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Hamburg U4 HafenCity Universität.
Archictects: Raupach Architekten München, Pfarré Lighting Design, Stauss & Pedrazzini Industrial Design.
Raupach Architekten were also the designers of the Munich subway station Wettersteinplatz. There are countless picture of it to be found on Flickr.
The changing light is provided by 12 light containers (6,5 m height × 2,8 m width × 2,8 m height) stacked with 280 LED.
(RADIANCE AWARD FOR EXCELLENCE IN LIGHTING DESIGN)
www.iald.org/About/Lighting-Design-Awards/2013-Award-Winners
Gravenhurst "Cities Beneath The Sea"
Here's the confluence (Kuala) of the Gombak River (on the left) and the Klang from where their muddy (Lumpur) waters flow together to the Straits of Malacca. In the nineteenth century there was a muslim cemetery here but the British colonial authorities of Malaya designated the area for a mosque. In 1908 ground was broken and a building arose to the design and specifications of Arthur Benison Hubbach (1871-1948), head archictect of the Federal Malay State. His Mughal-Ecclectic architecture can be seen all over Malaysia, and one of its beautiful examples is this now nicely restored mosque. Iconic it is for this city.
Le château de Sully est situé sur la commune de Sully en Saône-et-Loire, entre Autun et Beaune. Ouvert au public, le château de Sully est depuis le milieu du xviiie siècle la propriété et résidence de la famille des marquis de Mac Mahon, ducs de Magenta.
Majestueux et cité comme l’un des plus beaux de Bourgogne, le château est précédé d’une longue cour bordée de buis taillés et encadrée de chaque côté des bâtiments des communs. Bussy-Rabutin et Madame de Sévigné l’ont beaucoup admiré.
En plan, le château forme un vaste quadrilatère et comporte quatre corps de logis bâtis en retour d’équerre qui encadrent une cour centrale et quatre tours carrées plantées de biais qui occupent les angles. L’ensemble est entouré de douves remplies par l’eau de la Drée. Vers l’ouest, un pont de pierre qui franchit les douves dont la balustrade a été garnie vers 1890 de tout un décor de boulets et pyramides de pierre, précède la façade édifiée par les Saulx-Tavannes. L’appareil à bossages du socle de l’édifice et du rez-de-chaussée percé de petites fenêtres à meneaux fait contraste avec la richesse du décor du premier étage dont les fenêtres à meneaux et croisillons sont encadrées de pilastres terminés par des têtes et séparés par des tableaux qui imitent des niches. Les pilastres sont ornés de tableaux comme au château du Pailly, près de Langres, œuvres l’un comme l’autre, du même archictecte langrois Nicolas Ribonnier. Une composition formée des mêmes éléments marque le centre ; elle a été surmontée d’un large fronton sculpté où deux Maures soutenaient le blason des Morey qu’une horloge intérieure a maintenant remplacé.
La cour intérieure forme un ensemble remarquable par l’ordonnance des façades et leur décor Renaissance. Un décor de bossages règne sur tout le rez-de-chaussée éclairé de baies cintrées. À l’étage, des pilastres ioniques munis de tableaux encadrent les fenêtres qui sont groupées par deux. Une niche plate ménagée entre chaque groupe est surmontée d’une tête sortant d'un cartouche ou d'un médaillon. L’allège des fenêtres est décorée de tables qui se terminent en fleuron. Le décor sculpté comporte aussi une frise qui court sous la corniche et des médaillons ronds contenant un buste en haut-relief qui sont placés sous les niches, à hauteur du rez-de-chaussée. L’ornementation de ces façades se complétait par des fresques : des figures allégoriques étaient peintes dans les niches. Il faut noter la présence d’un pavillon central à la façade du logis oriental qui présente la même élévation et les mêmes motifs. Derrière cette façade, subsiste en partie un mur plus ancien percé de portes et de fenêtres indiquant une construction du xve siècle. C’est donc en avant du logis médiéval - en ménageant la largeur d’un couloir - qu’a été construite cette façade qui achève de donner à la cour son unité monumentale.
Château de Sully - Les communs
On peut penser que les premières constructions des Saulx-Tavannes avaient comporté trois corps de logis en laissant subsister un logis du xve siècle, œuvre des seigneurs de Couches ou des Rabutin, en avant duquel on aurait élevé un peu plus tard la façade de style classique avec son pavillon central. La présence d’une salle voûtée, déjà attestée par des reproductions anciennes, confirme que des parties de la construction médiévale ont subsisté dans ce logis.
