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Je me lance dans une nouvelle portfolio sur les pellicules moyen format. Il y a 2 deux semaines que j'ai vendu mon boitier numérique et acheter les choses pour me faire une vrai chambre noire ! Je suis exaltée ! Cette série seras la culmination de toutes les choses qui me parle de l'amour et la série s'appelle "Où l'amour habite." Je remercie notre amie Zoja d'avoir posé pour moi ici.
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I am starting a new portfolio in medium format film. Two weeks ago, I sold my digital camera and bought an enlarger and almost all I need to make a proper darkroom. There are still a couple of things left to purchase, and then I can start printing! So damn excited about this. A world of possibility has cracked open, and I can't wait to dive in and discover it. The new portfolio is called "Where Love Resides," and is an exploration of the tings that make my little heart swell : nature, discovery, mystery, tenderness, growth, vulnerability. I thank my friend Zoja for having posed for me here in this photo.
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées
Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : Je sais le soir,
L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très-antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulement d'eau au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés de punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
Presque île, balottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur,
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? -
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
********* ENGLISH VERSION ***********
As I was floating down unconcerned Rivers
I no longer felt myself steered by the haulers:
Gaudy Redskins had taken them for targets
Nailing them nake d to coloured stakes.
I cared nothing for all my crews,
Carrying Flemish wheat or English cottons.
When, along with my haulers those uproars were done with
The Rivers let me sail downstream where I pleased.
Into the ferocious tide-rips
Last winter, more absorbed than the minds of c hildren,
I ran! And the unmoored Peninsulas
Never endured more triumphant clamourings
The storm made bliss of my sea-borne awakenings.
Lighter than a cork, I danced on the waves
Which men call eternal rollers of victims,
For ten nights, without once missing the foolish eye of the harbor lights!
Sweeter than the flesh of sour apples to c hildren,
The green water penetrated my pinewood hull
And washed me clean of the bluish wine-stains and the splashes of vomit,
Carrying away both rudder and anchor.
And from that time on I bathed in the Poem
Of the Sea, star-infused and churned into milk,
Devouring the green azures; where, entranced in pallid flotsam,
A dreaming drowned man sometimes goes down;
Where, suddenly dyeing the bluenesses, deliriums
And slow rhythms under the gleams of the daylight,
Stronger than alcohol, vaster than music
Ferment the bitter rednesses of love!
I have come to know the skies splitting with lightnings, and the waterspouts
And the breakers and currents; I know the evening,
And Dawn rising up like a flock of doves,
And sometimes I have seen what men have imagined they saw!
I have seen the low-hanging sun speckled with mystic horrors.
Lighting up long violet coagulations,
Like the performers in very-antique dramas
Waves rolling back into the distances their shiverings of venetian blinds!
I have dreamed of the green night of the dazzled snows
The kiss rising slowly to the eyes of the seas,
The circulation of undreamed-of saps,
And the yellow-blue awakenings of singing phosphorus!
I have followed, for whole months on end, the swells
Battering the reefs like hysterical herds of cows,
Never dreaming that the luminous feet of the Marys
Could force back the muzzles of snorting Oceans!
I have struck, do you realize, incredible Floridas
Where mingle with flowers the eyes of panthers
In human skins! Rainbows stretched like bridles
Under the seas' horizon, to glaucous herds!
I have seen the enormous swamps seething, traps
Where a whole leviathan rots in the reeds!
Downfalls of waters in the midst of the calm
And distances cataracting down into abysses!
Glaciers, suns of silver, waves of pearl, skies of red-hot coals!
Hideous wrecks at the bottom of brown gulfs
Where the giant snakes devoured by vermin
Fall from the twisted trees with black odours!
I should have liked to show to c hildren those dolphins
Of the blue wave, those golden, those singing fishes.
- Foam of flowers rocked my driftings
And at times ineffable winds would lend me wings.
Sometimes, a martyr weary of poles and zones,
The sea whose sobs sweetened my rollings
Lifted its shadow-flowers with their yellow sucking disks toward me
And I hung there like a kneeling woman...
