View allAll Photos Tagged cel
Queda prohibido no sonreír a los problemas,
no luchar por lo que quieres,
abandonarlo todo por miedo,
no convertir en realidad tus sueños, ...
P. Neruda
Explorer # 7
Hérault France
Merci beaucoup à tous pour vos gentils commentaires et favoris!!
Thanks a lot for your faves and comments
Thanks to the group Administrators
Hier kann ich nur noch fahren, wenn es geregnet hat. Die Autofahrer rasen hier dermaßen, dass sie Sand und Steinchen aufwirbeln. Das fliegt einem dann um die Ohren. Danach hat man Sand in den Augen und die Zähne knirschen darauf.
P1120660_hf
Le sommeil, qui n'a sur le corps qu'un effet très minime, s'accompagne d'une extinction temporaire, ou du moins d'une grande confusion, de l'âme. La faiblesse du corps et celle de l'esprit dans la prime enfance sont exactement proportionnées, leur vigueur dans l'âge adulte, leur désordre empathique dans la maladie, leur commune dégradation dans la vieillesse. L'étape suivante semble inévitable: leur dissolution commune dans la mort.
Sur le suicide suivi de L'immortalité de l'âme - David Hume
Pascal Taranto
sssssshhhhhhhhhhhhhhhh....
Don Celestino Pocalluvia y la señorita Rosa Algodonosa se están enamorando....
todo el mundo lo nota... menos ellos...
:)
BON CAP DE SETMANA AMICS¡
FELIZ FIN DE SEMANA AMIGOS¡
Sa taille, sa silhouette, son allure générale le font confondre par les débutants avec une Buse variable ou une Bondrée apivore. Ce problème d'identification ne résiste pas à un examen plus minutieux. Son plumage est brun uniforme par dessus contrastant avec les parties inférieures qui sont blanches et délicatement mouchetées de brun. Sa tête large et plus sombre apparaît comme disproportionnée par rapport au reste du corps. Son envergure importante lui confère une silhouette massive en vol, reconnaissable entre toutes. Sa tête un peu semblable à celle d'un strigidé et ses iris jaunes sont très caractéristiques.
La femelle est un peu plus grande que le mâle. Les immatures ressemblent aux adultes, mais ils sont plus pâles, avec la nuque plus blanche. La gorge et la poitrine sont brun-roux clair. Le reste des parties inférieures est blanc, légèrement teinté de brun. Les yeux sont jaunes très brillants. La cire et les pattes sont gris pâle.
Le Circaète Jean-le-Blanc a un régime alimentaire exclusif. Il se nourrit de reptiles et plus particulièrement de serpents parmi lesquels ses proies préférées sont les grandes couleuvres (à collier ou d'Esculape). Une telle spécialisation est un phénomène assez rare chez les rapaces. Les serpents et les lézards sont avalés entiers si bien que l'on peut voir la queue du reptile dépasser du bec alors que l'oiseau est déjà en train de digérer la tête.
Tactar i equilibrar el silenci.
Observar les mans que et guien;
dits, tacte, venes
i silenci.
Resseguir la corba dels signes,
les línies que s'insinuen
a recer dels gesto,
i palpar els sentits que es desllunen
amb el principi de l'aigua.
Joana Bel
Petit-duc maculé | Eastern Screech Owl | Megascops asio
Merci Barbara...
L'improbable nichée!
Voici le trou no 26. Le trou d'une nouvelle nichée dont j'ai appris l’existence qu'à la fin de la semaine dernière, avec grande surprise d'ailleurs, lorsque Barbara Marsolais, une amie photographe que je croise à l'occasion au parc, m'a informée de ses récentes observations où elle avait constaté la présence de deux Petits-ducs maculés autour de ce trou à la fin du jour. Elle avait même vu tout au fond du trou, dans la pénombre, deux petits yeux indiquant la présence d'un poupon à ce trou... Non seulement apprenais-je alors que Fernando n'était pas esseulé mais qu'il avait une petite famille en route!!!! Moi qui était convaincu d'avoir affaire avec le chanteur de pomme Fernando les quelquefois où j'ai vu à ce trou un Petit-duc. J'étais convaincu que ce dernier était esseulé puisqu'il avait chanté tout le mois de mai comme jamais je n'avais entendu un Petit-duc le faire, parfois même à fendre l'âme! Souvent il enfilait en boucle le chant et ce pour des périodes dépassant les 15 minutes. Ce Fernando m'aura donc obligé de réécrire mon guide comportemental du Petit-duc nicheur... Il n'y a plus de certitude...