Les quatre tours d’angle pourraient aussi en partie remonter au château du Moyen Âge. Elles sont hautes de trois étages et couvertes de toits à lanternons.
La façade vers l’extérieur du corps de logis nord date du début du xviiie siècle. elle a été établie au niveau de l’angle des tours entre lesquelles elle s’insère, ce qui lui donne un développement considérable. Des pilastres séparent ses fenêtres rectangulaires. Un avant-corps à fenêtres cintrées couronné d’un fronton est précédé d'un escalier monumental et d’une vaste terrasse qui domine le miroir d’eau des douves. Vers l’est, la façade, qui comporte un fronton central, a été remaniée au xixe siècle et le pont qui franchissait les douves a été supprimé. La façade sud, qui a subi plusieurs transformations et la chapelle qui fait saillie de ce côté ont été refaites dans le style néo-Renaissance.
Les communs, qui s’allongent en avant du château, comportent un bâtiment entre deux pavillons. L’aile des écuries du côté nord, indiquée par une tête de cheval sculptée au-dessus de la porte centrale, est complétée par tout un ensemble de bâtiments groupés autour d’une cour. L’un d’eux abrite un théâtre aménagé en 1840.
Le château, propriété privée, est ouvert au public.
Wikipedia
Hamburg U4 HafenCity Universität.
Archictects: Raupach Architekten München, Pfarré Lighting Design, Stauss & Pedrazzini Industrial Design.
The changing light is provided by 12 light containers (6,5 m height × 2,8 m width × 2,8 m height) stacked with 280 LED.
(RADIANCE AWARD FOR EXCELLENCE IN LIGHTING DESIGN)
www.iald.org/About/Lighting-Design-Awards/2013-Award-Winners
Chicken Shack "When the Train Comes Back"
The Chancellor's Hall, Senate House, University of London, United Kingdom
I took this back in 2017, on a London Open House tour. I'm a fan of the archictect Charles Holden so it was great to walk around the building.
Senate House is the administrative centre of the University of London, situated in the heart of Bloomsbury, London, immediately to the north of the British Museum.
The Art Deco building was constructed between 1932 and 1937 as the first phase of a large uncompleted scheme designed for the university by Charles Holden.
Europe, Netherlands, Noord Holland, Zaandam, Intel Hotel (Molenaar en van Winden) (slightly cut from B & T)
Whimsical, farcical, post-modern, ironic, escapist, a typical artifact of 'the society of the spectacle'…all of these things are probably applicable to the architecture of this hotel and its surroundings – the transformed city centre of Zaandam ( a result of the Inverdam urban plan: here)
Sjoerd Soeters, the architectural supervisor of the Inverdam plan and the one who enlisted the archictects (Molenaar en van Winden) blamed them for plageriasm: here. He charged them with using his image language without giving him proper due.
This was curious business…how can there be plagiarism in post-modern architecture, which is basically the reworking of architectural pre-modernist clichés? As if the Disney Corporation sues a photographer who captures a blond and slender in-bred dog with long legs, claiming that he infringes upon the copyright of one its characters (Pluto).
And do I like it ? In a certain way I do, I must admit - not because I like its aesthetics, but because it’s delightfully deconstructivist (definition: a building that looks like a mess) and this kinda short circuits the nostalgia, the clichés... The hotel is a contradiction of itself. It turns irony around …… and makes the viewer wonder who actually the joke is on ;-)
Two of the major creations of master archictect Petrus Johannes Hubertus Cuypers (1827-1921) are Amsterdam's Rijksmuseum (1885) and the grand Central Railway Station (1882-1884). Both are in Gothic-Renaissance Revival Style. The Station was constructed on three man-made islands in 't IJ, Amsterdam's great river-bay which gave the city access to the former Zuyderzee and onwards to the riches of the East, the West and the Baltic. It's a marvellous construct but needs continuous upkeep and restoration.
Here's a Holiday view of the Central Hall from the first-floor restaurant.
