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La fresque se trouve au 102, rue du Petit-Champlain. Dessinée sur le mur de cette maison qui appartient aujourd'hui à la Coopérative des artisans et commerçants du quartier Petit-Champlain, elle forme un trompe-l'œil de 100 mètres carrés. Elle a été réalisée en 2001 par la société MuraleCréation fondée en juin 2000 par l’association entre les muralistes lyonnais de CitéCréation et les peintres québécois de l’atelier Sautozieux Création.
La fresque illustre les grandes étapes de la vie du Cap-Blanc, quartier portuaire situé sur la mince bande de terre entre le Cap Diamant et le St-Laurent. La fresque évoque les activités de pêche et de commerce maritime qui animaient autrefois ce secteur de la ville. On y voit des habitants du quartier, des visiteurs illustres et des personnages fictifs.
Parmi les personnages historiques, le Capitaine Bernier y est présente, un grand navigateur québécois, explorateur du Pôle Nord. Lord Nelson, officier britannique tombé amoureux d’une Québécoise et qui fut ramené de force sur son bateau par les membres de son équipage, y figure, ou encore le réparateur de voiles Gustave Guay.
Des événements majeurs de l’histoire du quartier sont aussi évoqués, comme l’incendie de 1682, les bombardements de 1759, les éboulements de 1889 et d’autres sinistres qui ont marqué le secteur du Cap-Blanc et du Petit-Champlain.
Tiré de: grandquebec.com/capitale-quebec/fresque-du-petit-champlain/
Cette murale a été peinte sur la façade latérale de l’immeuble au Laugavegur 159 à Reykjavik, capitale de l’Islande.
Située sur Laugavedur à l’est de la gare d'autobus Hlemmur, l'œuvre a été créée par l'artiste et actrice islandaise Raff ou Raffaella Sigurðardóttir.
La rue Laugavegur est l'artère commerciale principale du centre-ville de Reykjavík et l'une des rues commerçantes les plus anciennes et possède une partie piétonne près du vieux centre. Le nom signifie "route de lavage", car jadis les femmes de Reykjavík (signifiant Smoky Bay ou Baie de fumée) l'empruntaient pour aller faire leur lessive dans les sources chaudes aujourd'hui situées dans Laugardalure Park.
Construite en 1885, elle a connu des revers économiques au cours des dernières années, principalement en raison de l'augmentation de la popularité des centres commerciaux. Elle conserve le charme d'une rue commerçante historique et présente plusieurs fresques et éléments décoratifs pittoresques. Il est également de nombreux bars, discothèques et restaurants. Le vendredi et le samedi soir la rue est souvent remplie de gens toute la nuit.
La murale du Freak Lunchbox, 1729 Barrington St, Halifax, Nouvelle-Écosse (Nova Scotia), Canada.
Située à proximité de la Province House, cette fresque, qui décore la façade adjacente d’une confiserie, a été créée en 2015 par Jason Botkin, un Montréal et un maître des murales extérieures. La scène représente une bataille entre un héron bleu et une pieuvre qui se disputent un poisson. Tout est fait dans de délicieuses teintes rose-bonbon accentuées par la présence des bonbons multicolores. Les tentacules de poulpe s'écoulent de la "toile". Les bonbons rappellent les délices qui attendent le client à la Freak Lunchbox.
Halifax est la capitale de la province canadienne de Nouvelle-Écosse. Elle est aussi la plus grande municipalité des provinces de l'Atlantique. Elle est un grand centre économique avec beaucoup de services gouvernementaux et d'entreprises du secteur privé. Les grands employeurs sont le ministère de la Défense nationale, différents services du gouvernement fédéral canadien ainsi que le port d'Halifax.
Source est installée à l’entrée principale du centre-ville, sur une terrasse aménagée à l’intersection du boulevard Robert-Bourassa et de la rue Wellington. La sculpture en acier inoxydable consiste en un entrelacement aléatoire de lettres tirées des alphabets latin, grec, chinois, arabe, cyrillique, hindi, hébreu et japonais, qui donne corps à un personnage monumental en position assise. L’œuvre est une allégorie de l’humanité : comme les cellules assemblées forment le corps humain, les lettres composent des mots, et les gens forment une communauté. Source représente ainsi la richesse des cultures que Montréal a accueillies au cours de ses presque quatre siècles d’existence. Symbole du passé, du présent et de l’avenir de la cité, la sculpture Source, vue à la lumière du jour ou sous son éclairage nocturne, invite les habitants à marcher, à rêver et à se rencontrer.
