales et une grande baie axiale. Les chapiteaux , les gardecorps, des tribunes , les boiseries et les luminaires adoptent au décor Art nouveau

Trap in het Drents Museum in Assen, overgang tussen het oude en het nieuwe gedeelte. Ontwerp van Erick van Egeraat associated architects.

 

White stairs in the Drents Museum in Assen. Designed bij Erick van Egeraat associated archictects

mémoire2cité - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -

 

La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?

 

L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.

 

L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».

 

L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...

 

youtu.be/S87xlgogdeI

  

Jean Dubuffet: "Tower with figures" (Tour aux figures, 1967). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Kościół Rzymskokatolicki pw. św. Stanisława Kostki. Roman-catholic church of St. Stanislaus Kostka.

 

Category: religion

Location: ul. Hubska, Wroclaw, Poland

Built: 1984-2006

Archictect: Stefan Müller

Height: 22m

  

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I saw this building for the first time while looking at an adjacent property. Now I'm completely fascinated by it. Apparently "Dave Chapelle's Block Party" was filmed on the corner in front of this. More info can be found here, here, and here.

 

Update: If I'd researched this for more than 30 seconds I could have discovered that the archictect's son has a flickr acount and much better photos of the location.

mémoire2cité - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -

 

La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?

 

L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.

 

L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».

 

L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...

 

youtu.be/S87xlgogdeI

  

Ceramic tiles by Jean Dubuffet. From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

Ceramic tiles by Jean Dubuffet. From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.

14, Rue de la Fontaine. Archictecte - Hector Guillmard. 1890. Paris, August, 2013.

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