View allAll Photos Tagged Region2
---------------------------------------------------------------------------------
Runa Photography, Daniel © 2023
© Some rights reserved, don't use this image without my permission
-------------------------------------------------------------------------------
Región2: El desierto de Siloli esta delimitado a partir de las Viscachitas las mismas que colindan con laguna Honda hasta lo que se denomina Árbol de Piedra. En la fotografía se muestra el macizo de volcanes de aguas calientes.
------------------------------------------------------------------------------
El Siloli es un desierto del suroeste de Bolivia, ubicado en el departamento de Potosí. Administrativamente se encuentra dentro del municipio de San Pablo de Lípez de la Provincia de Sud Lípez.
Se caracteriza por sus formaciones rocosas producto de los fuertes vientos que presenta la región. El desierto es considerado uno de los más áridos del mundo debido a la baja precipitación que se da en la zona. Suele ser parte de rutas turísticas, ya que es la puerta de entrada a la Reserva Nacional de Fauna Andina Eduardo Abaroa a sus alrededores se encuentran las lagunas de colores así como el Gran Salar de Uyuni. Se encuentra a una altura promedio de 4500 m s. n. m.
Fuente: wikipedia
Le Hohneck, troisième sommet du massif des Vosges avec 1 363 mètres d'altitude1, domine la ligne de crêtes qui sépare l'Alsace de la Lorraine. Il constitue le point culminant de cette dernière région2. En contrebas du sommet est aménagée la station de ski de La Bresse Hohneck. Un ballon voisin, situé à 1,5 kilomètre à l'est et culminant à 1 289 mètres, est dénommé Petit Hohneck.
Son territoire est partagé entre les communes de La Bresse dans les Vosges, de Metzeral et de Stosswihr dans le Haut-Rhin. Les pentes les plus douces accueillent en été les troupeaux de vaches vosgiennes. Le massif du Hohneck abrite également quelques troupeaux de chamois.
On peut y accéder à partir de la route des Crêtes par une route carrossable sans issue. La circulation des véhicules et des piétons y est réglementée, dans un souci de préservation du site.
18 September 2021 - 11 AM SLT - 27:00 JST
*
Tia Rungray´s live concert at the Music LAB's Summer Festival at the Second Life Endowment for the Arts (SLEA).
*
YouTube Live Stream: bit.ly/38wITiU
*
SLEA Region2: maps.secondlife.com/secondlife/SLEA2/132/237/21
*
Welcome for the beauty of thinking in sounds!
VIRTUALITY Blog & Art Promotion
www.virtuality.blog/tia-rungray-at-slea-music-lab-summer-...
Geografía
Puebla se encuentra a una altitud de 2125 metros sobre el nivel del mar, a las faldas del volcán La Malinche y muy cerca de volcanes como el Popocatépetl e Iztaccihuatl, corresponde al denominado eje volcánico transversal, su clima es templado con abundantes lluvias en verano y ocasionales heladas en invierno.
Es un centro agrícola, comercial, industrial y turístico, localizado en la altiplanicie Central de México. Sus principales productos son los textiles, cristalería, cerámica, azulejos y alimentos procesados. La ciudad de Puebla en la actualidad es una de los centros universitarios más importantes del país y es la zona metropolitana con el segundo número de universidades en México, solo después de la ciudad de México. Las universidades de mayor tradición y prestigio en la ciudad de Puebla son: La Benemérita Universidad Autónoma de Puebla (1937), la Universidad de las Américas (1940),la Universidad Popular Autónoma del Estado de Puebla (1973)y el Instituto Tecnológico de Puebla (1973), en adición a estas universidades en los últimos años se han instalado en la ciudad campus de varias universidades privadas más. Entre sus principales edificios coloniales se encuentra la Catedral de Puebla (siglo XVI)] lujosamente decorada, las iglesias de Santo Domingo, San Cristóbal y San Felipe Neri y el Teatro Principal (siglo XVIII), que se considera el más antiguo de Norteamérica.
Arquitectura
Centro histórico de Puebla
Patrimonio de la Humanidad — UNESCO
Coordenadas 19°02′50″N 98°12′30″O / 19.04722, -98.2083319°02′50″N 98°12′30″O / 19.04722, -98.20833
País México
Tipo Cultural
N.° identificación 416
Región2 Latinoamérica y
el Caribe
Año de inscripción 1987
1 Nombre como está inscrito en la Lista del Patrimonio de la Humanidad.
2 Clasificación según Unesco
El centro histórico de la ciudad muestra impresionantes edificios de arquitectura colonial española, y por lo mismo ha sido declarado como "Patrimonio de la Humanidad" por la UNESCO. Algunos de estos edificios han sido restaurados, sin embargo varios edificios fueron dañados después del terremoto de 1999.
PUEBLA COLONIAL
De todos los edificios coloniales, el más impresionante es la Catedral de Puebla, la cual presume ser la más grande de Latinoamérica en base, cuyo estilo es neoclásico. La Capilla del Rosario, nos muestra un poco del barroco mexicano, y está, en su interior, casi completamente cubierta de oro.
Astoria–Megler Bridge is 4.1 miles (6.6 km) long[3] and was the last completed segment of U.S. Route 101 between Olympia, Washington, and Los Angeles, California.[4] It is the longest continuous truss bridge in North America. Rare clear view across the entire Columbia River into the hills of Washington State.
PhotoAwardsCounter
Click here to see the awards count for this photo. (?)
Astoria Megler Bridge Painting - The purpose of the project is to paint the structure above the guardrail and rehabilitate steel components as
required.
Phase 1 will involve coating all steel above the deck of the highway. The expected
construction timing is 3 years from March 2012 through December 2015.
Phase 2 will involve coating all steel below the deck of the highway. The expected
construction timing is 1 year from January 2016 through December 2016.
Traffic could be restricted to one-lane for a maximum delay of 20 minutes in either
direction through the established work zone. www.oregon.gov/ODOT/HWY/REGION2/pages/astoria_megler_brid...
The Astoria–Megler Bridge is a steel cantilever through truss bridge that spans the Columbia River between Astoria, Oregon and Point Ellice near Megler, Washington, in the United States. en.wikipedia.org/wiki/Astoria–Megler_Bridge — in Astoria, OR.
3D created using HiRISE digital terrain map and orthorectified image. Made with HiRISE NASA/JPL University of Arizona.
Le Hohneck, troisième sommet du massif des Vosges avec 1 363 mètres d'altitude1, domine la ligne de crêtes qui sépare l'Alsace de la Lorraine. Il constitue le point culminant de cette dernière région2. En contrebas du sommet est aménagée la station de ski de La Bresse Hohneck. Un ballon voisin, situé à 1,5 kilomètre à l'est et culminant à 1 289 mètres, est dénommé Petit Hohneck.
Le Hohneck, troisième sommet du massif des Vosges avec 1 363 mètres d'altitude1, domine la ligne de crêtes qui sépare l'Alsace de la Lorraine. Il constitue le point culminant de cette dernière région2. En contrebas du sommet est aménagée la station de ski de La Bresse Hohneck. Un ballon voisin, situé à 1,5 kilomètre à l'est et culminant à 1 289 mètres, est dénommé Petit Hohneck.
Son territoire est partagé entre les communes de La Bresse dans les Vosges, de Metzeral et de Stosswihr dans le Haut-Rhin. Les pentes les plus douces accueillent en été les troupeaux de vaches vosgiennes. Le massif du Hohneck abrite également quelques troupeaux de chamois.
On peut y accéder à partir de la route des Crêtes par une route carrossable sans issue. La circulation des véhicules et des piétons y est réglementée, dans un souci de préservation du site.
Phantom Falls and Poppies, North Table Mountain Ecological Reserve.
March 1 - June 6, 2013
Currently hanging in Kitchen 428 as part of the First Friday Art Walk in Woodland, CA.
Le château de Montal est situé en France au cœur de la vallée de la Bave sur la commune de Saint-Jean-Lespinasse, dans le département du Lot, région Occitanie2.
De style première Renaissance, il est composé de deux ailes encadrant la cour d'honneur et possède trois tours rondes et une tour carrée. Les toitures sont revêtues d'ardoise selon la mode en vigueur lors de leur restauration
The castle of Montal is located in France in the heart of the valley of Bave in the commune of Saint-Jean-Lespinasse, in the department of Lot, Occitania region2.
Renaissance style, it is composed of two wings framing the courtyard of honor and has three round towers and a square tower. The roofs are covered with slate according to the mode in force during their restoration
Le Hohneck, troisième sommet du massif des Vosges avec 1 363 mètres d'altitude1, domine la ligne de crêtes qui sépare l'Alsace de la Lorraine. Il constitue le point culminant de cette dernière région2. En contrebas du sommet est aménagée la station de ski de La Bresse Hohneck. Un ballon voisin, situé à 1,5 kilomètre à l'est et culminant à 1 289 mètres, est dénommé Petit Hohneck.
Son territoire est partagé entre les communes de La Bresse dans les Vosges, de Metzeral et de Stosswihr dans le Haut-Rhin. Les pentes les plus douces accueillent en été les troupeaux de vaches vosgiennes. Le massif du Hohneck abrite également quelques troupeaux de chamois.
On peut y accéder à partir de la route des Crêtes par une route carrossable sans issue. La circulation des véhicules et des piétons y est réglementée, dans un souci de préservation du site.
Albi est une commune française du sud de la France, chef-lieu du département du Tarn en région Midi-Pyrénées et le siège de l'archevêché.
Avec ses 49 179 habitants en 20111 appelés les Albigeois, Albi, qui est la ville principale de la communauté d'agglomération de l'Albigeois (80 121 habitants (2010)), se positionne comme la troisième ville de la région Midi-Pyrénées, après Montauban et Toulouse en termes de population. Albi est également la deuxième ville économique de la région2,3. L'aire urbaine d'Albi (96 335 habitants(2010)) et de son unité urbaine qui compte 72 453 (2010)4. La banlieue s'étend vers Arthès, Saint-Juéry, Le Sequestre et les autres communes de l'agglomération albigeoise. Albi est surnommée la « ville rouge » du fait de la couleur des briques de sa cathédrale et de son centre historique5.
