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Quelques temps avant le retrait des Corail de la transversale Pyrénéenne, la BB7281 est vue non loin du petit village de Lansac peu de temps après son départ de Tarbes. Elle tracte le Corail 14240 en provenance de la cité Basque. Ici, la caténaire MIDI, presque centenaire, est encore présente, mais devrait être retirée à l'occasion des travaux de renouvellement voie/caténaire entre 2019 et 2020.

Pour la petite anecdote, c'est le train dans lequel le youtubeur "Liono pointcom" a réalisé son Cabride entre les deux villes: youtu.be/i5EE3NKEbtE

 

Lansac - 14.05.2019.

Après avoir quitté Tarbes le train 14240 Bayonne/Toulouse commence à grimper tranquillement vers Tournay et la rampe de Capvern emmené par la BB7281 à Lansac (65)

Lansac est une petit village de la Gironde célèbre pour son moulin. Ce moulin appartient à un meunier qui produit et vend de la farine bio et qui en vend dans une boulangerie non loin. Ce monsieur est un passionné et la visite de son moulin fut vraiment un moment chaleureux!

Mill, Lansac , Gironde - France

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Moulin de Lansac.

Anne Tran (age 21) is a French female badminton player. In 2013, she won French National Badminton Championships in women's doubles event with her partner Delphine Lansac. In the same year, she won silver medal at the European Junior Badminton Championships in mixed team event, then in 2015 she won silver medal in girls' doubles and bronze medal in mixed doubles events.

en.wikipedia.org/wiki/Anne_Tran

 

On 23 and 24 June 2017, Paris is celebrating the Olympics with a rich and spectacular programme of sport.

en.parisinfo.com/what-to-do-in-paris/info/guides/olympic-...

 

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Le couvent de l'Annonciade est fondé à Bordeaux en 1520 par Jacquette de Lansac, suivant le règle donnée par Jeanne de France, fille de Louis XI en 1501. Après la Révolution, les locaux sont utilisés pour diverses activités sociales. La DRAC s'y installe en 1995.

La chapelle est construite de 1520 à 1532 sur des plans de Mathurin Galopin. Le chœur est agrandi vers l'ouest en 1613, puis vers l'est en 1680.

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La Flèche est une commune française située au sud du département de la Sarthe en région Pays de la Loire. Chef-lieu d'arrondissement et de canton, siège de la Communauté de communes du Pays Fléchois, elle comptait 15 087 habitants au dernier recensement en 2010 (population légale en vigueur au 1er janvier 2013), ce qui en fait la deuxième commune sarthoise en nombre d'habitants. Implantée sur le Loir, au cœur du Maine angevin, la commune est marquée par un réseau hydrographique très dense.

Née après l'an mille, la cité fléchoise prend son essor au début du xviie siècle sous l'impulsion de Guillaume Fouquet de La Varenne, puis avec la création du collège Henri-IV, tenu par les Jésuites, qui deviendra Prytanée national militaire en 1808. Important centre religieux au xviie siècle avec la présence de douze communautés religieuses sur son territoire, La Flèche est rattachée, comme dix-sept autres paroisses de l'ancienne province de l'Anjou, au département de la Sarthe. Elle s'agrandit en 1866 avec l'absorption de la commune de Sainte-Colombe, puis en 1965 avec le rattachement des communes de Verron et Saint-Germain-du-Val.

Depuis 2006, La Flèche et la vallée du Loir sont labellisées pays d'art et d'histoire. La commune possède sept monuments historiques inscrits ou classés, et bénéficie du label « ville fleurie » avec trois fleurs attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France. Elle est aussi membre de l'association Les Plus Beaux Détours de France. Ses habitants sont appelés les Fléchois.

La Flèche, commune du sud du département de la Sarthe, est située dans la vallée du Loir, au cœur du Maine angevin. Elle se trouve, à vol d'oiseau, à 39 km du Mans, 44 km d'Angers, 66 km de Tours, 66 km de Laval et 220 km de Paris

L'origine du nom de la commune est incertaine. L'hypothèse la plus probable est liée au nom latin finis qui signifie « frontière ». En effet, La Flèche était une ville située aux confins du Maine (ancien territoire des Aulerques Cénomans) et de l'Anjou (ancien territoire des Andécaves). Ce mot finis aurait donné par dérivations successives fissus, fixus puis fixa. Un mégalithe, ou une pierre « fichée » en terre aurait pu servir de bornage entre les deux provinces. On retrouve ce mot fixa dans les anciens manuscrits sous la forme complète fixa andegavorum, traduite postérieurement par La Flèche en Anjou mais qui signifiait proprement la limite d'Anjou22.

