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mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
Nederland, the Netherlands, Holland, Pays-Bas, Holanda, Rotterdam, SP.nl, De Socialistische Partij , Partido Socialista Holandes, Lilian Marijnissen, het nieuwjaarsfeest, Jack Sier,Jacobus Simon Maria Sier, Gaffelstraat 61-B
3014 RC Rotterdam,
INMEMORIAM A JACK SIER UN SER HUMANO IRREPETIBLE
Jack Sier
Jacobus Simon Maria Sier
Geboren op 11 juli 1944 te Goirle
Overleden op 1 februari 2020 in Rotterdam.
Jack is, na een gelukkige jeugd in Goirle, ingetreden in de orde CICM en na zijn wijding als missionaris naar Congo gegaan. Daar is hij aan het werk gegaan in Kimanseke, een erg arme buitenwijk van Kinshasa. Volgens Jack een gebied waar de enige theologie is : " vechten om te leven ". Die periode is bepalend geweest voor zijn verdere leven.
In Kimanseke ontmoette hij Viki Alberdi, die er als zuster van de congregatie van het Heilig Hart werkte als verpleegster en verloskundige. Sasmen hebben ze aan de ontwikkleding van het Gezondheidscentrum gewerkt.
Na terugkeer in Nederland is Jack gaan werken bij het "Oude Wijkenpastoraat" in achterstandswijken in Rotterdam. Vooral in de wijken Cool en Oude Westen werd hij al snel een graag geziene pastor vanwege zijn open houding tegenover mensen van heel verschillende achtergrond.
Inmddels had de vriendschap met Viki geleid tot hun voornemen samen verder het leven te delen. Ze trouwden op 11 oktober 1993.
Ook in de oecumenische gemeenschap "Buurtkerk Oude Westen" waar hij regelmatig voorging, was hij geliefd om zijn blijmoedige uistraling en verkondiging.
Na zijn pensionering in 2009 is hij actief geworden in de Spaanssprekende gemeenschap in Rotterdam. Samen met Viki en veel vrijwilligers heeft hij veel bijgedragen aan de ontwikkeling van de parochie "Sagrada Familia" en oprichting van de Stichting "Nuestra Casa".
Jack meest geliefde lied was "Gracias a la Vida" ook op de zware weg naar het einde bleef hij dankbaar, vooral voor de liefde en trouw van zoveel mensen.
JACK SIER
Jacobus Simon Maria Sier
Nació el 11 de julio del 1944 en Goirle
Falleció el 1 de febrero del 2020 en Rotterdam
Jack, después de una infancia y una juventud feliz en Goirle, entró en la Orden CICM y después de su ordenación, se fue como misionero al Congo, donde trabajó en Kimbanseke, un barrio muy marginal de Kinshasa. Según él un barrio donde la única teología válida era “luchar por la vida “.
En Kinshasa conoció a Viki Alberdi, religiosa del Sagrado Corazón, enfermera y comadrona que trabajaba en el Centro de Salud que juntos construyeron y desarrollaron.
A su retorno a Holanda, Jack trabajó en un proyecto Ecuménico en barrios desfavorecidos de Rotterdam, donde con su actitud abierta a todas las personas
y culturas muy pronto se le vio y se le aceptó como pastor.
Entre tanto su amistad con Viki se convirtió en un proyecto de vida compartida. Se casaron el 11 de octubre del 1993.
También en la comunidad Ecuménica “Buurtkerk Oude Westen” donde frecuentemente celebraba la Eucaristía se le valoraba por su carácter alegre y acogedor.
Al llegar a la jubilación en 2009, fue un voluntario activo en la Comunidad Hispanohablante de Rotterdam. Juntamente con Viki y otros muchos voluntarios colaboró al desarrollo de la Parroquia Sagrada Familia y puso en marcha la Fundación “Nuestra Casa “.
Su canto preferido era “Gracias a la Vida”, sobre todo por el cariño y fidelidad que le demostraron tantas personas.
GRACIAS A LA VIDA
VIOLETA PARRA
Gracias a la vida que me ha dado tanto.
Me dio dos luceros que, cuando los abro,
perfecto distingo lo negro del blanco,
y en el alto cielo su fondo estrellado,
y en las multitudes el hombre que yo amo.
