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Das Schlösschen
Monogramm von Friedrich Carl von Erthal auf der Fassade von Schloss Schönbusch
Der im frühklassizistischen Stil von 1778 bis 1781 (Innenausbau bis 1787) errichtete Kurfürstliche Pavillon liegt unmittelbar am Unteren See und ist durch eine Sichtachse mit dem Stadtschloss Johannisburg verbunden. Es handelt sich um ein zweigeschossiges Gebäude mit rechteckigem Grundriss. Die nach Osten gerichtete Längsseite ist die Schauseite, sie wird durch einen Mittelrisalit leicht betont. Das niedrige Walmdach wird durch eine Balustrade verdeckt. Die zehn Räume sind im Louis-seize-Stil möbliert; der Zutritt ist im Rahmen von Führungen möglich. Unter den bayerischen Königen wurde der Bau ab dem 19. Jahrhundert Schloss Schönbusch genannt.
The castle
Monogram of Friedrich Carl von Erthal on the facade of Schönbusch Palace
The Electoral Pavilion, built in the early Classicist style from 1778 to 1781 (interior finishes completed by 1787), is located directly on the Lower Lake and is connected to the City Palace of Johannisburg by a visual axis. It is a two-storey building with a rectangular floor plan. The east-facing long side is the visible side and is slightly emphasized by a central risalit. The low hipped roof is covered by a balustrade. The ten rooms are furnished in Louis XVI style; access is possible as part of a guided tour. Under the Bavarian kings, the building was called Schönbusch Castle from the 19th century.
Eine alte, handbestickte Leinen Tischdecke mit dem Monogramm meiner Mutter.
An old, hand embroidered linen tablecloth with my mother's monogram.
Le pont est un élément de la naissance de la cité, édifié à partir de 1225. Il était initialement réalisé en bois prenant appui sur les îles de l'Arve pour relier les deux rives.En 1661, la Régente Marie-Jeanne-Baptiste de Savoie-Nemours fait construire un pont de pierre à cinq arches.
Entre 1862 et 1866, il est remplacé par le pont actuel, réalisé par les ingénieurs Deglin et Vivenot.
Il est baptisé « pont de l’Europe » lors du passage à Bonneville de Valérie Giscard d’Estaing en 1989, lors de la campagne pour les élections européennes. En aval, il est doublé en 2010 par un deuxième pont à haubans dissymétrique dont la silhouette élégante fait déjà partie du patrimoine architectural de Bonneville.
IL va être fermé pendant 10mois pour rénovation ......!
La colonne Charles Félix ..Cette construction fait suite à sa visite à Bonneville en 1824 et à la subvention qu'il a accordée pour l'endiguement de l'Arve.
Elle est constituée d'un piédestal orné d'un bas-relief représentant l'Arve enchaînée, d'une colonne dorique en calcaire de 19 m de haut surmontée d'une statue du roi en marbre de Carrare de près de 3 m réalisée par les frères Cacciatori, artistes qui travaillaient à l'époque à la restauration de l'abbaye de Hautecombe.
Le bas-relief est une copie exécutée en marbre bleu de Savoie en 2012 par Béatrice Sassone Bouvet. Il s’agit d’une personnification de la rivière Arve, représentée sous la forme d’une nymphe, vêtue à l’antique, à demie couchée dans les roseaux et tenue enchaînée par les chevilles et les deux bras. En arrière-plan un décor montagneux laisse place au monogramme de Charles-Félix, au centre d’une couronne alternant feuilles de chêne et de laurier.
A noter le niveau trés bas de la rivière
Le château Frederiksborg Slot est situé à Hillerød, dans la région Hovedstaden ou Région-Capitale dans le Nord-Est de l'île Sjælland du Danemark.
Une vue à partir d'un des petits ponts traversant le canal central des fameux jardins baroques du château.
Créés pour Frederik IV (1699-1730), par l'architecte royal Cornelius Krieger, les jardins baroques à la française, séparés du château, datent de 1720. Ces jardins très ornés nécessitèrent 40 ans de travaux mais furent éliminés dès la fin du 18e siècle car ils étaient démodés et coûtaient trop cher d'entretien.
Des travaux débutèrent en 1993 pour leur redonner vie. L'ensemble correspond maintenant au dessin de Krieger avec un axe central qui prend naissance près du bassin ovale au sommet d'une pente aménagée en terrasses avec un canal et des chutes d'eau qui se jettent dans le lac Slotssøen qui entoure le château. L'axe est flanqué des deux côtés de parterres de haies de buis ornés du monogramme royal, de fourrés et d'allées ainsi que de topiaires.
Il s’agit de l’un des jardins baroques les mieux préservés de l’Europe du nord. Le parc plus étendu et à l'agencement plus libre, fut créé pour Frederik VII (1848-1863) au milieu du 19e siècle.
Construit sur 3 îlots au milieu d'un lac à l'orée des forêts giboyeuses, ce château fut acheté par Frederik II (1559-1588), grand amateur de chasse. Son fils, Christian IV (1588-1648), qui y était né, décida, une fois au pouvoir, d'en faire, entre 1599-1622, un palais Renaissance à l'image de ses ambitions politiques.
Devenu un bel exemple d'architecture Renaissance hollandaise (même architecte que la Børsen de Copenhague), le château grandiose en brique rouge, agrémenté de décors en grès et d'élégants pignons, servit de résidence royale durant plus de 300 ans.
Le château Frederiksborg Slot est situé à Hillerød dans la région Hovedstaden ou Région-Capitale dans le Nord-Est de l'île Sjælland du Danemark.
Créés pour Frederik IV (1699-1730), par l'architecte royal Cornelius Krieger, les jardins baroques à la française séparés du château datent de 1720. Ces jardins très ornés nécessitèrent 40 ans de travaux mais furent éliminés dès la fin du 18e siècle car ils étaient démodés et coûtaient trop cher d'entretien.