Albi est remarquable par son impressionnante cathédrale fortifiée Sainte-Cécile et son palais de la Berbie, ancien palais des archevêques d'Albi, qui dominent le centre-ville historique et la rivière. Ville natale d'Henri de Toulouse-Lautrec, elle abrite un musée regroupant la plus importante collection au monde d'œuvres du peintre postimpressionniste6. Enfin, Albi est surtout un haut-lieu historique dont le nom a été donné aux adeptes du catharisme, les Albigeois, qui subirent une répression violente au xiiie siècle de la part de l'Église catholique romaine connue sous le nom de Croisade des Albigeois7. La cathédrale Sainte-Cécile fut édifiée par les catholiques pour lutter contre l'hérésie cathare.
Le samedi 31 juillet 2010, à Brasilia, la Cité épiscopale d'Albi est ajoutée à la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO8,9. Elle comprend dans son périmètre la cathédrale Sainte-Cécile, église fortifiée en briques ocre apparentes construite entre 1282 et 1480, le palais de la Berbie, qui abrite le musée Toulouse-Lautrec, l'église Saint-Salvi et son cloître, les rives du Tarn et le pont Vieux ainsi que plusieurs édifices classés monuments historiques.
Today was my birthday! Ken & I roamed all around in our little area of Limestone County, the south west corner or Region 2, doing the treasure search at the local yard sales today! My idea of great fun! It was a great day!
We live on the Limestone County side of the Elk River- our tiny cove is about under one of the L's in the town name Rogersville, though Rogersville is across the river- just a long name! LOL!
Taken for the Jules' Photo Challenge Group:
November 7 - Where do you live?
La misión jesuítica de Santísima Trinidad del Paraná es la reducción guaraní mejor conservada del Paraguay y la más extensa. Se encuentra ubicada en una colina a 28 kilómetros al noreste de Encarnación, en el distrito de Trinidad (Trinidad es un distrito y ciudad) del departamento de Itapúa, Paraguay; se accede a ella desde la ruta VI.
Fue fundada en junio de 1706, y en 1728 contaba con una población de 3000 indígenas guaraníes. El arquitecto de la iglesia principal fue Juan Bautista Prímoli, que también se encargó del diseño de toda la reducción.
Cuenta con una Plaza Mayor, alrededor de la cual se encuentra el resto de la misión. En el lado principal se encontraba la Iglesia Mayor, el cementerio, la huerta, un patio y otros edificios; y en los lados que restan se asentaban los indígenas y el mirador.
La Iglesia Mayor cuenta con valiosísimos elementos como la pila bautismal, un trabajado púlpito, el pórtico de la sacristía, grabados, estatuas (en la que sólo uno permanece sin decapitar por el pensamiento de que había oro dentro de las cabezas), y otros elementos arquitectónicos. Este templo era el centro de la vida en la reducción. También se puede visitar el museo de la misión.
Fue redescubierto cerca de dos siglos después de su abandono, declarándose Patrimonio de la Humanidad por la Unesco. (Wikipedia)
------------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------------
Misiones Jesuíticas:
La Santísima Trinidad de Paraná y Jesús de Tavarangué
Patrimonio de la Humanidad — Unesco
Coordenadas 27°8′S 55°42′O / -27.133, -55.7
País: Paraguay
Tipo: Cultural
Criterios (iv)
N.° identificación 648
Región2: Latinoamérica y Caribe
Año de inscripción 1993 (XVII sesión)
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Meu agradecimento por cada visita, amável comentário, convite, premio e favorito!
My thank you for each visit, kind comment, invite, award and fave!
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
The Wilson River Highway, OR 6, is a 48-mile rural road that connects Banks and Tillamook. It's a popular route for tourists and an important commercial connection between the Oregon Coast and the Portland metro area. In recent years, safety has become an increasing concern for the local communities and people who use this route.
HP Civil crews set forms on the vertical supports of the Interstate 5, Exit 58, Scoville Road Bridge in Grants Pass. Sept.
When the Trans-Canada Highway opened in B.C., it not only helped to unify the nation, it also created new opportunities to explore and enjoy the amazing scenery the province has to offer.
This year marks the celebration of the 50th anniversary of the Trans-Canada Highway, where will you take it?
Thank you to Beautiful British Columbia Magazine for the use of the photo.
A Collection of Disney DVDs.
Classics 1 - Snow White
Classics 2 - Pinocchio
Classics 4 - Dumbo
Classics 5 - Bambi
Classics 13 - Alice in Wonderland
Classics 16 - Sleeping Beauty
Classics 17 - 101 Dalmatians
Classics 19 - The Jungle Book
Classics 20 - The Aristocats
Classics 21 - Robin Hood
Classics 24 - The Fox and the Hound
Classics 25 - The Black Cauldron
Classics 26 - Basil the Great Mouse Detective
Classics 27 - Oliver and Company
Classics 30 - Beauty and the Beast
Classics 31 - Aladdin
Classics 32 - The Lion King (Disney Lion King Triple Pack)
Classics 40 - Atlantis the Lost Empire
Classics 43 - Brother Bear
Classics 51 - Wreck It Ralph
Classics 54 - Zootropolis
Pixar Short Films Volume 2
The Incredibles
A Bugs Life
Eight Below
101 Dalmatians
Mary Poppins
Toy Story - That Time Forgot
Dropping 165 feet into Coal Canyon, Phantom Falls is the crown jewel of the North Table Mountain Ecological Reserve.
Phantom on black
Hier soir vers 18 h sur les rives de Loire à Orléans.
Je vous conseille un merveilleux outil pour survoler l'emplacement des prises de vue aérienne de la Loire et des cours d'eau : carmen.developpement-durable.gouv.fr/11/nature_region2.ma... il suffit de localiser en haut et à gauche, votre département et votre commune, régler ensuite votre échelle (1/10000 par exemple) rien de plus simple et on y va, on survole notre belle terre ...
Fallen trees block U.S. 101 on the coast north of Lincoln City. Crews are working to clear the trees and maintain traffic.
Multiple roads remain closed by hundreds of downed trees:
US 101 N of Neskowin, MP 96-105,
OR 229, Siletz Hwy, MP 5-19,
OR 34, Alsea Hwy, MP 5-28
On US 30 watch for rocks. Expect ice, snow, trees and powerlines on roads throughout the region
Multiple roads remain closed by hundreds of downed trees:
US 101 N of Neskowin, MP 96-105,
OR 229, Siletz Hwy, MP 5-19,
OR 34, Alsea Hwy, MP 5-28
On US 30 watch for rocks. Expect ice, snow, trees and powerlines on roads throughout the region
Fallen trees block U.S. 101 on the coast north of Lincoln City. Crews are working to clear the trees and maintain traffic.
A visible anchor to the strengthened spread footing at the Interstate 5, Scoville Road bridge. Sept.
The Wilson River Highway, OR 6, is a 48-mile rural road that connects Banks and Tillamook. It's a popular route for tourists and an important commercial connection between the Oregon Coast and the Portland metro area. In recent years, safety has become an increasing concern for the local communities and people who use this route.
Fallen trees block U.S. 101 on the coast north of Lincoln City. Crews are working to clear the trees and maintain traffic.
This DVD collection was never released in the UK the reason is unknown but the fact the BBC have the nerve to put their logo on the packet yet don't sell it here.
Sucre, cuyo nombre oficial es La Ilustre y Heróica Sucre, es la capital[1] constitucional e histórica de Bolivia. Anteriormente fue conocida como Charcas, La Plata y Chuquisaca (término equivoco ya que así es llamado el Departamento). En la actualidad, es sede de la Corte Suprema de Justicia, del Tribunal Constitucional, del Consejo de la Judicatura y de la Fiscalía General de la República.[2] Es también asiento del Tribunal Agrario Nacional y de la Asamblea Constituyente, además de ser capital del departamento de Chuquisaca. La ciudad tiene una población aproximada de 230.000 habitantes y se encuentra localizada en la parte central sur del país, a una altitud de 2800 metros. Fue también llamada La Ciudad Blanca.
Contenido [ocultar]
1 Historia
1.1 La tierra media en la geografía boliviana
1.2 La primera ciudad de Bolivia
1.3 La Cruz de San Andrés
1.4 La tradición Republicana
1.5 La Capital
1.6 La guerra civil de 1898-1899
1.7 La planificación Urbana
1.8 El Plan Bohan
1.9 La Revolución de 1952
1.10 La cordura chuquisaqueña
1.11 La estrategia boliviana de desarrollo
1.12 La periferia de la periferia
1.13 Patrimonio y desarrollo
1.14 Una identidad en construcción
2 Arquitectura
3 Turismo
4 Tierra de Dinosaurios
5 Ciudades Hermanas
6 Referencias
7 Enlaces externos
Historia
El 29 de septiembre de 1538, Sucre fue fundada bajo el nombre de Ciudad de la Plata de la Nueva Toledo por Pedro de Anzures, Marqués de Campo Redondo, por órdenes de Pizarro. En ese lugar habitaban indígenas denominados "Charcas", los cuales no opusieron resistencia a los colonizadores españoles. Posteriormente esta ciudad adquirió gran importancia por la proximidad a las minas de Porco y Potosí. En 1559 el Rey Felipe II estableció la Real Audiencia de Charcas en "La Plata", con autoridad sobre el área que hoy es el actual país de Paraguay, el sudeste peruano, el norte de Chile y la Argentina y gran parte de lo que hoy es Bolivia. En 1609, un arzobispado fue fundado en la ciudad. En 1624 se fundó la Universidad Mayor Real y Pontificia de San Francisco de Xavier de Chuquisaca.
En el siglo XVIII se unió al Virreinato del Río de La Plata. Hasta el siglo XVIII, La Plata fue el centro judicial, cultural y religioso de la región.
