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Même dans une lumière difficile, c'est un plaisir d'arriver à les voir et à les photographier !
Catalogne, Espagne
LP - Scarborough fair youtu.be/QcNKas73zrA
merci à Lenabem pour la texture 406 flic.kr/p/2j8Rsxh
toujours le même filet d'eau le long du chemin de halage . divers petits ponts plus ou moins entretenus relient celui ci à des habitations
Tu sais que tu viens du Midi quand...
Tu mets de l'huile d'olive partout dans tes plats.
Tu as une légère tendance à l'exagération.
Les gens te disent "arrête de crier" mais tu ne. cries pas, tu parles juste.
Tu sais que l'été entre 11h et 16h c'est pas possible de faire autre chose que la sieste.
Tu ne comprends pas pourquoi on te dit que tu as un accent mais que ça te fait plaisir quand même.
Tu sais que "degun" c'est pas une personne;
Tu dis "peuchère" à tout bout de champs.
Toi aussi quand tu étais gosse on t'appelait "pitchoun(e)".
Tu sais que "couillon" n'est pas un gros mot.
Le mot coucourde te fait pas rire, bah oui c'est jamais qu'une courgette.
Tu roumègues tout le temps.
Tu mets les Santons de Provence dans ta crèche à Noël.
Tu as forcément bu du pastaga et ça depuis ton plus jeune âge.
Fin avril tu sors les tee-shirt, et ça jusqu'en octobre.
Ton décor c'est des oliviers et des pins.
Tu fais des soirées sur la plage.
Tu passes des journées entières à la plage l'été.
Pour toi 16° c'est froid.
Tu sais jouer à la pétanque depuis tout petit
Tu payes ton Coca 5€ en plein été (merci les touristes!)
Tu sors acheter le pain et que tu rentres 1h après...Tu as rencontré charette (en même temps tu connais bcp de monde!) et on t'a payé au moins 3 coups a boire!
L’apéro est pour toi bien + qu'une "tradition" c'est un style de vie!
L'été c'est resto au bord de l'eau et soirée sur le port
Tu dis "plein des" et pas plein de...
Tu crains degun!
Dès lors où tu t'éloignes de la méditerranée et du vent marin, tu pleures comme un orphelin.
Tu sais qu'il ne faut pas confondre Marseillais, Toulonnais, Niçois et Corses , C'est pas pareil.
En dehors du Midi ceux sont des estrangés.
Tu dis « boire un canon » au lieu de dire «boire un verre de vin».
Lorsqu'il y a un match de l'OM ou du RCT, tu as l'impression que ta vie va se jouer.
Il te pousse des boutons dès lors qu'on te parle de Paris.
Tu dis « cagole » pour désigner une fille de mauvais genre.
Tu dis « teston » pour dire têtu.
Tu dis « se gaver » pour dire «réussir quelque chose avec brio».
Tu dis « fada » au lieu de « un fou ».
Tu dis « au con ! » cinquante fois dans une phrase.
Tu dis « s'empéguer » ou «se brougner la gueule» au lieu de «se souler».
Tu te mets à klaxonner à tout bout de champs.
Tes amis et ta famille (que tu chambres de longue parce que certains sont montés vivre à Paris! ) te disent au téléphone: "il pleut chez nous" et que toi tu leur réponds "binnnn nous la dernière fois qu'il a plu c'était..... ???????????? heeeeeuuuuu je sais plus!!
Tu viens du Midi quand tu demandes un Gambetta limonade dans un bar à Paris et que le serveur ne sait pas ce que c'est le Gambetta !
Ton père t'a déjà dit ensuqué de Barjolles je vais te destroncher.
Ton vocabulaire est riche de ce genre de mots :
peuchère
chichounet
pichoune
escagassé
ensuqué
ça pègue!
estrasse
kékou
gabian
garri!
fada
nine
gobì
cambouler
caracou
cagade
mèfì!
pebron
pistou
Fan!
Farigoulette
Jobastre
Bader
Bordille
emboucaner
cague aux brailles
Fatche de!
encataner
tété d'ail
"boulégues pas lou batéou"
cafoutchou
au fan des pieds
le capéou
"lou solou mi fa caga"
au coquin de sort
putain d'adele!
Con de manon!
Fan de chichoune
de longue
il a fait fanny
- oh connnnnnnnn!
- oh l'enculééééé!
- tu le crois ça???
- oh juuureuh!
- et pourquoi faire?
Tu dis "putain " au moins vingt fois dans la journée;
Ça t'emmerde s'il pleut deux jours d'affilée!
Ou Amphipogon flavus
Nouvelle espèce pour moi !
Elle fait partie de la même famille que Thyreophora cynophila (cette mouche à tête jaune redécouverte en France après presque 200ans d'absence d'observations).
