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Le Foutographe est un grand rĂŞveur.
...Il n'est pas le seul.
Ayons toujours la tĂŞte dans les nuages, fussent-ils des nuages de vapote...
Petit clin d'oeil Ă mon cher ami Lutin d'Ecouves (allez voir sa galerie !) qui est un inconditionnel du fameux groupe de rock Jethro Tull et un de ses morceaux comportant le plus de variantes : Locomotive breath.
Etant donné qu'on parle d'une scène de rue à base de vapeur (de vapoteuse) devant la gare d'Alençon, je trouve que ce titre tombe bien ! :-))
Les fumerolles de vapoteuse voyagent à travers le monde, traversant et se diluant à travers l'atmosphère, avant, petit à petit, de se disperser dans les immensités de l'espace...
Un voyage sans retour !
Les chocs entre les attitudes de rue et les publicités font partie des grands classiques de la photo de rue... Alors en plus avec un vapoteur...!
NĂ©anmoins : si compenser un handicap auditif est une chose louable, j'ai deux remarques Ă faire :
1° Est-ce qu'au fond l'addiction n'est pas une forme d'automédication, ou en tout cas de compensation d'un environnement toxique, ce qui nous rapproche de la notion de handicap ?
2° Est-ce vraiment le plus beau des cadeaux d'offrir à son papy ou sa mamie une audition HD Dolby Surround Digital Laser 11.1 de la désormais célèbre engueulade politique de Noël, entre le vieux grand-oncle zemmouriste, le parent macroniste et la nièce fan de Philippe Poutoux avec supplément huîtres volantes, éclats de verre sur l'occiput, alcoolisation de degré nasal (aussi appelé "le pif du papa Nowel) et redécoration des WC sur fond de camaïeu gastrique ?
Hmm ? Sincèrement.
Alors au fond : respectons nos aînés, accordons-leur la surdité à nos âneries de famille...
Et ne vapotez pas trop pour compenser le stress, ça pourrait là aussi être mauvais pour la santé...
Deuxième photo dévoilée sur le thème de la vapoteuse.
Certes, déjà faite dans l'idée (et je vous renvoie à la photo similaire -quoique masquée- que vous retrouverez un peu plus en amont) mais terriblement satisfaisante. Je n'avais pas eu l'idée de colorer les vapeurs aussi : merci à Jean-Luc pour avoir proposé de sortir les gélatines pour le test !
Et merci à mon très aimable modèle pour s'être prêté à un jeu exigeant ! :-)
A la terrasse d'une buvette sise au parc des Promenades, un promeneur posé à sa chaise profite d'un instant vapote très linéaire... Et c'est effectivement le thème du jour !
De nombreux hommes portent, de nos jours, la barbe longue de hipster.
De nombreux hommes fument, de nos jours, la vapoteuse.
De nombreux hommes utilisent, de nos jours, un smartphone.
Et le plus drôle dans tout ça, c'est que ces trois caractéristiques vont fréquemment de pair.
Et avouez-le ce genre de personnage a un certain style ! :-))
D'aucuns ont chanté "Smoke on the water". Un vague et obscur groupe underground dont -je suis sûr- personne ici n'a entendu parler... :-))
Mais en attendant, Ă la porte... enfin, l'une des portes de la basilique Notre-Dame, un obscur (lui aussi) personnage vapote en rĂŞvassant...
Sa fumée en prendrait presque la forme d'un instrument de musique glissé sous le bras.
Let's rock'n'roll !
A l'heure bleue, les dentelles gothiques de Notre-Dame surplombant la rue ont quelque chose d'à la fois majestueux et inquiétant...
Les spots projettent une lumière magnifiant son inquiétante grandeur...
Et en bas, tout en bas, sur Terre, les simples mortels passent, dans des rues presque désertées au rythme des fumerolles de vapoteuse...
Un beau masque analogique, un casque de moto et une e-cigarette.
Au final, quoi qu'en disent ce genre de préfixes, même les e-trucs les plus e-bidulesques du e-monde e-matériel doivent quand même bel et bien s'incarner dans la matière, à travers l'espace et le temps...