Gracias a la vida que me ha dado tanto.
Me ha dado el oído que, en todo su ancho,
graba noche y día grillos y canarios,
martillos, turbinas, ladridos, chubascos,
y la voz tan tierna de mi bien amado.
Gracias a la vida que me ha dado tanto.
Me ha dado el sonido y el abecedario,
con él las palabras que pienso y declaro:
madre, amigo, hermano, y luz alumbrando
la ruta del alma del que estoy amando.
Gracias a la vida que me ha dado tanto.
Me ha dado la marcha de mis pies cansados;
con ellos anduve ciudades y charcos,
playas y desiertos, montañas y llanos,
y la casa tuya, tu calle y tu patio.
Gracias a la vida que me ha dado tanto.
Me dio el corazón que agita su marco
cuando miro el fruto del cerebro humano,
cuando miro el bueno tan lejos del malo,
cuando miro el fondo de tus ojos claros.
Gracias a la vida que me ha dado tanto.
Me ha dado la risa y me ha dado el llanto.
Así yo distingo dicha de quebranto,
los dos materiales que forman mi canto
y el canto de ustedes que es el mismo canto,
y el canto de todos, que es mi propio canto.
Gracias a la vida que me ha dado tanto.
VIOLETA PARRA
‘Gracias a la vida’. Dank aan het leven dat mij zoveel heeft gegeven. Dat waren de woorden van Jack toen hij hoorde dat hij niet meer beter zou worden.
Wij hoorden over zijn ziekte op de laatste ledenvergadering. Dat zijn ziekteproces zo snel zou verlopen, hadden we niet gedacht. Jack was er altijd als je hem nodig had. Bij hem kon je je verhaal kwijt als je je weer eens zorgen over maakte over bepaalde ontwikkelingen in de stad of in de partij. Een kritisch meedenker, nog in de voorbereidingen voor het laatste congres in december.
Een trouw folderaar ook die altijd bereid was zijn nek uit te steken. Zo stond hij in 2014 op de lijst voor de gebiedscommissie centrum waarbij hij regelmatig bij de lijsttrekker in de winkel kwam om te overleggen wat er nodig was. Hij kende de arme centrumwijken Cool en het Oude Westen vanuit de haarvaten, omdat hij hier jarenlang werkte als wijkpastor.
Bepalend voor zijn leven was de periode daarvoor waar Jack als missionaris werkte in Kimanseke, een arme buitenwijk van Kinshasa (Congo). Volgens Jack een gebied waar de enige theologie is ‘vechten om te leven’. In Kimanseke ontmoette hij Viki Alberdi, die hier werkte als verpleegster en verloskundige. Samen hebben ze aan de ontwikkeling van het Gezondheidscentrum gewerkt. In 1993 besloten ze samen hun leven verder te delen.
Na zijn pensionering in 2009 is Jack actief geworden in de Spaanssprekende gemeenschap in Rotterdam. Samen met Viki en vrijwilligers heeft hij veel bijgedragen aan de ontwikkeling van de parochie Sagrada Familia en de oprichting van de stichting ‘Nuestra Casa’.
Jack was geliefd vanwege zijn uitstraling: aanwezig, direct, gastheer zonder poespas, altijd zichzelf.
Dat had te maken met hoe hij in zijn leven en werk stond: geen eigenbelang, altijd kijkend naar de mensen die hulp nodig hadden, of dat in Kinshasa was of in Rotterdam. Zijn theologie werd steeds praktischer en menselijker, omdat het hem te doen was om de humaniteit, het goede leven voor ieder mens. Dat had te maken met zijn onvoorwaardelijke liefde: voor Viki, voor gerechtigheid, voor mensen aan de zelfkant van de maatschappij. Zijn priester-zijn moest daarvoor wijken, en zelfs soms de kerk, de stad, de politiek, de wet….
Jack is een representant geweest van een goede missionaire traditie: helpen waar geen helper is, daar zijn waar je nodig bent, wonen tussen de mensen om wie het gaat, luisteren naar wat hen bezighoudt, van hen leren en liever goed doen dan het evangelie brengen met grote woorden. Daarin heeft hij veel mensen hoop en toekomstperspectief gegeven, mensen vanuit de hele wereld: Congo, China, Latijns-Amerika, Nederland en nog veel meer.