Celle-ci est encore plus méconnue, il n'y a aucune information sur sa biologie si ce n'est quelques mentions de mâles courant sur des troncs d'arbres morts. Ici, c'est une femelle, en train de pondre dans le chapeau d'un champignon, le bolet renard (Leccinum vulpinum).
Je n'ai malheureusement pas vu de mâles dans le coin. Je n'ai pas vraiment cherché non plus, mais si j'avais su à quoi il ressemblait... Le nom de genre Amphipogon vient du grec "amphis" qui signifie des deux côtés et "pogon" qui signifie barbe. Je vous laisse apprécier la caractéristique vraiment unique du mâle qui a donné son nom au genre : diptera.info/forum/viewthread.php?thread_id=44306
En France, une seule observation à la réserve naturelle nationale de Ristolas - Mont Viso (05) en 2017
Pasvik, Norvège
c'était un de mes premiers..
(Fringilla coelebs - Common Chaffinch)
que j'ai pu photographier ainsi de si près.
Il avait cogné dans la vitre et je l'ai récupéré et soigné..!
Le château d'Olhain est une forteresse des xiiie et xve siècles2. Elle se situe à Fresnicourt-le-Dolmen, dans le Pas-de-Calais, sur la Lawe.
Le château est composé d'un corps de ferme, et de la forteresse elle-même, surmontée de son ancienne tour. Des douves en partie en eau et en partie comblées sont enjambées par deux ponts, un pour l'accès à la basse-cour et un pont qui relie le château à la basse-cour. La visite comporte aussi la chapelle du xixe siècle, le four à pain, la promenade le long des douves, la tour de guet de plus de trente mètres de haut, ainsi que la salle des Gardes.
The Château d'Olhain is a 15th-century castle located in Olhain, Fresnicourt-le-Dolmen, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France.
The castle is located in the middle of a lake which reflects its towers and curtain walls. It was also a major stronghold for the Artois in medieval times and testimony to the power of the Olhain family, first mentioned from the 12th century.
JARJAYES, LA FERME DU COL:
Des élevages d'autruches, de chèvres angoras, vaches, moutons, cochons, ainsi que des animaux curieux (émeu, alpagas, lamas, béliers à 4 cornes, paons, faisans dorés...) La visite permet aussi de découvrir la transformation des céréales, de nourrir les chevreaux et veaux au biberon. Les produits de la ferme (bières, terrines, rillettes d'autruches, plats cuisinés, petit épeautre, crêpes...) peuvent être dégustés sur place ou emportés. Les balades à dos d'âne ou de poney permettent d'apprécier le paysage en suivant un sentier de découverte.
Productions de la ferme : - Mohair : chaussettes, gants, bonnets, écharpes, plaids, couvertures, fil à tricoter... - Autruche : viande, oeufs, terrines, rillettes, plumes - Petit épeautre : grains, farine, pâtes artisanales, soupe, bières - Pois Chiche : grains, farine
TXL 186 905, Jägersfreude (ligne Saarbrücken - Neunkirchen (Saar)), 21 Juin 2020.
Après relai traction à Saarbrücken, le train MARS Bettembourg - Trieste reprend sa traversée de l'Europe, au crochet de la 186 905, désormais propriété de TXL, même si elle laisse encore apparaitre en partie les logos de son ancien propriétaire, CrossRail. Circulant sur les voies de sortie du triage de Saarbrücken, le convoi passe à côté de la station de Jägersfreude.
La même UM, quelques kilomètres plus loin. Grace à ses quelques 3h de retard ce jour là nous avons pu faire des coins d'ordinaire infaisable avec un train à l'heure.
Là le train à marqué son arrêt en gare de Veynes-Dévoluy et il nous à laissé le temps de nous placer avant d'arriver en pleine accélération <3
Falco tinnunculus
Petit arrêt sur un vieux tronc d'arbre avant de livrer sa proie au nid avec des petits que je n'ai pas pu voir. En effet il a disparu un court instant pour réapparaître un peu plus loin sans le rongeur. Il n'a pas eu le temps de le manger lui-même d'où l'hypothèse du nid avec des jeunes à nourrir.
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( Mai 2020 )
"Tu as deux beaux yeux, tu sais"
Ce qui est certain, c'est que, même planquées derrière des lunettes de vue, le regard de ce monocycliste électrique semble avoir compris mon intention... Tout en s'en fichant éperdument.
Et évidemment, n'oublions pas les BAGUETTES ! Nous sommes en France, que diable !
de passage pendant quelques jours dans le marais en face de chez moi
en bonne compagnie de 2 râles d'eau
elle est restée à bonne distance malheureusement
puis elle est partie
Elle niche principalement dans les pays de l'est de l'Europe, puis hiverne dans l'est africain ou en Asie.
Elle était abondante dans tous les départements de Picardie jusque dans les années 70. Elle est actuellement rare dans la région, même durant la migration où elle est un peu plus abondante.
Qu'est-ce qu'une poussette sinon une chaise à roulettes pour enfant ?
