en.wikipedia.org/wiki/Ford_Fairlane_500_Skyliner

This car is parked in front of the Skyliner Diner in Pigeon Forge, TN. This is a touristy restaurant in a touristy city which resembles a 1950's steel diner.

"ABUSE"

Stop Motion Animation Project

Art Is Hart v.7 3.2.2012

Contemporary Art Group Exhbition

Thessaloniki - Greece

Doll Artist: Anastasia Georgiu - Dododolls

Animator: Nicolas Drizis - Digital Vision

Script: Sevi Matsakidou

Photography: Dimitris Lazopoulos

2017

Souldoll Sevi

Le cimetière chinois de Nolette est un cimetière situé le territoire de la commune française de Noyelles-sur-Mer où sont inhumés les travailleurs civils chinois employés par l'armée britannique pendant la Première Guerre mondiale.

Il s'agit du plus grand cimetière chinois de France et d'Europe

Pendant la Première Guerre mondiale, Noyelles abrita une importante base arrière britannique dont un grand camp de coolies (travailleurs immigrés chinois). Ils furent recrutés par l'armée britannique entre 1917 et 1919 dans le cadre du corps de travailleurs chinois (en anglais, Chinese Labour Corps), pour des tâches de manutention à l'arrière du front mais certains connaitront les zones de combat.

Ils représentent l'une des premières immigrations chinoises en France. Ils avaient l'interdiction de se mêler à la population civile du lieu. Certains resteront en France après la Grande Guerre.

Chinois en France

L'entrée du cimetière chinois de Nolette.

Ils étaient affectés à des tâches pénibles et dangereuses comme le terrassement de tranchées, le ramassage des soldats morts sur le champ de bataille, le déminage des terrains reconquis, la blanchisserie, les services de santé auprès des malades, en particulier ceux atteints de la grippe espagnole...

En 1921, le gouvernement britannique décida l'édification du cimetière chinois à Nolette. Le Major Truelove est chargé de sa réalisation sous l'autorité d'Edwin Lutyens.

Depuis 2002, le cimetière de Nolette est le lieu de célébration de la Fête de Qing Ming (Fête des Morts chinoise) en France organisée par le Conseil pour l'intégration des communautés d'origine chinoise en France.

On trouve dans le département de la Somme des tombes de coolies dans les cimetières d'Abbeville, Albert, Daours, Gézaincourt, Tincourt-Boucly et Villers-Carbonnel.

Propriété de l'État français et gérée par la Commonwealth War Graves Commission, la nécropole située près du hameau de Nolette dans la commune de Noyelles-sur-Mer a été inaugurée en 1921 par le Préfet de la Somme. 849 travailleurs chinois sont inhumés à Noyelles-sur-Mer. La plupart travaillait au camp chinois de l'armée britannique situé sur la commune entre 1917 et 1919.

Tombe de Yang Shiyue 楊十月 originaire du Shandong, mort le 12 janvier 19191.

Beaucoup sont morts d'une épidémie de choléra qui a sévi dans le camp, de la grippe espagnole en 1918-1919 ou de la tuberculose, voire tués dans les zones de combat.

Le site est caractérisée par le portail d'entrée, les inscriptions sur les tombes et les essences d'arbres (pins, cèdres...) qu'on ne rencontre pas dans les autres cimetières du Commonwealth ainsi que par l'absence de croix du Sacrifice et de pierre du Souvenir.

Les tombes de ce cimetière sont constituées de 849 stèles en marbre blanc, avec sur chacune d'elle gravée une inscription en anglais « Faithful unto Death » ou « Though dead he still liveth » ou encore « A good reputation endures for ever » ainsi que des idéogrammes chinois et parfois, très rarement, le nom en anglais ou le matricule du défunt.

Le porche monumental et le mur de l'entrée tiennent lieu de mémorial pour la quarantaine de Chinois morts sur terre ou sur mer sans tombes connues.

Des statues de lions offerts par la République populaire de Chine sont situées, non loin de la nécropole, à l'entrée de la rue qui mène au cimetière de Nolette

Le cimetière chinois de Nolette est un cimetière situé le territoire de la commune française de Noyelles-sur-Mer où sont inhumés les travailleurs civils chinois employés par l'armée britannique pendant la Première Guerre mondiale.

Il s'agit du plus grand cimetière chinois de France et d'Europe

Pendant la Première Guerre mondiale, Noyelles abrita une importante base arrière britannique dont un grand camp de coolies (travailleurs immigrés chinois). Ils furent recrutés par l'armée britannique entre 1917 et 1919 dans le cadre du corps de travailleurs chinois (en anglais, Chinese Labour Corps), pour des tâches de manutention à l'arrière du front mais certains connaitront les zones de combat.

Ils représentent l'une des premières immigrations chinoises en France. Ils avaient l'interdiction de se mêler à la population civile du lieu. Certains resteront en France après la Grande Guerre.

Chinois en France

L'entrée du cimetière chinois de Nolette.

Ils étaient affectés à des tâches pénibles et dangereuses comme le terrassement de tranchées, le ramassage des soldats morts sur le champ de bataille, le déminage des terrains reconquis, la blanchisserie, les services de santé auprès des malades, en particulier ceux atteints de la grippe espagnole...

En 1921, le gouvernement britannique décida l'édification du cimetière chinois à Nolette. Le Major Truelove est chargé de sa réalisation sous l'autorité d'Edwin Lutyens.

Depuis 2002, le cimetière de Nolette est le lieu de célébration de la Fête de Qing Ming (Fête des Morts chinoise) en France organisée par le Conseil pour l'intégration des communautés d'origine chinoise en France.