El 25 de mayo de 1809 los estudiantes de la Universidad San Francisco Xavier se rebelaron, seguidos por el pueblo, pidiendo la liberación de Jaime de Zudáñez— acusado y tomado prisionero por "conspiración" el mismo día— y la renuncia del presidente de la Audiencia de Charcas, Pizarro. Éste dijo Con un Pizarro empezó la Colonia y con otro termina la misma[cita requerida]. Ese mismo dia Jaime de Zudáñez fue liberado. La Revolución de Chuquisaca, es conocida como el Primer Grito Libertario de América y la chispa que encendió la lucha libertaria de América.[3]
En 1825 fue testigo de la firma del acta de fundación de la República de Bolivia en la histórica Casa de la Libertad. En 1839, después de que la ciudad se convirtió en la capital de Bolivia, fue rebautizada en honor del héroe revolucionario Gran Mariscal de Ayacucho Antonio José de Sucre. Tras el declive económico de Potosí, Sucre apareció demasiado lejos de la ruta de la riqueza económica, lo que motivó que el Gobierno Boliviano se trasladase a La Paz en 1899 después de una guerra civil entablada entre los poderes económicos de la plata y el estaño. En 1991, Sucre fue declarada Patrimonio de la Humanidad por la Unesco.
La tierra media en la geografía boliviana
Sucre en la geografía bolivianaLa ciudad de Sucre, capital histórica de Bolivia, se sitúa en la Provincia Oropeza del Departamento de Chuquisaca, al pie de los cerros Sica Sica y Churuquella, cordillera oriental de los Andes donde las cadenas montañosas pierden altura y propician un clima cálido y seco de cabecera de valle. Su localización coincide con la divisoria hidrográfica de los sistemas Amazonas y Cuenca del Plata, desembocando en 4 ríos importantes: los ríos Chico y Grande para el Amazonas, y los ríos Cachimayu y Pilcomayu para la Cuenca del Plata.
La primera ciudad de Bolivia
Históricamente, se funda en 1538 con el nombre de "Villa de La Plata" por una expedición española proveniente del Cuzco (Perú), sobre un asentamiento preexistente de indios Charcas, como plaza fuerte, punto de partida de nuevas exploraciones al interior del continente. Durante la Colonia, su estratégica situación geográfica (cabecera de valle situada a 2.750 m.s.n.m.), clima cálido y seco, y la proximidad de las minas de plata descubiertas en 1545 en Potosí (4.060 m.s.n.m.), juegan un papel decisivo en su desarrollo como ciudad administrativa. Tres grandes instituciones la caracterizan:
La Iglesia, con la creación de la sede Episcopal en 1552 y su posterior transformación en Arzobispado de la Plata en 1609; el tribunal administrativo, con la creación de la Real Audiencia de Charcas en 1559, asociada al virreinato del Perú con sede en Lima y la Universidad San Francisco Xavier de Chuquisaca, creada en 1623 (séptima universidad de América), seguida de la Real Academia Carolina en 1776.
La Cruz de San Andrés
En 1555, la Villa de La Plata es ascendida al rango de ciudad por decreto real de Carlos V y se le otorga la "Cruz de San Andrés" como estandarte, consistente en una cruz escarlata sobre fondo blanco. En 1639, periodo de máximo esplendor colonial, la ciudad cuenta con 14.000 habitantes sobre una superficie de 90 hectáreas. En 1776, su importancia se ve disminuida cuando la Audiencia de Charcas es absorbida por el virreinato de La Plata, con sede en Buenos Aires. Este hecho es acompañado por la decadencia de la explotación de plata en Potosí a principios del siglo XIX.
La tradición Republicana
Entre 1808 y 1814, Napoleón Bonaparte ocupa y anexa el reino de España a Francia. La corona española prefiere abdicar antes que trasladarse al nuevo mundo como sucede con la corona portuguesa y desata una pugna política sobre quién debe beneficiarse de los cuantiosos tributos coloniales.
En Sucre, el movimiento estudiantil chuquisaqueño, fuertemente impregnado de los ideales de la Revolución de 1789 (Libertad, Igualdad y Fraternidad) llega a la conclusión de que ni el imperio es tan fuerte como se creía, ni las colonias tan dependientes como se pretendía y se decide tomar el camino de la emancipación. Los hermanos Zudañez son los encargados de iniciar la Revolución con la estrategia de desconocer abiertamente toda otra autoridad más que la del rey depuesto: es el denominado "primer grito libertario", un 25 de mayo de 1809.
La Capital
El 6 de agosto de 1825, Bolivia se declara Estado Independiente y un año más tarde, Sucre es oficialmente designada como Capital. La ciudad cuenta entonces con 12.000 habitantes y una superficie de 170 hectáreas. A fines del siglo XIX, se impone la explotación del estaño, centrada en Oruro (1606, 3.708 m.s.n.m.). En 1892, se moderniza la explotación minera con la introducción del primer ferrocarril entre Oruro y el puerto de Antofagasta (Chile). En Sucre se establecen las casas matrices de las empresas mineras de Potosí y las principales entidades bancarias nacionales. En 1909 se crea la Escuela Normal de Maestros (actual Universidad Pedagógica).
La guerra civil de 1898-1899
La Paz (1548, 3.632 m.s.n.m.), favorecida por su proximidad a Oruro desata una pugna administrativa con Sucre que termina en la guerra civil de 1898–1899, convirtiéndose en sede de facto de Gobierno (poderes Ejecutivo y Legislativo), Sucre conserva el poder Judicial. La vinculación férrea que une La Paz-Oruro-Potosí con las costas del pacífico consolida la hegemonía paceña en la primera mitad del siglo XX. Cochabamba (2.553 m.s.n.m.) se convierte en el principal centro de abastecimiento del país, desplazando a Santa Cruz (1561, 437 m.s.n.m.) que hasta entonces había cumplido un rol similar con Sucre. La llegada del ferrocarril a Sucre no se hace efectiva hasta 1936, acompañada de la construcción del barrio ferroviario, primer asentamiento urbano fuera del casco antiguo. En el censo de 1900, Sucre tiene 20.907 habitantes y una superficie de 215, 12 hectáreas.
La planificación Urbana
El 27 de marzo de 1948, un violento temblor sacude la ciudad de Sucre a raíz del cual se forma el “Comité de Reconstrucción y Auxilio” que formula el “Plan Regulador” de 1950, sobre dos lineamientos: la reconstrucción de la ciudad, introduciendo criterios del urbanismo "moderno" como la interrelación entre el casco antiguo y zona de expansión; la necesidad de dotar a Sucre de otras funciones que las administrativas, potenciando la industria y el agro. Si bien este plan no se lleva a la práctica, constituye el primer intento de planificación urbana y propicia la creación de 2 grandes industrias regionales: la Refinería de Petróleo Carlos Montenegro y la Fabrica Nacional de Cemento (1959).
El Plan Bohan
Santa Cruz de la Sierra (1561, 437 m.s.n.m.), bajo el lema de “ferrocarril o nada” consigue en 1952 la vinculación carretera con Cochabamba, es el comienzo de la denominada “marcha al oriente” sugerida por el Plan Bohan de 1940, proponiendo para Santa Cruz: la construcción de infraestructura básica de transporte; la asistencia técnica y financiera para el agro; y programas de migración planificada y espontánea hacia el oriente. Esta política nacional de “diversificación económica y de creación de un nuevo polo de desarrollo” propicia la conformación de un nuevo eje económico denominado “eje central” La Paz-Cochabamba-Santa Cruz y marca el comienzo de la decadencia del eje minero La Paz-Oruro-Potosí-Sucre. Los créditos agrícolas otorgados a Chuquisaca entre 1955 y 1964 alcanzan al 5,7% frente al 42,6% para Santa Cruz; entre 1964 y 1970, estos mismos créditos descienden al 3,9% para Chuquisaca mientras Santa Cruz recibe 43,1% y entre 1970 y 1975, Chuquisaca solo recibe un 1,2% mientras Santa Cruz alcanza el 69,9%.
La Revolución de 1952
Como consecuencia de la Revolución nacional de 1952, se producen en Bolivia cuatro reformas estructurales que marcan el paso de un Estado oligárquico a un Estado liberal y consolidan el centralismo de La Paz:
El voto universal de 1952, ampliando el derecho de voto a la mujer, analfabetos y campesinos; la nacionalización de las minas de 1952, recuperando el 80% de los ingresos de las exportaciones de estaño a poder del Estado; la reforma agraria de 1953, otorgando la tierra a los campesinos y eliminando las servidumbres y la reforma educativa de 1955, transformando la educación excluyente en universal y obligatoria.
Estas reformas estatales son producto de grandes convulsiones sociales que estremecen al país en su conjunto y a la sociedad chuquisaqueña en particular, conocida como conservadora y fuertemente arraigada a las propiedades rurales. La reforma agraria provoca el repliegue de los estratos sociales altos a la ciudad y la caída de la producción agrícola. Los campesinos, sin asesoramiento técnico, ni recursos económicos no tienen posibilidad alguna de dar continuidad a la producción agrícola encontrándose rápidamente en una economía de subsistencia. Sucre cuenta entonces con 40.128 habitantes y una superficie de 253.56 hectáreas.
La cordura chuquisaqueña
La llegada de nuevos cuadros técnicos chuquisaqueños, formados en universidades del interior de la República como la Politécnica de Oruro, donde imparten cátedra Profesores judío-alemanes emigrados durante la segunda guerra mundial dan el soporte técnico necesario para poner en funcionamiento la refinería de petróleo y la fabrica de cemento (FANCESA), empresas que no tardan en convertirse en el motor de desarrollo regional. En la década de los 80, FANCESA se convierte en la primera cementera nacional, desplazando a SOBOCE de La Paz y COBOCE de Cochabamba. La Universidad, antiguamente especializada en ciencias políticas y medicina diversifica sus programas académicos con ramas técnicas. Sucre comienza a destacar nuevamente como centro de excelencia académica.