Singapore
Design Consultant: Philip Johnson and John Burgee Archictects
1994
According to Robert Powell, "the design is a historically derivative solution with its pyramidal forms and arched window arches, of [French architects of the revolutionary period] Boullée and Ledoux" (49)
This was the #1 photo by Flickr - Interesting on the date October 18th 2004.
en.wikipedia.org/wiki/Holy_Trinity_Church,_Blackpool
Pensaer / Archictect: Richard Knill Freeman ▪️▪️▪️Adeiladwyd eglwys drawiadol a hardd y Drindod Santaidd, Blackpool, rhwng 1894 a 1895. Fe’i cynlluniwyd gan R. Knill Freeman, a gellir dweud mai dyma ei gampwaith. Bygythiwyd dymchwel yr eglwys ychydig flynyddoedd yn ôl ond codwyd arian i wneud llawer o’r gwaith adfer angenrheidiol. Deil y gwaith hwnnw i fynd rhagddo heddiw ond gan fod poblogaeth y cylch wedi newid yn llwyr, anodd bod yn hyderus ynghylch ei dyfodol.
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Savet e voe iliz heverk ha kaer an Dreinded Santel, Blackpool, etre 1894 ha 1895. Raktreset e voe gant R. Knill Freeman ha lavaret a c’haller ez eo e daol-vicher. An iliz a oa en arvar da vezañ diskaret un nebeud bloavezhioù zo. Savet e voe arc’hant avat a-benn ober un tamm mat eus al labour adsevel ret. Al labour-se a ya war-raok bepred, met pa’z eus bet kement a cheñchamant e poblañs ar c’harter n’eo ket aes kaout fiziañs e dazont an iliz.
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Tógadh eaglais iontach álainn na Tríonóide Naofa, i mBlackpool, Sasana, idir 1894 agus 1895. Dearadh le R. Knill Freeman í agus ba í seo a shárshaothar. Bhí an eaglais faoi bhagairt cúpla bliain ó shin agus bhí a leagan go talamh i gceist. Bailíodh airgead chun cuid mhór den obair athchóirithe a a dhéanamh áfach. Tá an t-athchóiriú ag dul ar aghaidh fós, ach de réir mar a d'athraigh daonra an cheantair go mór, is deacair muinín a fháil i dtiodhchaí na heaglaise.
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The impressive and beautiful Holy Trinity Church, Dean Street, was built in 1894-5, and designed by R. Knill Freeman. This was his chef d’oeuvre. The church was threatened with demolition a few years ago but money was raised to do much of the restoration work required. Restoration continues today but as the population of the area has dramatically changed, it is hard to be confident for the future.
Social housing settlement planned by Han van Loghem in the 1920s neighbouring his own house (green roof, mid bottom). The spimle cubic forms of the block oppose the style the archictect chose for his house, which has a steep roof and even a small tower.
On dreary, dreich Saturday I went down to Assen, the capital of the province of Drenthe, to look at the Drents Museum. The blue sky of this gable stone lifted my spirits. It's one of four depicting various arts and sciences, technology, agriculture etc. They grace the pretty Gouvernementsgebouw, the former capitol of the province of Drenthe. That building - replacing an older one which was torn down - was erected 1879-1887 by the Rijksbouwmeester - National Archictect - Jacobus van Lokhorst (1844-1906), a follower of the famous neogothic architect Pierre J.H. Cuypers (1827-1921) of Roermond. The gable stones and friezes of this building were likely sculpted by the atelier of Cuypers's friend François Charles Stoltzenberg (1805-1875), presumably by the latter's son Frans Marie Hubert (1838-1909), who had succeeded his father in 1875, or under his oversight; the atelier employed about 40 artisans! Lokhorst worked closely with that atelier, and in one of the gable stones there is a portrait of him.
Today the provincial government has moved offices into a modern building. The handsome Gouvernementsgebouw became the seat of the Drents Museum in 1973, and it was recently completely restored and renovated.
This particular gable stone has putti putting into practice science and technology. I looked for a while till I got too wet and then entered the newly styled museum into a completely different world of contemporary design and art.
✰ Credit ✰
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A pleasant train ride of about an hour to the south of Kuala Lumpur through lush, rolling countryside takes you to the capital of Negeri Sembilan, one of the thirteen states which constitute Malaysia. Its capital is the friendly town of Seremban, which came to prominence in the late nineteenth century in the wake of the discovery of tin and the realisation that the local climate is very suitable for growing fruit.