On trouve dans le département de la Somme des tombes de coolies dans les cimetières d'Abbeville, Albert, Daours, Gézaincourt, Tincourt-Boucly et Villers-Carbonnel.

Propriété de l'État français et gérée par la Commonwealth War Graves Commission, la nécropole située près du hameau de Nolette dans la commune de Noyelles-sur-Mer a été inaugurée en 1921 par le Préfet de la Somme. 849 travailleurs chinois sont inhumés à Noyelles-sur-Mer. La plupart travaillait au camp chinois de l'armée britannique situé sur la commune entre 1917 et 1919.

Tombe de Yang Shiyue 楊十月 originaire du Shandong, mort le 12 janvier 19191.

Beaucoup sont morts d'une épidémie de choléra qui a sévi dans le camp, de la grippe espagnole en 1918-1919 ou de la tuberculose, voire tués dans les zones de combat.

Le site est caractérisée par le portail d'entrée, les inscriptions sur les tombes et les essences d'arbres (pins, cèdres...) qu'on ne rencontre pas dans les autres cimetières du Commonwealth ainsi que par l'absence de croix du Sacrifice et de pierre du Souvenir.

Les tombes de ce cimetière sont constituées de 849 stèles en marbre blanc, avec sur chacune d'elle gravée une inscription en anglais « Faithful unto Death » ou « Though dead he still liveth » ou encore « A good reputation endures for ever » ainsi que des idéogrammes chinois et parfois, très rarement, le nom en anglais ou le matricule du défunt.

Le porche monumental et le mur de l'entrée tiennent lieu de mémorial pour la quarantaine de Chinois morts sur terre ou sur mer sans tombes connues.

Des statues de lions offerts par la République populaire de Chine sont situées, non loin de la nécropole, à l'entrée de la rue qui mène au cimetière de Nolette

Cucaña, Palo ensebado, Greasy pole

Español:

es.wikipedia.org/wiki/Cuca%C3%B1a

sevilla.abc.es/sevilla/sevi-cucana-vela-remojon-y-30-euro...

English:

en.wikipedia.org/wiki/Greasy_pole

Souldoll Sevi

L FOR VIEWING

Monk's Land

Stigmata

therealmonk.tumblr.com/

The Farm

Following in the footsteps of illustrious stalwarts like Baba Hari Singh Baba Bakala, Baba Avtar Singh Sur Singh and Baba Nihal Singh Harian Belan, Baba Swarnjit Singh provides leadership to generation next. Widely traveled, his worldview benefits from visits to Vatican, Venice, Berlin, Paris, Brussels and Lahore. Among the first Nihang Singhs to harness the energy of the internet, he keeps folks abreast of the latest developments in Punjab (https://www.facebook.com/swarnjitsingh.nihangsingh).

While most Punjabis lament their political leaders' lack of vision, Baba Swarnjit Singh lives up to the Gurus' teachings ਰੋਸ ਨਾ ਕੀਜੈ, ਉੱਤਰ ਦੀਜੈ, fostering healthy debate. The answers to all our problems lie within us. Spearheading the programs of Sava Lakh Foundation (www.savalakh.org) he believes we are done talking. Our problems cannot be wished away. Solutions can only be affected through hard work and perseverance.

As President, Sant Baba Ghanaiya Singh ji Sports and Welfare Club, he regularly organises football (soccer) and kabaddi tournaments. Promising athletes are identified and their careers furthered through quality education.

As Head of religious affairs of EkNoor Svai Sevi Sanstha he set up Gurmat Sangeet Academy in village Pathlawa (near Banga, Shaheed Bhagat Singh Nagar) on 12 September 2011. The response has been terrific. 101 students joined the first batch. Training in gurbani santhya, keertan, Sikh history, harmonium, tabla will be imparted.

© 2011 Gurbir Singh Brar, all rights reserved.

This image is not available for use on websites, blogs or other media without the explicit written permission of the photographer.

Souldoll Sevi

D'après les géologues, les hoodoos devraient totalement disparaître sous les flots de la Sevier River d'ici à 3 millions d'années !

Cucaña, Palo ensebado, Greasy pole

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Zermatt, 31.10.16: Sechs Bergsteiger haben das Matterhorn mit speziellem Gepäck bestiegen: Sie platzierten zwei Atomfässer auf dem Gipfel des bekanntesten Schweizer Bergs. Dort enthüllten sie ein Transparent mit der Aufschrift «Traumgipfel statt Müllberge» um ihre Unterstützung zu zeigen für die Initiative für den geordneten Atomausstieg, über die am 27. November abgestimmt wird. Copyright: Severin Mösinger

Saltprint portrait.

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CORUNHA (Espanha): Interior da torre de Hércules.

É o único farol romano que existe no mundo e que continua a cumprir a sua função. Foi construído na cidade de Brigantium, no século II, durante os mandatos dos Imperadores romanos Trajano e Adriano, por um arquitecto chamado Gaio Sévio Lupo, natural da cidade de Aeminium (actual Coimbra), e tinha como função servir de farol de navegação.

A torre possivelmente perdeu o seu uso marítimo durante a Idade Média, quando foi convertida em fortificação.

Em 1682, o duque de Uceda encarregou o arquitecto Amaro Antune da restauração da estrutura. Este construiu uma escada de madeira que atravessa as abóbadas para a parte superior, onde dispôs as pequenas torres que suportam o farol.

Foi no reinado de Carlos IV de Espanha que ficou completa a sua reconstrução, tendo os trabalhos sido iniciados em 1788. A obra neoclássica terminou em 1791 sob a direcção de Eustaquio Giannini.

