L'intérieur d'une hutte traditionnelle.

Un bel arbre devant la cathédrale.

Une pause barbecue à l'ombre des pandanus sur la côte sud près de St Philippe.

La plage, l'océan indien, l'ombre d'un filao

Des baies rouges, dans la forêt primaire.

A l'entrée de St Denis

Vue sur le cirque de Cilaos depuis la Fenêtre dans la forêt des Makes

Un arbre seul au bord de l'océan, peut-être un jeune filaos.

Dans le champ de lave depuis la route côtière.

En montant vers le Piton de la Fournaise, le paysage.

Un arbre à clou dans les jardins de l'Etat à St Denis.

Cascades le long de la route de Salazie.

Dans la forêt Des Makes.

Le paysage depuis la route du Piton de la Fournaise

Un bassin des jardins de l'Etat à St Denis

Fruit du cacao dans le jardin botanique.

Au milieu d'une coulée de lave un peu grasse refroidie, on devine que la nature reprend ses droits.

L'océan indien à l'anse des cascades.

Après une éruption vieille d'un an les pierres de lave sont encore chaudes

Sur la route de Cilaos

Un avion de tourisme survole le cirque de Cilaos.

La nature reprend ses droits au milieu de la lave refroidie.

Un pied de vanille

Un village vue de la route vers Cilaos

“La grandeur serait-elle de découvrir que l'essentiel est insaisissable ?”

Wilfrid Lemoine

Quelques maisons dans la végétation sous le volcan et face à l'océan.

Vue sur le fond du cirque de Cilaos depuis la Fenêtre dans la forêt des Makes

Une nature luxuriante

Le cirque de Cilaos depuis la Fenêtre dans la forêt des Makes

Vue sur St Denis depuis les hauteurs.

La végétation brulée après le passage de la lave

A St Denis face à l'océan.

Au marcher couvert de St Denis

Vue sur Notre Dame des laves

www.fluidr.com/photos/128193360@N04/46190407004

La végétation brulée après le passage de la coulée de lave

Le paysage au delà du cratère Commerson.

Autour du Cap Méchant, des Pandanus Utilis.

L'homme se tenait là, entre les rochers et les coraux. Il déliait ses tresses face à l'horizon, un rituel silencieux et intense. Ses cheveux qui n'avaient pas connu de ciseaux depuis des décennies prenaient des allures d'un être vivant qui se réveillait, une pieuvre fantastique contre laquelle l'homme se battait avec courage. L'image me rapella les mots de Victor Hugo dans Les travailleurs de la mer : "La pieuvre est un chef-d’œuvre".

N.A

La végétation reprend ses droits au milieu de la lave refroidie.