Et les e-cig restent encore et toujours des... machines Ă vapeur !
Let's Party !
...Oui mais avant de faire la fête, il faut parfois -souvent- de longs moments de préparation et donc d'attente...
De longues périodes exaspérantes d'ennui pour une soirée de plaisir. Voici ce qui pourrait résumer le rapport au bonheur chez l'Homo Sapiens.
Ne le dites pas aux enfants...
PS : ce personnage était visiblement un fumeur, pris entre deux bouffées de vapoteuse/cigarette... Raté ! Grrrmbl...!
"Toujours apporter son nuage personnel" avais-je un jour affirmé sous une photo de rue affichant une dame vapotant sous son parapluie, les fumées de sa vapoteuse stagnant de manière tout à fait cocasse dans son parapluie avant de trouver le chemin de leur libération par les bords...
Eh bien, lui n'a pas de parapluie.
Mais il a lui aussi emporté son nuage personnel avec lui !
...Tout en semblant bel et bien l'esprit empli d'interrogations capitalistes... Si l'on s'en tient à ce qui est affiché non loin, car il est plus prosaïquement en recherche d'appartement ou de maison à louer/acheter...
Cette photo a une -longue- histoire.
Tout commence durant la période des confinements/déconfinements/couvre-feu plus ou moins tardifs...
A l'heure où un monde entier marchait masqué dans les rues de l'ensemble des cités de la planète.
A Alençon comme ailleurs, on constatait le même entrain -plus ou moins mou, plus ou moins expert, plus ou moins intransigeant, plus ou moins compréhensif- autour du port du masque, les uns critiquant dans leur... Masque, justement... le port du masque d'autrui ou son non-port, sa bonne ou mauvaise volonté...
Sans forcément virer au misanthrope, le port du masque a connu des jours meilleurs en ce jour de printemps, où Alençon connait une foule modéré en centre-ville et qu'un personnage au loin fume sa vapoteuse.
Alors que bon nombre de fumeurs ne s'embarrassaient pas de tant de simagrées, celui-ci, sans doute plutôt consciencieux, portait sa cigarette électronique à sa bouche sous son masque, puis relâchait ses volutes blanches sous le masque bien ajusté.
C'était une merveilleuse photo de rue... Que je n'ai hélas pas pu faire, tant il était trop tard pour moi, trop tard, trop loin, trop rapide. Je n'ai pu saisir cet instant de grâce.
J'ai donc gravé cet instant dans ma mémoire, me jurant d'y arriver.
Et puis, un jour, alors que le Club Photo d'Alençon reprenait, je réalisais que la solution était sous mes yeux : le matériel de studio de notre association !
Ne restait plus qu'Ă trouver un vapoteur.
C'est une membre émérite de notre club qui trouva le personnage adéquat dans son environnement personnel et le brancha sur le sujet.
C'est ainsi que notre vice-président de club, Olivier le modèle d'un journée ici-présent, cette membre qui avait déniché Olivier et moi-même, nous nous sommes retrouvés dans les locaux prêtés au club pour une prise de vue ce tantôt.
Enfin "une". Il est difficile de choisir face Ă l'ensemble des superbes photos que j'ai pu accumuler...
Seul regret, la lumière continue, ça oblige à pousser en ISO...
Et en fin de séance, en jouant avec les gélatines de couleurs (dont, vous l'aurez deviné, la gélatine rouge) nous avons pu obtenir cette photo qui fait partie de mes préférées !
Je tiens ma revanche sur le hasard !
Merci Ă toi Olivier !
Tout le monde a besoin d'un petit paradis personnel...
Et tout bon paradis va avec son cortège de petits nuages duveteux, doux, soyeux et moelleux dans lesquels se prélasser en rêvant au soleil...
...Oui comme dans la BD "Passe-moi l'Ciel".
Oui bon, ça va hein ! On a les références qu'on peut...
N'empêche, alors que cette dame prenait une bouffée de cigarette électronique, il m'est venu l'idée qu'elle était littéralement... La tête dans les nuages...! :-))
Pourquoi "smart" expiration ?