Após as reformas, passou a constituir-se numa torre e num farol. De planta quadrada, ergue-se a uma altura de 68 metros. O conjunto é constituído por três corpos: o inferior, de base quadrada com 11,60 metros de largura e 34,60 metros de altura; um intermédio, de menores dimensões, de secção octogonal; e um terceiro, menor ainda, também de secção octogonal, que suporta a construção cilíndrica em vidro que protege a lanterna do farol.

Ao subir os seus 242 degraus, pode-se apreciar a vista panorâmica da linha de costa e do oceano Atlântico.

Fonte: Wikipedia

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Torre de Belém, Lisboa

Cucaña, Palo ensebado, Greasy pole

Español:

es.wikipedia.org/wiki/Cuca%C3%B1a

sevilla.abc.es/sevilla/sevi-cucana-vela-remojon-y-30-euro...

English:

en.wikipedia.org/wiki/Greasy_pole

Altının ons fiyatı 1.220 dolar ile son iki ayın zirvesini gördü.

www.daykan.com/ekonomi/altinin-onsu-2-ayin-en-yuksek-sevi...

Cucaña, Palo ensebado, Greasy pole

Español:

es.wikipedia.org/wiki/Cuca%C3%B1a

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English:

en.wikipedia.org/wiki/Greasy_pole

Digital Painting

Le cimetière chinois de Nolette est un cimetière situé le territoire de la commune française de Noyelles-sur-Mer où sont inhumés les travailleurs civils chinois employés par l'armée britannique pendant la Première Guerre mondiale.

Il s'agit du plus grand cimetière chinois de France et d'Europe

Pendant la Première Guerre mondiale, Noyelles abrita une importante base arrière britannique dont un grand camp de coolies (travailleurs immigrés chinois). Ils furent recrutés par l'armée britannique entre 1917 et 1919 dans le cadre du corps de travailleurs chinois (en anglais, Chinese Labour Corps), pour des tâches de manutention à l'arrière du front mais certains connaitront les zones de combat.

Ils représentent l'une des premières immigrations chinoises en France. Ils avaient l'interdiction de se mêler à la population civile du lieu. Certains resteront en France après la Grande Guerre.

Chinois en France

L'entrée du cimetière chinois de Nolette.

Ils étaient affectés à des tâches pénibles et dangereuses comme le terrassement de tranchées, le ramassage des soldats morts sur le champ de bataille, le déminage des terrains reconquis, la blanchisserie, les services de santé auprès des malades, en particulier ceux atteints de la grippe espagnole...

En 1921, le gouvernement britannique décida l'édification du cimetière chinois à Nolette. Le Major Truelove est chargé de sa réalisation sous l'autorité d'Edwin Lutyens.

Depuis 2002, le cimetière de Nolette est le lieu de célébration de la Fête de Qing Ming (Fête des Morts chinoise) en France organisée par le Conseil pour l'intégration des communautés d'origine chinoise en France.

On trouve dans le département de la Somme des tombes de coolies dans les cimetières d'Abbeville, Albert, Daours, Gézaincourt, Tincourt-Boucly et Villers-Carbonnel.

Propriété de l'État français et gérée par la Commonwealth War Graves Commission, la nécropole située près du hameau de Nolette dans la commune de Noyelles-sur-Mer a été inaugurée en 1921 par le Préfet de la Somme. 849 travailleurs chinois sont inhumés à Noyelles-sur-Mer. La plupart travaillait au camp chinois de l'armée britannique situé sur la commune entre 1917 et 1919.

Tombe de Yang Shiyue 楊十月 originaire du Shandong, mort le 12 janvier 19191.

Beaucoup sont morts d'une épidémie de choléra qui a sévi dans le camp, de la grippe espagnole en 1918-1919 ou de la tuberculose, voire tués dans les zones de combat.

Le site est caractérisée par le portail d'entrée, les inscriptions sur les tombes et les essences d'arbres (pins, cèdres...) qu'on ne rencontre pas dans les autres cimetières du Commonwealth ainsi que par l'absence de croix du Sacrifice et de pierre du Souvenir.

Les tombes de ce cimetière sont constituées de 849 stèles en marbre blanc, avec sur chacune d'elle gravée une inscription en anglais « Faithful unto Death » ou « Though dead he still liveth » ou encore « A good reputation endures for ever » ainsi que des idéogrammes chinois et parfois, très rarement, le nom en anglais ou le matricule du défunt.

Le porche monumental et le mur de l'entrée tiennent lieu de mémorial pour la quarantaine de Chinois morts sur terre ou sur mer sans tombes connues.

Des statues de lions offerts par la République populaire de Chine sont situées, non loin de la nécropole, à l'entrée de la rue qui mène au cimetière de Nolette

Le cimetière chinois de Nolette est un cimetière situé le territoire de la commune française de Noyelles-sur-Mer où sont inhumés les travailleurs civils chinois employés par l'armée britannique pendant la Première Guerre mondiale.

Il s'agit du plus grand cimetière chinois de France et d'Europe

Pendant la Première Guerre mondiale, Noyelles abrita une importante base arrière britannique dont un grand camp de coolies (travailleurs immigrés chinois). Ils furent recrutés par l'armée britannique entre 1917 et 1919 dans le cadre du corps de travailleurs chinois (en anglais, Chinese Labour Corps), pour des tâches de manutention à l'arrière du front mais certains connaitront les zones de combat.

Ils représentent l'une des premières immigrations chinoises en France. Ils avaient l'interdiction de se mêler à la population civile du lieu. Certains resteront en France après la Grande Guerre.

Chinois en France

L'entrée du cimetière chinois de Nolette.

