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Extract from Wikipedia and other sources
The Louvre Museum/ Musée du Louvre, is the world's largest art museum and a historic monument in Paris, France, and is best known for being the home of the Mona Lisa. A central landmark of the city, it is located on the Right Bank of the Seine in the city's 1st arrondissement (district or ward). Approximately 38,000 objects from prehistory to the 21st century are exhibited over an area of 72,735 square meters (782,910 square feet)
The museum is housed in the Louvre Palace, originally built as the Louvre castle in the late 12th to 13th century under Philip II. Remnants of the fortress are visible in the basement of the museum. Due to urban expansion, the fortress eventually lost its defensive function, and in 1546 Francis I converted it into the primary residence of the French Kings. The building was extended many times to form the present Louvre Palace. In 1682, Louis XIV chose the Palace of Versailles for his household, leaving the Louvre primarily as a place to display the royal collection, including, from 1692, a collection of ancient Greek and Roman sculpture. In 1692, the building was occupied by the Académie des Inscriptions et Belles-Lettres and the Académie Royale de Peinture et de Sculpture, which in 1699 held the first of a series of salons. The Académie remained at the Louvre for 100 years. During the French Revolution, the National Assembly decreed that the Louvre should be used as a museum to display the nation's masterpieces.
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Inaugurée en 1925, elle commémore les milliers de combattants morts sur un des champs de bataille les plus disputés de la Première Guerre mondiale entre octobre 1914 et septembre 1915. Environ 45 000 combattants y reposent, dont la moitié dans des tombes individuelles. Le site, comprenant le cimetière, la basilique, la tour-lanterne et le musée, a une superficie de plus de 25 hectares. C'est la plus grande nécropole militaire française.
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Anneau de la mémoire habillé d'or et de lumière.
580 000 noms des soldats sont inscrits par ordre alphabétique, sans distinction de nationalité ni de religion.
Le jardin d'eau du Marais de la Galance à Noyelles-sous-Lens fait partie de ces endroits insolites que l'on trouve dans les Hauts-de-France.
Le Mémorial national du Canada à Vimy honore la mémoire des soldats canadiens morts en France pendant la Première Guerre mondiale. Le monument est situé sur la crête de Vimy (Pas-de-Calais) où s'est déroulée la bataille homonyme durant laquelle de nombreux soldats canadiens ont perdu la vie. Sur les 66 000 tués du corps expéditionnaire canadien, 11 285 ont été portés disparus. Leurs noms sont inscrits sur le mémorial même. Le site, géré par Anciens Combattants Canada, appartient au Canada car, en 1922, le gouvernement français a offert au gouvernement canadien le terrain d'assise du mémorial ainsi qu'une centaine d'hectares, sur la commune de Vimy et sur les bans de deux communes limitrophes.
www.veterans.gc.ca/fra/remembrance/memorials/vimy
En arrière plan, à droite: deux pyramides noires qui se dressent. Plus hauts terrils d’Europe, les terrils jumeaux de Loos-en-Gohelle, se situent sur la base du 11/19.
Les terrils du 11/19 faisant parti des 5 grands sites miniers inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco.
www.autourdulouvrelens.fr/univers/patrimoine/11-19-loos-e...
www.flickr.com/photos/lac-bac/albums/72157716491485311
En Août 2023, le Le ministre canadien des anciens combattants a condamné le vandalisme au Mémorial national canadien de Vimy en France.
C'est particulièrement scandaleux cet acte de vandalisme car l'occupant allemand pendant la seconde guerre mondiale a respecté le lieu, ce n'est pas le cas des vandales actuels...
Les terrils du pays a part, sont classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. Le site est accessible pour les randonnées tout en préservant un écosystème insolite.
Five years ago, the Unesco added the slag heaps of France's northern coal mining region on their world heritage list. Here's one of the animations proposed to celebrate the fifth anniversary.
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Il ya 5 ans, l'Unesco a ajouté le bassin minier du Nord Pas de Calais sur la liste du patrimoine mondial. Voici une photo d'un groupe de musiciens qui a pris part aux célébrations pour marquer ce 5ème anniversaire.
la photo a été dans le cadre d'un Instameet avec @IgersArras, l'office de Tourisme du Pas de Calais (@pas_de_calais_tourisme) et @autourdulouvreLens.
Le jardin d'eau du Marais de la Galance à Noyelles-sous-Lens fait partie de ces endroits insolites que l'on trouve dans les Hauts-de-France.
