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Jace est un graffeur français, originaire du Havre, qui vit et travaille à La Réunion, et créateur des gouzous. Le nom « gouzou » vient d’un copain de Jace qui l’utilisait pour dire « les gens »
Jace is a French graffiti artist, originally from Le Havre, who lives and works in Reunion, and creator of gouzous. The name “gouzou” comes from a friend of Jace who used it to say “people”
dommage !!!
un vrai voleur a dérobé le deuxième Gouzou dessiné sur le panneau vitré de la porte
10 rue Leon Paillère Bordeaux
Rue du CERF -VOLANT
Bordeaux
une photo pour Jean Claude
par le plus pur des hasards j'ai découvert deux GOZOUS ce matin
amitiés
Rue Leupold
Bordeaux
une photo pour Jean Claude
par le plus pur des hasards j'ai découvert ce matin deux GOUZOUS
amitiés
Pour mon amie Françoise 😉
Jace : Le terme « Gouzou » vient des années lycée. Nous étions une bande de potes et l'un d'entre nous, qui venait du sud de la France, appelait les gens les « Gouzous »
Jace: The term “Gouzou” comes from the high school years. We were a group of friends and one of us, who came from the south of France, called people “Gouzous”
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Artiste : Jace
Saint-André | Nord (59) | Hauts-de-France | France
Pour les 500 ans du Havre, le graffeur Jace a peint une cinquantaine de Gouzous.
Les gouzous sont de petits bonshommes ronds dont seule une silhouette simple est tracée, les traits de leur visage, leurs mains ou leurs pieds n'étant pas représentés par l'artiste. Leur tête de forme ovoïde est presque aussi haute que le reste de leur corps.
For the 500 years of Le Havre, the graffiti artist Jace painted about fifty Gouzous.
The gouzous are little round fellows whose only simple silhouette is traced, the features of their faces, their hands or their feet not being represented by the artist. Their ovoid-shaped head is almost as high as the rest of their body.
Un des oeuvre du graffeur Jace ; En 2017, pour les 500 ans de la création du Havre, Jace un artiste-graffeur français, originaire du Havre qui vit aujourd'hui à La Réunion a disposé dans la ville 50 de ses "Gouzous"
Exposition de Jace "je t'aime un peu, beaucoup ... gouzou" à la galerie Mathgoth jusqu'au 14 janvier 2018.
Jace a réalisé ce dessin sur la façade de la galerie Mathgoth, 34 rue Hélène Brion (Paris 13ème).
Original, ce street art en forme de caisse en bois, en provenance de la Réunion, réalisé dans le cadre des festivités des 500 ans du Havre.
FR : Paris Rue de RIvoli
Le "street artist" français Jace s'est emparé d'une bâche de protection XXL recouvrant un immeuble haussmanien en cours de ravalement de facade, pour y exposer tres officiellement ses habituels "Gouzous", petits bonshommes jaunes-orangés minimalistes et assexués (Une vraie ressemblance avec ceux de Keith Haring, mais en un peu moins anguleux) à têtes sphériques et dépourvues d’yeux (Croyez-moi, on y gagne un temps fou pour le dessin !)
Certes, graphiquement parlant, Jace ne boxe pas dans la même catégorie que Michel-Ange, mais la Rue de Rivoli n’est pas la Chapelle Sixtine non plus… Et c’est toujours plus esthétique qu’un échafaudage nu, et moins polluant pour l’esprit qu’une publicité géante pour un hamburger trop gras ou une boisson gazeuse chimique et sucrée ! 😄
EN: Paris Rue de Rivoli
The French street artist Jace has seized an XXL protective cover on a building in process of facade renovation, to expose his usual "Gouzous" (in English, pronounce “Guzu”), small and minimalist yellow characters, with spherical and eyeless heads
Magnificent graff made by Jace on the test pylon of the bridge of the Saint-Etienne River, Ile de La Réunion.
Exposition "Clichés" de Jace à la Galerie Mathgoth, jusqu'au 31 décembre 2015.
Galerie Mathgoth, 34 rue Hélène Brion, Paris 13ème
by Jace
Photo de mauvaise qualité... ferai mieux lors d'un prochain passage sur le périf au niveau de la Porte d'Auteuil
Aujourd'hui la Saint-Valentin est passé. La fête des amoureux, paraît-il. Ça n'a que peu de sens pour un loup solitaire comme moi qui a toujours été déçu, ou souvent rejeté. Pour moi cette journée me semble même être le contraire d'une fête, pour être un être démolie comme moi... À l'image d'un vieux bâtiment tombé en décrépitude qui a pourtant été le symbole de l'amour grâce à un fameux gouzou de Jace. Finalement on a détruit ces vieux silos qui ne pouvaient être un symbole définitif de l'amour. L'amour finit-il par la ruine ? Finit-il par ruiner les mortels de ce monde vain et affligeant ? Tout commence, comme toujours, par un cœur brisé, puis dans un temps plus ou moins lent suivra l'effondrement du reste. Si la vieillesse et la maladie brise le corps, la peine d'amour brise le le cœur et l'âme avant l'effondrement complet de la vie.