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Le site internet TripAdvisor® a classé les plus belles plages du monde et de France. La plus grande plage de Saint-Malo est la seule plage bretonne dans le top 10 français.
La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Seule plage bretonne
La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.
La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.
C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.
Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.
Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.
Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »
Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »
Des troncs solidement enfoncés
C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.
Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.
Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.
À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.
Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse
GRG are proud to annouce we have just won a certificate of excellence from Trip Advisor for the seonc year in a row!
Quintessenza, questanno premiato come uno dei migliori ristoranti raffinati di Europa per @tripadvisor @quintessenzaristorante
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La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Seule plage bretonne
La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.
La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.
C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.
Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.
Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.
Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »
Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »
Des troncs solidement enfoncés
C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.
Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.
Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.
À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.
Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse.
Mr. Avijit Arya, CEO, Internet Moguls presented online marketing strategies at Trip Advisor Master Class held in New Delhi on April 12, 2012 to help hoteliers promote and grow their hospitality business.
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La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Seule plage bretonne
La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.
La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.
C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.
Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.
Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.
Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »
Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »
Des troncs solidement enfoncés
C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.
Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.
Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.
À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.
Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse
CASTELO SÃO JOÃO
O Instituto detém o título de “Melhor Museu do Brasil”, e eleito pelo site TripAdvisor, como o melhor Museu da América do Sul, assim como um dos 25 melhores Museus do mundo.
LUTO!
(O Governo de Pernambuco, decretou luto de três dias; “uma lacuna irreparável na história de Pernambuco... sempre preocupado com o desenvolvimento econômico, mas também no âmbito social e cultural”, disse o governador de Pernambuco, Paulo Câmara (PSB).
Vítima da Covid-19, Ricardo Coimbra de Almeida Brennand (1927-2020), fundador do IRB, falecera no Recife (na cidade que ele tanto amou), na madrugada do dia 25 de abril de 2020. O governador Paulo Câmara, também contraíra o Coronavírus, mas com sintomas leves. Ricardo Brennand, era primo do ceramista e artista plástico Francisco Brennand, que também falecera em dezembro de 2019, mas não pela Covid-19. Ricardo Brennand, nascera no município do Cabo de Santo Agostinho, no Grande Recife. Empresário, engenheiro, incentivador das artes e colecionador, criou o Instituto (Museu), reconhecido mundialmente, nas terras do antigo Engenho São João, no bairro da Várzea - Recife.
Aos 12 anos de idade, Ricardo Brennand ganhara um canivete do tio homônimo, e desde então, passou a colecionar armas e obras de arte. Uma Igreja em estilo gótico, foi construída para homenagear sua esposa Graça: Igreja de Nossa Senhora das Graças. Em 2017, Ricardo Brennand recebera a “Medalha do Mérito Capibaribe”, a mais alta honraria concedida pela prefeitura da capital pernambucana. Para se chegar ao IRB, localizado no bairro da Várzea (partindo da Praia de Boa Viagem), a distância é de aproximadamente 15 km, 40/50 min de viagem. Av. Antônio Brennand, Zona Oeste de Recife.
Inaugurado em 12 de setembro de 2002, o Instituto Ricardo Brennand (IRB), contou com a presença do príncipe herdeiro da Dinamarca, Frederick Terceiro. O Castelo/Museu, também recebeu a visita da Rainha Beatrix, da Holanda, acompanhada do filho William Alexander e da sua noiva, que se tornariam rei e rainha dos Países Baixos. Na ocasião, foi inaugurada a maior coleção particular de quatros de Frans Post no mundo, composta de 15 pinturas. Post, transferiu para as telas as primeiras paisagens do Brasil do século XVII. O Instituto reúne o maior acervo do período da ocupação holandesa no país, chefiada por João Maurício de Nassau. O Instituto detém o título de “Melhor Museu do Brasil”, e eleito pelo site TripAdvisor, como o melhor Museu da América do Sul, assim como um dos 25 melhores Museus do mundo.
O IRB, nasceu da paixão de Ricardo Brennand por colecionar obras-de-arte provenientes de diversas partes do mundo. A peça mais antiga do Museu é o sarcófago do século II originário de Roma/ITA. O Instituto está numa cópia de um Castelo Medieval, numa adorável área arborizada, possui um significativo percentual de mata atlântica preservada, jardins exuberantes, lagos artificiais... são 77 mil m² de área construída, em 180 mil m² de terreno. Conferir todo o Castelo, e demais complexos, como por exemplo: a bela Igreja em estilo gótico (altar originário do barroco espanhol do século XVII) de Nossa Senhora das Graças, construída em homenagem à Graça Brennand - sua esposa, a Galeria de Eventos, Biblioteca (com mais de 60 mil volumes datados do século XVI em diante), Auditório, Restaurante Castelus, Jardins... seria necessário um dia, ou mais.