Parce que le pauvre portable consulté par ce personnage au souffle quasi draconique... Doit s'en prendre plein les microprocesseurs de la fumée de sa vapoteuse... :-))
Nulle question des Anonymous, ce groupe protéiforme aux contours politiques plus qu'incertains... Mais un simple personnage rendu anonyme par sa propre vapoteuse.
Oui "encore". Mais que voulez-vous ? Les possibilités offertes par les vapoteuses sont tellement attirantes...
Et le déclin de la cigarette n'est pas une mauvaise chose.
Reste à pouvoir ensuite décrocher de la vapoteuse, j'imagine...
Le long de la rue aux Sieurs, un vapoteur... Vapote !
Le long de la rue aux Sieurs, un foutographe... Foutographie !
Attention : l'abus de vapoteuse peut mener Ă vous transformer en ĂŞtre de pure vapeur.
Les premiers symptômes sont la dislocation de votre visage en panaches de fumée. :-))
Et surtout : les premiers symptômes sont la fixation de votre vaporisation partielle dans une scène de rue du Foutographe. :-))
Les rares passants qui errent dans la rue aux Sieurs, en cette période de "confinement" avec fermeture des magasins non-essentiels, à part pour s'aérer, semblent n'avoir pour objectif que les rares magasins ouverts en click&collect et assimilés.
Et en attendant la commande, il est toujours bon de vapoter. En extérieur, dans une rue déserte, qui plus est, la contamination semble écartée.. Et le masque n'est pas loin !
Ceux qui ont vu le désormais "antique" dessin animé "les chevaliers du Zodiaque" (et les fans des hors-séries du Joueur du Grenier) se souviendront de cette réplique du héros parlant de "décharge électronique", terme assez sibyllin, ne nous voilons pas la face.
Point de décharge, ici, mais un nuage ! Et oui, c'est un nuage électronique. Enfin.. De cigarette électronique, mais laissez-moi rêver enfin !
Le "Air Vaping" pourrait être définir comme étant le fait de faire semblant de vaper.
Mais qu'en est-il du "Hair Vaping" ?
La question est grande ouverte !
326 ! L'information est sans appel.
326, et pas une unité de plus !
...Mais que cela ne nous empêche pas d'être "flex' " et de prendre son temps devant l'entrée...
La vapote ne fait pas consensus, c'est le moins qu'on puisse dire...
En tout cas, pour les gens qui l'utilisent, la vapote... C'est leur pote ! :o)
Seul
Le hasard est libre
Comme le carré de la distance
Entre la paupière et le cil
La poussière dans l’œil
Dit l’atome insoumis
Qui a vu l’ombre d’un atome
Qu’éclaire la lumière
Rapide
Seul devoir
Vivre avant la mort
En attentive poussière
Entre chianti et grappa
Entre tambour et kalachnikov
Les mots sont hasards
Aussi
Larmes engraissant les décombres
Se glissant dans les fissures
Little big bangs
Une graine attire une larme
La larme chauffe la graine
Qui, lentement,
Explose
À l’ombre moite
Des volcans
OĂą la fraicheur vapote
En torpeur incertaine
Grappa et chianti
Seul le hasard est libre
La lumière rapide
L’atome insoumis
Du temps
Un sacré temps
La graine humide et chaude
Little big bang
Retouche
D’immenses terres
fromont, 2015
Santiago se distingue des autres villes cubaines par la couleur de sa peau, un peu plus sombre. Pourquoi ? Confrontés à la révolte de leurs esclaves, nombre de colons français d’Haïti fuirent l’île, en passe de devenir la première république noire du monde (1804), pour s’installer à l’est de Cuba. Avec, dans leurs bagages, quelques-uns de leurs esclaves.Dans les montagnes de la Sierra Maestra (à l’ouest de Santiago) et celles de la Grande Piedra (à l’est), ils fondèrent des plantations de café – à l’origine d’un nouveau boom économique
Giving the chemtrail theorists of Norridge a scare on short final to 28C in Chicago.
United Express (SkyWest Airlines)
Bombardier CRJ-200LR (CL-600-2B19) (N916SW)
(cn 7634)