Des travaux débutèrent en 1993 pour leur redonner vie. L'ensemble correspond maintenant au dessin de Krieger avec un axe central qui prend naissance près du bassin ovale au sommet d'une pente aménagée en terrasses avec un canal et des chutes d'eau qui se jettent dans le lac Slotssøen qui entoure le château. L'axe est flanqué des deux côtés de parterres de haies de buis ornés du monogramme royal, de fourrés et d'allées ainsi que de topiaires. Il s’agit de l’un des jardins baroques les mieux préservés de l’Europe du nord. Le parc plus étendu et à l'agencement plus libre, fut créé pour Frederik VII (1848-1863) au milieu du 19e siècle.
Construit sur 3 îlots au milieu d'un lac à l'orée des forêts giboyeuses, le château Frederiksborg Slot fut acheté par Frederik II (1559-1588), grand amateur de chasse. Son fils, Christian IV (1588-1648), qui y était né, décida, une fois au pouvoir, d'en faire, entre 1599-1622, un palais Renaissance à l'image de ses ambitions politiques.
Devenu un bel exemple d'architecture Renaissance hollandaise (même architecte que la Børsen de Copenhague), le château grandiose en brique rouge, agrémenté de décors en grès et d'élégants pignons, servit ainsi de résidence royale durant plus de 300 ans.
Située à Mauran, cette église dédiée à « l’apôtre des gaules » Saint-Martin est de style roman. Le porche rebâti dans un style gothique au XVe siècle est surmonté d’un chrisme roman en réemploi. Le chrisme est le monogramme du Christ, il est formé des deux lettres « khi » et « rhô » qui commencent le mot grec « khristos » et est encadré par « l’alpha » et « l’oméga ».
Existante depuis le XIIe siècle, elle est bâtie sur une motte castrale dont on distingue encore la trace des fossés. La tour-clocher avec ses hourds à colombage lui a été adossé ultérieurement. L'édifice avec ses puissants contreforts possède un chevet très élevé, ceint d'une corniche à damiers. Une corniche semblable, soutenue par des modillons sculptés, se trouve sur le porche dont le portail s'orne d'un chrisme. Le chrisme représente le monogramme de Jésus-Christ et est un élément décoratif très répandu dans le Gers.
À l'intérieur, le chevet a conservé sa voûte en cul de four. La chaire, superbe, possède de beaux panneaux sculptés.
La cour d’honneur du château Frederiksborg Slot qui est situé à Hillerød, dans la région Hovedstaden ou Région-Capitale dans le Nord-Est de l'île Sjælland du Danemark.
Une vue spectaculaire à partir du tunnel passant sous la tour défensive se dressant à la jonction du troisième et du second îlot où se trouve la cour d’honneur et sa fontaine.
La fontaine de Neptune installée au centre de la cour d'honneur fut sculptée à Prague en 1620 par Adrian de Vries. Neptune la domine, symbole de la puissance de la marine danoise. La Renommée, elle, arbore la couronne et le monogramme de Christian IV. En 1659, les Suédois s'emparent de cette fontaine. Elle sera reconstituée en 1888 à partir de moulages effectués sur l'original toujours conservé au château de Drottningholm près de Stockholm.
Construit sur 3 îlots au milieu d'un lac à l'orée des forêts giboyeuses, ce château fut acheté par Frederik II (1559-1588), grand amateur de chasse. Son fils, Christian IV (1588-1648), qui y était né, décida, une fois au pouvoir, d'en faire, entre 1599-1622, un palais Renaissance à l'image de ses ambitions politiques.
Devenu un bel exemple d'architecture Renaissance hollandaise (même architecte que la Børsen de Copenhague), le château grandiose en brique rouge, agrémenté de décors en grès et d'élégants pignons, servit de résidence royale durant plus de 300 ans.
La chiesa di San Biagio si trova a Montecatini Val di Cecina.
Costruita alla metà del XIV secolo, ha la fiancata, dove si aprono due eleganti finestre e il portale del XVI secolo, a bozze; la canonica risale al XVI secolo, e la sua costruzione privò la chiesa della facciata originaria.
L'interno è a tre navate con tetto a capriate, e colonne monolitiche sormontate da capitelli con il motivo delle foglie acquatiche. Alle pareti del coro sono da segnalare San Biagio, San Sebastiano e un Cenacolo, attribuito a Cristoforo Roncalli; e una tavola di Neri di Bicci con San Sebastiano e i santi Biagio e Antonio abate (1478 ca.). Ai lati del coro, due angeli cerifori in marmo, detti popolarmente "i cechini".
La Madonna di Caporciano è una statua in pietra dipinta, trovata all'inizio del Seicento in miniera. Una tavoletta in legno con il monogramma IHS si ritiene sia stata donata alla chiesa da san Bernardino.
La chiesa è sede di parrocchia e fa parte della diocesi di Volterra; ha il titolo di arcipretura ed è stata sede di vicaria foranea fino alla metà del 1900.
Cette belle demeure a été construite à l’extrême fin du XVIe siècle par Henri Lovy, fils aîné du prévôt Jean-Guyat Lovy à qui l’on doit la maison des Remparts. Elle se présentait à l’origine, semble-t-il, avec deux tourelles, et était ornée de fenêtres à meneaux. Un galerie accrochée sur le côté de la maison surplombait un petit ruisseau qui coulait à l’emplacement du passage actuel. En 1652, elle devint la maison du curé de Delle, Jean-Jacques Bonjean. De son époque date l’écusson que l’on peut voir en façade, retourné la pointe en l’air, et qui porte en caractères gothiques les lettres IHS encadrées de l’inscription latine Nomen super omne nomen (le Nom au-dessus de tout). Le monogramme du Christ se retrouve également sur la pierre qui orne aujourd’hui le linteau de la poterne donnant accès au parking. La maison fut modifiée peu avant la Révolution par un bourgeois de Delle, agent des ducs de Mazarin, Antoine-Xavier Reiset. Le propriétaire remplaça les fenêtres anciennes par des ouvertures modernes et construisit certainement aussi le bâtiment qui la prolonge vers l’arrière. En 1837 la Ville acquit l’immeuble et ses dépendances et y installa le presbytère. Après le départ du curé en 1948, la maison annexée à l’école fut convertie en appartements de fonction et les jardins devinrent une cour de récréation pour les garçons.
Le château Frederiksborg Slot est situé à Hillerød, dans la région Hovedstaden ou Région-Capitale dans le Nord-Est de l'île Sjælland du Danemark.