Almost an island, tossing on my beaches the brawls
And droppings of pale-eyed, clamouring birds,
And I was scudding along when across my frayed cordage
Drowned men sank backwards into sleep!
But now I, a boat lost under the hair of coves,
Hurled by the hurricane into the birdless ether,
I, whose wreck, dead-drunk and sodden with water,
neither Monitor nor Hanse ships would have fished up;
Free, smoking, risen from violet fogs,
I who bored through the wall of the reddening sky
Which bears a sweetmeat good poets find delicious,
Lichens of sunlight [mixed] with azure snot,
Who ran, speckled with lunula of electricity,
A crazy plank, with black sea-horses for escort,
When Julys were crushing with cudgel blows
Skies of ultramarine into burning funnels;
I who trembled, to feel at fifty leagues' distance
The groans of Behemoth's rutting, and of the dense Maelstroms
Eternal spinner of blue immobilities
I long for Europe with it's aged old parapets!
I have seen archipelagos of stars! and islands
Whose delirious skies are open to sailor:
- Do you sleep, are you exiled in those bottomless nights,
Million golden birds, O Life Force of the future? -
But, truly, I have wept too much! The Dawns are heartbreaking.
Every moon is atrocious and every sun bitter:
Sharp love has swollen me up with heady langours.
O let my keel split! O let me sink to the bottom!
If there is one water in Europe I want, it is the
Black cold pool where into the scented twilight
A child squatting full of sadness, launches
A boat as fragile as a butterfly in May.
I can no more, bathed in your langours, O waves,
Sail in the wake of the carriers of cottons,
Nor undergo the pride of the flags and pennants,
Nor pull past the horrible eyes of the hulks.
Daikoku : Ancêtre de Kuriya. Kami (dieu) protecteur des fermiers. Il possède le maillet de la chance. Le sac qu'il porte sur son dos est remplit de riz (son trésor).
Au Japon, Daikokuten (大 黒 天), le dieu de la grande obscurité ou de la noirceur, ou le dieu des cinq céréales, est l'un des sept dieux de la chance (Fukujin). Daikokuten a évolué à partir de la forme bouddhiste de la divinité indienne Shiva entrelacé avec le dieu Shinto Ōkuninushi. Le nom est l'équivalent japonais de Mahākāla, le nom bouddhiste pour Shiva.
Le dieu jouit d'une position exaltée en tant que divinité domestique au Japon. L'association de Daikoku avec la richesse et la prospérité a précipité une coutume connue sous le nom de fukunusubi, ou «vol de fortune». Cette coutume a commencé avec la croyance que celui qui a volé des figures divines est assuré de la bonne fortune si il n'est pas surpris dans l'acte. Le toshi-no-ichi (marché de fin d'année) tenu à Sensō-ji est devenu le principal lieu de vente et de d'exposition de ces images par les demandeurs de fortune. Beaucoup de petits étals sont ouverts où des articles comprenant des images de Daikoku sont vendus à la veille des célébrations du Nouvel An.
Les Japonais maintiennent également le symbole de Mahakala comme un monogramme. Les pèlerins traditionnels montés sur le mont sacré Ontake portent le tenugui (une sorte d'écharpe blanche) avec la syllabe de graine de Mahakala.
Daikoku est diversement considéré comme le dieu de la richesse, ou de la maison, en particulier la cuisine. Il est reconnu par son large visage, son sourire et son chapeau noir plat. Il est souvent représenté tenant un maillet d'or appelé Uchide no kozuchi, autrement connu comme un maillet d'argent magique, et est vu assis sur des ballots de riz, avec des souris à proximité signifiant nourriture abondante.
L'image de Daikoku figurait sur le premier billet de banque japonais, conçu par Edoardo Chiossone.