In the very centre of town just a hop-skip-jump from the railway station is this pretty valley with two man-made lakes. Beautifully landscaped, it is also a carefully tended botanical garden aglow with blossoming trees among which the Hibiscus is perhaps the most prominent. And there's a nice pond for Lotus as well. All is highly relaxing and pretty.
This photo was taken in the direction of the railway station about halfway along the ponds. On hill's edge is the 'new' (1967-1970) state mosque, whose archictect is Chong Keat Lim (1947). A closer examination than this photo allows would show that he's combined modernism with elements from traditional Minangkabau culture (originating in western Sumatra). The next time I travel here, I must look more carefully to see to what degree adat perpatih is still practiced; that is to say, the age-old Minangkabau practice of matrilineality and of giving women a higher social status than men.
The church St-François-Xavier is a catholic church situation in Paris 7th arrondissement.
Its construction was carried out during the second half of the 19th century.
Archictects: Louis-Adrien Lusson (until his death in 1864) then Toussaint Uchard
The church was open to public in 1874.
It contains several masterpieces: paintings (Le Tintoret), sculptures and stained glass windows (old and modern).
Source: wikipedia
My lovely wife who also doubles as an amazing archictect and artist shares my love for the outdoors and it's natural beauty.
building and furniture design by Ludwig Mies Van Der Rohe (1929, recostructed between 1983 -1986).
the german pavilion is absolutely a "sanctuary" for archictects! :))
The Broadway Theater District. Los Angeles, CA. The Tower Theatre was deisigned by archictect S. Charles Lee and opened in 1927. The Orpheum Theater was designed by architect S. Charles Lee and opened in 1926.
Contents / Summary: Shows shops on the lower level of the shopping centre, with a garden feature in the central light court. Illuminated signs for the London Baby Carriage, Pets Parking Lot, veterinary Surgery, and the entrance to the Ladies' Lounge and Children's Day Nursery are also visible.
The Chadstone Shopping Centre is outside the City of Monash, but it's just across (the numerous lanes of) Dandenong Road from Hughesdale. Built on the site of the Convent of the Good Shepherd, Oakleigh, starting with their paddocks and later the land that hosted its imposing Gothic stone buildings (demolished by Whelan The Wrecker in 1986), Chadstone was recognised from the outset as a regional shopping centre. Popularly known as Chaddy, it opened on 3 October 1960 and has grown through a series of extensions. See locale on Google Maps.
Title: Chadstone Shopping Centre [picture]
Author / Creator: Wolfgang Sievers 1913-2007, photographer.
Contributor(s): Tompkins, Shaw & Evans, archictect.
Date: 1962
Subjects:
Chadstone Shopping Centre (Vic.)
Shopping centers -- Victoria -- Chadstone
Gelatin silver prints
Notes: Vintage print with the photographer's studio stamp on verso.
Title and date inscribed in photographer's own hand on verso.
Job number inscribed in pencil on verso:3358-AD
Contents / Summary:
Architects: Tompkins, Shaw & Evans; exterior.
Index terms:
Australia; Victoria; Wolfgang Sievers; shopping centres; Chadstone Shopping Centre; Tompkins, Shaw & Evans.
Copyright status: This work is in copyright
Conditions of use: Copyright restrictions apply.
For Copyright queries, please contact the National Library of Australia.
Source: SLV
Identifier(s): Accession no: H2003.100/561
Source / Donor: Purchased 2002.
Series / Collection: Wolfgang Sievers collection.
Link to online item:
handle.slv.vic.gov.au/10381/285289
Link to this record:
search.slv.vic.gov.au/permalink/f/1cl35st/SLV_VOYAGER1791857
Dinan (Côtes-d'Armor)
Basilique Saint-Sauveur.
Dans le choeur, le maître-autel avec retable à baldaquin.
Le maître-autel, en bois et marbre, date des XVII-XVIII-XIXème siècle : l'autel date du XVIème siècle, le retable est dessiné en 1712 par l'architecte Garengeau, le baldaquin est érigé à partir de 1744.
"Le dessin en fut exécuté en 1718 par l'archictecte Garengeau et examiné et peut-être modifié la même année par Hardouin, architecte et contrôleur des bâtiments du Roi, et par Huguet, architecte. L’adjudication des travaux fut faite aussitôt à François Lamandé et Jean Lemonnier, mais attaquée par Bertrand Frostin, maître menuisier à Rennes. Après procès, les premiers sculpteurs demeurèrent adjudicataires ainsi que l’indiquent les comptes de 1736 qui nous font connaître également que le dessin définitif avait été exécuté par Jacques Le Bonhomme, de Saint-Malo.