O “Castelo São João”, além de abrigar um grande acervo de arte europeia, abriga também uma excelente coleção de armaduras e armas medievais. Abriga ainda um extenso arquivo de pinturas e documentos dos anos de dominação holandesa no Brasil; uma Pinacoteca, que mostra uma rica coleção de pinturas e desenhos do século 17, feitos pelos artistas Albert Eckhout e Frans Post - ambos contratados por Maurício de Nassau para retratar a fauna e a flora do Brasil, assim como cenas do cotidiano, além de mapas, peças sacras, esculturas...
O Instituto Ricardo Brennand, e um pouco de suas “joias”.
1.Na entrada, dois leões de mármore que pertenceram ao majestoso Palácio Monroe, ex-Senado Federal (demolido em 1976), no Rio de Janeiro.
2.Na Praça, em frente ao Castelo, uma das cinco réplicas da estátua de David (de Michelangelo), a única réplica exposta na América do Sul, feita utilizando mármore retirados da mesma pedreira da original.
3.Nos jardins, escultura “A Dama e o Cavalo”, do colombiano Fernando Botero, entre outras esculturas: rinocerontes, felinos... feitas pela gaúcha Sonia Ebling.
4.“O Pensador”, de Rodin. Uma das 25 réplicas, utilizando um molde do original.
5.Na Sala das Armas, espadas do Rei Faruk I, o último Rei do Egito. Espingardas de D. Pedro I e D. Pedro II. Armaduras, espadas, lanças... da Europa e do Oriente, e o “Cachorro com Armadura”, talvez algo assim exista apenas no Castelo São João.
6.Na Pinacoteca, relíquias do Brasil Holandês: moedas, e o primeiro livro produzido no Brasil sobre medicina, de 1654. Ainda, pinturas de Frans Post, que veio para o Brasil com Maurício de Nassau, é o maior acervo de Post fora da Europa.
7.Tapeçarias, com desenhos do holandês Albert Eckhout (1610-1665). E pra lanchar... depois de tanta cultura, o tradicional “Bolo de Rolo” do Castelo, é o melhor da cidade, não há outro igual em toda Recife!
Harvard Kennedy School, Littauer Building, John F. Kennedy Jr. Forum
Susan Crawford, John A. Reilly Visiting Professor in Intellectual Property, Law School; Special Assistant to the President for Science, Technology, and Innovation Policy (2009)
Stephen Kaufer, President and CEO, TripAdvisor.com
Archon Fung (moderator), Academic Dean and Ford Foundation Professor of Democracy and Citizenship, Harvard Kennedy School
March month special offers:-Paragliding - 3000 INR - Offer-2199 INR.
Camping - 1499 INR -⛺-Offer- 999 INR.
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È stato inaugurato con la conferenza stampa del ministro Beatrice Lorenzin il nuovo portale dedicato alla recensione delle strutture ospedaliere italiane.
Il 'tripadvisor' degli ospedali italiani, come è stato subito ribattezzato, permetterà ai Cittadini di esprimere la propria opinione sulle strutture ed i servizi di cui hanno beneficiato. Il progetto interesserà in questa fase di lancio i soli IRCCS (Istituti di Ricovero e Cura a Carattere Scientifico), centri di eccellenza nella cura e nella ricerca medica presenti sul nostro territorio nazionale, ma si allargherà presto a comprendere ospedali, ambulatori, strutture convenzionate, ed anche farmacie, pediatri, o medici di famiglia.
Il portale darà all'utente la completa libertà di cercare, partendo dall'ambito specialistico, le realtà a lui più vicine in grado di occuparsi del problema, ovvero di inserire, nel campo di ricerca, direttamente il nome della struttura su cui intende informarsi. Le informazioni tratteranno non solo gli aspetti medico-scientifici dell'esperienza ospedaliera, ma anche i dettagli circa la disponibilità di parcheggi, bar o edicole nelle vicinanze, qualità dei pasti, e tutto quanto possa contribuire a migliorare la degenza, e verranno espresse tramite un voto da 1 a 5 stelle.
Il portale è già attivo ed è raggiungibile al sito ift.tt/1khgbVL.
www.tripadvisor.fr/Restaurant_Review-g674098-d2252824-Rev...