Traduit de :
en.wikipedia.org/wiki/Daikokuten
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In Japan, Daikokuten (大黒天), the god of great darkness or blackness, or the god of five cereals, is one of the Seven Lucky Gods (Fukujin). Daikokuten evolved from the Buddhist form of the Indian deity Shiva intertwined with the Shinto god Ōkuninushi.[1] The name is the Japanese equivalent of Mahākāla, the Buddhist name for Shiva.[2]
The god enjoys an exalted position as a household deity in Japan. Daikoku's association with wealth and prosperity precipitated a custom known as fukunusubi, or "theft of fortune". This custom started with the belief that whoever stole divine figures was assured of good fortune if not caught in the act. The toshi-no-ichi (year-end market) held at Sensō-ji became the main venue of the sale and disposal of such images by the fortune-seekers. Many small stalls were opened where articles including images of Daikoku were sold on the eve of New Year celebrations.[3]
The Japanese also maintain the symbol of Mahakala as a monogram. The traditional pilgrims climbing the holy Mount Ontake wear tenugui (a kind of white scarf) with the seed syllable of Mahakala.
Daikoku is variously considered to be the god of wealth, or of the household, particularly the kitchen. He is recognised by his wide face, smile, and a flat black hat. He is often portrayed holding a golden mallet called an Uchide no kozuchi, otherwise known as a magic money mallet, and is seen seated on bales of rice, with mice nearby signifying plentiful food.
Daikoku's image was featured on the first Japanese bank note, designed by Edoardo Chiossone.
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus tiré par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
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Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
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Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : Je sais le soir,
L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelques fois ce que l'homme a cru voir !
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J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux des panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
ARTHUR RIMBAUD
Extraits du Bateau ivre
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As I was floating down unconcerned Rivers
I no longer felt myself steered by the haulers:
Gaudy Redskins had taken them for targets
Nailing them naked to coloured stakes.
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Sweeter than the flesh of sour apples to children,
The green water penetrated my pinewood hull
And washed me clean of the bluish wine-stains and the splashes of vomit,
Carring away both rudder and anchor.
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I have come to know the skies splitting with lightnings, and the waterspouts
And the breakers and currents; I know the evening,
And Dawn rising up like a flock of doves,
And sometimes I have seen what men have imagined they saw!
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I have struck, do you realize, incredible Floridas
Where mingle with flowers the eyes of panthers
In human skins! Rainbows stretched like bridles
Under the seas' horizon, to glaucous herds!
ARTHUR RIMBAUD
Extracts of The Drunken Boat
Thank you all for your comments... and to think AR was only 16 or 17 when he wrote this.... !
Rome 24 février 1821
Les volets clos
sur ta fièvre exaltée,
le flot de ses cheveux,
tu revois ton étoile,
heureuse,
dans une danse diaphane
te dissoudre dans l’eau
Roma, the 24 th of february 1821,
flaps closed
on your exalted fever,
the flow of her hair,
you see again
your bright star
in a diaphanous dance
dissolve you in water
Ste Jehanne (Jeanne) d'Arc / St Joan of Arc
Cette statue est également d’une rareté car selon les recherches que j’ai entreprises son armure ici est conforme à celle qu’elle a réellement portée si l’ont compare avec les plus anciens documents et représentations de celle-ci aux archives de la famille de Ste Jehanne d’Arc (dont le prénom à l’époque s’épelait ainsi). /
This statue is quite rare according to research I have done her armour here is conform to that which she truly wore if you compare with the oldest documents and representations of her in the archives of the family of St Joan of Arc (her name was actually spelled 'Jehanne')
Née / Born: 6 January 1412 at Greux-Domrémy, Lorraine, France [Maintenant appelé / Now called: Domrémy-La-Pucelle, France]
Décès / Died: Brûlée vive le 30 mai 1431 Place du Vieux Marché, Rouen, France / burned alive on 30 May 1431 Old Market Square place, Rouen, France
Béatifiée / Beatified: le 11 avril 1905 par le pape Saint Pie X / 11 April 1905 by Pope Saint Pius X