Ils étaient affectés à des tâches pénibles et dangereuses comme le terrassement de tranchées, le ramassage des soldats morts sur le champ de bataille, le déminage des terrains reconquis, la blanchisserie, les services de santé auprès des malades, en particulier ceux atteints de la grippe espagnole...

En 1921, le gouvernement britannique décida l'édification du cimetière chinois à Nolette. Le Major Truelove est chargé de sa réalisation sous l'autorité d'Edwin Lutyens.

Depuis 2002, le cimetière de Nolette est le lieu de célébration de la Fête de Qing Ming (Fête des Morts chinoise) en France organisée par le Conseil pour l'intégration des communautés d'origine chinoise en France.

On trouve dans le département de la Somme des tombes de coolies dans les cimetières d'Abbeville, Albert, Daours, Gézaincourt, Tincourt-Boucly et Villers-Carbonnel.

Propriété de l'État français et gérée par la Commonwealth War Graves Commission, la nécropole située près du hameau de Nolette dans la commune de Noyelles-sur-Mer a été inaugurée en 1921 par le Préfet de la Somme. 849 travailleurs chinois sont inhumés à Noyelles-sur-Mer. La plupart travaillait au camp chinois de l'armée britannique situé sur la commune entre 1917 et 1919.

Tombe de Yang Shiyue 楊十月 originaire du Shandong, mort le 12 janvier 19191.

Beaucoup sont morts d'une épidémie de choléra qui a sévi dans le camp, de la grippe espagnole en 1918-1919 ou de la tuberculose, voire tués dans les zones de combat.

Le site est caractérisée par le portail d'entrée, les inscriptions sur les tombes et les essences d'arbres (pins, cèdres...) qu'on ne rencontre pas dans les autres cimetières du Commonwealth ainsi que par l'absence de croix du Sacrifice et de pierre du Souvenir.

Les tombes de ce cimetière sont constituées de 849 stèles en marbre blanc, avec sur chacune d'elle gravée une inscription en anglais « Faithful unto Death » ou « Though dead he still liveth » ou encore « A good reputation endures for ever » ainsi que des idéogrammes chinois et parfois, très rarement, le nom en anglais ou le matricule du défunt.

Le porche monumental et le mur de l'entrée tiennent lieu de mémorial pour la quarantaine de Chinois morts sur terre ou sur mer sans tombes connues.

Des statues de lions offerts par la République populaire de Chine sont situées, non loin de la nécropole, à l'entrée de la rue qui mène au cimetière de Nolette

Pokemon GO’da yakalamış olduğunuz Pokemon’larınızı güçlendirmenin birçok farklı yolu var. Bunlardan biri de Stardust adı verilen kürü kullanmak. Sturdust’ı kullandığınızda Pokemon’unuzun CP (seviye) ve HP (can puanı) belli bir seviyede artış gösteriyor. Yani, Pokemon’unuz daha güçlü bir hal alıyo...

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it kā par nebeidzamu dzīves sludināšanu

vai personīgās enerģijas staciju

par enerģijas mistisko plūsmu un tīkla vizualizēšanu

par atbrīvošanos vai atbrīvošanos sevī

savā snaudošajā laimē...

Trying to decode the Tibetan letters

(without fb and google support - why?)

Zemessardzes 2. Vidzemes brigādes organizētajā ziemas izdzīvošanas kursā jaunie karavīri apliecina savas spējas un prasmes izdzīvot ziemas apstākļos – uzcelt nojumi, nodrošināt siltumu, veikt personīgās higiēnas pasākumus apgrūtinātos apstākļos, iegūt ūdeni un pagatavot ēdienu.

Tāpat tiek trenēta spēja izdzīvot ar minimālu ekipējumu pēc iegremdēšanās āliņģa ledainajā ūdenī.

Foto: seržants Ēriks Kukutis (Aizsardzības ministrija)

for Sevi

from Sofia, Bulgaria

seviband.com/

very impressive singer and pretty good rock/metal music. the guitarist was also very impressive. my only complaint would be that a lot of the sound came from backing tracks.

Durga

Durga, meaning "the inaccessible" or "the invincible", is a popular fierce form of the Hindu Goddess or Devi. She is depicted with multiple arms,carrying various weapons and riding a ferocious lion( in Bengal). She is pictured as battling or slaying demons, particularly Mahishasura, the buffalo demon.

Her triumph as Mahishasura Mardini, Slayer of the buffalo Demon is a central episode of the scripture Devi Mahatmya. Her victory is celebrated annually in the festivals of Durga Puja.

History

The word Shakti means divine energy/force/power, and Durga is the warrior aspect of the Divine Mother/Brahman(Supreme Absolute Godhead).

As a goddess, Durga's feminine power contains the combined energies of all the gods. Each of her weapons was given to her by various gods: Rudra's trident, Vishnu's discus, Indra's thunderbolt, Brahma's kamandalu, Kuber's Ratnahar, etc.

According to a narrative in the Devi Mahatmya story of the Markandeya Purana text, Durga was created as a warrior goddess to fight an asura (demon) named Mahishasura. Brahma had given Mahishasura the power not to be defeated by a male. Mahishasura had unleashed a reign of terror on earth, heaven and the nether worlds, and he could not be defeated by any man or god, anywhere. The gods were helpless. Shiva, realizing that no man or god (male) can defeat Mahishasura, made a request to his wife Parvati(Durga) to take the role of a female goddess warrior in order to slay the demon. Parvati took his request and went to the Ashram of priest disciple named Katyayan to assume the role of a warrior. Meanwhile, the gods went to Brahma for help and, with Brahma, then made their way to Vaikuntha—the place where Vishnu lay on Ananta Naag. They found both Vishnu and Shiva, and Brahma eloquently related the reign of terror Mahishasur had unleashed on the three worlds. To save the worlds, Vishnu, Shiva and all of the gods emitted beams of fierce light from their bodies. The blinding sea of light reached Parvati at the Ashram of the priest Katyayan and Durga emerged from this pool of light. The goddess Durga took the name Katyaayani from the priest. She introduced herself in the language of the Rig-Veda, saying she was the form of the supreme female aspect of Brahman (Prakriti) who had created all the gods. Now she had come to fight the demon to save the three Worlds. They did not create her; it was her lila that she emerged from their combined energy. The gods were blessed with her compassion.