Moret est une petite cité médiévale de 4 500 habitants environ dont les origines semblent remonter à l'époque gallo-romaine. Elle prend de l'importance (stratégique notamment) en 1081 en entrant dans le domaine royal. D'agréables vestiges (portes et donjon du xiie siècle entre autres) font de cette antique cité une halte sinon indispensable, du moins fort appréciée.
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La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Seule plage bretonne
La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.
La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.
C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.
Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.
Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.
Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »
Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »
Des troncs solidement enfoncés
C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.
Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.
Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.
À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.
Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse
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And so here we are; the last day of the holiday, and all of Tokyo to explore and snap. And we don't have a scooby where to go. We had thought about it, looked on line, and 2nd most popular attraction on Tripadvisor was Shinjuku Gyoen National Garden. And as we enjoyed the gardens at the Imperial Palace, we thought this might be a good idea.
We went down for breakfast at 07:10, and found the restaurant in the middle of the lobby packed, but somehow I managed to get a table for us. And seeing as this was more of an international place, breakfast had more of a European feel. The freshly baked rolls looked nice, still warm from baking, so I thought one would be fine with marmalade on. I cut it open only to find it part filled with blue cheese; and I wanted to have marmalade! Oh, what the heck, lets mix flavours, and it came out as being tasty!
I think one of the pleasures of staying in an international place like this hotel, as what people from different countries have for breakfast, and the hotel has to cater for most of them, as all would be impossible I suppose. Most people seem to think coffee is an important part of breakfast, and they would be right of course.
We got our stuff together, ready to brave the madness of the Metro for the first time in 10 days, our route planned; we set off.
Up to now we had seen subway trains with just standing room available, but this was the first time we had seen a train pull in with there no space whatsoever to get on. Some locals did push on, and we saw their faces squashed against the door's windows as the train pulled out. Thankfully, the next one was less full, and we did get one for the few stops before we had to change again.
We arrived at the station near the garden, and the security guard saw us looking at a map and told us to cross the road on street level and then turn right.
Which is what we did, along a shaded promenade walk to the main gate of the park, which only charged 200 Yen to get in. The walks were well signposted, and as we just wanted to see the Japanese garden, we set off through the woods for it. Also in the park were dozens of school parties, all very young children, who had come for some nature-based activities and then a packed lunch.
I suppose what we had hoped for was something akin to the garden at the Imperial Palace, with flowers, insects and ponds. But here there was a pond or two, bridges and paths leading through them, but it lacked the wow factor of the Imperial Palace, and out of blossom season is "just a park". I say that as there isn't a lot of green spaces in downtown Tokyo, but this gives a chance to escape the crowds and have some quiet time, walking through garden or over the grass, maybe have a picnic.
We pause for a cool drink from a vending machine and an ice cream from the small shop.
It was darn hot, so darned hot that by half eleven, we decided not to go to the English garden, which might have been the wrong decision, but then again, it was our holiday, so we get to do what we want.
I was trying to write my blogs out before we left, or at least get the first week written before we left, so I said I would like to spend some time in the hotel with the view, radio and air conditioning on, writing. Jen said she would like to do some last minute shopping and Jools wanted to go back to Beadtown. So it was set, we took the metro back, then walked via a huge subway past shops and yet more vending machines until we came to the correct exit for the hotel.
The afternoon slipped past, I wrote, Jools and Jen shopped. I was writing away when I heard a noise at the window, only to see two blokes cleaning the window via a gondolier. They didn't notice me, and within 15 seconds had moved on to another floor. Just enough time to rattle off a shot or two of them! Always have a camera handy!
Jools came back at something like four, and I needed a drink, so we go down to reception and in the same bar where I had drunk the whisky the night before, they presented me with the cocktail menu. I had always though that Jools would like a White Russian, so I order two, happy that if she didn't like it, I would be able to finish it. Which is what happened. We sat in the bar, chatting to the manager about Tokyo, visitors and the difference between Americans and Brits, and that we may speak the same language but we rarely mean the same thing! He smiled.
Reflected in the building opposite were the colours of sunset. We went round to the other side of the lobby to look and were treated to a wonderful site; the sky was all oranges and reds with the city beginning to light up, and the iconic Tokyo Tower centre. But best of all, on the horizon, poking through some thin clouds was the silhouette of Mt Fuji. And that, seeing the volcano on the very last sunset of the trip, we had crossed the last thing to see off the list. And what a fine end to the holiday. But not quite the end, as there was dinner to seek out.