Canonisée / Canonized: le 16 mai 1920 par le Pape Benoît XV / 16 May 1920 by Pope Benedict XV
Patronats / Patronages:
1) Captives
2) France
3) The City of Paris, France
4) Martyrs
5) Opposition of Church authorities
6) People ridiculed for their piety
7) Wrongfully Imprisoned people and Prisoners
8) Rape victims
9) Soldiers - Elle devint la Patronne des soldats lors de la Première Guerre Mondiale / She became the Patron of Soldiers during WWI
10) WACs
11) WAVES (Women Appointed for Voluntary Emergency Service) and Women's Army Corps
From a technical and even legal standpoint, she was of 'noble origin' before she was canonized as a Saint - albeit, she was not of a family which would have had noble origins at the onset, she was enobled post-humously in 1492 with title and arms granted BEFORE she was declared a Saint by Pope Benedict XV on May 16, 1920 - actually, therefore she was a 'member of the nobility.’ Both her and her entire family were enobled simultaneously and all descendants of this family hold the right to add the name ‘du Lys’ after their family name [meaning ‘of the Lilly’ – the Lilly, being one of the emblems of French royalty and nobility is also an emblem of the Holy Trinity and of the nation of France]
Here are the original textual records of her letters patent of nobility and a translation which follows:
LETTRES PATENTES DE NOBLESSE DE LA FAMILLE DE SAINTE JEANNE D'ARC :
'Les parents de Jeanne, tous les membres de leur famille furent anoblis par lettres-patentes accordées par Charles VII en décembre 1429 à Mehun-sur-Yèvre' '...extrait de ces lettres :
'Nous, Charles, roi des français, pour perptuelle mémoire. Notre but est d'exalter l'effusion des graces éclatantes que la divine Majesté nous a départies par le signalé ministère de notre chère et aimée Pucelle, Jehanne Day de Domrémy, du baillage de Chaumont ou de son ressort, et les graces que nous espérons encore, par le secours de la divine clémence. A cette fin, nous croyons convenable et opportun que ce ne soit pas seulement la Pucelle, mais encore toute sa parenté qui, non pas tant pour ses services que comme expression d'une divine louange, soit exaltée par de dignes marques d'honneur de notre part. Celle qu'une clarté si divine environne laissant à la Race d'où elle est sortie un don insigne de notre royale libéralité, la gloire de Dieu ira se perpétuant et se promongeant dans la suite des ages avec le souvenir des magnifiques grâces que notre don proclamera.
Sachent donc tous dans le présent et dans l'avenir qu'attendu ce qui vient d'être exposé, en considération des louables, agréables et opportuns services rendus et à nous et à notre royaume de tant de manières par Jeanne la Pucelle, en considération de ceux que nous en attendons dans l'avenir, pour d'autres motifs qui nous y incitent, nous avons anobli cette même Pucelle et en son honneur et considération Jacques Day (sic), dudit Domrémy, son père, Isabelle sa mère, femme du même Jacques, Jacquemin, et jean Day et Pierre Pierrelot, ses frères, toutes sa parenté et lignage, toute leur postérité masculine et féminine, née et à naître...'
Références: (Arch. Nat. Lettres patentes d'anoblissement JJ 260, a, fol. 207, No 306. Enquête faite à Vaucouleurs le 13 avril 1352).
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TRADUCTION / TRANSLATION (The translation follows EACH portion of French text - some is repeated here from the integral text above]
A historian states : 'Les parents de Jeanne, tous les membres de leur famille furent anoblis par lettres-patentes accordées par Charles VII en décembre 1429 à Mehun-sur-Yèvre' '...extrait de ces lettres : [Translation : The parents of Jeanne (Joan), all the members of her family were ennobled by letters patent granted by Charles VII in December 1429 at Mehun-sur-Yèvre - here is an except of these letters:]
'Nous, Charles, roi des français, pour perptuelle mémoire. Notre but est d'exalter l'effusion des graces éclatantes que la divine Majesté nous a départies par le signalé ministère de notre chère et aimée Pucelle, Jehanne Day de Domrémy, du baillage de Chaumont ou de son ressort, et les graces que nous espérons encore, par le secours de la divine clémence. A cette fin, nous croyons convenable et opportun que ce ne soit pas seulement la Pucelle, mais encore toute sa parenté qui, non pas tant pour ses services que comme expression d'une divine louange, soit exaltée par de dignes marques d'honneur de notre part. Celle qu'une clarté si divine environne laissant à la Race d'où elle est sortie un don insigne de notre royale libéralité, la gloire de Dieu ira se perpétuant et se promongeant dans la suite des ages avec le souvenir des magnifiques grâces que notre don proclamera.