Nous voyons sur cette image le deuxième petit d'une famille de quatre à avoir quitté le nid hier le 19 juin. C'est la toute première journée que nous pouvions bien apercevoir aux abords du trou un petit. Il aura sorti celui-là en plein jour devant les yeux ahuris et éblouis de Robert Dupont et Normand Coutu qui ont veillés sur sa sécurité. Jamais vu ou entendu parlé d'une telle scène en plein jour. Il aura vécu ses premières heures hors du nid non sans peine. Mais soyez rassuré il était en sécurité à notre départ en soirée. Ils étaient tous en sécurité. Les deux derniers ont quitté le nid, comme il se doit, en début de soirée. Le premier et plus gros avait quitté quant à lui pendant la nuit précédente, se retrouvant au sol lors des premières lueurs du jour. C'est dans cette position que Michel Paquin, venu s'assurer que tout se déroulait correctement, l'aura trouvé (voir ici les images de Michel au sujet de cette toute particulière rencontre). Aujourd'hui, en fin de matinée, trois des petits se retrouvaient perchés dans le même arbre, cet arbre aussi utilisé par les parents pour se reposer durant la journée. Le quatrième, possiblement celui de l'image, a été observé tout au fond du nid s'y reposant, à peine visible! Une autre situation jamais observé pour notre part. Tout est inusité chez cette famille.
Voilà donc une deuxième nichée printanière à Angrignon! Vive Fernando et ses quatre petits et vive surtout sa douce, identifiée dorénavant comme étant Barbara, du nom de celle qui m'aura rapporté cette fabuleuse découverte! Vraiment particulier de voir cette nichée dans une zone si ouverte, hors boisé du parc. Une zone gazonnée où enfants, familles, passants, promeneurs avec leur chien, coureurs et autres badauds déambulent continuellement à proximité, et même en plus grande nombre la fin de semaine venue où le bruit ambiant augmente de façon remarquable. L'improbable nichée!
Cela se passait le 10/01/2025, dans le magnifique stade couvert de l’Aréna.
Après les vœux du Maire, place au spectacle.
Morphine joue Indochine
Depuis plus de 16 ans les 6 musiciens de MORPHINE vous offrent une immersion totale dans l’univers d’Indochine, sous la houlette de Sébastien, chanteur du groupe et véritable sosie vocal de Nicola Sirkis, à s'y méprendre !
Ma première rencontre à Cuba. J'ai passé à côté de lui . Il ne sais pas sauver et cela m'a donné la chance de le prendre en photo.
série de 4 photos .
le Réveil
Seigneur
La cage est devenue oiseau
et il s´est envolé
et mon cœur est fou
parce qu'il hurle à la mort
et sourit derrière le vent
à mes délires
Que ferai-je avec la peur
Que ferai-je avec la peur
La lumière ne danse déjà plus dans mon sourire
et les saisons ne brûlent plus les colombes de mes songes
Mes mains se sont mises à nu
et s'en sont allées là où la mort
apprend à vivre aux morts
Seigneur
L'air punit mon être
Derrière l'air il y a des monstres
qui boivent mon sang
C´est le désastre
C´est l´heure du vide non vide
C'est l'instant de poser un verrou aux lèvres
d´entendre les condamnés crier
de contempler chacun de mes noms
pendus dans le néant
Seigneur
J'ai vingt ans
Mes yeux aussi ont vingt ans
et cependant ils ne disent rien
Seigneur
J'ai consumé ma vie en un instant
La dernière innocence a éclaté
à présent c'est jamais ou à jamais
ou simplement cela fut
Comment ne pas me suicider devant un miroir
et disparaître pour réapparaître dans la mer
où un grand bateau m'attendrait
toutes lumières allumées ?
Comment ne pas m'extraire les veines
et en faire une échelle
pour fuir de l'autre côté de la nuit ?
Le commencement a donné le jour à la fin
Tout va continuer ainsi
Les sourires usés
L'intérêt intéressé
Les questions de pierre en pierre
Les gesticulations qui imitent l'amour
Tout va continuer ainsi
Mais mes bras s'obstinent à étreindre le monde
car on ne leur a pas encore appris
qu'il est déjà trop tard
Seigneur
Jette les cercueils de mon sang
Je me rappelle mon enfance
lorsque j´étais vieille
Les fleurs mouraient entre mes mains
car la danse sauvage de la joie
leur détruisait le cœur
Je me rappelle les noirs matins de soleil
lorsque j´étais enfant
c´est-à-dire hier
c´est-à-dire il y a des siècles
Seigneur
La cage est devenue oiseau
et il a dévoré mes espérances
Seigneur
La cage est devenue oiseau
Que ferai-je avec la peur
Alejandra Pizarnik, les Aventures perdues, (extrait)
version originale : shinobusenshi.blogspot.fr/2009/06/el-despertar-alejandra-...