La fontaine de Neptune installée au centre de la cour d'honneur fut sculptée à Prague en 1620 par Adrian de Vries. Neptune la domine, symbole de la puissance de la marine danoise. La Renommée, elle, arbore la couronne et le monogramme de Christian IV. En 1659, les Suédois s'emparent de cette fontaine. Elle sera reconstituée en 1888 à partir de moulages effectués sur l'original toujours conservé au château de Drottningholm près de Stockholm.
Construit sur 3 îlots au milieu d'un lac à l'orée des forêts giboyeuses, ce château fut acheté par Frederik II (1559-1588), grand amateur de chasse. Son fils, Christian IV (1588-1648), qui y était né, décida, une fois au pouvoir, d'en faire, entre 1599-1622, un palais Renaissance à l'image de ses ambitions politiques.
Devenu un bel exemple d'architecture Renaissance hollandaise (même architecte que la Børsen de Copenhague), le château grandiose en brique rouge, agrémenté de décors en grès et d'élégants pignons, servit de résidence royale durant plus de 300 ans.
Ce canal central structure les jardins baroques du château Frederiksborg Slot à Hillerød, dans la région Hovedstaden ou Région-Capitale dans le Nord-Est de l'île Sjælland du Danemark.
Une vue à partir d'une des cascades du canal central.
Créés pour Frederik IV (1699-1730), par l'architecte royal Cornelius Krieger, les jardins baroques à la française, séparés du château, datent de 1720. Ces jardins très ornés nécessitèrent 40 ans de travaux mais furent éliminés dès la fin du 18e siècle car ils étaient démodés et coûtaient trop cher d'entretien.
Des travaux débutèrent en 1993 pour leur redonner vie. L'ensemble correspond maintenant au dessin de Krieger avec un axe central qui prend naissance près du bassin ovale au sommet d'une pente aménagée en terrasses avec un canal et des chutes d'eau qui se jettent dans le lac Slotssøen qui entoure le château. L'axe est flanqué des deux côtés de parterres de haies de buis ornés du monogramme royal, de fourrés et d'allées ainsi que de topiaires.
Il s’agit de l’un des jardins baroques les mieux préservés de l’Europe du nord. Le parc plus étendu et à l'agencement plus libre, fut créé pour Frederik VII (1848-1863) au milieu du 19e siècle.
Construit sur 3 îlots au milieu d'un lac à l'orée des forêts giboyeuses, le château Frederiksborg Slot fut acheté par Frederik II (1559-1588), grand amateur de chasse. Son fils, Christian IV (1588-1648), qui y était né, décida, une fois au pouvoir, d'en faire, entre 1599-1622, un palais Renaissance à l'image de ses ambitions politiques.
Devenu un bel exemple d'architecture Renaissance hollandaise (même architecte que la Børsen de Copenhague), le château grandiose en brique rouge, agrémenté de décors en grès et d'élégants pignons, servit de résidence royale durant plus de 300 ans.
La cathédrale Saint-Front de Périgueux est une cathédrale catholique romaine, siège du diocèse de Périgueux et Sarlat. Située dans le centre-ville de Périgueux, elle est classée monument historique depuis 1840 et au Patrimoine mondial en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.
L'abside est cachée par un grand retable du xviie siècle réalisé pour la chapelle du collège des Jésuites de Périgueux.
Après la démolition de cette chapelle en 1808, le retable a été remonté en 1811 dans l'absidiole nord de la cathédrale Saint-Front. Il est déplacé sur le côté nord de la nef pendant les travaux de restauration de la cathédrale par Paul Abadie puis transféré dans l'église Saint-Étienne-de-la-Cité en octobre 1882. En 1974, après le concile Vatican II, la disposition de la cathédrale est modifiée. Le maître-autel est placé au centre de la cathédrale pour que le desservant soit face aux fidèles pendant les offices. L'abside romane construite par Paul Abadie étant nue, Jean Secret a proposé d'y replacer le retable baroque dont le style ne s'accordait pas avec l'église Saint-Étienne-de-la-Cité. Il est finalement revenu dans la cathédrale Saint-Front, en 1974, après restauration. Ce retable a longtemps été attribué au père Laville, mais la découverte du contrat, daté de septembre 1652, montre qu'il a été réalisé par le sculpteur rouennais Mathieu Le Pilleux.
Ce retable évoque l'histoire de l'Assomption de Marie dans sa partie centrale selon le récit de Jean Damascène. En partie basse, les apôtres entourent le tombeau de Marie qu'ils ont trouvé vide. Un apôtre, peut-être saint Thomas, les bras levés regarde l'Assomption de la Vierge appelée par son Fils qui est représenté au-dessus et tient une couronne. Au-dessus a été sculpté le monogramme IHS tenu par deux anges. L'Annonciation y a été représentée avec, de part et d'autre, à gauche, l'archange Gabriel, et, à droite, Marie. L'abbé Audierne a écrit dans son Guide monumental, statistique, pittoresque et historique de la Dordogne que Marie a le visage d'Anne d'Autriche, ce qui peut rappeler le vœu de Louis XIII qui consacre son royaume à la Vierge Marie après la naissance de Louis XIV, en 1638. Les costumes sont ceux de l'époque de Louis XIII.
L’étymologie de Soyans viendrait de Soant puis Soiantz. Elle aurait une racine celtique signifiant "rocher". Vestiges du vieux village : plaque matricule en fonte du milieu du 19e siècle, linteau en plein cintre portant la date de 1686 et le monogramme IHS, arc en accolade et croix de fer sur colonne.
A l'extrémité de la rue, la demeure de Joseph Rivière est agrémentée d'un décor Renaissance d'origine incertaine.
Joseph Rivière, artiste de talent né à Bordeaux en 1912, est à l'origine du renouveau du village et de la restauration de la chapelle Saint-Marcel.
Ce bâtiment fut bâti au 15ème siècle comme Halle de la Boucherie, puis transformé au 16ème siècle en habitation. Il s’agit de la maison natale de Monseigneur Dauphin (1806-1882), chanoine de St Denis, d’où son nom.