En créant Source pour le 375e anniversaire de la fondation de Montréal, l’artiste a voulu tenir compte de l’importance de l’eau dans l’histoire de la ville – tant pour le commerce que pour l’immigration et les communications –, mais aussi de l’importance de la place des peuples autochtones. Source, un mot identique en français et en anglais, fait référence à la naissance d’un cours d’eau, mais peut aussi représenter les racines de l’énergie et de la vitalité d’une ville : ses habitants et leurs origines, la fluidité et la créativité des idées, les cycles de mouvement et de renouvellement.
Source : artpublic.ville.montreal.qc.ca/oeuvre/source-10747/
Oeuvre de Michel de Broin, plus de détails ici (more details here)
Cette sculpture décore l’espace nommé the Path - Commerce Court au pied de l’édifice du siège social de la Banque canadienne de commerce qui se dresse au 25 King Street W, Toronto, Ontario.
La sculpture est une œuvre de Derrick S. Hudson.
Cette sculpture, nommée Sólfarið ou "Voyageur du Soleil", est située face à la mer, au bout de la rue Frakkastigur, le long de la fameuse Sculpture and Shore Walk longeant le boulevard Saerbraut, à Reykjavik, la capitale d'Islande.
L'œuvre d'acier, qui a été créée en 1990 par le sculpteur Jón Gunnar Árnason (1931-1989), représente la forme schématisée et même squelettique d'un bateau viking. Apparemment, pour son créateur, le bateau, orienté face au soleil lorsqu'il se lève sur la baie Faxaflói, symbolise "la promesse de terres vierges et d'une nouvelle vie", une sorte d'ode au soleil, d'où son nom!
« Faisant face à la Collégiale Saint-Jean, le parking Neujean n’est pas en reste architecturalement parlant. Son plan limpide est l’expression d’un fonctionnalisme appuyé, servant pleinement le confort de l’automobiliste. Séparés par une étroite ruelle, les deux édifices entretiennent un dialogue discret, que je propose d’activer au moyen d’un “objet contemporain” – la culture faisant office d’articulation plus ou moins fertile entre deux époques presque révolues. Plus près de Toi se présente depuis la rue comme une sculpture jaune coiffant la façade en béton du parking. Au 5e étage, on en découvre un fragment en interaction avec l’intervention d’Adrien Lucca. Depuis le toit, l’objet s’avèrera être une sorte de plate-forme d’observation qui s’avance dans le vide suivant une pente légère, entre le chœur et la rotonde de Saint-Jean. Aussi hasardeux qu’il en ait l’air, ce promontoire répond aux normes de sécurité en vigueur et nous laisserons à chacun le libre choix de l’emprunter pour s’y photographier, prêcher ou faire ce que bon lui semble. »
"Facing the Collegiate Church of Saint-Jean, the Neujean car park is not to be outdone architecturally. Its clear plan is the expression of strong functionalism, fully serving the comfort of the motorist. Separated by a narrow lane, the two buildings maintain a discreet dialogue, which I propose to activate by means of a “contemporary object” - the culture serving as a more or less fertile articulation between two almost bygone eras. Closer to You appears from the street as a yellow sculpture covering the concrete facade of the parking lot. On the 5th floor, we discover a fragment of it interacting with the intervention of Adrien Lucca. From the roof, the object will turn out to be a sort of observation platform that juts out into the void on a slight slope, between the choir and the rotunda of Saint John. As hazardous as it may seem, this promontory meets current safety standards and we will leave it to everyone to choose to borrow it to take pictures, preach or do what they want. "
Cette statue de Jules LASALLE fait partie de l'ensemble
HOMMAGE À MARGUERITE BOURGEOYS (1988).
artpublic.ville.montreal.qc.ca/oeuvre/hommage-a-marguerit...
Marguerite Bourgeoys est née à Troyes en France le 17 avril 1620 et morte le 12 janvier 1700 à Ville-Marie au Canada (Nouvelle-France). Elle est la première enseignante de Montréal et la fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal. Elle a été canonisée le 31 octobre 1982 par Jean-Paul II.