En 1974 se formula el “Plan Regulador de Sucre”, primer intento de coordinación interinstitucional local para cubrir el vacío existente en planificación urbana, respondiendo a las necesidades de integración de los nuevos barrios periféricos al núcleo central. En 1976, Sucre cuenta con 63.259 habitantes, sobre una superficie de 605.20 hectáreas.
La estrategia boliviana de desarrollo
En la década de los 70 se suceden en Bolivia los golpes militares (1969 – 1980), en este periodo se desarrolla la denominada “Estrategia Boliviana de Desarrollo” con lineamientos no muy distantes del Plan Bohan de 1940, dividiendo al país en 3 tipos de regiones (homogéneas, polarizadas, plan) y creando las denominadas Corporaciones Regionales de Desarrollo, organismos técnicos encargados de elaborar proyectos de impacto. En Chuquisaca se crea la Corporación Regional de Desarrollo de Chuquisaca (CORDECH), dirigida por militares, la cual elabora cantidad de proyectos, la mayoría de los cuales no se ejecutan por falta de presupuesto. Tres grandes proyectos se concretan en Sucre: el aeropuerto, la terminal de buses y el mercado central.
A fines de los 70 y principios de los 80, la población rural, fuertemente empobrecida, comienza a emigrar a la ciudad y al oriente boliviano (Santa Cruz, cosechas agrícolas estacionales), los estratos altos de la ciudad también emigran al eje central, en su mayoría, de manera definitiva. Entre 1971 y 1976 Chuquisaca soporta una tasa de migración de -4,7% mientras que Santa Cruz gana un 18,9%; entre 1987 y 1992 Chuquisaca sigue perdiendo un -3,8% mientras que que Santa Cruz gana un 7,4% y entre 1996 y 2001 Chuquisaca literalmente se "vacía" con una tasa negativa de -6,4% mientras que Santa Cruz gana un 10,6%.
La periferia de la periferia
En la década de los 80 se produce la crisis del estaño, ocasionando a Bolivia una inflación sin precedente que en 1985 alcanza el 8'767%. El Gobierno, con la dramática frase “Bolivia se nos muere”, aplica el famoso decreto 21060, cerrando la mayoría de las minas y poniendo en la calle a más de 23.000 mineros. Es la decadencia del eje minero La Paz–Oruro–Potosí-Sucre y la consolidación del eje central La Paz–Cochabamba–Santa Cruz. Sucre y su Departamento son completamente periféricos en la economía nacional aportando actualmente menos del 5% del PIB nacional mientras que Santa Cruz supera el 30%. En el censo de 1992, la ciudad cuenta con 131.769 habitantes y una superficie de 3.173 hectáreas. En 2001, Chuquisaca es la región más pobre de Bolivia con 79,8% de su población por debajo del umbral de la pobreza, de la cual 57,2% se encuentra en condiciones de indigencia y marginalidad total.
Patrimonio y desarrollo
Ciudad Histórica de Sucre.1
Patrimonio de la Humanidad — UNESCO
Vista de la Basílica de San Francisco
Coordenadas 19°2′35″S 65°15′33″O / -19.04306, -65.25917
País Bolivia
Tipo Cultural
Criterios iv
N.° identificación 566
Región2 Latinoamérica y Caribe
Año de inscripción 1991 (XV sesión)
1 Nombre oficial según Unesco
2 Clasificación según Unesco
El urbanismo colonial y la arquitectura Republicana que caracterizan Sucre le valen el título de “| Patrimonio Cultural de la Humanidad”, otorgado en 1991 por la UNESCO. Es la segunda ciudad en Bolivia que recibe esta distincción después de Potosí (1987). Este hecho propicia la creación del Plan de Rehabilitación de las Áreas Históricas de Sucre (PRAHS, 1995), institución local encargada de la gestión del centro histórico, en colaboración con la Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID). Se potencia el secmento productivo del turismo cultural y se perfila la idea de un nuevo eje turístico entre Sucre y Potosí como iniciativa mancomunada de desarrollo regional.
Una identidad en construcción
Sucre resume la historia misma de Bolivia desde su fundación hasta la primera mitad del siglo XX (fundación, auge y decadencia). Sucre se plantea el desafío de escribir las nuevas páginas del siglo XXI reveindicando la capitalía plena en el actual debate autonómico y constitucional.
Arquitectura
Sucre sigue el plano de damero, común en las ciudades coloniales, con una red de plazoletas, jardines y parques que otorgan gran armonía al conjunto urbano. Es una de las ciudades de arquitectura hispánica mejor conservada en América, con calles empedradas, fuentes labradas en granito, iglesias antiguas, casa techadas con tejas de barro cocido espolvoreadas con cal y con paredes blancas, características del diseño colonial.
Es abundante la arquitectura religiosa, destacándose la iglesia de San Lázaro, la más antigua, construida en 1544; la iglesia la Merced, que cuenta con una hermosa capilla; el convento de San Francisco Javier, y la Catedral, cuya construcción comenzó en 1571 y finalizó un siglo más tarde, donde resalta su bella fachada barroca.
En la arquitectura civil se destacan el hospital (1554), el Arzobispado de La Plata (hoy de Chuquisaca), la Universidad de San Francisco Javier de Chuquisaca (1624), la Corte Suprema de Justicia. Además, durante la colonia, Sucre fue sede de la Audiencia de Charcas, la Casa de Gobierno (hasta fines del siglo XIX) y la Casa de la Libertad (donde se reunió el primer Congreso Constituyente de la Nación y se firmó el Acta de la Independencia). También se puede visitar la Biblioteca Nacional, que conserva más de 100.000 piezas impresas desde 1493, así como muchos otros edificios.
A fines del siglo XVIII y a principios del siglo XIX la ciudad de Sucre sufre una transformación en su arquitectura debido al auge de la minería. Estos elementos se mantienen hasta la fecha y representan la imagen característica de la ciudad.
Turismo
La ciudad atrae miles de turistas cada año gracias a los edificios de su casco antiguo, los cuales se encuentran bien conservados. Otras atracciones son las huellas paleontológicas del periodo cretáceo halladas a las afueras de la ciudad y los diversos archivos, iglesias y documentos históricos, como la primera bandera argentina, que se encuentra en la Casa de la Libertad, palacete adyacente a la Prefectura. El Convento de La Recoleta es otro de los edificios más notables de la ciudad. Sucre fue designada sede de los juegos deportivos bolivarianos del año 2009.
Tierra de Dinosaurios
Cal Orko en Sucre.Cal Orko es el yacimiento de huellas fosilizadas más grande del mundo, fascina a los paleontólogos y los admiradores de dinosaurios. A tan sólo pocos kilómetros de la ciudad de Sucre, a 3000 metros de altura en los Andes centrales, está situada en la cantera de la fábrica de cemento más grande de Bolivia.
Hoy en día es un empinado farallón de 70 grados, con una altura hasta de 80 metros y más de un kilómetro de largo testifica sobre este pasado la historia de la tierra. No solo la dimensión, también la calidad fascina a los geólogos. Aquí se tiene toda la diversidad de dinosaurios poco antes que desaparecieran de la faz de la tierra. Esto demuestra que la variedad de criaturas era mucho más grande de lo que se suponía hasta ahora. Uno de los descubrimientos más importantes es que los anquilosaurios-cuadrúpedos herbívoros con un caparazón óseo se extendieron hasta Sudamérica. Anteriormente se desconocía su legado fosilizado en el subcontinente.
Las huellas de los titanosaurios son los más importantes para el investigador Meyer. Con un tamaño de hasta 25 metros eran verdaderos gigantes entre los inmensos saurios. Caminaban relativamente lento a 3 Km. por hora, otras especies alcanzaban en cambio una velocidad de 30 Km. por hora. En el caso de un saurio depredador, los investigadores pudieron incluso determinar que cojeaba. Cal´Orko es un lugar de superlativos paleontológicos. Aquí se encuentra la huella de una "caminata de paseo" de un saurio depredador de más de 350 metros de largo, las larga de todo el mundo hasta ahora conocida. La cantidad es también abrumadora, alrededor de 5000 huellas de pisadas, la mayoría bien conservadas, tantas como en ningún lugar del planeta.
Ciudades Hermanas
La Plata, Argentina.
Quito, Ecuador (2007)
Sucre, cuyo nombre oficial es La Ilustre y Heróica Sucre, es la capital[1] constitucional e histórica de Bolivia. Anteriormente fue conocida como Charcas, La Plata y Chuquisaca (término equivoco ya que así es llamado el Departamento). En la actualidad, es sede de la Corte Suprema de Justicia, del Tribunal Constitucional, del Consejo de la Judicatura y de la Fiscalía General de la República.[2] Es también asiento del Tribunal Agrario Nacional y de la Asamblea Constituyente, además de ser capital del departamento de Chuquisaca. La ciudad tiene una población aproximada de 230.000 habitantes y se encuentra localizada en la parte central sur del país, a una altitud de 2800 metros. Fue también llamada La Ciudad Blanca.
Contenido [ocultar]
1 Historia
1.1 La tierra media en la geografía boliviana
1.2 La primera ciudad de Bolivia
1.3 La Cruz de San Andrés
1.4 La tradición Republicana
1.5 La Capital
1.6 La guerra civil de 1898-1899
1.7 La planificación Urbana
1.8 El Plan Bohan
1.9 La Revolución de 1952
1.10 La cordura chuquisaqueña
1.11 La estrategia boliviana de desarrollo
1.12 La periferia de la periferia
1.13 Patrimonio y desarrollo
1.14 Una identidad en construcción
2 Arquitectura
3 Turismo
4 Tierra de Dinosaurios
5 Ciudades Hermanas
6 Referencias
7 Enlaces externos
Historia
El 29 de septiembre de 1538, Sucre fue fundada bajo el nombre de Ciudad de la Plata de la Nueva Toledo por Pedro de Anzures, Marqués de Campo Redondo, por órdenes de Pizarro. En ese lugar habitaban indígenas denominados "Charcas", los cuales no opusieron resistencia a los colonizadores españoles. Posteriormente esta ciudad adquirió gran importancia por la proximidad a las minas de Porco y Potosí. En 1559 el Rey Felipe II estableció la Real Audiencia de Charcas en "La Plata", con autoridad sobre el área que hoy es el actual país de Paraguay, el sudeste peruano, el norte de Chile y la Argentina y gran parte de lo que hoy es Bolivia. En 1609, un arzobispado fue fundado en la ciudad. En 1624 se fundó la Universidad Mayor Real y Pontificia de San Francisco de Xavier de Chuquisaca.