Sachent donc tous dans le présent et dans l'avenir qu'attendu ce qui vient d'être exposé, en considération des louables, agréables et opportuns services rendus et à nous et à notre royaume de tant de manières par Jeanne la Pucelle, en considération de ceux que nous en attendons dans l'avenir, pour d'autres motifs qui nous y incitent, nous avons anobli cette même Pucelle et en son honneur et considération Jacques Day (sic), dudit Domrémy, son père, Isabelle sa mère, femme du même Jacques, Jacquemin, et jean Day et Pierre Pierrelot, ses frères, toutes sa parenté et lignage, toute leur postérité masculine et féminine, née et à naître...'
Réference: (Arch. Nat. Lettres patentes d'anoblissement JJ 260, a, fol. 207, No 306. Enquête faite à Vaucouleurs le 13 avril 1352).
[Translation : 'We, Charles, King of the French, for perpetual memory, Our goal is to exalt the effusion of shining/glorious graces which the divine Majesty imparted upon us by the signed ministry of our dear and beloved Maiden (note Maiden here also means virgin via the word 'Pucelle'), Jehanne Day de Domrémy, of the bailiff of Chaumont (region) whereby of her deeds, and the graces which we again hope for, by the succour of divine clemency. To this end, we find it convenient and opportune that it not only be the Maiden, but again her entire family (relations/parentage relatives) which, not as much for its services, but for the expression of a divine prayer, be exalted by noble marks of honour on our part. One (She) whom is encompassed (surrounded) by such divine clarity leaving to the Race from which she is issued a marked gift of our royal liberty, the glory of God shall in perpetuity (perpetually) and shall prolong in the succession of ages with the memory of the magnificent graces that our gift shall proclaim.
Know all in the present and in the future hereby understand (to be expected to be understood by you all) that which has been presently exposed, in consideration for the laudable, agreeable and opportune services rendered and to us and to our kingdom in as many ways (manners) by Jeanne the Maiden, in consideration for those we shall expect in the future, for other motivations which incite us to do so, we have ennobled this same Maiden and in her honour and consideration Jacques Day (sic), of the said Domrémy, her father, Isabelle her mother, wife of the same Jacques, Jacquemin and Jean Day and Pierre Pierrelot (my direct ancestor also known as the Chevalier du Lys - or Knight of the Lily …symbol of France), her brothers, all her family and lineage, all their posterity masculine and feminine, borne and to be born...'
Reference: (National Archives [of France]. Letters patent of ennoblement JJ 260, a, Folio 207, Number 306. Investigation made at Vaucouleurs the 13th of April 1352.)
Note: this '1352' is confusing and an error which skipped in the transcription which was made available on the 500th anniversary of St Joan of Arc - as this is a reference to an investigation done AFTER Jeanne d'Arc was killed. Hence, the year is more likely to be: '1432' [the year AFTER - she died on May 30, 1431] - or - the investigation mentioned here could have also been in '1452' - further investigation is warranted here to find the correct year to what seems to be a 'typographical error' in the source material. However, this does NOT change anything to the rest of the reference in the National Archives of France. Also, keep in mind that she was declared officially 'innocent of all charges' which caused her to be condemned to death, on July 07, 1456 - which makes me tend to believe this investigation took place in 1452 and this more than likely is the correct date which should have been entered in the statement on the Vaucouleurs investigation in the article which came out in 1981 to mark the 500th anniversary of her martyrdom.
Deuxième référence / Second reference: Article par / Article by: D. de la Barre - La Revue Française de Généalogie : Août-Septembre 1979, p.21
Note: The translation here is LEGALLY COPYRIGHTED to myself and CANNOT be used anywhere without my explicit written permission!
Les doyens des Archives de Ste Jehanne d'Arc sont des descendants des membres de sa famille - les Haldats du Lys. /
The deans of the Archives of St Joan of Arc are descendants of members of her family - the Haldat du Lys.