Jack sloot zich aan bij de SP en werd een deel van ons geweten. Hij maakte zich zorgen over de toename van racisme en het aanwijzen van vluchtelingen als zondebok voor maatschappelijke problemen. Om zo de aandacht af te leiden van bezuinigingen, de oneerlijke verdeling van de welvaart, oorlogspolitiek en de gevolgen van klimaatverandering. Jack vond dat onze partij zich hier meer moet laten horen. Hij steunde van harte ons congres-amendement om ‘voorop te lopen in de strijd tegen racisme als noodzakelijk onderdeel van de strijd tegen het kapitalisme...’ Jack wilde ook graag dat de SP mee ging doen aan de landelijke demonstratie tegen racisme 21 maart. Op de dag van zijn begrafenis, nam het partijbestuur het besluit om mee te doen, een mooi afscheidscadeau aan Jack. Dat hoop en perspectief geven; tegen oorlogspolitiek, klimaatchaos en voor een menselijk asielbeleid; consequent ingaan tegen racisme en uitsluiting laten we dat luid en duidelijk blijven uitdragen. Op 21 maart zullen we dat ook doen namens Jack.
Ineke Palm.
(met dank aan Katinka en Alfonso)
Jack Sier
Jacobus Simon Maria Sier
Geboren op 11 juli 1944 te Goirle
Overleden op 1 februari 2020 in Rotterdam.
Cuando un amigo se va
queda un espacio vació,
que no lo puede llenar
la llegada de otro amigo.
Cuando un amigo se va
queda un tizón encendido
que no se puede apagar
ni con las aguas de un río.
Cuando un amigo se va
una estrella se ha perdido,
la que ilumina el lugar
donde hay un niño dormido.
Cuando un amigo se va
se detienen los caminos
y se empieza a rebelar,
el duende manso del vino.
Cuando un amigo se va
galopando su destino,
empieza el alma a vibrar
porque se llena de frío.
Cuando un amigo se va
queda un terreno baldío
que quiere el tiempo llenar
con las piedras del hastió.
Cuando un amigo se va
se queda un árbol caído
que ya no vuelve a brotar
porque el viento lo ha vencido.
Cuando un amigo se va
queda un espacio vacio,
que no lo puede llenar
la llegada de otro amigo.
CUANDO UN AMIGO SE VA.
ALBERTO CORTEZ.
ARGENTINA.
Quelque chose meurt dans l'âme quand un ami va
quand un ami va, quelque chose meurt dans l'âme
quand un ami va, quelque chose meurt dans l'âme
quand un ami va.
Quand un ami part et laisse une empreinte que
vous ne pouvez pas effacer
et il laisse une marque qui ne peut pas être effacé.
Ne part encore ne part pas s’il te plaît
ne part pas car ma guitare pleure
quand il dit au revoir.
Un mouchoir de silence lors du démarrage
car il y’a des mots qui font mal et ne devrait pas dire
Parce qu'il est mot qui fait mal et ne devrait pas dire.
Ne allez pas encore vous n’allez pas s’il vous plaît
ne vont toujours pas à ma guitare pleure
quand tu dis au revoir.
Le navire devient petite lorsque vous êtes loin en mer.
lorsque vous êtes loin en mer
le bateau devient faible lorsqu'il se trouve loin en mer.
le bateau devient faible lorsqu'il se trouve loin en mer.
lorsque vous êtes loin en mer et quand il perd
grande est la solitude.
et quand il est en train de perdre cette grande est la solitude.
Ne allez pas encore vous ne allez pas se il vous plaît
ne vont toujours pas à ma guitare pleure doucement
quand il dit au revoir
Ce vide que laisse l'ami quand il part
ce vide laissé par l'ami qui a quitté
l'ami d'être ce vide laissé par l'ami qui a quitté l'ami d'être
l'ami qui va, est comme un puits sans fond qu’on peut pas remplir
est comme un puits sans fond qui ne parvient pas à combler
Ne allez pas encore ,vous n’allez pas se il vous plaît
ne vont toujours pas à ma guitare pleure
quand il dit au revoir
Soy...! la raíz, del país
que amasó con su arcilla.