Toute cette oeuvre, qui comprend le tabernacle, la colonnade de part et d’autre et le petit dôme qui le surmonte, est d’une pureté de lignes et d’une exécution remarquable.
En 1744, le maître-autel fut déplacé et on décida de l’augmenter, travaux confiés à Maisonneuve-Thomas et François Lamandé. En examinant l’autel à double face, qui devait se trouver au bas du choeur actuel et qui fut sans doute transporté alors à l’emplacement qu’il occupe aujourd’hui, l’on voit que les nouveaux travaux consistaient dans la haute colonnade avec le dôme la surmontant et l’ange thuriféraire. Enfin, en 1756, devis de la dorure était dressé par Allix, doreur à Saint-Malo, mais l’adjudication en fut faite à Durocher-Thomas et Pierre Morillon, qui promettaient en outre de faire des statuettes d’anges. Ces dernières sont d’une facture nettement inférieure au reste de ce beau monument."
Jean Dubuffet: "The blue wall" (Le mur bleu, 1967, polyurethan). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.
The bell chamber of the Caledonian Clock Tower, the initials are possibly of the archictect of the Clock Tower, John Bunstone Bunning, the Architect and Surveyor to the Corporation of the City of London.
the 1936 allenby theatre designed by kaplan & sprachman. this firm were the archictects responsible for no less than 23 theatres in toronto including the magnificent 1936 eglinton theatre, now eglinton grand and my 'nabe' the 1946 donlands theatre, along with dozens more across canada,
their work also included spadina avenue's fashion building of 1926 and toronto's 1950 mount sinai hospital
Jean Dubuffet: "Aérogire" (1968). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.
The second largest mosque in the world with the tallest minaret (210m), the Hassan II mosque is huge.
Built with a capacity for 25,000 worshippers inside and a further 80,000 in the courtyard the mosque has a feeling of immensity to it.
While not able to go inside (this time due to time rather than religious reasons), the mosque has heated glass floors overlooking the Atlantic so that worshippers can be ovelooking the sea.
This extra feature was included at King Hassan II's request as a result of a quote from the Qur'an that states that "the throne of God was built on the water".
Das Mobiliar der Caféteria wurde von dem finnischen Stararchitekten Alvar Aalto entworfen. Wilde Tulpen in kleinen Glasvasen dienen als Tischdekoration.
The furniture of the cafeteria was designed by the famous Finnish archictect Alvar Aalto. Wild tulips in little glass vases serve as table decoration.
Copyright © Baerbel A Rautenberg (BARefoot images). All rights reserved.
This photograph or any part of this photograph may NOT be reproduced or transmitted in any form or by any means (on websites, blogs) without prior permission. Use without permission is illegal.
Kościół Rzymskokatolicki pw. św. Stanisława Kostki. Roman-catholic church of St. Stanislaus Kostka.
Category: religion
Location: ul. Hubska, Wroclaw, Poland
Built: 1984-2006
Archictect: Stefan Müller
Height: 22m
Follow me:
Julia Ann Square Historic District, Parkersburg, West Virginia
With the end of the Civil War, the opening of West Virginia's oil and gas industry, the quickened pace of roads, railroads and rivers, and the influx of industry, the city's populartion grew. The area just north of town which included Juliana and Ann Streets began filling with people who were the leaders of the community. The neighborhood of today is reasonably reflective of the period 1875–1915.
One sees the Queen Anne, Second Empire and Colonial Revival elements in abundance in the district. Two archictects known to have participated in development were William Howe Patton and R. H. Adair. Julia-Ann Square houses transcend Parkersburg parkersburg and present an environment of setting and style characteristic of an historic era.
The church St-François-Xavier is a catholic church situation in Paris 7th arrondissement.
Its construction was carried out during the second half of the 19th century.
Archictects: Louis-Adrien Lusson (until his death in 1864) then Toussaint Uchard
The church was open to public in 1874.
It contains several masterpieces: paintings (Le Tintoret), sculptures and stained glass windows (old and modern).