En el siglo XVIII se unió al Virreinato del Río de La Plata. Hasta el siglo XVIII, La Plata fue el centro judicial, cultural y religioso de la región.
El 25 de mayo de 1809 los estudiantes de la Universidad San Francisco Xavier se rebelaron, seguidos por el pueblo, pidiendo la liberación de Jaime de Zudáñez— acusado y tomado prisionero por "conspiración" el mismo día— y la renuncia del presidente de la Audiencia de Charcas, Pizarro. Éste dijo Con un Pizarro empezó la Colonia y con otro termina la misma[cita requerida]. Ese mismo dia Jaime de Zudáñez fue liberado. La Revolución de Chuquisaca, es conocida como el Primer Grito Libertario de América y la chispa que encendió la lucha libertaria de América.[3]
En 1825 fue testigo de la firma del acta de fundación de la República de Bolivia en la histórica Casa de la Libertad. En 1839, después de que la ciudad se convirtió en la capital de Bolivia, fue rebautizada en honor del héroe revolucionario Gran Mariscal de Ayacucho Antonio José de Sucre. Tras el declive económico de Potosí, Sucre apareció demasiado lejos de la ruta de la riqueza económica, lo que motivó que el Gobierno Boliviano se trasladase a La Paz en 1899 después de una guerra civil entablada entre los poderes económicos de la plata y el estaño. En 1991, Sucre fue declarada Patrimonio de la Humanidad por la Unesco.
La tierra media en la geografía boliviana
Sucre en la geografía bolivianaLa ciudad de Sucre, capital histórica de Bolivia, se sitúa en la Provincia Oropeza del Departamento de Chuquisaca, al pie de los cerros Sica Sica y Churuquella, cordillera oriental de los Andes donde las cadenas montañosas pierden altura y propician un clima cálido y seco de cabecera de valle. Su localización coincide con la divisoria hidrográfica de los sistemas Amazonas y Cuenca del Plata, desembocando en 4 ríos importantes: los ríos Chico y Grande para el Amazonas, y los ríos Cachimayu y Pilcomayu para la Cuenca del Plata.
La primera ciudad de Bolivia
Históricamente, se funda en 1538 con el nombre de "Villa de La Plata" por una expedición española proveniente del Cuzco (Perú), sobre un asentamiento preexistente de indios Charcas, como plaza fuerte, punto de partida de nuevas exploraciones al interior del continente. Durante la Colonia, su estratégica situación geográfica (cabecera de valle situada a 2.750 m.s.n.m.), clima cálido y seco, y la proximidad de las minas de plata descubiertas en 1545 en Potosí (4.060 m.s.n.m.), juegan un papel decisivo en su desarrollo como ciudad administrativa. Tres grandes instituciones la caracterizan:
La Iglesia, con la creación de la sede Episcopal en 1552 y su posterior transformación en Arzobispado de la Plata en 1609; el tribunal administrativo, con la creación de la Real Audiencia de Charcas en 1559, asociada al virreinato del Perú con sede en Lima y la Universidad San Francisco Xavier de Chuquisaca, creada en 1623 (séptima universidad de América), seguida de la Real Academia Carolina en 1776.
La Cruz de San Andrés
En 1555, la Villa de La Plata es ascendida al rango de ciudad por decreto real de Carlos V y se le otorga la "Cruz de San Andrés" como estandarte, consistente en una cruz escarlata sobre fondo blanco. En 1639, periodo de máximo esplendor colonial, la ciudad cuenta con 14.000 habitantes sobre una superficie de 90 hectáreas. En 1776, su importancia se ve disminuida cuando la Audiencia de Charcas es absorbida por el virreinato de La Plata, con sede en Buenos Aires. Este hecho es acompañado por la decadencia de la explotación de plata en Potosí a principios del siglo XIX.
La tradición Republicana
Entre 1808 y 1814, Napoleón Bonaparte ocupa y anexa el reino de España a Francia. La corona española prefiere abdicar antes que trasladarse al nuevo mundo como sucede con la corona portuguesa y desata una pugna política sobre quién debe beneficiarse de los cuantiosos tributos coloniales.
En Sucre, el movimiento estudiantil chuquisaqueño, fuertemente impregnado de los ideales de la Revolución de 1789 (Libertad, Igualdad y Fraternidad) llega a la conclusión de que ni el imperio es tan fuerte como se creía, ni las colonias tan dependientes como se pretendía y se decide tomar el camino de la emancipación. Los hermanos Zudañez son los encargados de iniciar la Revolución con la estrategia de desconocer abiertamente toda otra autoridad más que la del rey depuesto: es el denominado "primer grito libertario", un 25 de mayo de 1809.
La Capital
El 6 de agosto de 1825, Bolivia se declara Estado Independiente y un año más tarde, Sucre es oficialmente designada como Capital. La ciudad cuenta entonces con 12.000 habitantes y una superficie de 170 hectáreas. A fines del siglo XIX, se impone la explotación del estaño, centrada en Oruro (1606, 3.708 m.s.n.m.). En 1892, se moderniza la explotación minera con la introducción del primer ferrocarril entre Oruro y el puerto de Antofagasta (Chile). En Sucre se establecen las casas matrices de las empresas mineras de Potosí y las principales entidades bancarias nacionales. En 1909 se crea la Escuela Normal de Maestros (actual Universidad Pedagógica).
La guerra civil de 1898-1899
La Paz (1548, 3.632 m.s.n.m.), favorecida por su proximidad a Oruro desata una pugna administrativa con Sucre que termina en la guerra civil de 1898–1899, convirtiéndose en sede de facto de Gobierno (poderes Ejecutivo y Legislativo), Sucre conserva el poder Judicial. La vinculación férrea que une La Paz-Oruro-Potosí con las costas del pacífico consolida la hegemonía paceña en la primera mitad del siglo XX. Cochabamba (2.553 m.s.n.m.) se convierte en el principal centro de abastecimiento del país, desplazando a Santa Cruz (1561, 437 m.s.n.m.) que hasta entonces había cumplido un rol similar con Sucre. La llegada del ferrocarril a Sucre no se hace efectiva hasta 1936, acompañada de la construcción del barrio ferroviario, primer asentamiento urbano fuera del casco antiguo. En el censo de 1900, Sucre tiene 20.907 habitantes y una superficie de 215, 12 hectáreas.
La planificación Urbana
El 27 de marzo de 1948, un violento temblor sacude la ciudad de Sucre a raíz del cual se forma el “Comité de Reconstrucción y Auxilio” que formula el “Plan Regulador” de 1950, sobre dos lineamientos: la reconstrucción de la ciudad, introduciendo criterios del urbanismo "moderno" como la interrelación entre el casco antiguo y zona de expansión; la necesidad de dotar a Sucre de otras funciones que las administrativas, potenciando la industria y el agro. Si bien este plan no se lleva a la práctica, constituye el primer intento de planificación urbana y propicia la creación de 2 grandes industrias regionales: la Refinería de Petróleo Carlos Montenegro y la Fabrica Nacional de Cemento (1959).
El Plan Bohan
Santa Cruz de la Sierra (1561, 437 m.s.n.m.), bajo el lema de “ferrocarril o nada” consigue en 1952 la vinculación carretera con Cochabamba, es el comienzo de la denominada “marcha al oriente” sugerida por el Plan Bohan de 1940, proponiendo para Santa Cruz: la construcción de infraestructura básica de transporte; la asistencia técnica y financiera para el agro; y programas de migración planificada y espontánea hacia el oriente. Esta política nacional de “diversificación económica y de creación de un nuevo polo de desarrollo” propicia la conformación de un nuevo eje económico denominado “eje central” La Paz-Cochabamba-Santa Cruz y marca el comienzo de la decadencia del eje minero La Paz-Oruro-Potosí-Sucre. Los créditos agrícolas otorgados a Chuquisaca entre 1955 y 1964 alcanzan al 5,7% frente al 42,6% para Santa Cruz; entre 1964 y 1970, estos mismos créditos descienden al 3,9% para Chuquisaca mientras Santa Cruz recibe 43,1% y entre 1970 y 1975, Chuquisaca solo recibe un 1,2% mientras Santa Cruz alcanza el 69,9%.
La Revolución de 1952
Como consecuencia de la Revolución nacional de 1952, se producen en Bolivia cuatro reformas estructurales que marcan el paso de un Estado oligárquico a un Estado liberal y consolidan el centralismo de La Paz:
El voto universal de 1952, ampliando el derecho de voto a la mujer, analfabetos y campesinos; la nacionalización de las minas de 1952, recuperando el 80% de los ingresos de las exportaciones de estaño a poder del Estado; la reforma agraria de 1953, otorgando la tierra a los campesinos y eliminando las servidumbres y la reforma educativa de 1955, transformando la educación excluyente en universal y obligatoria.
Estas reformas estatales son producto de grandes convulsiones sociales que estremecen al país en su conjunto y a la sociedad chuquisaqueña en particular, conocida como conservadora y fuertemente arraigada a las propiedades rurales. La reforma agraria provoca el repliegue de los estratos sociales altos a la ciudad y la caída de la producción agrícola. Los campesinos, sin asesoramiento técnico, ni recursos económicos no tienen posibilidad alguna de dar continuidad a la producción agrícola encontrándose rápidamente en una economía de subsistencia. Sucre cuenta entonces con 40.128 habitantes y una superficie de 253.56 hectáreas.
