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Aujourd'hui, j'ai fais une sortir pour vérifier l'efficacité d'un petit logiciel appelé ''Géotag Photo ''. Ce logiciel est installé sur mon iPhone. Lorsque je pars faire une randonnée photos, je l'active. Tout mon trajet est alors enregistré à l'aide du GPS du téléphone. De retour à la maison, je télécharge mes photos prises avec mon Sony DSC-RX10 M3, qui lui, n'est pas doté d'un GPS. J'utilise alors Géotag Photo. qui est aussi installé sur mon ordi et en quelques instants, toutes mes photos sont géolocalisées dans son Exif. Vive les nouvelles technologies!
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Today, I went out to check the effectiveness of a small software called "Geotag Photo". This software is installed on my iPhone. When I go on a photo hike, I activate it. My entire trip is then recorded using the phone's GPS. Back at home, I download my photos taken with my Sony DSC-RX10 M3, which is not equipped with a GPS. I use Geotag Photo. which is also installed on my computer and in a few moments, all my photos are geolocated in his Exif. Long live the new technologies!
Bearstech, jeune entreprise innovante évoluant dans le domaine du logiciel libre et open source, ouvre ses portes à l’occasion de PasSage en Seine. Une opportunité pour la startup de montrer son savoir-faire en termes de Hackable Devices.
Bears' Open Beer @ La Cantine.
La 3e édition de Pas Sage en Seine a le plaisir de vous recevoir à Paris, dans le Passage des Panoramas, dans le 2e arrondissement, métro Bourse ou Grands Boulevards. Rendu possible par un ensemble de partenaires (Bearstech, La Cantine, Hackable-Devices, Toonux, SIlicon Sentier, la Région Ile de France…), il est surtout piloté par des volontaires qui viennent partager avec vous leurs passions, leurs analyses, leurs travaux de recherche…
Pas Sage En Seine le 19 juin 2011.
©Benjamin Boccas pour Futur en Seine 2011.
Bearstech, jeune entreprise innovante évoluant dans le domaine du logiciel libre et open source, ouvre ses portes à l’occasion de PasSage en Seine. Une opportunité pour la startup de montrer son savoir-faire en termes de Hackable Devices.
Bears' Open Beer @ La Cantine.
La 3e édition de Pas Sage en Seine a le plaisir de vous recevoir à Paris, dans le Passage des Panoramas, dans le 2e arrondissement, métro Bourse ou Grands Boulevards. Rendu possible par un ensemble de partenaires (Bearstech, La Cantine, Hackable-Devices, Toonux, SIlicon Sentier, la Région Ile de France…), il est surtout piloté par des volontaires qui viennent partager avec vous leurs passions, leurs analyses, leurs travaux de recherche…
Pas Sage En Seine le 19 juin 2011.
©Benjamin Boccas pour Futur en Seine 2011.
Logiciel photothèque. Logiciel gestion photos.
Keepeek spécialiste de la gestion de média pour entreprises.
Jimmy Pichard est un formateur professionnel certifié par des marques reconnues mondialement dans le monde de la production numérique assistée par ordinateur comme Apple, Adobe ou encore Quark. Représentant l'organisme de formation français 5Formation, cet expert a été convié par le Centre de recherche et de documentation pédagogiques de la Polynésie française.
Boitier: Nikon D60
Objectif: Nikkor AFS DX 18-70mm f/3.5-4.5G IF ED
Accessoires: Grip Phottix,
Logiciel: Photoshop CS2
Logiciel photothèque. Logiciel gestion photos.
Keepeek spécialiste de la gestion de média pour entreprises.
3ds max est depuis longtemps l’un des logiciels de référence pour la création d’images de synthèse sur plate-forme PC : employé aussi bien par les designers, les créateurs de jeux informatiques que les spécialistes d’effets spéciaux au cinéma, 3ds max est en effet l’une des solutions les plus complètes et puissantes pour la création, l’animation et le rendu de scènes en 3D.Régulièrement mis à jour, ce logiciel ne cesse de s’enrichir de nouvelles fonctionnalités, héritant notamment de celles de logiciels tiers rachetés par Autodesk et intégrées ensuite en standard à 3ds max.Mais pour le débutant qui prend en main pour la première fois ce logiciel, 3ds max est un véritable labyrinthe très difficile à appréhender dans sa globalité. Son apprentissage demande donc un investissement initial important et absolument indispensable.
Exploitant de transport. Planification avec le logiciel d'optimisation de tournees de Descartes. Centre de distribution Park Royal de John Lewis en peripherie de Londres
Bearstech, jeune entreprise innovante évoluant dans le domaine du logiciel libre et open source, ouvre ses portes à l’occasion de PasSage en Seine. Une opportunité pour la startup de montrer son savoir-faire en termes de Hackable Devices.
Bears' Open Beer @ La Cantine.