Former Safeway located on Country Club Blvd and I-5 in Stockton, CA. The archictect's name was Tod Hart. Safeway built a replacement store next door.
The church St-François-Xavier is a catholic church situation in Paris 7th arrondissement.
Its construction was carried out during the second half of the 19th century.
Archictects: Louis-Adrien Lusson (until his death in 1864) then Toussaint Uchard
The church was open to public in 1874.
It contains several masterpieces: paintings (Le Tintoret), sculptures and stained glass windows.
Source: wikipedia
Jean Dubuffet: "Bedroom under the tree" (1970, detail). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.
Jean Dubuffet: "Winter garden" (Jardin d’hiver, 1968). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.
Jean Dubuffet: "Tower with figures, interior plan" (Tour aux figures, 1968). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.
Jean Dubuffet: "Epokhê" (1965, vinyl on canvas, detail). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.
mémoire2cité - 34 - Hérault Languedoc-Roussillon - la Ville Nouvelle de la Grande Motte - l' architecte Jean Balladur invente le tourisme balnéaire des classes moyennes @ un démarrage des constructions dés 1962 avec l' A.U.A. - En 1962, l’Etat décide d’aménager la côte qui s’étend de la Provence à la Catalogne. Les plages de sable fin, le soleil - l'ensoleillement est de 2 650 heures par an, dont 1 240 en été - la mer chaude, douce et bleue, font de ce rivage un lieu idéal pour les vacanciers. Mais les touristes, français et étrangers, fuient encore vers l’Espagne, car il n’y a ici aucune structure pour les accueillir. Afin d’éviter que le littoral ne se développe de façon désordonnée comme la Côte d’Azur ou les côtes espagnoles, il est nécessaire d’organiser l’espace. Un plan d’ensemble va donc être étudié. Il faudra démoustiquer, irriguer, créer des routes, planter des arbres, construire, et ménager entre les zones bâties des espaces naturels protégés et inconstructibles. Dès 1961, l’Etat avait commencé à acheter des terrains, il va continuer ses acquisitions durant plusieurs années Entre 1958 et 1962, germe l’idée d’aménager les côtes du Languedoc-Roussillon, au cabinet de Pierre Sudreau, alors ministre de la Construction. Le Premier ministre de l’époque, Georges Pompidou, en prend la décision en 1962. Le gouvernement voulait aider cette région de monoculture de la vigne à trouver dans l’industrie touristique une nouvelle vocation appelée par sa géographie. De plus, il fallait un lieu d’accueil pour les vacanciers bénéficiant des congés payés.
C’est le Général de Gaulle qui est Président de la République à cette époque-là. Afin de combattre les moustiques, une Entente Interdépartementale de Démoustication associant l’Hérault, le
Gard, les Bouches-du-Rhône, puis l’Aude et les Pyrénées Orientales, avait été mise en place dès 1955.
En 1955 , est créée, à l’initiative de Philippe Lamour, la Compagnie du Bas-Rhône, qui va mettre en place
un vaste système comportant canaux d’irrigation, barrages de retenue, stations de pompage et d’élévation,
centre d’expérimentation... et permettre d’arracher à la sécheresse des centaines de milliers d’hectares sur
les départements de la façade méditerranéenne occidentale.
Mois après mois, l’Etat se constitue de vastes réserves foncières. Max Pons, chef du service juridique et domanial
de la Compagnie du Bas-Rhône achète alors des terrains à 1 franc le m2 Puis l’Etat crée des Z.A.D., zones d’aménagement différé, où il possède un droit de préemption sur les transactions immobilières : 25 000 hectares ont été «zadés» dans les trois départements de l’Hérault, de l’Aude,
et des Pyrénées-Orientales. Des semaines de discussion sont parfois nécessaires pour convaincre un paysan
ou un viticulteur de se dessaisir du bien appartenant à la famille depuis plusieurs générations. L’argument
principal pour les convaincre est que la Compagnie du Bas-Rhône achète pour reboiser le littoral.
En 1963, la côte du littoral Languedoc-Roussillon connaissait un des plus faibles taux de boisement de France
Jean Balladur et la Grande-Motte, l'architecte d'une ville file:///C:/Users/u/Downloads/3%20BalladurGdeMotte_web.pdf - Construction : les dates clés lagrandemotte-architecture.com/construction-les-dates-cles/ - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -
La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?
L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.