Jen came down, and we went hunting for dinner. Or somewhere to have it at least. We had in mind more shabu-shabu, and we were sure that we could find somewhere serving that near to the hotel. But then Tokyo seems to be the most people unfriendly place on earth, at least at first. It is all so bewildering, passages and stairways leading in all directions.
We wandered aimlessly, pointing out places that clearly were selling food. But not looking too special, and we felt that the last night should be special.
Down in the subway, we saw an ad for "sky high dining"; eating whilst looking at the city far below sounded wonderful, so went up.
In a place named after Oregon State, we were given a table right by the picture window, with views to a railway station surrounded by skyscrapers. It was perfect. Instead of shabu-shabu, which what had been planned, we had steak, and wine. It was glorious, a fine end to the holiday, the city laid out for our enjoyment before us. Maybe not the best nor cheapest steak in the world, or the city. But with views like that, it hardly mattered.
It has to come to an end of course, and this now had, the final curtain rushed towards us just as we were getting used to Japan. But, we came, saw and enjoyed ourselves. But I yearned to go home, see the cats, have some tea, and just be home in our little piece of England.
There's always next time I suppose.
Notre VIETNAM TRAVEL LOG, VIETNAM TRAVEL DIARY
CARNET DE VOYAGE VIETNAM, JOURNAL DE VOYAGE VIETNAM:
www.flickr.com/photos/natureboheme/collections/7215762238...
INVITATION ET PRÉPARATION AU VOYAGE VIETNAM
Sites recommandés: saigon-vietnam.fr/accueil.php et
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Il portale web di viaggi e turismo TripAdvisor, sulla base delle indicazioni dei suoi utenti, ha pub
spiagge, foto, tripadvisor www.diggita.it/v.php?id=1353351
“This is one of the best riads in Marrakech”
We have just returned from a 4 day stay at Riad Bab Marrakech, we had a fantastic time and highly recommend this riad to everybody.
The location of the riad is around a 5 minute walk away from the main Jemma el Fna square, I would say the location is perfect, you are in the middle of the medina, living around the locals and taking in all of the culture that Marrakech has to offer. On the other hand you are only a 5 minute walk away from the main sqaure. Transport can get to within 30 yards of the riad, so if you don't want to walk far, then you don't have to.
The decoration at the riad is all very tasteful, it really feels like you are in the middle of another culture. All of the fixtures/fittings at the riad looked brand new and everything was working as it should be.
The riad has 4 rooms, 2 on the ground floor and 2 on the first floor (all of the rooms were en-suite). It has a large terrace, where there are lots of seats, both formal for dining and sofas for relaxing. There is also a lovely "Chill Out" room on the terrace, which is a lovely idea, if you just want to relax and listen to your own music. There is also a futher level, where there are sun loungers for you to relax on, this was one of the best features of this riad, as you could relax on the loungers in the night, looking up at the hundreds of stars, drinking freshly squeezed orange juice.
There were 3 of us visiting Marrakech so we had a double room and a twin room. Both of the rooms were a nice size and had there own large bathrooms. There was individually controlled air-con fitted in each of the rooms as well as a fitted wardrobes. There is free WIFI available throughout the riad, the WIFI was working and was very fast.
The food at this riad was so nice. The breakfast was cooked freshly everyday for us and consisted of omelettes, breads, pastries, waffles, honey, jam, fresh orange juice, tea/coffee. We ate at the riad on our last evening in Marrakech, the kefta tagine was excellent, as was all of the side orders that came with it. We were just gutted we did not eat at the riad before as we could have had a few more meals there.
The staff at the riad were so friendly, if you asked them to do something (at anytime, day or night) they just smile at you and do what you have asked, excellent service, just as you would expect in a high class riad. The owner Oliver, is a great guy, he is a long time tripadvisor member and really knows how to look after his clients. He will be happy to arrange airport transfers, daytrips or whatever else you need, he is a genuine person and we fully trust him.
The riad also serves complimentry soft drinks all day/night. The orange juice is freshly squeezed and tastes just as good as the one you get at the square, you can have tea/coffee or mint tea whenever you desire.
All in all, this has to be one of the best riads in Marrakech, it has only recently opened and I am sure in time will be the best riad in its class. If you get a chance to stay here then go for it, we will be returning to Riad Bab Marrakech again later this year.
Le site internet TripAdvisor® a classé les plus belles plages du monde et de France. La plus grande plage de Saint-Malo est la seule plage bretonne dans le top 10 français.