¡Soy...! Sangre y piel, del "tano" aquel,
que me dio su semilla.
Adiós "Nonino".. que largo sin vos,
será el camino.
¡Dolor, tristeza, la mesa y el pan...!
Y mi adiós.. ¡Ay! Mi adiós,
a tu amor, tu tabaco, tu vino.
¿Quién..? Sin piedad, me robó la mitad,
al llevarte "Nonino"...
Tal vez un día, yo también mirando atrás...
Como vos, diga adiós ¡No va más..!
Y hoy mi viejo "Nonino" es una planta.
Es la luz, es el viento y es el río...
Este torrente mío lo suplanta,
prolongando en mi ser, su desafío.
Me sucedo en su sangre, lo adivino.
Y presiento en mi voz, su propio eco.
Esta voz que una vez, me sonó a hueco
cuando le dije adiós Adiós "Nonino".
¡Soy...! La raíz, del país
que amasó con su arcilla...
¡Soy...! Sangre y piel,
del "tano" aquel,
que me dio su semilla.
Adiós "Nonino"... Dejaste tu sol,
en mi destino.
Tu ardor sin miedo, tu credo de amor.
Y ese afán... ¡Ay...! Tu afán
por sembrar de esperanza el camino.
Soy tu panal y esta gota de sal,
que hoy te llora "Nonino".
Tal vez el día que se corte mi piolín,
te veré y sabré... Que no hay fin.
Eladia Blázquez
ADIÓS NONINO.-
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
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1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
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1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
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1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.
mémoire2cité Histoire de l'enseigne
1959 : Ouverture du 1er supermarché Suma le 9 octobre à Strasbourg (500 m2) par la Société alsacienne de gestion et d'exploitation. Créé par Robert Jung, patron des Grandes Galeries de Strasbourg et des Grands magasins Jung, il est le premier supermarché de province et le quatrième sur le territoire français.
1960 : Robert Jung rejoint Docks de France et Goulet-Turpin en adhérant à la centrale d'achats Paridoc. Il cède alors l'enseigne Suma pour un franc symbolique à Paridoc. En décembre, les Comptoirs modernes ouvrent leur premier supermarché Suma au Mans.
1963 : La Société alsacienne de gestion et d'exploitation devient la Société Alsacienne de Supermarchés (SASM).
1966 : Goulet-Turpin ouvre son premier supermarché Suma le 1er septembre à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), après un premier test réussi de transormation en mai sur son Express-Marché de Rueil-Plateau. 16 autres supermarchés appartenant au succursaliste rémois prendront également l'enseigne Suma, soit lors de transformation, soit dès leur ouverture.
1967 : Les Docks de France ouvrent en janvier un hypermarché Super Suma de 2 650 m2, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis).
1971 : Goulet-Turpin abandonne l'enseigne Suma pour ses supermarchés.
1978 : Le supermarché Suma de Parly 2 (Yvelines) s'équipe de caisses à lecture optique.
1981 : Les 153 supermarchés Suma des Comptoirs modernes adoptent l'enseigne Stoc en avril.
1982 : Les Docks de France testent leur propre chaîne de supermarchés, baptisée Atac. Après validation du concept (apparence dépouillée, assortiment réduit, faibles investissements, frais d'exploitation allégés), la nouvelle enseigne va, trois ans plus tard, se subsituer progressivement à celle de Suma pour les supermarchés détenus par le groupe.
1985 : En avril, Casino rachète la Cedis de Besançon (7,5 milliards de francs de chiffre d'affaires) avec notamment 18 hypermarchés Mammouth et 116 supermarchés Suma et Ravi.
1990 : Les Docks de France prennent en janvier une participation minoritaire dans le capital de la Société alsacienne de supermarchés (SASM).
1993 : La SASM, avec 49 supermarchés Suma notamment, passe en juin sous le contrôle des Docks de France moyennant 1,7 milliard de francs déboursés par le groupe tourangeau.
1994-1996 : Les Docks de France procèdent au passage sous enseigne Atac de 45 supermarchés Suma de la SASM.
1998 : Le dernier supermarché Suma, situé à Strasbourg, prend l'enseigne Atac en novembre, après réduction de sa surface.