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Archive image addition for London Dada Flikr album 2010 - 2012.
View SE over the banking and finance sector of Canary Wharf towers from Alexander Palace, Muswell Hill.
Denizens of Otherworld – gambling with their customers’ money in the casino of world finance. When they win they open the bonus bubbly, when they lose the debt gets passed back to the customer with interest and the corporate criminals leave with large payoffs.
* Can anyone sum up the banking scenario more succinctly than ” a rigged casino” without resorting to profanities?
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londondada.art/2012/06/16/london-dada-work-603-otherworld...
Japanese mask ( Anonymous, 1600-1800). From the very intriguing exhibition MONOMANIA by Dutch artist Fiona Tan in Rijksmuseum Amsterdam.
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Fondazione Sandretto Re Rebaudengo. Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Price: € 25
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators' by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Minerva Cuevas
(1975, Mexico City, Mexico; lives in Mexico City, Mexico)
Egalité, 2004
Acrylic paint on wall and a stock of water bottles with altered labels
Dimensions variable
Produced by Le Grand Café, Centre d’Art Contemporain, Saint-Nazaire
Courtesy the artist and kurimanzutto, Mexico City
Photo: Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino,
Part of the group exhibition "Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities", Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino, 29 February–18 May 2008. Curated by Ilaria Bonacossa and Latitudes.
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
MMK 1
17. September 2016 — 15. Januar 2017
Die Künstlerin Fiona Tan (*1966) zählt zu den herausragenden Künstlerinnen ihrer Generation. In der Werkschau „Geografie der Zeit“ im MMK 1 stehen neben Hauptwerken aus ihrem filmischen Œuvre – wie die Doppelprojektion „Rise and Fall“, die sie 2009 für den Niederländischen Pavillon der Venedig Biennale produzierte – die neueste Entwicklung in ihrem Werk hin zu installativen Environments im Fokus.
Fiona Tan verwendet Film, Fotografie, Installation, Audio und Text, um zentrale Fragen zur Identität des Menschen im 21. Jahrhundert zu stellen: Wie sehen wir uns selbst und was bestimmt unsere Perspektive auf das Andere? Ihre bewegenden und zutiefst menschlichen Werke untersuchen Geschichte und Zeit und unsere Verortung darin. In eindrucksvollen Bildern und Installationen erzählt Tan davon, wie die eigene Erinnerung unser Verständnis der Gegenwart prägt. In ihren Bildwelten lösen sich die Grenzen zwischen persönlichem und kollektiven Gedächtnis, Innen und Außen, Fiktion und Wirklichkeit auf.
Erinnerung und Identität waren von Beginn ihrer künstlerischen Karriere wiederkehrende Themen in Fiona Tans Œuvre. Besonders das Thema der kulturellen Prägung spielt bedingt durch ihre Abstammung – Tan wurde als Kind von chinesisch-australischen Eltern in Indonesien geboren, wuchs in Australien auf und zog später in die Niederlande – eine entscheidende Rolle in ihrem Schaffen. Die Ausstellung im MMK 1 folgt mit Werken wie „Diptych“ (2006–11), filmischen Porträtaufnahmen von Zwillingen, über höchst elaborierte Video-Installationen wie „Nellie“ (2013), bis zu den jüngsten ‘mixed-media’-Werken wie „Ghost Dwellings“ und Objekt-Installationen wie „1 to 87“ diesen Leitmotiven, präsentiert in einer faszinierenden, von der Künstlerin entworfenen Ausstellungsarchitektur. Quelle: mmk-frankfurt.de/de/ausstellungen/ausstellung-details/art...
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Sergio Vega
(1959, Buenos Aires, Argentina; lives in Gainesville, US)
Paradise on fire, 2007
Video on plasma screen
29’
Courtesy the artist and Umberto di Marino Arte Contemporanea, Naples
Paradise on fire, 2007
Series of five archival inkjet prints
106 x 134 cm each
Courtesy the artist and Umberto di Marino Arte Contemporanea, Naples
Photo: Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino.
Part of the group exhibition "Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities", Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino, 29 February–18 May 2008. Curated by Ilaria Bonacossa and Latitudes.
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Simon Starling
(1967, Epsom, UK; lives in Copenhagen, Denmark)
C.A.M. Crassulacean Acid Metabolism, 2005
Installation with 4 cactus cast iron radiators, copper piping, boiler
Courtesy the artist; The Modern Institute/Toby Webster Ltd., Glasgow and Galleria Franco Noero, Turin.
Photo: Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino.
Part of the group exhibition "Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities", Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino, 29 February–18 May 2008. Curated by Ilaria Bonacossa and Latitudes.