L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».
L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...
youtu.be/S87xlgogdeI - www.caue-lr.fr/sites/default/files/documents/la_grande_mo... -
Hearst Castle était le domaine somptueux du magnat de la presse William Randolph Hearst, situé à San Simeon, dans le comté de San Luis Obispo, sur la côte centrale de Californie, entre Los Angeles et San Francisco.
Piscine de Neptune, Hearst Castle
Il a été construit entre 1919 et 1947 par l'architecte Julia Morgan pour Hearst (et sa maîtresse, l'actrice Marion Davies) magnat milliardaire de la presse, qui a servi de modèle au personnage de Charles Forster Kane incarné par Orson Welles dans son film Citizen Kane.
Le palais lui-même est évoqué dans le film sous le nom de Xanadu.
Il est à la démesure des palais mythiques de l'antiquité transposés au cœur de la Californie.
Donné à l' État de Californie en 1957, c'est désormais également un National Historic Landmark (monument historique national).
Hearst Castle a été construit en pleine nature, autrefois terre de ranchos mexicains, au début du xxe siècle. À cette époque, où le développement de Los Angeles n'était pas encore planifié, Hearst tenta de susciter une grande ville à cet endroit qu'il supposait propice à cause de sa position entre Los Angeles et San Francisco (400 et 330 km), en créant les premières infrastructures.
La cuesta encantada (colline enchantée) devait en être le palais surmontant la ville. Finalement, seul le palais fut érigé, fruit du style de vie californien rendu possible par le prix modique des terres et le climat favorable.
L'un des vestiges de cette époque est un ponton sur la plage, qui servait à débarquer vedettes hollywoodiennes et personnalités (Charlie Chaplin, Cary Grant, Clark Gable, Gary Cooper, Charles Lindbergh, Joan Crawford, Winston Churchill) parvenant par l'océan des marinas de Los Angeles ; San Simeon n'est qu'un quartier d'hôtels de tourisme pour les visiteurs du « Château » de Hearst, érigé et édifié malgré tout, sans dominer la métropole dont il rêvait.
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Hearst Castle is a palatial estate on the central California coast and a National Historic Landmark. It was designed by architect Julia Morgan for William Randolph Hearst—a newspaper magnate from 1919 until 1947. In 1957, the Hearst Corporation donated the property to the state of California. Since that time it has been maintained as state historic park where the estate and its considerable collection of art and antiques are open for public tours. Despite its location far from any urban center, the site attracts roughly one million visitors per year.
The Neptune Pool patio features an ancient Roman temple front transported wholesale from Europe and reconstructed at the site. Hearst was an inveterate tinkerer, and would tear down structures and rebuild them at a whim.
History
Invitations to Hearst Castle were highly coveted during its heyday in the 1920s and '30s. The Hollywood and political elite often visited, usually flying into the estate's airfield or taking a private Hearst-owned train car from Los Angeles. Charlie Chaplin, Cary Grant, the Marx Brothers, Charles Lindbergh, Joan Crawford, Clark Gable, James Stewart, Bob Hope, Calvin Coolidge, Franklin Roosevelt, and Winston Churchill were among Hearst's A-list guests. While guests were expected to attend the formal dinners each evening, they were normally left to their own devices during the day while Hearst directed his business affairs. Since "the Ranch" had so many facilities, guests were rarely at a loss for things to do. The estate's theater usually screened films from Hearst's own movie studio, Cosmopolitan Productions.
Hearst Castle was the inspiration for the "Xanadu" mansion of the 1941 Orson Welles film Citizen Kane, which was itself a fictionalization of William Randolph Hearst's career. Hearst Castle itself was not used as a location for the film, which used Oheka Castle in New York.
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Source : Wikipedia
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Jean Dubuffet: "Winter garden" (Jardin d’hiver, 1968). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.
mémoire2cité - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -
La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?
L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.
L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».
L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...
youtu.be/S87xlgogdeI
mémoire2cité - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -
La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?
L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.
L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».
L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...