Cette maison décorée par une peinture murale de "Manga Girl" se situe au 201 Avenue Duluth Est, à l’angle de l’avenue de l’Hôtel-de-Ville. Montréal, Québec, Canada.
Cette œuvre créée avant 2008 n’est ni titrée ni signée et malheureusement a été vandalisée par un graffiteur…
Source est installée à l’entrée principale du centre-ville, sur une terrasse aménagée à l’intersection du boulevard Robert-Bourassa et de la rue Wellington. La sculpture en acier inoxydable consiste en un entrelacement aléatoire de lettres tirées des alphabets latin, grec, chinois, arabe, cyrillique, hindi, hébreu et japonais, qui donne corps à un personnage monumental en position assise. L’œuvre est une allégorie de l’humanité : comme les cellules assemblées forment le corps humain, les lettres composent des mots, et les gens forment une communauté. Source représente ainsi la richesse des cultures que Montréal a accueillies au cours de ses presque quatre siècles d’existence. Symbole du passé, du présent et de l’avenir de la cité, la sculpture Source, vue à la lumière du jour ou sous son éclairage nocturne, invite les habitants à marcher, à rêver et à se rencontrer.
En créant Source pour le 375e anniversaire de la fondation de Montréal, l’artiste a voulu tenir compte de l’importance de l’eau dans l’histoire de la ville – tant pour le commerce que pour l’immigration et les communications –, mais aussi de l’importance de la place des peuples autochtones. Source, un mot identique en français et en anglais, fait référence à la naissance d’un cours d’eau, mais peut aussi représenter les racines de l’énergie et de la vitalité d’une ville : ses habitants et leurs origines, la fluidité et la créativité des idées, les cycles de mouvement et de renouvellement.
Source : artpublic.ville.montreal.qc.ca/oeuvre/source-10747/
Détail du monument à Maisonneuve, une œuvre de Louis-Philippe Hébert.
Raphaël-Lambert Closse (1618-1662) fut major de la garnison et ieutenant du gouverneur. Soldat de métier, il est représenté embusqué et prêt à intervenir, il a le regard tendu et retient sa chienne Pilotte, en l’entourant de son bras.
artpublic.ville.montreal.qc.ca/oeuvre/monument-a-paul-de-...
This picture was in "Flickr's Explore" on April 12th 2025. Publiée par Flickr dans "Explorez" le 12 avril 2025 (autour du no 473 sur Fluidr/EXPLORE du 12 avril 2025): www.fluidr.com/explore/interesting/2025/04/12
La murale de Leonard Cohen, 1420 Rue Crescent, Montréal, Québec, Canada.
Une vue à partir de la verrière du Musée des beaux-arts de Montréal.
Poète, musicien, auteur, compositeur, interprète, le regretté Leonard Cohen (1934-2016) est né à Montréal et a toujours gardé des liens étroits avec la métropole. Il fait partie de l’ADN de Montréal et une gigantesque murale de 930 m² lui rend aujourd’hui hommage. Réalisée par Gene Pendon et El Mac, l'un des plus grands muralistes portraitistes au monde, la murale occupe un mur de 21 étages de la rue Crescent. On la voit très distinctement du haut de l’observatoire du mont Royal et de la verrière du Musée des beaux-arts de Montréal.
Intitulée Tower of Songs, la fresque a été réalisée à partir d’une photo prise par la fille de l’artiste, Lorca Cohen, sur laquelle il est coiffé de son éternel chapeau et porte la main à son cœur avec son regard bienveillant, comme un mot d’amour. Le cœur émet d'ailleurs une discrète lueur rouge. Le soir, la murale s'illumine d'un éclairage doux, non moins spectaculaire, à l'image du grand Leonard. C’est l’organisme Mu, pour MUsée à ciel ouvert, qui a parrainé la murale, conformément à sa mission de créer un lien entre l’art et les citoyens et de rendre hommage aux bâtisseurs culturels montréalais.
La "Coat Sculpture" est située sur le Wiwili Brücke, Freiburg im Breisgau, land de Bade-Wurtemberg, Allemagne.
Il semble réel de loin. Ce n'est que de près qu’on réalise que ce manteau déposé sur un muret de pierre à l’entrée du pont est une sculpture en bronze.