To combat the evil Mahishasura, she had appeared in a great blinding light, to combat this demon and end it for all to be in peace. The terrible Mahishasura rampaged against her, changing forms many times. First he was a buffalo demon, and she defeated him with her sword. Then he changed forms and became an elephant that tied up the goddess's lion and began to pull it towards him. The goddess cut off his trunk with her sword. The demon Mahishasur continued his terrorizing, taking the form of a lion, and then the form of a man, but both of them were gracefully slain by Durga.

Then Mahishasur began attacking once more, starting to take the form of a buffalo again. When Mahishasur had half emerged into his buffalo form, he was paralyzed by the extreme light emitting from the goddess's body. The goddess then resounded with laughter before cutting Mahishasur's head down with her sword.

Thus Durga slew Mahishasur, thus is the power of the fierce compassion of Durga. Hence, Mata Durga is also known as Mahishasurmardhini—the slayer of Mahishasur.

The goddess, as Mahishasuramardini, appears quite early in Indian art. The Archaeological Museum in Matura has several statues on display including a 6-armed Kushana period Mahisasuramardhini that depicts her pressing down the buffalo with her lower hands. A Nagar plaque from the first century BC - first century AD depicts a 4-armed Mahisamardhini accompanied by a lion. But it is in the Gupta period that we see the finest representations of Mahisasuramardhini. The spear and trident are her most common weapons. A Mamallapuram relief shows the goddess with 8 arms riding her lion subduing a buffalo-faced demon; a variation also seen at Ellora. In later sculptures show the goddess having decapitated the buffalo demon.

Worship

Durga Puja

The four day long (Saptami to Dashami) Durga Puja is the biggest annual festival in Bengal, Assam, Orissa, Bihar, Jharkhand and Nepal, where it is known as Dashain. It is celebrated likewise with much fervour in various parts of India, especially the Himalayan region, but is celebrated in various forms throughout the Hindu universe.

The day of Durga's victory is celebrated as Vijayadashami (Bengali), Dashain (Nepali) or Dussehra (Hindi) - these words literally mean "the Victory Tenth" (day).

The actual period of the worship however may be on the preceding nine days (Navaratri) followed by the last day called Vijayadashami in North India or five days in Bengal (from the sixth to tenth day of the waxing-moon fortnight)..

In North India, the tenth day, signifying Rama's victory in his battle against the demon Ravana, is celebrated as Dussehra - gigantic straw effigies of Ravana are burnt in designated open spaces (e.g. Delhi's Ram Lila grounds), watched by thousands of families and little children. In Bangladesh also the four-days long Sharadiya Durga Puja (Bengali: শারদীয়া দুর্গা পুজো, ‘autumnal Durga worship’) is the biggest religious festivals for the Hindus and celebrated across the country with Vijayadashami being a national holiday. Source: Wikipedia.

Worshiping Durga, As I feel :

To me worshiping goddess Durga encompasses so many deeply seated aspects of human lives and nature. The imagination of such a Goddess-form has its age old story depicted in the Hindu Puranas and that had been fabricated by the wisdom of ages as a symbolic one for Bio-Geo-Socio-Economic-Cultural and Aesthetical upliftment of humankind and its relationship with nature, through the practice of worshiping.

Once in a year She, The Mother Durga, is thought to come from her abode at mount Kailash in Himalaya to the land of Bengal at the time of Autumn, the finest of all six seasons when Bengal turns into a nature’s paradise. The snow white clouds against the deep azure of the sky, the gentle cool breeze carrying the sweet fragrance of flowers, the turning colors of the leaves, the golden sunlit lush green paddy fields and the waving clusters of dazzling white inflorescence of Kash dramatically prepare the minds of Bengal apt for celebration of life. Artists of versatile talents from Bengal and other states culminate their finest ever skill and efforts for making the idols of Durga using conventional natural resources like clay, wood, organic colors, that are all biodegradable. The pandals( the temporary abodes of Devi Durga) all over Bengal, especially in urban cities turn into the finest galleries of art and culture covering an unimaginably wide range of form and traditions, represented by Bengal and neighboring states of India. Durga puja becomes a wide open opportunity to discover and re-discover the art and artistry of Bengal, and not only that this is the biggest festival of Bengal that provides a great competitive platform for innumerable artists and workers to learn and earn.

The time of Puja is the time for togetherness, is the time for sharing and caring. The traditional concept of making the idols of Durga, her four children and her husband Lord Shiva against a single background structure( which is in Bengali: Ek chalchitra) seems to me a very symbolic one! It implicates to me a strong bondage between the family members, or in a greater sense the relationships between individuals. An example of unity in diversity.

To save the worlds, Brahmma(the god of creation), Vishnu( the god of sustenance), Moheshwara/ Shiva(the god of destruction) and all of the gods emitted beams of fierce light from their bodies. The blinding sea of light reached Parvati, and Durga emerged from this pool of light. This is very symbolic. I see durga as a domain where there have been convergence of all form of energies; she is the symbolic epitome of unified force, as it is the most cherished theory of modern-day physics- “the unified field theory”. And therefore, She is the Symbolic epitome of concentrated knowledge and wisdom. She can create(sristi), She can sustain( sthiti), and She can destroy(loy). She comes over here to create all good things and to sustain them on this earth, and to destroys all evil power, as depicted by triumph over Mahisasura.