La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Seule plage bretonne
La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.
La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.
C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.
Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.
Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.
Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »
Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »
Des troncs solidement enfoncés
C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.
Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.
Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.
À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.
Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse.
Le site internet TripAdvisor® a classé les plus belles plages du monde et de France. La plus grande plage de Saint-Malo est la seule plage bretonne dans le top 10 français.
La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Seule plage bretonne
La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.
La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.
C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.
Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.
Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.
Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »
Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »
Des troncs solidement enfoncés
C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.
Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.
Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.
À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.
Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse.
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La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Seule plage bretonne
La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.
La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.
C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.
Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.
Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.
Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »
Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »
Des troncs solidement enfoncés
C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.
Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.
Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.
À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.
Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse.
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La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Seule plage bretonne
La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.
La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.
C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.
Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.
Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.
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Harvard Kennedy School, Littauer Building, John F. Kennedy Jr. Forum
Susan Crawford, John A. Reilly Visiting Professor in Intellectual Property, Law School; Special Assistant to the President for Science, Technology, and Innovation Policy (2009)
Stephen Kaufer, President and CEO, TripAdvisor.com
Archon Fung (moderator), Academic Dean and Ford Foundation Professor of Democracy and Citizenship, Harvard Kennedy School
Dubai Tours www.tourtodubai.ae Booking WhatsApp +971552337784
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BTO 2016 | Day ONE | Mercoledì 30 novembre
#1 Focus Hall
Tripadvisor ed il Grand Tour 2016
Ph. Luca Matulli
www.buytourismonline.com/eventi/grand-tour-2016/
Francesco Tapinassi Tourism and Law presso l'Università di Firenze
Massimiliano Gini Analista
Alessio Carciofi Strategic Connectivity for tourism
Bird statues at Gamcheon Cultural Village
www.tripadvisor.com.au/Attraction_Review-g297884-d3901349...
Top 10 spiagge Italia secondo i viaggiatori di TripAdvisor
TripAdvisor, il principale portale internazionale di recensioni on line, ha pubblicato da qualche giorno la classifica dei luoghi vincitori del “TripAdvisor Travelers’ Choice Beaches Awards 2017“. Noi in particolare ci...
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CASTELO SÃO JOÃO
O Instituto detém o título de “Melhor Museu do Brasil”, e eleito pelo site TripAdvisor, como o melhor Museu da América do Sul, assim como um dos 25 melhores Museus do mundo.
LUTO!
(O Governo de Pernambuco, decretou luto de três dias; “uma lacuna irreparável na história de Pernambuco... sempre preocupado com o desenvolvimento econômico, mas também no âmbito social e cultural”, disse o governador de Pernambuco, Paulo Câmara (PSB).
Vítima da Covid-19, Ricardo Coimbra de Almeida Brennand (1927-2020), fundador do IRB, falecera no Recife (na cidade que ele tanto amou), na madrugada do dia 25 de abril de 2020. O governador Paulo Câmara, também contraíra o Coronavírus, mas com sintomas leves. Ricardo Brennand, era primo do ceramista e artista plástico Francisco Brennand, que também falecera em dezembro de 2019, mas não pela Covid-19. Ricardo Brennand, nascera no município do Cabo de Santo Agostinho, no Grande Recife. Empresário, engenheiro, incentivador das artes e colecionador, criou o Instituto (Museu), reconhecido mundialmente, nas terras do antigo Engenho São João, no bairro da Várzea - Recife.
Aos 12 anos de idade, Ricardo Brennand ganhara um canivete do tio homônimo, e desde então, passou a colecionar armas e obras de arte. Uma Igreja em estilo gótico, foi construída para homenagear sua esposa Graça: Igreja de Nossa Senhora das Graças. Em 2017, Ricardo Brennand recebera a “Medalha do Mérito Capibaribe”, a mais alta honraria concedida pela prefeitura da capital pernambucana. Para se chegar ao IRB, localizado no bairro da Várzea (partindo da Praia de Boa Viagem), a distância é de aproximadamente 15 km, 40/50 min de viagem. Av. Antônio Brennand, Zona Oeste de Recife.