Le manteau abandonné commémore la déportation de 450 hommes, femmes et enfants juifs vers le camp de concentration de Gurs en France en 1940. Le point de déportation était très proche du pont Wiwilli. L'idée de la sculpture poignante est venue du directeur adjoint du bureau culturel de la ville, Johannes Rühl, et le conseil municipal a accepté à l'unanimité son concept. En utilisant des photos d'un manteau des années 1940, le sculpteur Birgit Strauch a créé la sculpture en bronze en 2003.
Le manteau a une étoile de David gravée sur la poche de poitrine gauche, même si l'étoile de David n'a été introduite qu'en 1941.
Le contexte historique est expliqué sur un panneau d'information à côté de la sculpture. « Le mémorial a un message clair, mais laisse place à la réflexion. Le manteau symbolise ce que les déportés ont laissé derrière eux, jusque dans nos esprits », explique Johannes Rühl. Traduit du site : visit.freiburg.de/en/feel-freiburg/from-a-horse-to-faunus...
🇬🇧 Spotted at the crossroads of Rue St Jean and Rue Turenne: two pixelated lovers straight out of a folkloric video game. Heritage mode: ON. Romance status: loading…
🇫🇷 Aperçus à l’angle de la rue Saint-Jean et de la rue Turenne : deux amoureux pixellisés tout droit sortis d’un jeu vidéo folklorique. Mode patrimoine : activé. Statut amoureux : en cours de chargement…
📅 Shot on: February 28, 2025
📍 Location: Colmar, France
📷 Gear: Nikon D850 + AF-S Nikkor 28-300mm f/3.5-5.6G ED VR
Big Fish (Salmon of Knowledge) , Donegall Quay, Belfast, Irlande du Nord, Royaume-Uni.
Au pied de la Custom House (1854), la sculpture contemporaine « Big Fish » de John Kindness, qui date de 1999. Elle représente un gros poisson de céramique bleu de 10 mètres de long devenu un des hauts symboles culturels de Belfast. Ce poisson plutôt imposant, fait référence au "Salmon of Knowledge" ("saumon de la connaissance"), une légende issue de la mythologie irlandaise. La sculpture est constituée de carreaux en céramique imprimés, ornés par des textes et des images relatives à l’histoire de Belfast. Au programme, documents historiques, dessins d’enfant…
Le poisson est à lui seul un recueil plutôt complet d’histoires sur la ville ! Une œuvre sympathique, qui se veut artistique mais surtout ludique ! Tiré de www.guide-irlande.com/sites-touristiques/big-fish/.
Belfast est la capitale de l'Irlande du Nord, une nation constitutive du Royaume-Uni, dont elle est également la ville la plus peuplée. Située à cheval sur les comtés d'Antrim et de Down, Belfast fait partie de la province historique irlandaise d'Ulster. Depuis 1888, Belfast possède officiellement le statut de cité et constitue depuis 1998 le siège du gouvernement nord-irlandais. Belfast a été un centre important dans l'industrialisation du lin, du tabac, et des chantiers navals — c'est ici qu'a été construit le Titanic.
La ville a également été très marquée historiquement par l'époque du conflit nord-irlandais, opposant les communautés catholique et protestante. Aujourd'hui Belfast est une ville en paix qui se développe et se modernise considérablement.
La sculpture d’aluminium « Cosmologie sans genèse » (2015) de Ludocic Boney, vue dans la cour intérieure du pavillon Pierre Lassonde lors de la Promenade urbaine « Boucle des Beaux-Arts du Québec », ville de Québec, Canada.
De taille monumentale, l’œuvre de Ludovic Boney s’implante avec harmonie et respect dans son environnement architectural, par ses trois mâts obliques. La sphère propose un jeu avec la lumière ambiante et évoque la polychromie de la sculpture à travers les âges par ses cônes dont certains sont recouverts d’une gamme de couleurs riches.
Le parcours urbain « Boucle des Beaux-Arts du Québec » permet de découvrir des œuvres d’art public, des lieux d’intérêt patrimonial et des œuvres d’art de la collection du Musée national des Beaux-Arts du Québec. Le parcours a été élaborée par ce musée en collaboration avec la ville de Québec, la commission des champs de batailles nationaux, le Grand Théâtre de Québec et la SDC Montcalm-Quartier.