D'autres hypothèses avancent que le nom La Flèche viendrait du latin flexus, qui signifie « courbe », comme la situation de la ville dans un méandre du Loir, ou bien encore de la flèche qui surplombe le clocher de l'église Saint-Thomas.

 

Le Château-Neuf de La Flèche.

 

Le Collège Royal de La Flèche en 1655.

Jusqu'au milieu du xvie siècle, La Flèche est une ville ignorée par ses seigneurs, qui n'y séjournaient pas ou très rarement. Devenue veuve en 1537, Françoise d'Alençon décide de se retirer en sa seigneurie de La Flèche, qu'elle avait reçu en douaire de son mari Charles IV de Bourbon29. Le château féodal de La Flèche, bâti sur le Loir, est vétuste et sans confort après avoir été dévasté par les Anglais pendant la guerre de Cent Ans. Françoise d'Alençon fait alors entreprendre la construction d'une nouvelle demeure, le Château-Neuf, au nord de l'ancien château30. En 1543, Françoise d'Alençon obtient de François Ier l'érection de plusieurs de ses baronnies, dont celle de La Flèche, en duché-pairie sous le nom de duché de Beaumont29. À sa mort en 1550, son fils Antoine de Bourbon, père d'Henri IV, hérite de ses possessions, et notamment du Château-Neuf de La Flèche, où le futur roi de France séjourne à plusieurs reprises au cours de sa jeunesse.

En 1589, année de l'accession d'Henri IV au trône de France, La Flèche, fief des Bourbons, est prise par Lansac, capitaine ligueur catholique. La ville est reprise quelques jours plus tard par le marquis de VillainesF 3.

Henri IV et Fouquet de la Varenne, bienfaiteurs de La Flèche[modifier | modifier le code]

Dessin aquarellé montrant au centre les fondations du futur collège. Au fond à gauche, de vieilles maisons, à droite, une église.

 

La construction du Collège royal, dessin d'Étienne Martellange en 1612.

Issu d'une famille bourgeoise de La Flèche, Guillaume Fouquet de La Varenne entre au service de Catherine de Bourbon, la sœur du futur roi Henri IV, en 1578. Il devient portemanteau de celui qui n'est encore que le roi de Navarre deux ans plus tard31. Jusqu'à l'assassinat d'Henri IV en 1610, Guillaume vit dans l'ombre du roi en prenant une part active aux évènements importants du règne et en devenant l'un de ses plus fidèles conseillers31.

La fin du xvie siècle et le début du xviie siècle marquent le renouveau de la cité fléchoise. Devenu gouverneur de la ville et du château de La Flèche en 1589, Fouquet de la Varenne dirige des travaux d’embellissement et de transformation de la ville : les fortifications sont restaurées entre 1593 et 1596, le pont sur le Loir est reconstruit entre 1595 et 1600, le pavage des rues est entrepris à partir de 159732. Il instaure des foires franches, exemptes de droits féodaux, et accorde aux Fléchois le droit d’apetissement sur les vins et boissons vendus intra murosE 4. En 1595, Henri IV signe l'édit d'érection d'un siège présidial concentrant les affaires de Beaumont, Château-Gontier, Mamers, Sainte-Suzanne et Le Lude, ainsi que l'instauration de la cour prévôtale de La Flèche32'E 4.

Le 3 septembre 1603, Henri IV signe l'édit de Rouen qui autorise le retour des Jésuites en France, puis décide de leur céder son Château-Neuf de La Flèche afin qu'ils y créent un collège31 : c'est la naissance du collège royal Henri-le-Grand, qui accueille notamment dans ses murs le philosophe René Descartes et le premier évêque de Québec François de Montmorency-Laval33.

Par l'édit de Fontainebleau en 1607, Henri IV confirme son attachement pour le collège de La Flèche, en indiquant qu'il souhaite que son cœur soit prélevé sur sa dépouille après sa mort, puis placé dans l'église de ce collège34. Au lendemain de la mort du roi, Fouquet de la Varenne rappelle à la reine Marie de Médicis la promesse qu'avait fait Henri IV. Le cœur du défunt roi est alors confié aux Jésuites et apporté à La Flèche où le cortège fait son entrée au matin du 4 juin 1610, commandé par le duc de Montbazon34. Une cérémonie est donnée en l'église Saint-Thomas avant que le cœur soit transféré vers le collège royal. En juin 1611, afin de célébrer l'anniversaire du transfert du cœur du roi au Collège de La Flèche, les Pères Jésuites organisent la Henriade, une fête de trois jours pendant laquelle une procession, une pièce de théâtre présentant la France en habit de deuil se recueillant sur le tombeau du roi, ainsi que la lecture de compositions en prose ou en vers entretiennent le souvenir d'Henri IV35.