Très bien restauré, cet édifice possède de belles fenêtres dépourvues de leurs meneaux, en pierre de Charlieu, un calcaire jaune.
Les fenêtres sont disposées sans aucune symétrie sur la façade. A l’intérieur, on peut voir une grande cheminée avec, sculptés sur le manteau, des ceps de vigne et un monogramme religieux.
La maison Dauphin a des chambres d'Hôtes maintenant.
Au second étage du donjon, la salle en croix crée la surprise : chacun de ses bras est couvert d’une immense voûte à caissons en arc surbaissé, ornés des emblèmes de François Ier : le monogramme « F», des salamandres crachant de l’eau pour éteindre le mauvais feu, des salamandres avalant le bon feu et des cordelières à nœud. Répétés des centaines de fois, ces emblèmes en haut relief témoignent de la volonté du roi de marquer de son empreinte les derniers plafonds du donjon. En outre, ces puissantes voûtes reçoivent le poids des terrasses dallées du niveau supérieur, tout en incluant un ingénieux système d’évacuation des eaux de pluie.
Le château Frederiksborg Slot est situé à Hillerød dans la région Hovedstaden ou Région-Capitale dans le Nord-Est de l'île Sjælland du Danemark.
Créés pour Frederik IV (1699-1730), par l'architecte royal Cornelius Krieger, les jardins baroques à la française séparés du château datent de 1720. Ces jardins très ornés nécessitèrent 40 ans de travaux mais furent éliminés dès la fin du 18e siècle car ils étaient démodés et coûtaient trop cher d'entretien.
Des travaux débutèrent en 1993 pour leur redonner vie. L'ensemble correspond maintenant au dessin de Krieger avec un axe central qui prend naissance près du bassin ovale au sommet d'une pente aménagée en terrasses avec un canal et des chutes d'eau qui se jettent dans le lac Slotssøen qui entoure le château. L'axe est flanqué des deux côtés de parterres de haies de buis ornés du monogramme royal, de fourrés et d'allées ainsi que de topiaires.
Il s’agit de l’un des jardins baroques les mieux préservés de l’Europe du nord. Le parc plus étendu et à l'agencement plus libre, fut créé pour Frederik VII (1848-1863) au milieu du 19e siècle.
Construit sur 3 îlots au milieu d'un lac à l'orée des forêts giboyeuses, le château Frederiksborg Slot fut acheté par Frederik II (1559-1588), grand amateur de chasse. Son fils, Christian IV (1588-1648), qui y était né, décida, une fois au pouvoir, d'en faire, entre 1599-1622, un palais Renaissance à l'image de ses ambitions politiques.
Devenu un bel exemple d'architecture Renaissance hollandaise (même architecte que la Børsen de Copenhague), le château grandiose en brique rouge, agrémenté de décors en grès et d'élégants pignons, servit ainsi de résidence royale durant plus de 300 ans.
La décoration peinte du chœur et des bras du transept est réalisée entre 1839 et 1845. Les peintures des voûtes représentent les quatre Pères fondateurs de l'Église, et les quatre Évangélistes. On peut également apercevoir le monogramme de la Vierge puisque l'église a toujours été dédiée à Marie (aujourd'hui son vocable est Notre-Dame de l'Assomption).
La crypte, qui rattrape la déclivité du terrain, comporte un décor peint (XIIe-XVIe siècles) : Jugement dernier, scènes de l’Enfance du Christ, etc. Sur l’autel, trône une belle Vierge à l’Enfant en bois polychrome, que l’on dit avoir été rapportée des croisades par un seigneur de Naillac.
Voici ce que dit sur la crypte le Dictionnaire des églises de France :
« Dans le bas-côté N., près de la statue gisante de Guillaume de Naillac, seigneur de Gargilesse (XIIIe s.), un escalier donne accès à une vaste crypte, aménagée pour racheter la dénivellation du terrain et placée sous le chevet de l’église. Elle comprend un transept et une abside accostée de deux absidioles et possède d’importants restes de fresques dont une partie récemment dégagée et habilement restaurée. Au chevet semi-circulaire de l’abside, un grand écusson porte tous les instruments de la Passion ; il est soutenu par les figures du Christ et de la Vierge accompagnées des symboles des Evangélistes ; l’ensemble se détache sur un fond semé du monogramme J.H S. et est surmonté, au sommet du cul-de-four, par la main bénissante de Dieu entourée d’une couronne d’épines (XVe s.) Au berceau de la travée droite de l’abside, deux séries de peintures : vers le chevet, le Christ de l’Apocalypse, le glaive entre les dents, entouré par les anges sonnant de la trompette, par les morts ressuscités sortant de leurs tombeaux et par divers personnages (XVe s.) ; vers l’entrée, on reconnaît, parmi diverses scènes, le Péché d’Eve, l’Annonciation et la Visitation, l’Adoration des Mages et les chevaux des rois Mages que tient leur valet nommé Galopin par une inscription (XIIIe s.). A l’absidiole S., la Messe de saint Grégoire, sainte Marguerite d’Antioche, saint François d’Assise recevant les stigmates ; dans la travée S. du transept, un moine, une Vierge en gloire, la Fuite en Egypte, le Massacre des saints Innocents, saint Fiacre. Sur le mur de la travée centrale, face à l’abside, un calvaire couvrait le vaste panneau, il n’en subsiste que des traces, celles de plusieurs anges tenant les instruments de la passion (fin du XVe s.). Le décor de la partie N. a disparu. »
Ce château est situé à Hillerød, dans la région Hovedstaden ou Région-Capitale dans le Nord-Est de l'île Sjælland du Danemark.
Une vue à partir de la promenade Søstien, longue de 2 km, qui fait le tour du petit lac Slotssøen et permet aux visiteurs de voir Frederiksborg Slot sous différents angles.
Construit sur 3 îlots au milieu d'un lac à l'orée des forêts giboyeuses, ce château fut acheté par Frederik II (1559-1588), grand amateur de chasse. Son fils, Christian IV (1588-1648), qui y était né, décida, une fois au pouvoir, d'en faire, entre 1599-1622, un palais Renaissance à l'image de ses ambitions politiques.
