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Diet Sprite to me has always tasted horrible. It's up there with the worst diet sodas of all time. And for the record, Diet Sprite and Spite Zero is the exact.same.drink.
I figured "what the heck, I haven't had Diet Sprite since I was 11 so I'll try it again since these little bottles are only 50¢ each". It's still bad.
No, I didn't mix the rest up with some Disaronno. I was just trying to find some minatures to group the picture around. (small moleskine, small pilot G2 pen).
I am definitely enjoying shooting macro with my D7100. The 51 pt af is really helping me get decent hand held results.
NEW YORK -- Staff Sergeant Rico Selbo conducted the 2nd Marine Aircraft Wing Band shortly after reenlisting in the Marine Corps overlooking the World Trade Center site here, Sept. 7. On Sept. 11, 2001 the San Antonio-native was 17 years old and reciting his oath of enlistment at a Military Entrance Processing Station in Texas when the twin towers were attacked. Ten years later, the Iraq War veteran Marine clarinetist asked to extend his service in the Marine Corps near Ground Zero. Selbo is a member of the 2nd Marine Aircraft Wing Band stationed at Marine Corps Air Station Cherry Point, N.C. The band is in New York to commemorate the 10th anniversary of the Sept. 11th terrorist attacks. (Official Marine Corps photo by Sgt. Randall A. Clinton / RELEASED)
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Sabine Becker, Daimler. ZERO- konferansen arrangeres av den norske miljøstiftelsen Zero Emission Resource Organization (ZERO). Foto: Eirik Helland Urke
This guy came in really fast, I barely had time to focus and he was gone again! Luckily I managed to catch him unblurred, just before he flew out of my viewfinder!
Team ZEROs Eivind Hodne Steen takes a break from driving Think and is testing the electric scooters at Vålerbanen during Zero Rally 2011. Foto: Eirik Helland Urke
Sir Bob Geldof. ZERO- konferansen arrangeres av den norske miljøstiftelsen Zero Emission Resource Organization (ZERO). Foto: Eirik Helland Urke
Ring Promo Girls. Hydr8 Zero Explosion Boxing event by Duco Promotions. Trusts Stadium. Auckland, New Zealand. Thursday 13 June 2013. Photo: Andrew Cornaga /photosport.co.nz..
Seen at Pacific Aviation Museum, Ford Island, Pearl Harbor.
The Zero was a key element of the Japanese naval aviation of World War II. Launched from aircraft carriers such as the Akagi, the Zero could fly far and outmaneuver anything in the US arsenal.
However, the Zero's lightweight construction made it vulnerable to damage from enemy fire, and eventually US naval pilots exploited that weakness.
ZËRO
Le premier album « Joke box » est né des cendres de Bästard et Narcophony, deux anciens groupes dont faisaient partie ¾ des membres de Zëro. Le EP vinyle « Bobby Fischer » l'annonçait, « Diesel dead machine », second albu...m du groupe le confirme : Zëro accélère le rythme sans rien perdre de ses capacités à le perturber et à développer des arrangements d'une richesse rare. On sent que le groupe a tourné, l’énergie brute des concerts est ici restituée avec ferveur. Le son Zëro s’affirme.
Pas besoin de haute technologie pour bien faire. Ici, tout est fait comme il l’a toujours été, live et en groupe, entre rigueur et totale décontraction, le son étant leur seul motif de perfectionnisme et d’obstination. Il suffit de les voir en concert pour le comprendre. C’est sans doute là que le message de Zëro se révèle, approchant avec une totale liberté d’expression ce que le rock représente à leurs yeux: un métissage de cultures et d’influences où le punk des premiers Devo, le jazz d’un Sun Ra et le blues d’un Captain Beefheart ne sont pas étrangers mais complètement assimilés.
Il est clair que la musique de Zëro s’aventure plus dans des contrées inventives que dansles sentiers battus du rock à identité fixe. On y croise autant Jack Berrocal et Gene Vincent en « Drag Queen blues » sous extasy, que le krautrock de Can et Kraftwerk dans un « Luna Park » ludique où psychédelisme et harmoniques offrent un roller coaster cérébral et addictif. On y croisera également des Cramps ressuscités le temps d’un « Sick to the bones » écorché, des Battles en pleine poussée pour un « Viandox » improbable, tout comme un paquet d’autres freaks qui en marge de tout courant auront constamment réécrit avec singularité et intelligence le langage du rock.
Chaque titre s’évade du précédent, fuyant la routine et l’étiquette comme la peste, un sourire au coin des lèvres, une bonne boite à blague sous le bras. Les disques se dévoilent avec la malice d’une boite d’illusionniste, d’un vice sans fin où le plaisir et la surprise sont sans cesse renouvelés.