Her four children are very symbolic to me for four aspects of socio-economic- cultural upliftment. These are the four aspects to create a balanced nation or a person as an individual.

“Lakhsmi”, her elder daughter, is a symbol of wealth. She carries with her a bunch of ripe paddy and a container of vermilion. Ripened paddy is the symbol of agricultural success. And vermilion is the symbol of peaceful marriage in Hindu custom.

“Swaraswati”, her younger daughter, is a symbol of art and culture. She carries with her a sitar, a classical Indian instrument depicting music, which is the highest form of the faculty of art.

“Kartika”, her elder son, is the commander-in-chief of the gods for war. He is the warrior and protector from enemies. He carries a bow and arrows. He knows how to target an enemy. And he is the symbol of leadership qualities.

“Ganesha”, her youngest son. He is the symbol of knowledge and wisdom.

And the Mother is the creator of all her four children, the four faculties associated with biological, social, cultural and intellectual evolution of man.

Therefore, She is the idealistic epitome of Gunas (qualities), that we all her children should acquire for. And there lies the true meaningfulness of worshiping our mother, Durga.

On the tenth day after the triumph, the day of Vijaya Dashami, mother along with her family sets her journey back to her final adobe in himalaya, leaving the earthly world behind. The clay idol is thus immersed in the holy water of Ganges to symbolize her journey. And thus the whole celebration comes to an end.

Le cimetière chinois de Nolette est un cimetière situé le territoire de la commune française de Noyelles-sur-Mer où sont inhumés les travailleurs civils chinois employés par l'armée britannique pendant la Première Guerre mondiale.

Il s'agit du plus grand cimetière chinois de France et d'Europe

Pendant la Première Guerre mondiale, Noyelles abrita une importante base arrière britannique dont un grand camp de coolies (travailleurs immigrés chinois). Ils furent recrutés par l'armée britannique entre 1917 et 1919 dans le cadre du corps de travailleurs chinois (en anglais, Chinese Labour Corps), pour des tâches de manutention à l'arrière du front mais certains connaitront les zones de combat.

Ils représentent l'une des premières immigrations chinoises en France. Ils avaient l'interdiction de se mêler à la population civile du lieu. Certains resteront en France après la Grande Guerre.

Chinois en France

L'entrée du cimetière chinois de Nolette.

Ils étaient affectés à des tâches pénibles et dangereuses comme le terrassement de tranchées, le ramassage des soldats morts sur le champ de bataille, le déminage des terrains reconquis, la blanchisserie, les services de santé auprès des malades, en particulier ceux atteints de la grippe espagnole...

En 1921, le gouvernement britannique décida l'édification du cimetière chinois à Nolette. Le Major Truelove est chargé de sa réalisation sous l'autorité d'Edwin Lutyens.

Depuis 2002, le cimetière de Nolette est le lieu de célébration de la Fête de Qing Ming (Fête des Morts chinoise) en France organisée par le Conseil pour l'intégration des communautés d'origine chinoise en France.

On trouve dans le département de la Somme des tombes de coolies dans les cimetières d'Abbeville, Albert, Daours, Gézaincourt, Tincourt-Boucly et Villers-Carbonnel.

Propriété de l'État français et gérée par la Commonwealth War Graves Commission, la nécropole située près du hameau de Nolette dans la commune de Noyelles-sur-Mer a été inaugurée en 1921 par le Préfet de la Somme. 849 travailleurs chinois sont inhumés à Noyelles-sur-Mer. La plupart travaillait au camp chinois de l'armée britannique situé sur la commune entre 1917 et 1919.

Tombe de Yang Shiyue 楊十月 originaire du Shandong, mort le 12 janvier 19191.

Beaucoup sont morts d'une épidémie de choléra qui a sévi dans le camp, de la grippe espagnole en 1918-1919 ou de la tuberculose, voire tués dans les zones de combat.

Le site est caractérisée par le portail d'entrée, les inscriptions sur les tombes et les essences d'arbres (pins, cèdres...) qu'on ne rencontre pas dans les autres cimetières du Commonwealth ainsi que par l'absence de croix du Sacrifice et de pierre du Souvenir.

Les tombes de ce cimetière sont constituées de 849 stèles en marbre blanc, avec sur chacune d'elle gravée une inscription en anglais « Faithful unto Death » ou « Though dead he still liveth » ou encore « A good reputation endures for ever » ainsi que des idéogrammes chinois et parfois, très rarement, le nom en anglais ou le matricule du défunt.

Le porche monumental et le mur de l'entrée tiennent lieu de mémorial pour la quarantaine de Chinois morts sur terre ou sur mer sans tombes connues.

Des statues de lions offerts par la République populaire de Chine sont situées, non loin de la nécropole, à l'entrée de la rue qui mène au cimetière de Nolette

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Zemessardzes kaujas inženieru vienību pārstāvji Mičiganas Nacionālās gvardes mācību “Northern Strike” laikā sevi pierādījuši ne tikai līdzdarbojoties brigādes līmeņa kaujas plāna izstrādē, bet arī piedaloties praktiskā šķēršļu izveidē un pretinieka šķēršļu likvidācijā.

Jau ziņots, ka no 6. līdz 20. augustam Latvijas karavīri un zemessargi piedalījās mācībās “Northern Strike 2022” Mičiganas štatā, ASV.