La fontaine de Neptune installé au centre de la cour d'honneur fut sculptée à Prague en 1620 par Adrian de Vries. Neptune la domine, symbole de la puissance de la marine danoise. La Renommée, elle, arbore la couronne et le monogramme de Christian IV.
Devenu un bel exemple d'architecture Renaissance hollandaise (même architecte que la Børsen de Copenhague), le château grandiose en brique rouge, agrémenté de décors en grès et d'élégants pignons, servit de résidence royale durant plus de 300 ans.
Un palais dans l'océan
"Appartement du roi" (1er étage) : seul phare au monde disposant d'un logis royal, bien qu'aucun roi n'y soit jamais passé, il a été aménagé à la demande de Colbert lors d'une importante réfection du bâtiment (1661-1664). Il est pavé de marbre gris clair et noir, possède une cheminée en état de marche, et un décor sculpté de style classique, au chiffre LMT (initiales de Louis XIV et de son épouse Marie-Thérèse d'Autriche). De là lui vient son surnom de "Versailles de la mer".
Château de Maintenon (Eure-et-Loir) - Les jardins
La perspective et le jardin ont été dessinés par Le Nôtre.
Jusqu'en 2013, le jardin était constitué d'un simple parterre, comprenant en son centre le monogramme de Louis XIV, deux "L" entrelacés. À l'occasion des 400 ans de la naissance d'André Le Nôtre (2013) ce parterre a été remplacé par un jardin à la française, réalisé par le Conseil départemental d'Eure-et-Loir selon des plans établis par Le Nôtre mais non réalisés jusqu'alors.
Der Stadtteil grenzt im Westen und Nordwesten mit Kaistraße, Museumstraße, Max-Brauer-Allee und Holstenstraße an Ottensen und Altona-Nord, im Norden mit der Stresemannstraße an den 2006 neu gebildeten Stadtteil Sternschanze, im Osten mit Bernstorffstraße, Kleine Freiheit, Holstenstraße, Pepermölenbek, Trommelstraße und Antonistraße an St. Pauli und im Süden an die Elbe.
Arbeiterhäuschen am alten Grenzgang östlich der Großen Freiheit
Bis zur Eingemeindung Altonas nach Hamburg 1938 war die Grenze weiter östlich verlaufen: vom Schulterblatt, längs dem Grünen Jäger, östlich der Bleicherstraße und der Großen Freiheit, sodann zwischen Finkenstraße und Herrenweide zur Bachstraße (heute Pepermölenbek) und mit dieser zur Elbe. Sie wurde dann zugunsten St. Paulis bis zur Linie Holstenstraße–Kleine Freiheit–Bernstorffstraße nach Westen verschoben; im Süden wurde dafür eine kleine Fläche zwischen Hein-Köllisch-Platz und Pinnasberg Altona zugeordnet. Durch diese Grenzziehung liegt die nur für Altona (und gerade nicht für das hamburgische Gebiet) typische Große Freiheit und das Nobistor mit dem Altonaer Stadtwappen und dem Monogramm König Christians VIII. von Dänemark seither in Hamburg-St. Pauli, während die für diesen Stadtteil namensgebende St.-Pauli-Kirche sich jetzt ebenso in Altona befindet wie die Straße St. Pauli Fischmarkt.
Une vue à partir du pont Djurgårdsbron.
Stranvägen (signifiant Route du Rivage) est une avenue prestigieuse de la ville. Longue de 1 200 m, elle se situe dans le quartier d'Östermalm et relie la place Nybroplan, près du centre-ville, au parc de Djurgården à l'est. Sa construction ne débuta vraiment qu'en 1875. La ligne de tramway pour Djurgården, qui suit en grande partie le tracé de l'avenue, fut ouverte en 1877. L'avenue fut terminée juste à temps pour l'exposition internationale de Stockholm (1897), qui se tenait sur l'île de Djurgården. À l'origine, les immeubles de style Art nouveau de Strandvägen étaient destinés à de richissimes particuliers et c’est encore le cas, aujourd’hui.
La structure actuelle du pont Djurgårdsbron très ornementé date de 1896. Il fut construit en vue de l'exposition internationale de Stockholm. Son garde-fou de fonte a la forme de plantes aquatiques et on le monogramme du roi Oscar II et sa devise "Le bien-être des nations soeurs" évoquant l'union de la Suède et la Norvège à l'époque. Aux 4 coins du pont, on voit 4 lampadaires (non visibles sur cette photo) représentant des dieux de la mythologie scandinave, soit côté Strandvägen, Heimdal (gardien) et Frîja (épouse d'Odin) et côté île, Thor (tenant son marteau) et Freyja (déesse de l'amour et de la fécondité).
Stockholm, la capitale de la Suède, est située sur un vaste archipel de la mer Baltique, comprenant 14 îles et plus de 50 ponts. Les rues pavées et les bâtiments de couleur ocre de Gamla Stan (la vieille ville) abritent la cathédrale de Storkyrkan du 13e siècle, le palais royal de Stockholm et le musée Nobel, consacré au prix Nobel. Des ferries et des bateaux de tourisme transportent les passagers entre les îles.
Le moulin de Jægerspris a été construit par Frederik VII dans les années 1854-55. Le moulin a une envergure de 24 mètres.
En 1924, l'arbre de l'aile s'est cassé. Au lieu d'un nouvel arbre et de nouvelles lames, un moteur diesel a été installé pour entraîner les broyeurs. Le moulin de Jægerspris a fonctionné jusqu'en 1954.
En 1969, le moulin a été inauguré en tant que moulin-musée fonctionnel, avec de nouvelles pales. Le moulin pouvait à nouveau moudre le grain en farine de la bonne manière, grâce à l'énergie éolienne.
En 2001, le moulin, vieux de près de 150 ans, a été frappé par un puissant éclair qui a brisé l'une des pales. Deux ans plus tard, en 2003, le moulin a été inauguré à nouveau et les pales ont été restaurées à leur longueur d'origine de 24 mètres.
Une girouette forgée à la main, portant le monogramme de Frederik VII, trône au sommet de la boule du chapeau du moulin. Elle a été forgée par l'ancien maire et forgeron Poul Madsen.