La cordura chuquisaqueña
La llegada de nuevos cuadros técnicos chuquisaqueños, formados en universidades del interior de la República como la Politécnica de Oruro, donde imparten cátedra Profesores judío-alemanes emigrados durante la segunda guerra mundial dan el soporte técnico necesario para poner en funcionamiento la refinería de petróleo y la fabrica de cemento (FANCESA), empresas que no tardan en convertirse en el motor de desarrollo regional. En la década de los 80, FANCESA se convierte en la primera cementera nacional, desplazando a SOBOCE de La Paz y COBOCE de Cochabamba. La Universidad, antiguamente especializada en ciencias políticas y medicina diversifica sus programas académicos con ramas técnicas. Sucre comienza a destacar nuevamente como centro de excelencia académica.
En 1974 se formula el “Plan Regulador de Sucre”, primer intento de coordinación interinstitucional local para cubrir el vacío existente en planificación urbana, respondiendo a las necesidades de integración de los nuevos barrios periféricos al núcleo central. En 1976, Sucre cuenta con 63.259 habitantes, sobre una superficie de 605.20 hectáreas.
La estrategia boliviana de desarrollo
En la década de los 70 se suceden en Bolivia los golpes militares (1969 – 1980), en este periodo se desarrolla la denominada “Estrategia Boliviana de Desarrollo” con lineamientos no muy distantes del Plan Bohan de 1940, dividiendo al país en 3 tipos de regiones (homogéneas, polarizadas, plan) y creando las denominadas Corporaciones Regionales de Desarrollo, organismos técnicos encargados de elaborar proyectos de impacto. En Chuquisaca se crea la Corporación Regional de Desarrollo de Chuquisaca (CORDECH), dirigida por militares, la cual elabora cantidad de proyectos, la mayoría de los cuales no se ejecutan por falta de presupuesto. Tres grandes proyectos se concretan en Sucre: el aeropuerto, la terminal de buses y el mercado central.
A fines de los 70 y principios de los 80, la población rural, fuertemente empobrecida, comienza a emigrar a la ciudad y al oriente boliviano (Santa Cruz, cosechas agrícolas estacionales), los estratos altos de la ciudad también emigran al eje central, en su mayoría, de manera definitiva. Entre 1971 y 1976 Chuquisaca soporta una tasa de migración de -4,7% mientras que Santa Cruz gana un 18,9%; entre 1987 y 1992 Chuquisaca sigue perdiendo un -3,8% mientras que que Santa Cruz gana un 7,4% y entre 1996 y 2001 Chuquisaca literalmente se "vacía" con una tasa negativa de -6,4% mientras que Santa Cruz gana un 10,6%.
La periferia de la periferia
En la década de los 80 se produce la crisis del estaño, ocasionando a Bolivia una inflación sin precedente que en 1985 alcanza el 8'767%. El Gobierno, con la dramática frase “Bolivia se nos muere”, aplica el famoso decreto 21060, cerrando la mayoría de las minas y poniendo en la calle a más de 23.000 mineros. Es la decadencia del eje minero La Paz–Oruro–Potosí-Sucre y la consolidación del eje central La Paz–Cochabamba–Santa Cruz. Sucre y su Departamento son completamente periféricos en la economía nacional aportando actualmente menos del 5% del PIB nacional mientras que Santa Cruz supera el 30%. En el censo de 1992, la ciudad cuenta con 131.769 habitantes y una superficie de 3.173 hectáreas. En 2001, Chuquisaca es la región más pobre de Bolivia con 79,8% de su población por debajo del umbral de la pobreza, de la cual 57,2% se encuentra en condiciones de indigencia y marginalidad total.
Patrimonio y desarrollo
Ciudad Histórica de Sucre.1
Patrimonio de la Humanidad — UNESCO
Vista de la Basílica de San Francisco
Coordenadas 19°2′35″S 65°15′33″O / -19.04306, -65.25917
País Bolivia
Tipo Cultural
Criterios iv
N.° identificación 566
Región2 Latinoamérica y Caribe
Año de inscripción 1991 (XV sesión)
1 Nombre oficial según Unesco
2 Clasificación según Unesco
El urbanismo colonial y la arquitectura Republicana que caracterizan Sucre le valen el título de “| Patrimonio Cultural de la Humanidad”, otorgado en 1991 por la UNESCO. Es la segunda ciudad en Bolivia que recibe esta distincción después de Potosí (1987). Este hecho propicia la creación del Plan de Rehabilitación de las Áreas Históricas de Sucre (PRAHS, 1995), institución local encargada de la gestión del centro histórico, en colaboración con la Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID). Se potencia el secmento productivo del turismo cultural y se perfila la idea de un nuevo eje turístico entre Sucre y Potosí como iniciativa mancomunada de desarrollo regional.
Una identidad en construcción
Sucre resume la historia misma de Bolivia desde su fundación hasta la primera mitad del siglo XX (fundación, auge y decadencia). Sucre se plantea el desafío de escribir las nuevas páginas del siglo XXI reveindicando la capitalía plena en el actual debate autonómico y constitucional.
Arquitectura
Sucre sigue el plano de damero, común en las ciudades coloniales, con una red de plazoletas, jardines y parques que otorgan gran armonía al conjunto urbano. Es una de las ciudades de arquitectura hispánica mejor conservada en América, con calles empedradas, fuentes labradas en granito, iglesias antiguas, casa techadas con tejas de barro cocido espolvoreadas con cal y con paredes blancas, características del diseño colonial.
Es abundante la arquitectura religiosa, destacándose la iglesia de San Lázaro, la más antigua, construida en 1544; la iglesia la Merced, que cuenta con una hermosa capilla; el convento de San Francisco Javier, y la Catedral, cuya construcción comenzó en 1571 y finalizó un siglo más tarde, donde resalta su bella fachada barroca.
En la arquitectura civil se destacan el hospital (1554), el Arzobispado de La Plata (hoy de Chuquisaca), la Universidad de San Francisco Javier de Chuquisaca (1624), la Corte Suprema de Justicia. Además, durante la colonia, Sucre fue sede de la Audiencia de Charcas, la Casa de Gobierno (hasta fines del siglo XIX) y la Casa de la Libertad (donde se reunió el primer Congreso Constituyente de la Nación y se firmó el Acta de la Independencia). También se puede visitar la Biblioteca Nacional, que conserva más de 100.000 piezas impresas desde 1493, así como muchos otros edificios.
A fines del siglo XVIII y a principios del siglo XIX la ciudad de Sucre sufre una transformación en su arquitectura debido al auge de la minería. Estos elementos se mantienen hasta la fecha y representan la imagen característica de la ciudad.
Turismo
La ciudad atrae miles de turistas cada año gracias a los edificios de su casco antiguo, los cuales se encuentran bien conservados. Otras atracciones son las huellas paleontológicas del periodo cretáceo halladas a las afueras de la ciudad y los diversos archivos, iglesias y documentos históricos, como la primera bandera argentina, que se encuentra en la Casa de la Libertad, palacete adyacente a la Prefectura. El Convento de La Recoleta es otro de los edificios más notables de la ciudad. Sucre fue designada sede de los juegos deportivos bolivarianos del año 2009.
Tierra de Dinosaurios
Cal Orko en Sucre.Cal Orko es el yacimiento de huellas fosilizadas más grande del mundo, fascina a los paleontólogos y los admiradores de dinosaurios. A tan sólo pocos kilómetros de la ciudad de Sucre, a 3000 metros de altura en los Andes centrales, está situada en la cantera de la fábrica de cemento más grande de Bolivia.
Hoy en día es un empinado farallón de 70 grados, con una altura hasta de 80 metros y más de un kilómetro de largo testifica sobre este pasado la historia de la tierra. No solo la dimensión, también la calidad fascina a los geólogos. Aquí se tiene toda la diversidad de dinosaurios poco antes que desaparecieran de la faz de la tierra. Esto demuestra que la variedad de criaturas era mucho más grande de lo que se suponía hasta ahora. Uno de los descubrimientos más importantes es que los anquilosaurios-cuadrúpedos herbívoros con un caparazón óseo se extendieron hasta Sudamérica. Anteriormente se desconocía su legado fosilizado en el subcontinente.
Las huellas de los titanosaurios son los más importantes para el investigador Meyer. Con un tamaño de hasta 25 metros eran verdaderos gigantes entre los inmensos saurios. Caminaban relativamente lento a 3 Km. por hora, otras especies alcanzaban en cambio una velocidad de 30 Km. por hora. En el caso de un saurio depredador, los investigadores pudieron incluso determinar que cojeaba. Cal´Orko es un lugar de superlativos paleontológicos. Aquí se encuentra la huella de una "caminata de paseo" de un saurio depredador de más de 350 metros de largo, las larga de todo el mundo hasta ahora conocida. La cantidad es también abrumadora, alrededor de 5000 huellas de pisadas, la mayoría bien conservadas, tantas como en ningún lugar del planeta.
Ciudades Hermanas
La Plata, Argentina.
Quito, Ecuador (2007)
Sucre, cuyo nombre oficial es La Ilustre y Heróica Sucre, es la capital[1] constitucional e histórica de Bolivia. Anteriormente fue conocida como Charcas, La Plata y Chuquisaca (término equivoco ya que así es llamado el Departamento). En la actualidad, es sede de la Corte Suprema de Justicia, del Tribunal Constitucional, del Consejo de la Judicatura y de la Fiscalía General de la República.[2] Es también asiento del Tribunal Agrario Nacional y de la Asamblea Constituyente, además de ser capital del departamento de Chuquisaca. La ciudad tiene una población aproximada de 230.000 habitantes y se encuentra localizada en la parte central sur del país, a una altitud de 2800 metros. Fue también llamada La Ciudad Blanca.