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Zemessardzes 2. Vidzemes brigādes organizētajā ziemas izdzīvošanas kursā jaunie karavīri apliecina savas spējas un prasmes izdzīvot ziemas apstākļos – uzcelt nojumi, nodrošināt siltumu, veikt personīgās higiēnas pasākumus apgrūtinātos apstākļos, iegūt ūdeni un pagatavot ēdienu.

Tāpat tiek trenēta spēja izdzīvot ar minimālu ekipējumu pēc iegremdēšanās āliņģa ledainajā ūdenī.

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AGILE ASSESSMENT GUIDE: Best Practices for Agile Adoption and Implementation

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Durga

Durga, meaning "the inaccessible" or "the invincible", is a popular fierce form of the Hindu Goddess or Devi. She is depicted with multiple arms,carrying various weapons and riding a ferocious lion( in Bengal). She is pictured as battling or slaying demons, particularly Mahishasura, the buffalo demon.

Her triumph as Mahishasura Mardini, Slayer of the buffalo Demon is a central episode of the scripture Devi Mahatmya. Her victory is celebrated annually in the festivals of Durga Puja.

History

The word Shakti means divine energy/force/power, and Durga is the warrior aspect of the Divine Mother/Brahman(Supreme Absolute Godhead).

As a goddess, Durga's feminine power contains the combined energies of all the gods. Each of her weapons was given to her by various gods: Rudra's trident, Vishnu's discus, Indra's thunderbolt, Brahma's kamandalu, Kuber's Ratnahar, etc.

According to a narrative in the Devi Mahatmya story of the Markandeya Purana text, Durga was created as a warrior goddess to fight an asura (demon) named Mahishasura. Brahma had given Mahishasura the power not to be defeated by a male. Mahishasura had unleashed a reign of terror on earth, heaven and the nether worlds, and he could not be defeated by any man or god, anywhere. The gods were helpless. Shiva, realizing that no man or god (male) can defeat Mahishasura, made a request to his wife Parvati(Durga) to take the role of a female goddess warrior in order to slay the demon. Parvati took his request and went to the Ashram of priest disciple named Katyayan to assume the role of a warrior. Meanwhile, the gods went to Brahma for help and, with Brahma, then made their way to Vaikuntha—the place where Vishnu lay on Ananta Naag. They found both Vishnu and Shiva, and Brahma eloquently related the reign of terror Mahishasur had unleashed on the three worlds. To save the worlds, Vishnu, Shiva and all of the gods emitted beams of fierce light from their bodies. The blinding sea of light reached Parvati at the Ashram of the priest Katyayan and Durga emerged from this pool of light. The goddess Durga took the name Katyaayani from the priest. She introduced herself in the language of the Rig-Veda, saying she was the form of the supreme female aspect of Brahman (Prakriti) who had created all the gods. Now she had come to fight the demon to save the three Worlds. They did not create her; it was her lila that she emerged from their combined energy. The gods were blessed with her compassion.

To combat the evil Mahishasura, she had appeared in a great blinding light, to combat this demon and end it for all to be in peace. The terrible Mahishasura rampaged against her, changing forms many times. First he was a buffalo demon, and she defeated him with her sword. Then he changed forms and became an elephant that tied up the goddess's lion and began to pull it towards him. The goddess cut off his trunk with her sword. The demon Mahishasur continued his terrorizing, taking the form of a lion, and then the form of a man, but both of them were gracefully slain by Durga.

Then Mahishasur began attacking once more, starting to take the form of a buffalo again. When Mahishasur had half emerged into his buffalo form, he was paralyzed by the extreme light emitting from the goddess's body. The goddess then resounded with laughter before cutting Mahishasur's head down with her sword.

Thus Durga slew Mahishasur, thus is the power of the fierce compassion of Durga. Hence, Mata Durga is also known as Mahishasurmardhini—the slayer of Mahishasur.

The goddess, as Mahishasuramardini, appears quite early in Indian art. The Archaeological Museum in Matura has several statues on display including a 6-armed Kushana period Mahisasuramardhini that depicts her pressing down the buffalo with her lower hands. A Nagar plaque from the first century BC - first century AD depicts a 4-armed Mahisamardhini accompanied by a lion. But it is in the Gupta period that we see the finest representations of Mahisasuramardhini. The spear and trident are her most common weapons. A Mamallapuram relief shows the goddess with 8 arms riding her lion subduing a buffalo-faced demon; a variation also seen at Ellora. In later sculptures show the goddess having decapitated the buffalo demon.

Worship

Durga Puja

The four day long (Saptami to Dashami) Durga Puja is the biggest annual festival in Bengal, Assam, Orissa, Bihar, Jharkhand and Nepal, where it is known as Dashain. It is celebrated likewise with much fervour in various parts of India, especially the Himalayan region, but is celebrated in various forms throughout the Hindu universe.

The day of Durga's victory is celebrated as Vijayadashami (Bengali), Dashain (Nepali) or Dussehra (Hindi) - these words literally mean "the Victory Tenth" (day).

The actual period of the worship however may be on the preceding nine days (Navaratri) followed by the last day called Vijayadashami in North India or five days in Bengal (from the sixth to tenth day of the waxing-moon fortnight)..

In North India, the tenth day, signifying Rama's victory in his battle against the demon Ravana, is celebrated as Dussehra - gigantic straw effigies of Ravana are burnt in designated open spaces (e.g. Delhi's Ram Lila grounds), watched by thousands of families and little children. In Bangladesh also the four-days long Sharadiya Durga Puja (Bengali: শারদীয়া দুর্গা পুজো, ‘autumnal Durga worship’) is the biggest religious festivals for the Hindus and celebrated across the country with Vijayadashami being a national holiday. Source: Wikipedia.