Ste Jehanne (Jeanne) d'Arc et ma 18e très-grande-tante /
St Joan of Arc is my 18th great-grand-aunt
Painted around 1630 by Karel Philips Spierincks — a Flemish artist active in Rome and a follower of the Caravaggesque tradition — this dramatic canvas captures the mythological figure Silenus, companion and tutor to Dionysus. Often portrayed as a rotund, drunken elder, here Silenus is unusually muscular and theatrical, caught mid-stride in a moment of triumph, bearing a striking resemblance to a warrior or demigod rather than the usual wine-soaked reveler.
The swirling plume of his helmet, intense upward gaze, and forceful gesture elevate the composition with a sense of movement and divine frenzy — blending Flemish technique with Roman baroque expressiveness.
The painting was acquired by the Musée des Beaux-Arts de Bordeaux in 2020, thanks to a donation by the Société des Amis des Arts de Bordeaux.
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🇫🇷Peinte vers 1630 par Karel Philips Spierincks — artiste flamand actif à Rome et influencé par le caravagisme — cette toile saisissante représente le personnage mythologique de Silène, compagnon et précepteur de Dionysos.
Loin du vieillard ventru et ivre traditionnellement associé à Silène, ce dernier apparaît ici comme un guerrier musclé et théâtral, l’allure triomphante, l’expression exaltée.
Le panache de son casque, son regard tourné vers le ciel et son geste énergique donnent à l’ensemble une intensité quasi divine — entre technique flamande et dynamisme baroque.
L’œuvre est entrée dans les collections du Musée des Beaux-Arts de Bordeaux en 2020, grâce à un don de la Société des Amis des Arts de Bordeaux.
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🇬🇧 The Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, founded in 1801, is one of France’s oldest provincial art museums. Housed in two wings flanking the Hôtel de Ville gardens, its collection spans from the Renaissance to the 20th century, featuring works by Rubens, Van Dyck, Delacroix, Matisse, and Bordeaux-born painters like Odilon Redon. Intimate in scale but rich in depth, the museum offers a journey through European art history, with a particular focus on portraiture, allegory, and the grandeur of classical painting.
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🇫🇷 Le Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, fondé en 1801, est l’un des plus anciens musées d’art de province en France. Installé dans deux pavillons encadrant les jardins de l’Hôtel de Ville, il propose un parcours allant de la Renaissance au XXe siècle, avec des œuvres de Rubens, Van Dyck, Delacroix, Matisse ou encore Odilon Redon, natif de Bordeaux. À taille humaine mais d’une grande richesse, le musée offre une traversée de l’histoire de l’art européen, avec un accent particulier sur le portrait, l’allégorie et la peinture classique.
Hans Bruyneel (° 1959, Ghent) is a Belgian painter. He uses existing images, photographs, film stills as a starting point for his paintings, to paint an exalted nature in the splendor of a spectacular sunset and in which the human being plays a minor role as an extra and leaves the main role to nature. But instead of depicting the beauty of the landscape, these canvases actually project an artificial and ominous world. The painter does not invite the viewer to imagine himself in those landscapes. Instead, he leaves the worried spectator standing at the edge of the image. In other words, these are not real landscapes; they are simply artificial screens, images of landscapes appearing on a canvas, cinematic fantasies. The artist himself says about his oeuvre: “Artworks do not provide solutions, but as a viewer you can recognize fundamental questions. For the artist that is the role of art ”.
Hans Bruyneel ( ° 1959, Gent ) is een Belgisch schilder. Hij gebruikt bestaande beelden, foto’s, filmstills als uitganspunt voor zijn schilderijen om een verheven natuur te schilderen in de kleurenpracht van een spectaculaire zonsondergang en waarin de mens als een figurant een bijrolletje speelt en de hoofdrol aan de natuur overlaat. Maar in plaats van de schoonheid van het landschap weer te geven, projecteren deze doeken in feite een kunstmatige en onheilspellende wereld. De schilder nodigt de toeschouwer niet uit om zich in die landschappen voor te stellen. In plaats daarvan laat hij de ongeruste toeschouwer aan de rand van het beeld staan. Met andere woorden, dit zijn geen echte landschappen; het zijn gewoon kunstmatige schermen, afbeeldingen van landschappen die op een doek verschijnen, filmische fantasieën. Over zijn oeuvre zegt de kunstenaar zelf: “Kunstwerken geven geen oplossingen, maar je kan wel als kijker fundamentele vragen herkennen. Voor de kunstenaar is dat de rol van kunst”.