La 3e édition de Pas Sage en Seine a le plaisir de vous recevoir à Paris, dans le Passage des Panoramas, dans le 2e arrondissement, métro Bourse ou Grands Boulevards. Rendu possible par un ensemble de partenaires (Bearstech, La Cantine, Hackable-Devices, Toonux, SIlicon Sentier, la Région Ile de France…), il est surtout piloté par des volontaires qui viennent partager avec vous leurs passions, leurs analyses, leurs travaux de recherche…
Pas Sage En Seine le 19 juin 2011.
©Benjamin Boccas pour Futur en Seine 2011.
Prisons (suite) tentatives d'autoportraits (2017 / 2018 retouches finales 2020 / 2024)
Bracketing d'exposition fusionné avec Photomatix et re-traité localement avec DXO PhotoLab (puis, pour cette photo, le logiciel Gimp avec quelques coups de tampon, afin de mieux fondre les limites de l'arrondi lumineux, que la fusion aléatoire d'images avait laissées trop contrastées)
le résultat de la superposition de photos -avec le logiciel "Photomatix"- est volontairement sous-exposé pour permettre le travail -dans "DXO PhotoLab"- de (ce que j’assimile à des) glacis, par des "points de contrôle", cercles de masques en dégradés radiaux, dans lesquels peuvent être inclus différents effets, j’utilise principalement les mesures d’exposition, pour remodeler l’image à ma guise -et, surtout : "La figure existe déjà dans le bloc de marbre" affirmait Michel ange , "il suffit de savoir l'en détacher"
Le cadre est le même que celui de la première série (2011/2012), celui d’un mur de mon atelier qui continue à raconter son vécu (clous, vis, fissures et graffitis -qui en deviennent la peau de l'image, ses cicatrices, rides et grains de beauté). Mais là où la première série était cadrée en "portrait" (en pied -l’appareil photo étant à la même distance du mur dans les 2 séries), la 2ème l’est en "paysage" et comprend sur la gauche une porte, et sur la droite, une fenêtre.
Au fil de tirages (sans compression, j’utilise le .tif pour cette série) j’ai éliminé ou réduit la présence de la porte et de la fenêtre, privilégiant le(s) personnage(s) situé(s) plus ou moins au centre gauche du cadre. J’ai beaucoup utilisé la "gomme" de DXO qui permet, selon sa dimension, l’espace couvert et l’endroit du clic de départ, des variations dans la duplication de parties de l’image.
La trame, boyaux, lianes, paysages, sont mes sculptures en papier toilette dont j’ai varié les positions dans le cadre, au fil des photos, et dont la fusion permet ces ouvertures sur d’autres contrées
Mon corps, que mon corps, nu, mais dont les parties qui peuvent être censurées sont enlevées (castrées) -ce ne sont pas les seuls sévices que (dans la seule représentation de l’aléatoire des fusions d’images et du travail de dévoilement que j’y fais) je me fais subir.
Une amie -que l’on retrouve dans certaines photos- a bien voulue me servir de "modèle" pour illustrer cette autre geôle qu’est la projection dans "l’autre" et les systèmes qui s’installent pour perpétuer des prédéterminismes.
Pour la 1ère série, j’avais écrit : "Ma prison c'est aussi mon corps, ma maison, ma vision du monde et l'espace entre la naissance et la mort
Jeux de bracket avec Nikon D300S, Photomatix et CaptureNX2
Cadre serré, enfermé de ma condition, comment contredire le destin ?
Un coin d’appart, un drap sur le sol, un rideau à la fenêtre, parfois d’anciens modelages en pq, et le corps.
Demain cinquante ans.
Raws de sous-exposés à surexposés, fusionnés pour une image ouverte à la transformation de ses lumières, de ses couleurs et de ses contrastes, jusque dans les traitements locaux les plus fins.
Je presse le sujet pour en sortir les jus les plus profonds, et pourtant, il parvient toujours à m’échapper…
Parti de Muybridge et Marey j’ai rencontré toute l’histoire de l’image, du taureau de Lascaux au bœuf écorché, crucifié ou autre compotier, de l’odalisque à la Vénus en fleur offerte, à toute l’histoire de la vanité…
Aujourd’hui cinquante ans."
herve-germain-prisons.blogspot.fr/
Aujourd’hui, sur les photos de la nouvelle série, j’ai 56 ans (2017), mais, après des centaines de possibilités d’images, après des milliers d’heures de travail, j'ai 62 ans (2024).
Je rencontre Rubens, Rembrandt, Vermeer, le Caravage, Georges de la Tour, beaucoup Turner, je rencontre Van Gogh, Pissaro, Monet et Renoir mais aussi des fresques antiques, des visages de Francis Bacon, des textures de jeux vidéos ou encore des affiches de films d’horreur
Et ce n'est pas fini, je continue à rencontrer les Alpes de Courbet, le romantisme de Caspar David Friedrich, de Camille Corot, de Jean-Baptiste Millet, les courbes de François Boucher et les envolées de Fragonard, la théâtralité d’Antoine Watteau...
Je rencontre Gaza sous les bombes, la jungle, la forêt en feu, la tempête, les fonds sous-marin, les montagnes sous les nuages, les égouts, des monstres, des êtres originels, etc.
Je reviens, une fois de plus, à ce travail d'autoportrait avec plus de recul, même s'il reste désespéré