Worshiping Durga, As I feel :

To me worshiping goddess Durga encompasses so many deeply seated aspects of human lives and nature. The imagination of such a Goddess-form has its age old story depicted in the Hindu Puranas and that had been fabricated by the wisdom of ages as a symbolic one for Bio-Geo-Socio-Economic-Cultural and Aesthetical upliftment of humankind and its relationship with nature, through the practice of worshiping.

Once in a year She, The Mother Durga, is thought to come from her abode at mount Kailash in Himalaya to the land of Bengal at the time of Autumn, the finest of all six seasons when Bengal turns into a nature’s paradise. The snow white clouds against the deep azure of the sky, the gentle cool breeze carrying the sweet fragrance of flowers, the turning colors of the leaves, the golden sunlit lush green paddy fields and the waving clusters of dazzling white inflorescence of Kash dramatically prepare the minds of Bengal apt for celebration of life. Artists of versatile talents from Bengal and other states culminate their finest ever skill and efforts for making the idols of Durga using conventional natural resources like clay, wood, organic colors, that are all biodegradable. The pandals( the temporary abodes of Devi Durga) all over Bengal, especially in urban cities turn into the finest galleries of art and culture covering an unimaginably wide range of form and traditions, represented by Bengal and neighboring states of India. Durga puja becomes a wide open opportunity to discover and re-discover the art and artistry of Bengal, and not only that this is the biggest festival of Bengal that provides a great competitive platform for innumerable artists and workers to learn and earn.

The time of Puja is the time for togetherness, is the time for sharing and caring. The traditional concept of making the idols of Durga, her four children and her husband Lord Shiva against a single background structure( which is in Bengali: Ek chalchitra) seems to me a very symbolic one! It implicates to me a strong bondage between the family members, or in a greater sense the relationships between individuals. An example of unity in diversity.

To save the worlds, Brahmma(the god of creation), Vishnu( the god of sustenance), Moheshwara/ Shiva(the god of destruction) and all of the gods emitted beams of fierce light from their bodies. The blinding sea of light reached Parvati, and Durga emerged from this pool of light. This is very symbolic. I see durga as a domain where there have been convergence of all form of energies; she is the symbolic epitome of unified force, as it is the most cherished theory of modern-day physics- “the unified field theory”. And therefore, She is the Symbolic epitome of concentrated knowledge and wisdom. She can create(sristi), She can sustain( sthiti), and She can destroy(loy). She comes over here to create all good things and to sustain them on this earth, and to destroys all evil power, as depicted by triumph over Mahisasura.

Her four children are very symbolic to me for four aspects of socio-economic- cultural upliftment. These are the four aspects to create a balanced nation or a person as an individual.

“Lakhsmi”, her elder daughter, is a symbol of wealth. She carries with her a bunch of ripe paddy and a container of vermilion. Ripened paddy is the symbol of agricultural success. And vermilion is the symbol of peaceful marriage in Hindu custom.

“Swaraswati”, her younger daughter, is a symbol of art and culture. She carries with her a sitar, a classical Indian instrument depicting music, which is the highest form of the faculty of art.

“Kartika”, her elder son, is the commander-in-chief of the gods for war. He is the warrior and protector from enemies. He carries a bow and arrows. He knows how to target an enemy. And he is the symbol of leadership qualities.

“Ganesha”, her youngest son. He is the symbol of knowledge and wisdom.

And the Mother is the creator of all her four children, the four faculties associated with biological, social, cultural and intellectual evolution of man.

Therefore, She is the idealistic epitome of Gunas (qualities), that we all her children should acquire for. And there lies the true meaningfulness of worshiping our mother, Durga.

On the tenth day after the triumph, the day of Vijaya Dashami, mother along with her family sets her journey back to her final adobe in himalaya, leaving the earthly world behind. The clay idol is thus immersed in the holy water of Ganges to symbolize her journey. And thus the whole celebration comes to an end.

Cucaña, Palo ensebado, Greasy pole

Español:

es.wikipedia.org/wiki/Cuca%C3%B1a

sevilla.abc.es/sevilla/sevi-cucana-vela-remojon-y-30-euro...

English:

en.wikipedia.org/wiki/Greasy_pole

Zemessardzes 2. Vidzemes brigādes organizētajā ziemas izdzīvošanas kursā jaunie karavīri apliecina savas spējas un prasmes izdzīvot ziemas apstākļos – uzcelt nojumi, nodrošināt siltumu, veikt personīgās higiēnas pasākumus apgrūtinātos apstākļos, iegūt ūdeni un pagatavot ēdienu.

Tāpat tiek trenēta spēja izdzīvot ar minimālu ekipējumu pēc iegremdēšanās āliņģa ledainajā ūdenī.

Foto: seržants Ēriks Kukutis (Aizsardzības ministrija)

Calles de Catania (Sicilia)

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Blue band came to visit us in Carnaby Street London

Depuis Monte Estremo, ascension du Capu à a Penna (1591 m), en empruntant le magnifique chemin, aménagé sous le Second Empire, qui mène à Bocca di Caprunale (1329 m), puis en prenant la direction de Bocca d’Astenica (balisage orange, sentier se poursuivant vers Ota) : du sommet, vaste panorama, vertigineux versant Filosorma, plus doux et bucolique, versant Lonca, et mêlant harmonieusement, comme souvent en Corse, la mer (Golfe de Porto) et la montagne (du Capu a u Dente au Capu à a Cuccula, en passant par la Paglia Orba et le Capu Tafunatu, qui, sous cet angle, semblent ne former qu'un seul sommet).

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