Le développement du collège se poursuit. En 1612, Marie de Médicis envoie le père Étienne Martellange à La Flèche afin qu'il préside à l'achèvement des travaux de l'église, dont les dépenses sont acquittées sur le trésor royal36. Le 3 septembre 1614, le jeune Louis XIII et la régente se rendent à La Flèche et sont accueillis au Collège royal36. Une fête somptueuse est ensuite organisée par Guillaume Fouquet, au cours de laquelle un ballet regroupant 800 danseurs est présenté au château de la Varenne37. En septembre 1615, le roi établit la municipalité de La Flèche par un édit32. En 1616, les terres de la Varenne sont réunies puis érigées en marquisat31

 

La Flèche et la fondation de Montréal

 

En 1597, Jérôme le Royer de la Dauversière naît à La FlècheH 1. Élève au collège des Jésuites, il est passionné par les récits que font les missionnaires jésuites de leur séjour en Nouvelle-France. Il succède ensuite à son père dans la charge de receveur des taillesH 2. Le 2 février 1630, alors qu'il prie devant la statue de Notre-Dame-du-Chef-du-Pont de l'ancienne chapelle du château des Carmes, il se sent appelé à fonder une congrégation religieuse hospitalière au service des pauvres pour se rendre en Nouvelle-FranceH 3. Quelques années plus tard, il rencontre Marie de La Ferre, avec qui il fonde la congrégation des Hospitalières de Saint-Joseph le 18 mai 1636H 4'38.

En 1640, il obtient de Jean de Lauzon qu'il lui cède la propriété de l'île de MontréalH 5. L'année suivante, avec Jean-Jacques Olier et Pierre de Fancamp, il fonde la Société Notre-Dame de Montréal destinée à fonder une ville fortifiée en Nouvelle-France dans le but d'y instruire les peuples indiens. Il rencontre à Paris Paul de Chomedey de Maisonneuve qui accepte de s'engager avec lui et de financer son projet. Jérôme Le Royer et les autres membres de la Société Notre-Dame cherchent alors à recruter des hommes prêts à s'embarquerH 6'38.

Du Port Luneau de La Flèche, une cinquantaine d'hommes prennent le départ en juillet 1641 pour la Nouvelle-France, via Nantes et La Rochelle, sous le commandement de Maisonneuve. Quelques sœurs hospitalières de Saint-Joseph, dont Jeanne Mance, embarquent en leur compagnie afin d'y créer l'Hôtel-Dieu de Montréal. Arrivés à Québec, les colons y passent l'hiver, avant de remonter le Saint-Laurent. Ils atteignent l'île de Montréal le 17 mai 1642, où ils fondent Ville-MarieH 7'38. À la fin de l'année 1651, Maisonneuve revient en France dans le but d'y recruter suffisamment d'hommes pour assurer la pérennité de Ville-Marie. C'est ainsi qu'on assiste à La Flèche, du 23 mars au 17 mai 1653, à l’engagement de plus d'une centaine d'hommes pour la Nouvelle-France, dans ce qu'on a appelé la « Grande Recrue »H 8'39. Ces hommes étaient, pour la plupart, originaires de La Flèche même ou des villages voisins. Sur les 121 engagés fléchois, seuls 71 prennent le départ de Saint-Nazaire le 20 juin39. Jérôme Le Royer ne se rendra jamais en Nouvelle-France, mais il reste bien l'instigateur de la fondation de Ville-Marie, devenue Montréal.

Située au sein de la Vallée du Loir, qui bénéficie du label pays d'art et d'histoire depuis 2006126'C 26, La Flèche est membre de l'association Les Plus Beaux Détours de France

 

Le Château des Carmes

 

Situé au milieu du Loir, le château des Carmes est le premier château fléchois. Au xie siècle, c'est une forteresse composée d'un simple donjon et d'un pont-levis qui défend le lieu de passage que constitue le gué à cet endroit. Jean de Beaugency, premier seigneur de La Flèche, est à l'origine de sa construction, et son fils Hélie, futur comte du Maine, le fait agrandir et renforcer vers la fin du xie siècleE 8. Pendant la Guerre de Cent Ans, le château est plusieurs fois assiégé et incendié par les Anglais. Reconstruit à nouveau vers 1450, il dresse encore les vestiges du donjon de cette période (trace des flèches du pont-levis et des mâchicoulis). En 1620, Louis XIII en fait don aux Carmes établis en ville qui le transforment entièrement134. Le bâtiment principal et le cloître datent de cette périodeE 8. À la Révolution, il est mis en vente comme bien national et devient propriété privée de la famille Bertron-Auger qui le transforme à nouveauE 8.