Dronero (Droné in piemontese, Draonier in occitano) è un comune di 7.360 abitanti della provincia di Cuneo. Dronero è situato all'imbocco della Valle Maira su un contrafforte roccioso alla confluenza del torrente Maira con il rio Roccabruna.
"Il Foro Frumentario raro esempio di loggia del grano a pianta ottagonale dove si svolgeva il mercato dei cereali.
La “loggia del grano” edificata nel XV secolo, aveva funzione di mercato coperto “fuori porta” in quanto costruita oltre la cinta muraria. Nel 1522 a causa della peste fu adibita a Cappella di San Sebastiano. Mantenne tale destinazione fino al 1818 quando riprese la sua funzione originale. Gli affreschi riportati alla luce nel 1937 mettono in evidenza il monogramma gotico JHS, abbreviativo di Jehsus, accanto allo stemma dei Marchesi di Saluzzo. Nel 1989 l’antica pavimentazione in ciottoli è stata sostituita con una in lastre di pietra."
Des reflets des verrières en couleurs sur les murs et les lettres de Louis Vuitton...mais seulement par grand soleil !
Ces anciennes maisonnettes au toit de chaume sont situées au Rendelæggerbakken 3, une route qui suit la jonction entre les jardins et le parc de Frederiksborg Slot à Hillerød, au Danemark.
Créés pour Frederik IV (1699-1730), par l'architecte royal Cornelius Krieger, les jardins baroques à la française séparés du château datent de 1720. Ces jardins très ornés nécessitèrent 40 ans de travaux mais furent éliminés dès la fin du 18e siècle car ils étaient démodés et coûtaient trop cher d'entretien. Toutefois, des travaux débutèrent en 1993 pour leur redonner vie.
L'ensemble correspond maintenant au dessin de Krieger avec un axe central qui prend naissance près du bassin ovale au sommet d'une pente aménagée en terrasses avec un canal et des chutes d'eau qui se jettent dans le lac Slotssøen qui entoure le château. L'axe est flanqué des deux côtés de parterres de haies de buis ornés du monogramme royal, de fourrés et d'allées ainsi que de topiaires. Il s’agit de l’un des jardins baroques les mieux préservés de l’Europe du nord.
Le parc plus étendu et à l'agencement plus libre, fut créé pour Frederik VII (1848-1863) au milieu du 19e siècle.
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Nel centro storico di Siena, su Piazza del Campo, una delle piazze più famose d'Italia si erge l'imponente Palazzo Comunale chiamato anche Palazzo Pubblico. L'edificio viene costruito tra il 1298 e il 1310 e domina la piazza a forma di conchiglia con la sua elegante torre, la Torre del Mangia, anch'essa rappresenta la città.
La facciata rispecchia diversi periodi di costruzione, nel primo periodo viene usata la pietra e poi il laterizio. La sommità del palazzo è decorato da merli guelfi e al centro si trova il monogramma di Cristo un grande disco di marmo bianco. Le finestre, di tipico stile senese, tra una colonnina e l'altra presentano gli stemmi di Siena.
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Face à l’église, dans le cimetière de Montpeyroux, se trouve une croix hosannière. Elle est abattue, brisée et martelée par les Protestants en 1622, lors d’exactions courantes qui persistent après la fin des guerres de Religion. Il n’en reste que la hampe.
La croix est ainsi remplacée par une pierre taillée à trois branches trilobées datée de 1626 ou 1629. La hampe, plus ancienne donc, est un fût rond et monolithe sculpté de trois étages de quatre petites niches contenant des saints au nombre de douze, défigurés et non identifiables.
Des dessins en relief meublent les intervalles, représentant des fleurs de lis, des hermines, des dauphins, des monogrammes du Christ I. H. S., des coquilles Saint-Jacques, des bourdons de pèlerins et autres images plus ou moins lisibles.
Les parties les plus anciennes de la croix pourraient dater de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle. Les fleurs de lys et les hermines sont les symboles de Louis XII et de la reine Anne de Bretagne sous le règne desquels est sans doute érigée cette croix.
Chapelle Saint-André : le portail est en marbre blanc de Saint-Béat. Deux voussures, ces deux arcs emboîtés surmontant la porte, retombent sur leurs pilastres par l’intermédiaire d’impostes, tablettes saillantes ornées ici de boules typiques du style roman pyrénéen. Pas de demi-cercle pour le tympan mais une simple pierre quadrangulaire où sont sculptés une main bénissante timbrée d’une croix et un chrisme, monogramme du Christ. (extrait de www.festival-du-comminges.com/chapelle-saint-andre-de-bur...)
Geweiht 1241 ist das Bauwerk in kreuzförmigem Grundriss angelegt. Die Kirche hat an den längsten Stellen eine Länge von 33,50 m und eine Breite von 19,83 m. Das Langschiff ist dreigeschossig. Der Chor ist fünfseitig umschlossen, flankiert von zwei Seitenkapellen. Die Vierung ist rechteckig, wird von einer schönen Kuppel überwölbt und von dem imposanten oktogonalen Turm überragt. Das Achteck muss als Zitat des Oktogons des Aachener Doms, wie beim zeitgleich errichteten Castel del Monte in Apulien, verstanden werden. Dies kommt auch dadurch zum Ausdruck, dass die Kuppelhöhe 16,15 m beträgt, welches 50 Karolingischen Fuß (50 römisch L, Fuß und Vertikale des Karls Monogramms) entspricht.
Ce bâtiment fut bâti au XVème siècle comme Halle de la Boucherie, puis fortement remaniée au XVIè siècle en habitation. Les belles fenêtres renaissance, en pierre jaune de Charlieu, ont perdu leurs meneaux. Elles sont disposées sans aucune symétrie, ce qui est étonnant pour l’époque. (Louis XIV, pour récupérer une partie des pensions qu’il versait à la noblesse, créa l’impôt sur les fenêtres, payable par tout propriétaire même noble : une fenêtre à meneaux comptait pour 4 fenêtres donc beaucoup de propriétaires, nobles ou non, les supprimèrent à cette époque, ce qui explique que tant de bâtiments et de châteaux d’époque Renaissance n’ont plus de meneaux aux fenêtres. Cet impôt existe toujours aujourd’hui…)
C’est la maison natale de Monseigneur Dauphin, chanoine de St Denis, d’où son nom.