...Quand même, un fauteuil c'est plus confortable !
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"Début de la saison. Les fleurs se disputent la beauté.
De la même source, les nuées et les brumes sur le lac.
Sans fard, dans ta barque à lotus
hors du temps chercher l’esprit du Vide."
(Dong Qiang, poète calligraphe chinois contemporain)
@ ma galerie des Machines - PARIS Couture ( 2ème sous-sol )
avec accès direct vers les CATACOMBES de PARIS
maps.secondlife.com/secondlife/Paris%20Couture/95/207/22
Nous sommes en janvier 1910, Paris et ses trois millions d’habitants rayonnent sur la scène internationale depuis l’exposition universelle de 1900 qui a propulsé la capitale française en tête de l’Europe. Ses habitants sont alors loin d’imaginer qu’ils vont vivre une des catastrophes naturelles majeures du XXe siècle.
Paris représente à l’époque le plus grand port de France, aussi important que ceux de Marseille ou du Havre. L’électrification suit son cours, le métro se développe, les véhicules à moteur fleurissent. La ville, en pleine mutation depuis la fin du Second Empire, a connu une grande crue de la Seine en 1876. La population ne s’inquiète donc pas que cela se reproduise, ce serait trop tôt. Pourtant, Paris a connu un hiver pluvieux et froid, les sols sont gelés ce qui signifie qu’au lieu de pénétrer dans la terre, l’eau ruisselle.
La pluie persiste et le zouave a déjà les pieds dans l’eau, nous sommes le 20 janvier. Cette statue (le zouave) de Georges Diebolt, située sous le pont de l’Alma, représente un des soldats de la guerre de Crimée. Depuis son installation en 1856, il fait office de repère de la montée des eaux de la Seine. Les pieds du zouave ensevelis, c’est concrètement 3,80 mètres de hauteur d’eau au-dessus de la normale, ce qui est déjà très préoccupant. L’interdiction de la circulation des bateaux-mouches et des péniches est déjà en vigueur, la banlieue Est parisienne compte des villes inondées, mais personne à Paris ne semble prendre la mesure de ce qu’il risque de se passer.
Les genoux du zouave sont à leur tour mouillés le 21 janvier à 17h : les 5 mètres de hauteur d’eau ont été atteints. Les berges du 12e arrondissement sont inondées, les barriques de vins de l’entrepôt de Bercy sont également sous l’eau et la pluie continue. Le 22 janvier, le gouvernement décide d’agir en envoyant l’armée pour installer des planches de bois au niveau des habitations les plus proches de la Seine. Les chevaux remplacent les automobiles, l’électricité saute par à-coups, des tourbillons de boue s’enfilent dans les rues, la sensation de revenir loin en arrière gagne la population qui prend conscience du désastre qui s’annonce.
Dans la banlieue proche de Paris, on compte déjà sept morts. Les tramways et métros sont suspendus, les gares d’Orsay et Austerlitz ferment leurs portes, le téléphone cesse de fonctionner et les habitants s’organisent. Les problèmes de ravitaillement sèment la panique et les provisions se font dans la cohue. Les habitants de rez-de-chaussée s’installent chez leurs voisins du 1er étage. Nous sommes le 24 janvier, la Seine enregistre un niveau d’eau à 6,75 mètres.
"Un désatsre social" titre le journal l'Humanité.
Le mois de janvier, qui suit un hiver particulièrement froid, voit ses sans-abri à bout de souffle devant les inondations. Mais surtout, le risque d’épidémies augmente : les ordures sont déversées par-dessus les ponts, les égouts coulent dans la Seine également. On estime qu’au total, ce sont 1 300 tonnes de déchets qui auront été noyées dans le fleuve. L’eau polluée et les rats qui quittent leurs caves inondées aggravent une situation sanitaire déjà détériorée par de nombreux cas de scarlatine et de typhoïde. Les journaux appellent d’ailleurs à la solidarité, des barques taxis se mettent en place, et même des boulangeries qui décident de livrer le pain en bateau. Comme un air vénitien…
Le 28 janvier 1910, les épaules du zouave sont à leur tour ensevelies et Paris enregistre un record : 8,62 mètres. Dès le lendemain, la pluie cesse et la Seine baisse enfin, mais le bilan est catastrophique. 40 kilomètres de rues inondées, 12 arrondissements touchés, 20 000 immeubles concernés. La plupart des monuments sont également sous l’eau dont le Palais de justice qui voit ses archives disparaître. On estime que les dégâts auront coûté plus de 400 millions de francs-or soit l’équivalent de 1,6 milliard d’euros. Les travaux de consolidation et de rénovation des immeubles sont colossaux et l’événement restera très longtemps au cœur des discussions : pour exemple, c’est cet événement qui domine le marché des cartes postales en France jusqu’en 1913.
EXPOSITION " Il était une fois la GALERIE des MACHINES: 1889 - 1910 ... 2021 !"