Contenido [ocultar]
1 Historia
1.1 La tierra media en la geografía boliviana
1.2 La primera ciudad de Bolivia
1.3 La Cruz de San Andrés
1.4 La tradición Republicana
1.5 La Capital
1.6 La guerra civil de 1898-1899
1.7 La planificación Urbana
1.8 El Plan Bohan
1.9 La Revolución de 1952
1.10 La cordura chuquisaqueña
1.11 La estrategia boliviana de desarrollo
1.12 La periferia de la periferia
1.13 Patrimonio y desarrollo
1.14 Una identidad en construcción
2 Arquitectura
3 Turismo
4 Tierra de Dinosaurios
5 Ciudades Hermanas
6 Referencias
7 Enlaces externos
Historia
El 29 de septiembre de 1538, Sucre fue fundada bajo el nombre de Ciudad de la Plata de la Nueva Toledo por Pedro de Anzures, Marqués de Campo Redondo, por órdenes de Pizarro. En ese lugar habitaban indígenas denominados "Charcas", los cuales no opusieron resistencia a los colonizadores españoles. Posteriormente esta ciudad adquirió gran importancia por la proximidad a las minas de Porco y Potosí. En 1559 el Rey Felipe II estableció la Real Audiencia de Charcas en "La Plata", con autoridad sobre el área que hoy es el actual país de Paraguay, el sudeste peruano, el norte de Chile y la Argentina y gran parte de lo que hoy es Bolivia. En 1609, un arzobispado fue fundado en la ciudad. En 1624 se fundó la Universidad Mayor Real y Pontificia de San Francisco de Xavier de Chuquisaca.
En el siglo XVIII se unió al Virreinato del Río de La Plata. Hasta el siglo XVIII, La Plata fue el centro judicial, cultural y religioso de la región.
El 25 de mayo de 1809 los estudiantes de la Universidad San Francisco Xavier se rebelaron, seguidos por el pueblo, pidiendo la liberación de Jaime de Zudáñez— acusado y tomado prisionero por "conspiración" el mismo día— y la renuncia del presidente de la Audiencia de Charcas, Pizarro. Éste dijo Con un Pizarro empezó la Colonia y con otro termina la misma[cita requerida]. Ese mismo dia Jaime de Zudáñez fue liberado. La Revolución de Chuquisaca, es conocida como el Primer Grito Libertario de América y la chispa que encendió la lucha libertaria de América.[3]
En 1825 fue testigo de la firma del acta de fundación de la República de Bolivia en la histórica Casa de la Libertad. En 1839, después de que la ciudad se convirtió en la capital de Bolivia, fue rebautizada en honor del héroe revolucionario Gran Mariscal de Ayacucho Antonio José de Sucre. Tras el declive económico de Potosí, Sucre apareció demasiado lejos de la ruta de la riqueza económica, lo que motivó que el Gobierno Boliviano se trasladase a La Paz en 1899 después de una guerra civil entablada entre los poderes económicos de la plata y el estaño. En 1991, Sucre fue declarada Patrimonio de la Humanidad por la Unesco.
La tierra media en la geografía boliviana
Sucre en la geografía bolivianaLa ciudad de Sucre, capital histórica de Bolivia, se sitúa en la Provincia Oropeza del Departamento de Chuquisaca, al pie de los cerros Sica Sica y Churuquella, cordillera oriental de los Andes donde las cadenas montañosas pierden altura y propician un clima cálido y seco de cabecera de valle. Su localización coincide con la divisoria hidrográfica de los sistemas Amazonas y Cuenca del Plata, desembocando en 4 ríos importantes: los ríos Chico y Grande para el Amazonas, y los ríos Cachimayu y Pilcomayu para la Cuenca del Plata.
La primera ciudad de Bolivia
Históricamente, se funda en 1538 con el nombre de "Villa de La Plata" por una expedición española proveniente del Cuzco (Perú), sobre un asentamiento preexistente de indios Charcas, como plaza fuerte, punto de partida de nuevas exploraciones al interior del continente. Durante la Colonia, su estratégica situación geográfica (cabecera de valle situada a 2.750 m.s.n.m.), clima cálido y seco, y la proximidad de las minas de plata descubiertas en 1545 en Potosí (4.060 m.s.n.m.), juegan un papel decisivo en su desarrollo como ciudad administrativa. Tres grandes instituciones la caracterizan:
La Iglesia, con la creación de la sede Episcopal en 1552 y su posterior transformación en Arzobispado de la Plata en 1609; el tribunal administrativo, con la creación de la Real Audiencia de Charcas en 1559, asociada al virreinato del Perú con sede en Lima y la Universidad San Francisco Xavier de Chuquisaca, creada en 1623 (séptima universidad de América), seguida de la Real Academia Carolina en 1776.
La Cruz de San Andrés
En 1555, la Villa de La Plata es ascendida al rango de ciudad por decreto real de Carlos V y se le otorga la "Cruz de San Andrés" como estandarte, consistente en una cruz escarlata sobre fondo blanco. En 1639, periodo de máximo esplendor colonial, la ciudad cuenta con 14.000 habitantes sobre una superficie de 90 hectáreas. En 1776, su importancia se ve disminuida cuando la Audiencia de Charcas es absorbida por el virreinato de La Plata, con sede en Buenos Aires. Este hecho es acompañado por la decadencia de la explotación de plata en Potosí a principios del siglo XIX.
La tradición Republicana
Entre 1808 y 1814, Napoleón Bonaparte ocupa y anexa el reino de España a Francia. La corona española prefiere abdicar antes que trasladarse al nuevo mundo como sucede con la corona portuguesa y desata una pugna política sobre quién debe beneficiarse de los cuantiosos tributos coloniales.
En Sucre, el movimiento estudiantil chuquisaqueño, fuertemente impregnado de los ideales de la Revolución de 1789 (Libertad, Igualdad y Fraternidad) llega a la conclusión de que ni el imperio es tan fuerte como se creía, ni las colonias tan dependientes como se pretendía y se decide tomar el camino de la emancipación. Los hermanos Zudañez son los encargados de iniciar la Revolución con la estrategia de desconocer abiertamente toda otra autoridad más que la del rey depuesto: es el denominado "primer grito libertario", un 25 de mayo de 1809.
La Capital
El 6 de agosto de 1825, Bolivia se declara Estado Independiente y un año más tarde, Sucre es oficialmente designada como Capital. La ciudad cuenta entonces con 12.000 habitantes y una superficie de 170 hectáreas. A fines del siglo XIX, se impone la explotación del estaño, centrada en Oruro (1606, 3.708 m.s.n.m.). En 1892, se moderniza la explotación minera con la introducción del primer ferrocarril entre Oruro y el puerto de Antofagasta (Chile). En Sucre se establecen las casas matrices de las empresas mineras de Potosí y las principales entidades bancarias nacionales. En 1909 se crea la Escuela Normal de Maestros (actual Universidad Pedagógica).
La guerra civil de 1898-1899
La Paz (1548, 3.632 m.s.n.m.), favorecida por su proximidad a Oruro desata una pugna administrativa con Sucre que termina en la guerra civil de 1898–1899, convirtiéndose en sede de facto de Gobierno (poderes Ejecutivo y Legislativo), Sucre conserva el poder Judicial. La vinculación férrea que une La Paz-Oruro-Potosí con las costas del pacífico consolida la hegemonía paceña en la primera mitad del siglo XX. Cochabamba (2.553 m.s.n.m.) se convierte en el principal centro de abastecimiento del país, desplazando a Santa Cruz (1561, 437 m.s.n.m.) que hasta entonces había cumplido un rol similar con Sucre. La llegada del ferrocarril a Sucre no se hace efectiva hasta 1936, acompañada de la construcción del barrio ferroviario, primer asentamiento urbano fuera del casco antiguo. En el censo de 1900, Sucre tiene 20.907 habitantes y una superficie de 215, 12 hectáreas.
La planificación Urbana
El 27 de marzo de 1948, un violento temblor sacude la ciudad de Sucre a raíz del cual se forma el “Comité de Reconstrucción y Auxilio” que formula el “Plan Regulador” de 1950, sobre dos lineamientos: la reconstrucción de la ciudad, introduciendo criterios del urbanismo "moderno" como la interrelación entre el casco antiguo y zona de expansión; la necesidad de dotar a Sucre de otras funciones que las administrativas, potenciando la industria y el agro. Si bien este plan no se lleva a la práctica, constituye el primer intento de planificación urbana y propicia la creación de 2 grandes industrias regionales: la Refinería de Petróleo Carlos Montenegro y la Fabrica Nacional de Cemento (1959).
El Plan Bohan
Santa Cruz de la Sierra (1561, 437 m.s.n.m.), bajo el lema de “ferrocarril o nada” consigue en 1952 la vinculación carretera con Cochabamba, es el comienzo de la denominada “marcha al oriente” sugerida por el Plan Bohan de 1940, proponiendo para Santa Cruz: la construcción de infraestructura básica de transporte; la asistencia técnica y financiera para el agro; y programas de migración planificada y espontánea hacia el oriente. Esta política nacional de “diversificación económica y de creación de un nuevo polo de desarrollo” propicia la conformación de un nuevo eje económico denominado “eje central” La Paz-Cochabamba-Santa Cruz y marca el comienzo de la decadencia del eje minero La Paz-Oruro-Potosí-Sucre. Los créditos agrícolas otorgados a Chuquisaca entre 1955 y 1964 alcanzan al 5,7% frente al 42,6% para Santa Cruz; entre 1964 y 1970, estos mismos créditos descienden al 3,9% para Chuquisaca mientras Santa Cruz recibe 43,1% y entre 1970 y 1975, Chuquisaca solo recibe un 1,2% mientras Santa Cruz alcanza el 69,9%.
La Revolución de 1952
Como consecuencia de la Revolución nacional de 1952, se producen en Bolivia cuatro reformas estructurales que marcan el paso de un Estado oligárquico a un Estado liberal y consolidan el centralismo de La Paz:
El voto universal de 1952, ampliando el derecho de voto a la mujer, analfabetos y campesinos; la nacionalización de las minas de 1952, recuperando el 80% de los ingresos de las exportaciones de estaño a poder del Estado; la reforma agraria de 1953, otorgando la tierra a los campesinos y eliminando las servidumbres y la reforma educativa de 1955, transformando la educación excluyente en universal y obligatoria.