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Jean Dubuffet: "Nung stans" (1965, vinyl on paper, detail). From the exhibition "Dubuffet as archictect" at the Henie Onstad Art Centre, Oslo, Norway. March 10, 2011.
mémoire2cité - En 1963 la mission Racine est constituée par le général de Gaulle dans le but de dynamiser le tourisme dans le Languedoc-Roussillon. Huit stations nouvelles doivent être créées. Celle de La Grande Motte est confiée à l'architecte Jean Balladur qui cherche à rompre avec l'architecture traditionnelle de bord de mer. Après avoir visité le site de Theotihuacan au Mexique, il décide de construire à La Grande Motte des pyramides à 60° degré d'inclinaison. Puis, séduit par l'utilisation du béton dans l'architecture de Niemeyer à Brasilia, il poursuit son oeuvre avec des immeubles tout en rondeur : les conques de Vénus et les bonnets d'évêque du quartier du Couchant. Une ville exceptionnelle est née, elle fête cette année ses 50 ans. Venez la visiter, vous serez séduits par cette ville parc où la nature domine le minéral. L’humanisme : C’est l’une des grandes forces de l’oeuvre de Jean Balladur. www.youtube.com/watch?v=L7tqMcbdnbI -
La Grande Motte est ainsi construite à « dimension humaine » et tout, jusque dans les moindres détails symbolise cet attachement de l’architecte à l’homme et son bien être. Ainsi l’architecte conçoit-il les dimensions des places, des cheminements, la hauteur des entresols, des lampadaires en se référant au fameux nombre d’or. Le plan même d’implantation des bâtiments joue un rôle fondamental dans la maîtrise du climat : les vents, parfois violents dans ce secteur, sont « peignés » (freinés) par ceux-ci. Ainsi, à l’abri du bâti, la vie est-elle plus douce et la végétation luxuriante… Jean Balladur souhaitant, qui sait, reconstituer sur terre le « paradis perdu » ?
L’équilibre entre les opposés : à La Grande Motte tout, du plan d’implantation à l’architecture, est contraste et complément. L’un des thèmes favoris de Jean Balladur est, ne l’oublions pas, « le dedans et le dehors » (l’un des textes qu’il rédigea pour le journal les Temps Modernes). Cette dualité est de toutes parts et comme un fil conducteur au travail de l’architecte. Le dialogue est fertile entre le vide des espaces publics et le plein des constructions, entre la minéralité du béton et le végétal des espaces verts, entre la part masculine (le quartier du Centre Ville) et la part féminine de la ville (le Couchant). Le rouge des sculptures répond au blanc des immeubles… en tous lieux les contraires se confrontent, se complètent et s’harmonisent.
L’espérance en l’avenir et l’innovation : quelle volonté, quel optimisme, quelle foi en l’avenir avaient chevillé au corps le groupe de femmes et d’hommes qui ont entouré Jean Balladur dans sa tâche! Ayant pour beaucoup connu la Resistance, ils en ont tiré une force qui leur a fait accomplir des miracles et permis de bâtir une ville. Leur créativité, l’utilisation des nouveaux matériaux, l’innovation dans les formes et les concepts, ont permis à La Grande Motte de devenir au fil des décennies, au delà de la station balnéaire, une ville « visionnaire ».
L’art et les symboles :Jean Balladur était parfaitement conscient du danger à créer une ville sans histoire, sans passé, sans souvenirs. Il va ainsi, au travers d’une symbolique forte et universelle, à l’aide d’une petite équipe d’artistes produisant directement sur le terrain, donner une âme à sa ville nouvelle. La Grande Motte est donc parcourue, d’Est en Ouest, d’oeuvres symboliques dont la fonction première est de lui donner une densité historique et narrative. La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974) est ainsi ornée d’un labyrinthe initiatique; la grande pyramide est une référence au Pic Saint Loup; la place du Cosmos se pare d’un soleil, d’une lune et d’un globe terrestre; la passerelles des Lampadophores est la porte d’entrée symbolique dans une ville assaillie… pour les vacances ! Témoignages sur la construction de la station balnéaire et son évolution jusqu'à nos jours www.youtube.com/watch?v=LdhCeZvlG4Y - En 1967, quand le Général De Gaulle visite la future station, il n'y a rien. Des marécages infestés de moustiques. C'est pourtant ici que le gouvernement lance de grands travaux à l'heure du tourisme de masse. Il faut retenir les français qui partent en Espagne en vacances. Le tourisme et les loisirs sont une part importante de la civilisation moderne. Le projet de la Grande Motte est confié à un archictecte, Jean Balladur, cousin d'Edouard, qui s'inspire des pyramides mayas...
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