Plus hauts terrils d’Europe (186 m), dépassant le plus haut sommet de la Flandre : le Mont Cassel (176 m), les terrils coniques jumeaux 74 et 74A de Loos-en-Gohelle se situent sur la base du 11/19, ces chiffres faisant référence aux numéros des anciens puits de mine : 11 pour le chevalement métallique des années 1920 (construit en 1894, détruit pendant la Première guerre mondiale et reconstruit après) et 19 pour la tour de concentration en béton de 1960 (terril se prononce terri). Ces deux terrils ( avec le tabulaire 74B) couvrent 90 ha et contiennent 24 000 000 m³ de terres (schistes argileux métamorphiques de densité 2,5 par rapport à l’eau), ce qui représente une masse de près de 60 millions de tonnes. Leur particularité est aussi de se trouver à moins de 3 km du Louvre-Lens. Cet ensemble était autrefois encore plus conséquent puisqu’il était constitué de 4 terrils coniques et d’1 tabulaire. Deux terrils coniques implantés au nord de l’ensemble ont en effet quasiment disparu après leur exploitation à partir des années 1970 pour récupérer les schistes qu’ils contenaient.
Les mines de Lens s'installent sur le territoire de Loos-en-Gohelle en 1891 et commencent leurs activités en juin 1894. A l'issue de la Grande guerre, toutes les installations, ravagées par les Allemands, furent reconstruites. Un nouveau chevalement métallique de 45 m fut construit en 1925 en poutrelles à treillis. A la nationalisation, il s'avère obligatoire de concentrer sur un puits la multitude de fosses du groupe de Lens. Au nord, c'est le 18/18bis qui concentre les charbons maigres, le 19 concentrera les charbons gras. Il sera foncé par les Houillères du Nord-Pas-de-Calais à côté du puits 11, car le siège occupe une position centrale dans le groupe. Le fonçage débute en 1954 à 6,65 m de diamètre pour équiper le puits de 2 compartiments. En 1957, le puits atteint 585 m, mais l'extraction se fera d'abord à la côte -475 en 1960. Le chevalement du 19 est une tour en béton de 66 m pesant 10000 tonnes. La salle des machines se trouve au sommet avec 2 machines d'extraction de 4400 CV. Les cages de chacun des puits sont équipées de 4 plateaux contenant chacun une berline de 3 000 litres. Un lavoir traitant les gros calibres est installé sur place. Dès 1960, les différentes fosses sont concentrées sur le 19 (2,3,4 et 9), ces fosses cessant d'extraire mais assurent l'aérage et le service. En 1966, c'est au tour de la fosse 12. L'extraction passe de -475m à -585m en 1966. En 1971, le puits est accroché à -710m. La mise à terril est effectuée par un convoyeur à bande pour remplacer les skips. En 1973, la fosse 7 de Liévin est elle aussi concentrée sur le 19. Les puits de service du 19 sont remblayés au fur et à mesure de leur inutilité. Le 19 s'arrête le 31 janvier 1986. Le puits 11, profond de 852 m, et le puits 19, profond de 815 m, sont remblayés en 1987. Le lavoir a été détruit, mais la quasi totalité des installations sont encore visibles.
Dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, 339 terrils sont recensés (51 figurent sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, depuis 2012, avec d'autres éléments du patrimoine minier) et pour beaucoup numérotés. Si certains terrils sont coniques (construits par déversements verticaux), il en existe aussi des plats (ou tronqués, autres noms : terrasse ou verse), des tabulaires (en plateau), des mixtes ou encore des terrils cavaliers (terrils plats utilisés pour installer des voies ferrées). Cependant beaucoup de terrils ayant été exploités, relativement peu ont complètement disparu (cf. wikipédia, patrimoine-minier.fr, autourdulouvrelens.fr, merci Jérémy Jännick pour la photo).
Les Terrils du pays à part sont particuliers car ce sont des terrils jumeaux. Du haut de leurs 180 mètres, ils offrent une vue imprenable sur les paysages de l'Artois et la chaîne des terrils. Ils disposent de nombreuses espèces végétales et animales.
389 marches ont été aménagées pour permettre d'accéder au sommet et au belvédère en toute sécurité. Profitez de la vue qui s'étend jusqu'aux monts des Flandres par temps clair.
580 000 noms des soldats sont inscrits sur l'anneau de la mémoire par ordre alphabétique, sans distinction de nationalité ni de religion. Derrière environ 45 000 combattants reposent à Notre Dame de Lorette.
Plus hauts terrils d’Europe (186 m), les terrils jumeaux 74 et 74A de Loos-en-Gohelle se situent sur la base du 11/19, ces chiffres faisant référence aux numéros des anciens puits de mine : 11 pour le chevalement métallique des années 1920 (construit en 1894, détruit pendant la Première guerre mondiale et reconstruit après) et 19 pour la tour de concentration en béton de 1960. Leur particularité est aussi de se trouver à moins de 3 km du Louvre-Lens (cf. autourdulouvrelens.fr).