La salle principale comporte une cheminée monumentale dont le manteau est sculpté de ceps de vigne et porte le monogramme I.H.S-M
Au centre de la ville de Sidhpur, dans le Gujarat, se trouve un important quartier construit d'étranges maisons alignées , aux multiples influences essentiellement européennes, dont la plupart tombent hélas aujourd'hui en ruine, faute d'entretien. C'est le quartier des havelis des Dawoodi Bohras. Les Dawoodi Bohras forment une communauté de commerçants de religion musulmane ayant prospéré à Sidhpur des années 1820 aux années 1930. Enrichis par le commerce vers l’Extrême-Orient ou vers l'ouest, ils ont construit de somptueuses maisons de bois, témoins de leur réussite sociale, aux façades en stuc, ornées de pilastres, de balcons, de corniches et de toits à pignon. Les façades de ces maisons étaient peintes dans une teinte pastel , rose, vert , saumon, citron ou beige et chacune affichait le nom du propriétaire ou présentait un monogramme à ses initiales.
Quelques unes de ces maisons ont été récemment réhabilitées et sont à nouveau habitées. Celle-ci a été restaurée entre notre précédent passage de 2016 et celui de 2019. Trois des femmes visibles sur la photo porte le rhida traditionnel caractéristique de la communauté Bohra qui de nos jours vit encore essentiellement du commerce même si beaucoup de ses membres ont quitté la région.
Il reste à espérer que les propriétaires de ces havelis ou les autorités locales prendront conscience de l'importance de ce patrimoine et réhabiliteront d'autres maisons semblables à celle-ci, qui sont actuellement pour la plupart à l'abandon
Les arcades du portique de l'entrée sont surmontées d'une riche décoration avec des Renommées à demi couchées dans les écoinçons. Les colonnes portent un entrelacement de lierre. Sur leurs socles ont été gravés le monogramme E.B.M.G. célébrant le second mariage d'Etienne Bouhier contracté le 25 avril 1615 avec Madeleine Giroud.
The arcades of the entrance portico are topped with a rich decoration with half-reclining Renowns in the spandrels. The columns bear an interlacing of ivy. On their bases have been engraved the monogram E.B.M.G. celebrating the second marriage of Etienne Bouhier contracted on April 25, 1615 with Madeleine Giroud.
www.nouvelle-aquitaine-tourisme.com/fr/vallees-du-lot-et-...
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19 - Le DONJON :
XIIIe siècle : partie avant en éperon.
XVe siècle :
Symbole, par sa hauteur, de l'autorité seigneuriale, lieu du dernier repli en cas de prise du château et coffre-fort, voire prison.
Accès primitif par échelle ou escalier en bois accédant aux portes en arc, puis, à partir de la fin du XVe siècle, par les escaliers en pierre, droit et en vis.
Sur la croisée d'ogives de la dernière salle, superbe monogramme du Christ sculpté en bas-relief. Depuis la plate-forme vue en plan sur le château sur le paysage alentour, préservé.
L'orgue de l'église, qui compte 23 voix, a été construit en 1963 par la société Marcussen and Son. La façade rococo de l'orgue, datant de 1779, provient de l'ancien orgue de l'église et porte le monogramme de Christian 7th.
Construite entre 1528 et 1530, elle mesure environ 60 mètres de long et 6 mètres de large, et constituait autrefois un pont couvert jouissant d'ouvertures des deux côtés. Le roi François Ier la fit édifier et décorer afin de relier ses appartements à la chapelle de la Trinité. Il en gardait les clés et la faisait visiter à ses hôtes de marque.
La galerie a été confiée à l'Italien Rosso Fiorentino qui la décora de façon originale avec des peintures, des lambris, des fresques et des stucs, de mars 1535 à mai 1537 pour les stucs, à partir de 1536 pour les fresques, et qui l'acheva juste avant la visite de Charles Quint à la Noël 15398. Les boiseries en noyer sculpté sont l'œuvre du menuisier italien Francisco Scibec de Carpi qui les réalisa dès 1535 avec des essences rares, mais se tourna presque exclusivement vers le bois de noyer à partir de 1539, date à laquelle il exécute le parquet de la galerie. Le plafond à caissons joue dans l'ensemble décoratif un rôle plutôt secondaire et affiche un style plutôt classique.
La galerie dessine un jeu de travées, rythmées par des ouvertures symétriques et de grands panneaux peints. On retrouve partout le monogramme du roi. Les peintures représentent des récits de la mythologie gréco-romaine et des allégories dont le sens nous échappe aujourd'hui
Built between 1528 and 1530, it is approximately 60 metres long and 6 metres wide, and was once a covered bridge with openings on both sides. King Francis I had it built and decorated to connect his flats to the Trinity Chapel. He kept the keys to it and showed it to his distinguished guests.
The gallery was entrusted to the Italian Rosso Fiorentino, who decorated it in an original way with paintings, panelling, frescoes and stuccoes, from March 1535 to May 1537 for the stuccoes, and from 1536 for the frescoes, and who completed it just before the visit of Charles V at Christmas 1538. The carved walnut woodwork is the work of the Italian carpenter Francisco Scibec de Carpi, who began to use rare woods in 1535, but turned almost exclusively to walnut from 1539 onwards, when he made the gallery's parquet floor. The coffered ceiling plays a rather minor role in the decorative ensemble and is rather classical in style.
The gallery has a series of bays with symmetrical openings and large painted panels. The king's monogram can be seen throughout. The paintings represent stories from Greco-Roman mythology and allegories whose meaning escapes us today
Das Zumsteinhaus ist ein unter Denkmalschutz stehendes Haus mit der Anschrift Residenzplatz 31 in Kempten (Allgäu). Es wurde 1802 für die aus Savoyen stammende Kaufmannsfamilie Zumstein de la Pierre erbaut.
Das freistehende, dreigeschossige Haus besitzt fünf zu sechs Achsen und ein Mansarddach. Die Hauptfassade zeigt in Richtung Norden zum Residenzplatz.
Die vergitterten Erdgeschossfenster schmückt ein gequaderter Verputz aus Rautenfeldern mit Andreaskreuz und einem Scheitelstein.