Force Béton // 2 avril 2010 // BITCHE, NANTES
© Megan Tuttle. All Rights Reserved. No usage allowed including copying or sharing without written permission.
as soon as yuki saw this pic lying there she just HAD to STOP zero...TT_TT...cried my eyes out...i cud actually feel my heart tearing apart..TTTT_TTTT
The lights of my local supermarket, as seen looking up whilst I shopped.
Zero Image 6x9 MF loaded with Fuji Reala 100. Exposure time 4 minutes.
ZËRO
Le premier album « Joke box » est né des cendres de Bästard et Narcophony, deux anciens groupes dont faisaient partie ¾ des membres de Zëro. Le EP vinyle « Bobby Fischer » l'annonçait, « Diesel dead machine », second albu...m du groupe le confirme : Zëro accélère le rythme sans rien perdre de ses capacités à le perturber et à développer des arrangements d'une richesse rare. On sent que le groupe a tourné, l’énergie brute des concerts est ici restituée avec ferveur. Le son Zëro s’affirme.
Pas besoin de haute technologie pour bien faire. Ici, tout est fait comme il l’a toujours été, live et en groupe, entre rigueur et totale décontraction, le son étant leur seul motif de perfectionnisme et d’obstination. Il suffit de les voir en concert pour le comprendre. C’est sans doute là que le message de Zëro se révèle, approchant avec une totale liberté d’expression ce que le rock représente à leurs yeux: un métissage de cultures et d’influences où le punk des premiers Devo, le jazz d’un Sun Ra et le blues d’un Captain Beefheart ne sont pas étrangers mais complètement assimilés.
Il est clair que la musique de Zëro s’aventure plus dans des contrées inventives que dansles sentiers battus du rock à identité fixe. On y croise autant Jack Berrocal et Gene Vincent en « Drag Queen blues » sous extasy, que le krautrock de Can et Kraftwerk dans un « Luna Park » ludique où psychédelisme et harmoniques offrent un roller coaster cérébral et addictif. On y croisera également des Cramps ressuscités le temps d’un « Sick to the bones » écorché, des Battles en pleine poussée pour un « Viandox » improbable, tout comme un paquet d’autres freaks qui en marge de tout courant auront constamment réécrit avec singularité et intelligence le langage du rock.
Chaque titre s’évade du précédent, fuyant la routine et l’étiquette comme la peste, un sourire au coin des lèvres, une bonne boite à blague sous le bras. Les disques se dévoilent avec la malice d’une boite d’illusionniste, d’un vice sans fin où le plaisir et la surprise sont sans cesse renouvelés.
Force Béton // 2 avril 2010 // BITCHE, NANTES
ZËRO
Le premier album « Joke box » est né des cendres de Bästard et Narcophony, deux anciens groupes dont faisaient partie ¾ des membres de Zëro. Le EP vinyle « Bobby Fischer » l'annonçait, « Diesel dead machine », second albu...m du groupe le confirme : Zëro accélère le rythme sans rien perdre de ses capacités à le perturber et à développer des arrangements d'une richesse rare. On sent que le groupe a tourné, l’énergie brute des concerts est ici restituée avec ferveur. Le son Zëro s’affirme.
Pas besoin de haute technologie pour bien faire. Ici, tout est fait comme il l’a toujours été, live et en groupe, entre rigueur et totale décontraction, le son étant leur seul motif de perfectionnisme et d’obstination. Il suffit de les voir en concert pour le comprendre. C’est sans doute là que le message de Zëro se révèle, approchant avec une totale liberté d’expression ce que le rock représente à leurs yeux: un métissage de cultures et d’influences où le punk des premiers Devo, le jazz d’un Sun Ra et le blues d’un Captain Beefheart ne sont pas étrangers mais complètement assimilés.
Il est clair que la musique de Zëro s’aventure plus dans des contrées inventives que dansles sentiers battus du rock à identité fixe. On y croise autant Jack Berrocal et Gene Vincent en « Drag Queen blues » sous extasy, que le krautrock de Can et Kraftwerk dans un « Luna Park » ludique où psychédelisme et harmoniques offrent un roller coaster cérébral et addictif. On y croisera également des Cramps ressuscités le temps d’un « Sick to the bones » écorché, des Battles en pleine poussée pour un « Viandox » improbable, tout comme un paquet d’autres freaks qui en marge de tout courant auront constamment réécrit avec singularité et intelligence le langage du rock.
Chaque titre s’évade du précédent, fuyant la routine et l’étiquette comme la peste, un sourire au coin des lèvres, une bonne boite à blague sous le bras. Les disques se dévoilent avec la malice d’une boite d’illusionniste, d’un vice sans fin où le plaisir et la surprise sont sans cesse renouvelés.
Force Béton // 2 avril 2010 // BITCHE, NANTES