Plus hauts terrils d’Europe (186 m), les terrils jumeaux de Loos-en-Gohelle 74 et 74A se situent sur la base du 11/19, ces chiffres faisant référence aux numéros des anciens puits de mine : 11 pour le chevalement métallique des années 1920 (construit en 1894, détruit pendant la Première guerre mondiale et reconstruit après) et 19 pour la tour de concentration en béton de 1960. Leur particularité est aussi de se trouver à moins de 3 km du Louvre-Lens (cf. autourdulouvrelens.fr).
Plus hauts terrils d’Europe (186 m), les terrils jumeaux 74 et 74A de Loos-en-Gohelle se situent sur la base du 11/19, ces chiffres faisant référence aux numéros des anciens puits de mine : 11 pour le chevalement métallique des années 1920 (construit en 1894, détruit pendant la Première guerre mondiale et reconstruit après) et 19 pour la tour de concentration en béton de 1960. Leur particularité est aussi de se trouver à moins de 3 km du Louvre-Lens (cf. autourdulouvrelens.fr).
Plus hauts terrils d’Europe (186 m), dépassant le plus haut sommet de la Flandre le Mont Cassel (176 m), les terrils jumeaux 74 et 74A de Loos-en-Gohelle se situent sur la base du 11/19, ces chiffres faisant référence aux numéros des anciens puits de mine : 11 pour le chevalement métallique des années 1920 (construit en 1894, détruit pendant la Première guerre mondiale et reconstruit après) et 19 pour la tour de concentration en béton de 1960 (terril se prononce terri). Ces deux terrils couvrent 90 ha et contiennent 24 000 000 m³ de terres (schistes argileux métamorphiques de densité 2,5 par rapport à l’eau), ce qui représente une masse de près de 60 millions de tonnes. Leur particularité est aussi de se trouver à moins de 3 km du Louvre-Lens (cf. autourdulouvrelens.fr, merci Jérémy Jännick pour la photo).
Les mines de Lens s'installent sur le territoire de Loos-en-Gohelle en 1891 et commencent leurs activités en juin 1894. A l'issue de la Grande guerre, toutes les installations, ravagées par les Allemands, furent reconstruites. Un nouveau chevalement métallique de 45 m fut construit en 1925 en poutrelles à treillis.
A la nationalisation, il s'avère obligatoire de concentrer sur un puits la multitude de fosses du groupe de Lens. Au nord, c'est le 18/18bis qui concentre les charbons maigres, le 19 concentrera les charbons gras. Il sera foncé par les Houillères du Nord-Pas-de-Calais à côté du puits 11, car le siège occupe une position centrale dans le groupe. Le fonçage débute en 1954 à 6,65 m de diamètre pour équiper le puits de 2 compartiments. En 1957, le puits atteint 585 m, mais l'extraction se fera d'abord à la côte -475 en 1960. Le chevalement du 19 est une tour en béton de 66 m pesant 10000 tonnes. La salle des machines se trouve au sommet avec 2 machines d'extraction de 4400 CV. Les cages de chacun des puits sont équipées de 4 plateaux contenant chacun une berline de 3 000 litres. Un lavoir traitant les gros calibres est installé sur place. Dès 1960, les différentes fosses sont concentrées sur le 19 (2,3,4 et 9), ces fosses cessant d'extraire mais assurent l'aérage et le service. En 1966, c'est au tour de la fosse 12. L'extraction passe de -475m à -585m en 1966. En 1971, le puits est accroché à -710m. La mise à terril est effectuée par un convoyeur à bande pour remplacer les skips. En 1973, la fosse 7 de Liévin est elle aussi concentrée sur le 19. Les puits de service du 19 sont remblayés au fur et à mesure de leur inutilité. Le 19 s'arrête le 31 janvier 1986. Le puits 11, profond de 852 m, et le puits 19, profond de 815 m, sont remblayés en 1987. Le lavoir a été détruit, mais la quasi totalité des installations sont encore visibles (cf.patrimoine-minier.fr).
Dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, 339 terrils sont recensés (51 figurent sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, depuis 2012, avec d'autres éléments du patrimoine minier) et pour beaucoup numérotés. Si certains terrils sont coniques (construits par déversements verticaux), il en existe aussi des plats (ou tronqués, autres noms : terrasse ou verse), des tabulaires (en plateau), des mixtes ou encore des terrils cavaliers (terrils plats utilisés pour installer des voies ferrées). Cependant beaucoup de terrils ayant été exploités, relativement peu ont complètement disparu (cf. wikipédia).