Das mittig liegende Hauptportal besitzt ein rechteckiges, vergittertes und mit Vasen verziertes Kämpferfenster, das als Korbbogen geformt ist. Die geschnitzte Tür ist mit löwenkopfförmigen Türklopfern besetzt.
Zwei Halbsäulen neben dem Hauptportal sind über dem Gebälk durch ein Balkongitter miteinander verbunden. Der Balkon entspricht dem des zweiten Obergeschosses, der auf Volutenkonsolen steht.
Löwen auf dem unteren Balkongitter halten ein Monogramm mit den Buchstaben VSZ. Auf dem oberen befindet sich eine Vase. Pilaster unter den Rechteckfenstern der beiden Obergeschosse tragen plastische Volutenkapitelle und Zopfgehänge.
Über den Fenstern befinden sich Rosettenfelder mit verschmolzenen Ovalen. In einem flachen Dreiecksgiebel, dem Kranzgesims, halten Putten mit Zopfgehängen das Wappen der Zumsteins. Daneben befinden sich jeweils zwei Dachgauben mit geschwungener Verdachung.
Ein perspektivisches Gitter zwischen den Pfeilern mit Gebälkschluss trägt die Jahreszahl 1830 und das Monogramm N.Z in einer von Löwen gehaltenen Archivolte.
Die Seitenfassade mit zweiachsigem Mittelrisalit besitzt eine einfache Putzgliederung mit Lisenen, die Rückfront ein Korbbogenportal ohne Lisenen und eine Dachgaube.
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Ed eccolo il "Rapido Tigullio".
Milano Centrale >> La Spezia Migliarina, treno numero 96207.
Una agile composizione di due GC in livrea TEE e due GC in livrea Bandiera, con alla testa una formidabile "Locomotrice Kaimana" come si direbbe in un simpatico gruppo Facebook, proveniente da Milano Centrale,
sta per instradarsi verso Genova percorrendo la Tortona-Arquata, per raggiungere La Spezia Migliarina, in cui è in programma una due giorni di porte aperte al locale Deposito Officina Rotabili Storici di Fondazione FS.
Su Viaggiatreno veniva riportato il logo della Fondazione FS, sul tabellone delle partenze (consultabile via internet sul sito RFI) un logo TS con caratteri che richiamavano quello del monogramma FS del marchio a televisore...probabilmente classificato regionale, ma poco importa :).
Lo spot scelto alla fine sicuramente non è stata la migliore delle scelte, ma per motivi di tempo non avevo un ampio ventaglio di scelte (potevo rischiarmi il marciapiede del primo binario lato Voghera, sicuramente sarebbe stato in luce piena, seppur con qualche ombra di mensole e sospensioni della catenaria, evitabili con un po' di tempismo, ma ho indugiato un filo di troppo, vedendo anche in distanza l'andirivieni di vari personaggi in quella parte di stazione). Ma visto che la peggior foto è quella non scattata, per questo giro "mi va bene" così.
Tortona (AL), 18 marzo 2023.
Il villaggio di San Salvatore è costituito da case (cumbessias) ad un piano, raramente a due, abitate per pochi giorni l'anno, in occasione dei festeggiamenti in onore del santo che culminano con la corsa degli scalzi (primo week-end di settembre): circa 500 uomini che, scalzi e indossando un saio bianco portano in spalla il santo da Cabras alla chiesetta di San Salvatore, e viceversa il giorno successivo.
"La chiesa è sorta alla fine del XVII secolo nell'area di un santuario pagano di origine nuragica, incentrato sul culto delle acque e ricostruito nel VI secolo come chiesa sotterranea. Attraverso una scala nella navata sinistra si scende all'ipogeo formato da sei vani: due rettangolari ai lati di un corridoio che conduce a un atrio circolare con un pozzo, intorno al quale sono disposte tre camere. L'ipogeo è parzialmente scavato nella roccia; i soffitti a botte sono in arenaria e mattoni. Sulle pareti si sono conservati diversi graffiti di animali (elefante, pantera e pavone) e di divinità (Ercole che lotta con il leone Nemeo, Marte e Venere con un piccolo Eros alato).
Interessanti le scritte arabe che parlano di Allah e Maometto, nonché le numerose raffigurazioni di navi, che gli studiosi ritengono potessero essere dei probabili ex voto. Le lettere latine RVF intrecciate come in un monogramma e ripetute più volte sembrano derivare dalla lingua fenicia e significare "guarire, salvare, dare salute".
Nella anni '60 fu il set di alcuni spaghetti western. Il saloon ed altre strutture, costruite ad hoc, sono andate perse in un incendio.
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Sur la gauche :
- n°10 : la « Maison de l'Arbre d'Or » ou « Maison des Brasseurs » (Den Gulden Boom ou De Brouwershuis en néerlandais) est une maison de style baroque, construite en 1696, entre la « Maison du Cygne » et la « Maison de la Rose ». Elle fut la maison de la corporation des tanneurs, puis celle des tapissiers, avant de devenir la maison de la corporation des brasseurs. Ornée de sculptures par Marc de Vos et Pierre van Dievoet. Lors de la construction de cette demeure, l’architecte Guillaume de Bruyn prononça la phrase célèbre : « Vous avez eu la conscience de travailler pour l'éternité ! ». Cette maison est surmontée par la statue équestre de Charles Alexandre de Lorraine qui fut installée en 1752 en remplacement de celle de Maximilien-Emmanuel de Bavière gouverneur lors de la reconstruction de Bruxelles.
Sur la droite :
- no 9 : "La Maison du Cygne" (De Zwaan en néerlandais ou De Swane en ancien néerlandais), à l'origine auberge au XVe siècle, est une maison bourgeoise reconstruite en 1698 par le financier Pierre Fariseau qui fait placer son monogramme au centre de la façade qui ne reprend pas les trois étages classiques. Elle est achetée en 1720 la corporation des Bouchers qui fait modifier la partie supérieure. Restauration entre 1896 et 1904. Le congrès de fondation du Parti ouvrier belge s'y est tenu en avril 1885.
Karl Marx y écrit le manifeste du parti communiste.
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