La municipalité en fait l'acquisition en 1909 pour y établir la mairie. Ravagé par un incendie en mars 1919, le château des Carmes est reconstruit dans les années qui suivent. Les bureaux de la mairie y sont de nouveau installés en novembre 1928. Depuis 1994, date de la construction des nouveaux bâtiments de l'Hôtel de villeC 28, le château est en partie utilisé pour diverses réceptions et manifestations ; il contient la salle des mariages de la ville de La Flèche, mais aussi deux salles d'expositions temporaires

Le couvent de l'Annonciade est fondé à Bordeaux en 1520 par Jacquette de Lansac, suivant le règle donnée par Jeanne de France, fille de Louis XI en 1501. Après la Révolution, les locaux sont utilisés pour diverses activités sociales. La DRAC s'y installe en 1995.

La chapelle est construite de 1520 à 1532 sur des plans de Mathurin Galopin. Le chœur est agrandi vers l'ouest en 1613, puis vers l'est en 1680.

Le couvent de l'Annonciade est fondé à Bordeaux en 1520 par Jacquette de Lansac, suivant le règle donnée par Jeanne de France, fille de Louis XI en 1501. Après la Révolution, les locaux sont utilisés pour diverses activités sociales. La DRAC s'y installe en 1995.

La chapelle est construite de 1520 à 1532 sur des plans de Mathurin Galopin. Le chœur est agrandi vers l'ouest en 1613, puis vers l'est en 1680.

Le cloître, construit aussi au XVIe siècle, est rectangulaire, les trente-deux chapiteaux sont ornés d'un décor végétal, d'animaux fantastiques, de personnages plutôt difformes et d'écus, inspirés par les modèles italiens et antiques.

L'artiste britannique Julian Opie, primé à la Biennale de Venise de 1993, a réalisé cet ensemble de cinq petits bâtiments en pierre calcaire, inspirés par les architectures banales et confortables des banlieues tranquilles, ressemblant à des tombeaux.

Le couvent de l'Annonciade est fondé à Bordeaux en 1520 par Jacquette de Lansac, suivant le règle donnée par Jeanne de France, fille de Louis XI en 1501. Après la Révolution, les locaux sont utilisés pour diverses activités sociales. La DRAC s'y installe en 1995.

La chapelle est construite de 1520 à 1532 sur des plans de Mathurin Galopin. Le chœur est agrandi vers l'ouest en 1613, puis vers l'est en 1680.

Le couvent de l'Annonciade est fondé à Bordeaux en 1520 par Jacquette de Lansac, suivant le règle donnée par Jeanne de France, fille de Louis XI en 1501. Après la Révolution, les locaux sont utilisés pour diverses activités sociales. La DRAC s'y installe en 1995.

La chapelle est construite de 1520 à 1532 sur des plans de Mathurin Galopin. Le chœur est agrandi vers l'ouest en 1613, puis vers l'est en 1680.

Le cloître, construit aussi au XVIe siècle, est rectangulaire, les trente-deux chapiteaux sont ornés d'un décor végétal, d'animaux fantastiques, de personnages plutôt difformes et d'écus, inspirés par les modèles italiens et antiques.

L'artiste britannique Julian Opie, primé à la Biennale de Venise de 1993, a réalisé cet ensemble de cinq petits bâtiments en pierre calcaire, inspirés par les architectures banales et confortables des banlieues tranquilles, ressemblant à des tombeaux.

 

Le couvent de l'Annonciade est fondé à Bordeaux en 1520 par Jacquette de Lansac, suivant le règle donnée par Jeanne de France, fille de Louis XI en 1501. Après la Révolution, les locaux sont utilisés pour diverses activités sociales. La DRAC s'y installe en 1995.

La chapelle est construite de 1520 à 1532 sur des plans de Mathurin Galopin. Le chœur est agrandi vers l'ouest en 1613, puis vers l'est en 1680.

Le cloître, construit aussi au XVIe siècle, est rectangulaire, les trente-deux chapiteaux sont ornés d'un décor végétal, d'animaux fantastiques, de personnages plutôt difformes et d'écus, inspirés par les modèles italiens et antiques.

 

Le couvent de l'Annonciade est fondé à Bordeaux en 1520 par Jacquette de Lansac, suivant le règle donnée par Jeanne de France, fille de Louis XI en 1501. Après la Révolution, les locaux sont utilisés pour diverses activités sociales. La DRAC s'y installe en 1995.

La chapelle est construite de 1520 à 1532 sur des plans de Mathurin Galopin. Le chœur est agrandi vers l'ouest en 1613, puis vers l'est en 1680.

Le cloître, construit aussi au XVIe siècle, est rectangulaire, les trente-deux chapiteaux sont ornés d'un décor végétal, d'animaux fantastiques, de personnages plutôt difformes et d'écus, inspirés par les modèles italiens et antiques.

 

Vue du bar à la tombée de la nuit

© Shigeru Ban Architects Europe - Jean de Gastines Architectes

Le moulin de Lansac

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