Inaugurado em 12 de setembro de 2002, o Instituto Ricardo Brennand (IRB), contou com a presença do príncipe herdeiro da Dinamarca, Frederick Terceiro. O Castelo/Museu, também recebeu a visita da Rainha Beatrix, da Holanda, acompanhada do filho William Alexander e da sua noiva, que se tornariam rei e rainha dos Países Baixos. Na ocasião, foi inaugurada a maior coleção particular de quatros de Frans Post no mundo, composta de 15 pinturas. Post, transferiu para as telas as primeiras paisagens do Brasil do século XVII. O Instituto reúne o maior acervo do período da ocupação holandesa no país, chefiada por João Maurício de Nassau. O Instituto detém o título de “Melhor Museu do Brasil”, e eleito pelo site TripAdvisor, como o melhor Museu da América do Sul, assim como um dos 25 melhores Museus do mundo.
O IRB, nasceu da paixão de Ricardo Brennand por colecionar obras-de-arte provenientes de diversas partes do mundo. A peça mais antiga do Museu é o sarcófago do século II originário de Roma/ITA. O Instituto está numa cópia de um Castelo Medieval, numa adorável área arborizada, possui um significativo percentual de mata atlântica preservada, jardins exuberantes, lagos artificiais... são 77 mil m² de área construída, em 180 mil m² de terreno. Conferir todo o Castelo, e demais complexos, como por exemplo: a bela Igreja em estilo gótico (altar originário do barroco espanhol do século XVII) de Nossa Senhora das Graças, construída em homenagem à Graça Brennand - sua esposa, a Galeria de Eventos, Biblioteca (com mais de 60 mil volumes datados do século XVI em diante), Auditório, Restaurante Castelus, Jardins... seria necessário um dia, ou mais.
O “Castelo São João”, além de abrigar um grande acervo de arte europeia, abriga também uma excelente coleção de armaduras e armas medievais. Abriga ainda um extenso arquivo de pinturas e documentos dos anos de dominação holandesa no Brasil; uma Pinacoteca, que mostra uma rica coleção de pinturas e desenhos do século 17, feitos pelos artistas Albert Eckhout e Frans Post - ambos contratados por Maurício de Nassau para retratar a fauna e a flora do Brasil, assim como cenas do cotidiano, além de mapas, peças sacras, esculturas...
O Instituto Ricardo Brennand, e um pouco de suas “joias”.
1.Na entrada, dois leões de mármore que pertenceram ao majestoso Palácio Monroe, ex-Senado Federal (demolido em 1976), no Rio de Janeiro.
2.Na Praça, em frente ao Castelo, uma das cinco réplicas da estátua de David (de Michelangelo), a única réplica exposta na América do Sul, feita utilizando mármore retirados da mesma pedreira da original.
3.Nos jardins, escultura “A Dama e o Cavalo”, do colombiano Fernando Botero, entre outras esculturas: rinocerontes, felinos... feitas pela gaúcha Sonia Ebling.
4.“O Pensador”, de Rodin. Uma das 25 réplicas, utilizando um molde do original.
5.Na Sala das Armas, espadas do Rei Faruk I, o último Rei do Egito. Espingardas de D. Pedro I e D. Pedro II. Armaduras, espadas, lanças... da Europa e do Oriente, e o “Cachorro com Armadura”, talvez algo assim exista apenas no Castelo São João.
6.Na Pinacoteca, relíquias do Brasil Holandês: moedas, e o primeiro livro produzido no Brasil sobre medicina, de 1654. Ainda, pinturas de Frans Post, que veio para o Brasil com Maurício de Nassau, é o maior acervo de Post fora da Europa.
7.Tapeçarias, com desenhos do holandês Albert Eckhout (1610-1665). E pra lanchar... depois de tanta cultura, o tradicional “Bolo de Rolo” do Castelo, é o melhor da cidade, não há outro igual em toda Recife!
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Sharing our newest latest review on Tripadvisor.com for our #CentrePoint #Hotel #Silom #Bangkok #Thailand property! www.centrepoint.com/hotel/products.aspx?branch_id=3 – Reviewed July 2, 2013 by our guest Shelly M from Miami, Florida, United States who stayed with us June 2013 and traveled as a couple. Here is what it says:
“I’m so happy I chose this place!!
I found it a little difficult to find a hotel that had a beautiful city view AND an open air balcony. After researching for weeks I decided on this hotel and couldn’t be more happy. Everything is impeccable, the lobby, rooms, breakfast lobby, everything! The staff is extremely friendly and they tend to your every need. The hotel even has its own private door to the Robinson shopping center where they sell everything from clothes to food and it even has a supermarket. I would definitely book again.”
We would like to thank each and every one of our guests for their consistent love and appreciation, and we feel so overwhelmed to read your reviews! Please keep them coming together with your suggestions to help us make your stays more and more complete and memorable. We love you!