Titel van het werk: De ongeruste Man.
Hans Bruyneel (° 1959, Gand) est un peintre belge. Il utilise des images, des photos et des images fixes existantes comme point de départ de ses peintures pour peindre une nature exaltée dans la splendeur d'un coucher de soleil spectaculaire et dans laquelle l'être humain joue un rôle mineur en extra et laisse le rôle principal à la nature. Mais au lieu de dépeindre la beauté du paysage, ces toiles projettent en fait un monde artificiel et inquiétant. Le peintre n'invite pas le spectateur à s'imaginer dans ces paysages. Au lieu de cela, il laisse le spectateur inquiet debout au bord de l'image. En d'autres termes, ce ne sont pas de vrais paysages; ce ne sont que des écrans artificiels, des images de paysages apparaissant sur une toile, des fantasmes cinématographiques. L'artiste lui-même dit de son œuvre: «Les œuvres d'art ne fournissent pas de solutions, mais en tant que spectateur, vous pouvez reconnaître des questions fondamentales. Pour l'artiste, c'est ça le rôle de l'art ».
Titre de l’oeuvre: l'Homme inquiet
Website of the artist: www.hansbruyneel.be/
Wilhelm BENDZ
(1804-1832)
Un sculpteur [Christen Christensen] travaillant d’après un modèle vivant, dans son atelier
A Sculptor (Christen Christensen) in his Studio working from the Life
1827
Huile sur toile / Oil on canvas Copenhague, Statens Museum for Kunst
Dans un format traditionnellement réservé à la peinture d’histoire ou aux portraits royaux, le portrait du jeune sculpteur, avec son expression exaltée et ses cheveux rebelles, est une image du génie romantique.
Les sculptures disposées en arc de cercle autour de la pièce forment comme une foule d’observateurs.
In a size traditionally reserved for history paintings and royal portraits, this young sculptor, with his triumphant expression and unruly hair, is an image of Romantic genius. The sculptures that form a circular arc around the room stand in as a sort of audience for the scene unfolding before them.
Ambiance exaltée entre les différentes équipes rivales, chacune scandant ses slogans et levant ses drapeaux avant l'annonce de l'équipe gagnante de la Compétition Nationale Enactus 2019
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Highly excited atmosphere between the different rival teams, each one chanting their slogans and raising their flags before the announcement of the Enactus National Competition 2019 winning team
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جوّ مرح بين مختلف الفرق المتبارية التي تهتف بأهازيجها و ترفع راياتها قبيل الإعلان عن الفريق الفائز في المسابقة الوطنيّة 2019 – Enactus تونس
Ambiance exaltée entre les différentes équipes rivales, chacune scandant ses slogans et levant ses drapeaux avant l'annonce de l'équipe gagnante de la Compétition Nationale Enactus 2019
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جوّ مرح بين مختلف الفرق المتبارية التي تهتف بأهازيجها و ترفع راياتها قبيل الإعلان عن الفريق الفائز في المسابقة الوطنيّة 2019 – Enactus تونس
Ambiance exaltée entre les différentes équipes rivales, chacune scandant ses slogans et levant ses drapeaux avant l'annonce de l'équipe gagnante de la Compétition Nationale Enactus 2019
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جوّ مرح بين مختلف الفرق المتبارية التي تهتف بأهازيجها و ترفع راياتها قبيل الإعلان عن الفريق الفائز في المسابقة الوطنيّة 2019 – Enactus تونس
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
et les ressacs et les courants : je sais le soir,
l'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir!
Arthur Rimbaud, Le Bateau Ivre
I have come to know the skies splitting with lightning,
and the waterspouts, and the breakers and currents;
I know the evening, and dawn rising up like a flock of doves,
and sometimes I have seen what men have imagined they saw!
Arthur Rimbaud, The Drunken Boat