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior
Simon Starling
(1967, Epsom, UK; lives in Copenhagen, Denmark)
C.A.M. Crassulacean Acid Metabolism, 2005
Installation with 4 cactus cast iron radiators, copper piping, boiler
Courtesy the artist; The Modern Institute/Toby Webster Ltd., Glasgow and Galleria Franco Noero, Turin
Chu Yun
(1977, Jiangxi, China; lives in Shenzhen, China)
Constellation, 2006
Installation, mixed media
Courtesy the artist and Uli Sigg Collection, Mauensee, Switzerland.
Photo: Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino.
Part of the group exhibition "Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities", Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino, 29 February–18 May 2008. Curated by Ilaria Bonacossa and Latitudes.
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du diorama et de son influence sur des artistes majeurs du XXème et du XXIème siècle, l’exposition Dioramas invite à plonger dans les mécanismes cachés de ce dispositif. En démantelant ses stratégies d’illusionnisme, elle offre la possibilité d’élaborer une approche critique du pouvoir de représentation, et ouvre à des problématiques actuelles telles que la conscience écologique et l’héritage visuel du colonialisme.
Avec : Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Wang Jianwei
(1958, Juinning, China; lives in Beijing, China)
Spectacle, 2005
Installation: plastic bags and electric fans
Courtesy the artist and Chambers Fine Art, Beijing
Photo: Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino.
Part of the group exhibition "Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities", Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino, 29 February–18 May 2008. Curated by Ilaria Bonacossa and Latitudes.
Minerva Cuevas (1975, Mexico City, Mexico; lives in Mexico City, Mexico)
'Egalité', 2004
Acrylic paint on wall and a stock of water bottles with altered labels.
Dimensions variable.
Produced by Le Grand Café, Centre d’Art Contemporain, Saint-Nazaire.
Courtesy the artist and kurimanzutto, Mexico City.
Amy Balkin
'Public Smog', 2004-ongoing
Project documentation, looping flash animation, 22'
Courtesy the artist.
Photo: Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino.
Part of the group exhibition "Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities", Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino, 29 February–18 May 2008. Curated by Ilaria Bonacossa and Latitudes.
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
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Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Exhibition catalogue 'Greenwashing. Environment: Perils, Promises and Perplexities'
Publisher: The Bookmakers Ed. (currently Archive Books)
Format: Softcover / 17 x 24 cm / 192 pp / colour
ISBN: 978-88-95702-01-8
Publication date: February 2008
Availability: Please send your enquiry writing to: info@archivebooks.org
Distributor: Distributed Art Publishers
Content: Preface by Patrizia Sandretto Re Rebaudengo; 'A Convenient Lie' by Francesco Bonami; 'Shades of Green. A Conversation between the curators', by Latitudes and Ilaria Bonacossa; 'The Dark Side of the Green Planet' by Riccardo Boero; 'Greenwashing or Greenwhising?' by Marco Benatti; and 25 artists entries.
All images: Latitudes | www.lttds.org
Exposition
Du 14/06/2017 au 10/09/2017
À l’été 2017, le Palais de Tokyo invite, avec Dioramas, à découvrir une source d’inspiration inattendue des artistes contemporains : le diorama. L’exposition déconstruit de manière inédite l’histoire du regard, au croisement de l’histoire, de l’histoire de l’art, du cinéma, du monde de la scène, des arts populaires et forains et de l’histoire des sciences et techniques.
Balzac qualifiait le diorama de « merveille du siècle »(1) : son invention au XIXème siècle a constitué une révolution optique, un moment clé de l’histoire du spectaculaire dans l’héritage des lanternes magiques du XVIIème siècle.
Du diorama de Daguerre consistant en une peinture de grande dimension soumise à de savants jeux d’éclairage, au célèbre diorama historique ou naturaliste connu des musées d’Histoire naturelle, formé d’une vitre, d’une toile de fond et d’éléments tridimensionnels, le diorama incarne le règne de la mise en scène et de l’illusion. En donnant, selon la forme inventée par Daguerre, l’impression du mouvement par des effets de lumière, il figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma. En offrant, dans sa seconde acception, la reconstitution d’une situation qui ne peut être vue pour des raisons spatiales ou temporelles, il donne naissance à une réalité virtuelle, et invite à croire, un instant, à l’authenticité de l’artifice.
S’il met en scène notre connaissance du monde, le diorama - dont l’étymologie signifie « voir à travers » - sert ainsi également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre.
Dans le sillage de l’exposition Le Bord des mondes (2015), le Palais de Tokyo poursuit ici son exploration des multiples territoires de l’art avec une constante ouverture à l’égard des différents champs de savoir. Ainsi, au-delà de l’histoire du dior