@ ma galerie des Machines - PARIS Couture ( 2ème sous-sol )
avec accès direct vers les CATACOMBES de PARIS
maps.secondlife.com/secondlife/Paris%20Couture/95/207/22
Nous sommes en janvier 1910, Paris et ses trois millions d’habitants rayonnent sur la scène internationale depuis l’exposition universelle de 1900 qui a propulsé la capitale française en tête de l’Europe. Ses habitants sont alors loin d’imaginer qu’ils vont vivre une des catastrophes naturelles majeures du XXe siècle.
Paris représente à l’époque le plus grand port de France, aussi important que ceux de Marseille ou du Havre. L’électrification suit son cours, le métro se développe, les véhicules à moteur fleurissent. La ville, en pleine mutation depuis la fin du Second Empire, a connu une grande crue de la Seine en 1876. La population ne s’inquiète donc pas que cela se reproduise, ce serait trop tôt. Pourtant, Paris a connu un hiver pluvieux et froid, les sols sont gelés ce qui signifie qu’au lieu de pénétrer dans la terre, l’eau ruisselle.
La pluie persiste et le zouave a déjà les pieds dans l’eau, nous sommes le 20 janvier. Cette statue (le zouave) de Georges Diebolt, située sous le pont de l’Alma, représente un des soldats de la guerre de Crimée. Depuis son installation en 1856, il fait office de repère de la montée des eaux de la Seine. Les pieds du zouave ensevelis, c’est concrètement 3,80 mètres de hauteur d’eau au-dessus de la normale, ce qui est déjà très préoccupant. L’interdiction de la circulation des bateaux-mouches et des péniches est déjà en vigueur, la banlieue Est parisienne compte des villes inondées, mais personne à Paris ne semble prendre la mesure de ce qu’il risque de se passer.
Les genoux du zouave sont à leur tour mouillés le 21 janvier à 17h : les 5 mètres de hauteur d’eau ont été atteints. Les berges du 12e arrondissement sont inondées, les barriques de vins de l’entrepôt de Bercy sont également sous l’eau et la pluie continue. Le 22 janvier, le gouvernement décide d’agir en envoyant l’armée pour installer des planches de bois au niveau des habitations les plus proches de la Seine. Les chevaux remplacent les automobiles, l’électricité saute par à-coups, des tourbillons de boue s’enfilent dans les rues, la sensation de revenir loin en arrière gagne la population qui prend conscience du désastre qui s’annonce.
Dans la banlieue proche de Paris, on compte déjà sept morts. Les tramways et métros sont suspendus, les gares d’Orsay et Austerlitz ferment leurs portes, le téléphone cesse de fonctionner et les habitants s’organisent. Les problèmes de ravitaillement sèment la panique et les provisions se font dans la cohue. Les habitants de rez-de-chaussée s’installent chez leurs voisins du 1er étage. Nous sommes le 24 janvier, la Seine enregistre un niveau d’eau à 6,75 mètres.
"Un désatsre social" titre le journal l'Humanité.
Le mois de janvier, qui suit un hiver particulièrement froid, voit ses sans-abri à bout de souffle devant les inondations. Mais surtout, le risque d’épidémies augmente : les ordures sont déversées par-dessus les ponts, les égouts coulent dans la Seine également. On estime qu’au total, ce sont 1 300 tonnes de déchets qui auront été noyées dans le fleuve. L’eau polluée et les rats qui quittent leurs caves inondées aggravent une situation sanitaire déjà détériorée par de nombreux cas de scarlatine et de typhoïde. Les journaux appellent d’ailleurs à la solidarité, des barques taxis se mettent en place, et même des boulangeries qui décident de livrer le pain en bateau. Comme un air vénitien…
Le 28 janvier 1910, les épaules du zouave sont à leur tour ensevelies et Paris enregistre un record : 8,62 mètres. Dès le lendemain, la pluie cesse et la Seine baisse enfin, mais le bilan est catastrophique. 40 kilomètres de rues inondées, 12 arrondissements touchés, 20 000 immeubles concernés. La plupart des monuments sont également sous l’eau dont le Palais de justice qui voit ses archives disparaître. On estime que les dégâts auront coûté plus de 400 millions de francs-or soit l’équivalent de 1,6 milliard d’euros. Les travaux de consolidation et de rénovation des immeubles sont colossaux et l’événement restera très longtemps au cœur des discussions : pour exemple, c’est cet événement qui domine le marché des cartes postales en France jusqu’en 1913.
EXPOSITION " Il était une fois la GALERIE des MACHINES: 1889 - 1910 ... 2021 !"
Viatge a la comarca de Calatayud (Saragossa) i a la comarca de La Cerdanya (Lleida)
Dalt d'un marge vam trobar unes herbes que feien un contrast bonic amb el cel
Encima de un margen encontramos unas hierbas que creaban un contraste bonito con el cielo
Over a margin we find some herbs that create a nice contrast with the sky