Estas reformas estatales son producto de grandes convulsiones sociales que estremecen al país en su conjunto y a la sociedad chuquisaqueña en particular, conocida como conservadora y fuertemente arraigada a las propiedades rurales. La reforma agraria provoca el repliegue de los estratos sociales altos a la ciudad y la caída de la producción agrícola. Los campesinos, sin asesoramiento técnico, ni recursos económicos no tienen posibilidad alguna de dar continuidad a la producción agrícola encontrándose rápidamente en una economía de subsistencia. Sucre cuenta entonces con 40.128 habitantes y una superficie de 253.56 hectáreas.
La cordura chuquisaqueña
La llegada de nuevos cuadros técnicos chuquisaqueños, formados en universidades del interior de la República como la Politécnica de Oruro, donde imparten cátedra Profesores judío-alemanes emigrados durante la segunda guerra mundial dan el soporte técnico necesario para poner en funcionamiento la refinería de petróleo y la fabrica de cemento (FANCESA), empresas que no tardan en convertirse en el motor de desarrollo regional. En la década de los 80, FANCESA se convierte en la primera cementera nacional, desplazando a SOBOCE de La Paz y COBOCE de Cochabamba. La Universidad, antiguamente especializada en ciencias políticas y medicina diversifica sus programas académicos con ramas técnicas. Sucre comienza a destacar nuevamente como centro de excelencia académica.
En 1974 se formula el “Plan Regulador de Sucre”, primer intento de coordinación interinstitucional local para cubrir el vacío existente en planificación urbana, respondiendo a las necesidades de integración de los nuevos barrios periféricos al núcleo central. En 1976, Sucre cuenta con 63.259 habitantes, sobre una superficie de 605.20 hectáreas.
La estrategia boliviana de desarrollo
En la década de los 70 se suceden en Bolivia los golpes militares (1969 – 1980), en este periodo se desarrolla la denominada “Estrategia Boliviana de Desarrollo” con lineamientos no muy distantes del Plan Bohan de 1940, dividiendo al país en 3 tipos de regiones (homogéneas, polarizadas, plan) y creando las denominadas Corporaciones Regionales de Desarrollo, organismos técnicos encargados de elaborar proyectos de impacto. En Chuquisaca se crea la Corporación Regional de Desarrollo de Chuquisaca (CORDECH), dirigida por militares, la cual elabora cantidad de proyectos, la mayoría de los cuales no se ejecutan por falta de presupuesto. Tres grandes proyectos se concretan en Sucre: el aeropuerto, la terminal de buses y el mercado central.
A fines de los 70 y principios de los 80, la población rural, fuertemente empobrecida, comienza a emigrar a la ciudad y al oriente boliviano (Santa Cruz, cosechas agrícolas estacionales), los estratos altos de la ciudad también emigran al eje central, en su mayoría, de manera definitiva. Entre 1971 y 1976 Chuquisaca soporta una tasa de migración de -4,7% mientras que Santa Cruz gana un 18,9%; entre 1987 y 1992 Chuquisaca sigue perdiendo un -3,8% mientras que que Santa Cruz gana un 7,4% y entre 1996 y 2001 Chuquisaca literalmente se "vacía" con una tasa negativa de -6,4% mientras que Santa Cruz gana un 10,6%.
La periferia de la periferia
En la década de los 80 se produce la crisis del estaño, ocasionando a Bolivia una inflación sin precedente que en 1985 alcanza el 8'767%. El Gobierno, con la dramática frase “Bolivia se nos muere”, aplica el famoso decreto 21060, cerrando la mayoría de las minas y poniendo en la calle a más de 23.000 mineros. Es la decadencia del eje minero La Paz–Oruro–Potosí-Sucre y la consolidación del eje central La Paz–Cochabamba–Santa Cruz. Sucre y su Departamento son completamente periféricos en la economía nacional aportando actualmente menos del 5% del PIB nacional mientras que Santa Cruz supera el 30%. En el censo de 1992, la ciudad cuenta con 131.769 habitantes y una superficie de 3.173 hectáreas. En 2001, Chuquisaca es la región más pobre de Bolivia con 79,8% de su población por debajo del umbral de la pobreza, de la cual 57,2% se encuentra en condiciones de indigencia y marginalidad total.
Patrimonio y desarrollo
Ciudad Histórica de Sucre.1
Patrimonio de la Humanidad — UNESCO
Vista de la Basílica de San Francisco
Coordenadas 19°2′35″S 65°15′33″O / -19.04306, -65.25917
País Bolivia
Tipo Cultural
Criterios iv
N.° identificación 566
Región2 Latinoamérica y Caribe
Año de inscripción 1991 (XV sesión)
1 Nombre oficial según Unesco
2 Clasificación según Unesco
El urbanismo colonial y la arquitectura Republicana que caracterizan Sucre le valen el título de “| Patrimonio Cultural de la Humanidad”, otorgado en 1991 por la UNESCO. Es la segunda ciudad en Bolivia que recibe esta distincción después de Potosí (1987). Este hecho propicia la creación del Plan de Rehabilitación de las Áreas Históricas de Sucre (PRAHS, 1995), institución local encargada de la gestión del centro histórico, en colaboración con la Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID). Se potencia el secmento productivo del turismo cultural y se perfila la idea de un nuevo eje turístico entre Sucre y Potosí como iniciativa mancomunada de desarrollo regional.
Una identidad en construcción
Sucre resume la historia misma de Bolivia desde su fundación hasta la primera mitad del siglo XX (fundación, auge y decadencia). Sucre se plantea el desafío de escribir las nuevas páginas del siglo XXI reveindicando la capitalía plena en el actual debate autonómico y constitucional.
Arquitectura
Sucre sigue el plano de damero, común en las ciudades coloniales, con una red de plazoletas, jardines y parques que otorgan gran armonía al conjunto urbano. Es una de las ciudades de arquitectura hispánica mejor conservada en América, con calles empedradas, fuentes labradas en granito, iglesias antiguas, casa techadas con tejas de barro cocido espolvoreadas con cal y con paredes blancas, características del diseño colonial.
Es abundante la arquitectura religiosa, destacándose la iglesia de San Lázaro, la más antigua, construida en 1544; la iglesia la Merced, que cuenta con una hermosa capilla; el convento de San Francisco Javier, y la Catedral, cuya construcción comenzó en 1571 y finalizó un siglo más tarde, donde resalta su bella fachada barroca.
En la arquitectura civil se destacan el hospital (1554), el Arzobispado de La Plata (hoy de Chuquisaca), la Universidad de San Francisco Javier de Chuquisaca (1624), la Corte Suprema de Justicia. Además, durante la colonia, Sucre fue sede de la Audiencia de Charcas, la Casa de Gobierno (hasta fines del siglo XIX) y la Casa de la Libertad (donde se reunió el primer Congreso Constituyente de la Nación y se firmó el Acta de la Independencia). También se puede visitar la Biblioteca Nacional, que conserva más de 100.000 piezas impresas desde 1493, así como muchos otros edificios.
A fines del siglo XVIII y a principios del siglo XIX la ciudad de Sucre sufre una transformación en su arquitectura debido al auge de la minería. Estos elementos se mantienen hasta la fecha y representan la imagen característica de la ciudad.
Turismo
La ciudad atrae miles de turistas cada año gracias a los edificios de su casco antiguo, los cuales se encuentran bien conservados. Otras atracciones son las huellas paleontológicas del periodo cretáceo halladas a las afueras de la ciudad y los diversos archivos, iglesias y documentos históricos, como la primera bandera argentina, que se encuentra en la Casa de la Libertad, palacete adyacente a la Prefectura. El Convento de La Recoleta es otro de los edificios más notables de la ciudad. Sucre fue designada sede de los juegos deportivos bolivarianos del año 2009.
Tierra de Dinosaurios
Cal Orko en Sucre.Cal Orko es el yacimiento de huellas fosilizadas más grande del mundo, fascina a los paleontólogos y los admiradores de dinosaurios. A tan sólo pocos kilómetros de la ciudad de Sucre, a 3000 metros de altura en los Andes centrales, está situada en la cantera de la fábrica de cemento más grande de Bolivia.
Hoy en día es un empinado farallón de 70 grados, con una altura hasta de 80 metros y más de un kilómetro de largo testifica sobre este pasado la historia de la tierra. No solo la dimensión, también la calidad fascina a los geólogos. Aquí se tiene toda la diversidad de dinosaurios poco antes que desaparecieran de la faz de la tierra. Esto demuestra que la variedad de criaturas era mucho más grande de lo que se suponía hasta ahora. Uno de los descubrimientos más importantes es que los anquilosaurios-cuadrúpedos herbívoros con un caparazón óseo se extendieron hasta Sudamérica. Anteriormente se desconocía su legado fosilizado en el subcontinente.
Las huellas de los titanosaurios son los más importantes para el investigador Meyer. Con un tamaño de hasta 25 metros eran verdaderos gigantes entre los inmensos saurios. Caminaban relativamente lento a 3 Km. por hora, otras especies alcanzaban en cambio una velocidad de 30 Km. por hora. En el caso de un saurio depredador, los investigadores pudieron incluso determinar que cojeaba. Cal´Orko es un lugar de superlativos paleontológicos. Aquí se encuentra la huella de una "caminata de paseo" de un saurio depredador de más de 350 metros de largo, las larga de todo el mundo hasta ahora conocida. La cantidad es también abrumadora, alrededor de 5000 huellas de pisadas, la mayoría bien conservadas, tantas como en ningún lugar del planeta.
Ciudades Hermanas
La Plata, Argentina.
Quito, Ecuador (2007)
He comenzado a redactar un nuevo blog dedicado a la fotografía de viaje, os animo a visitarlo y espero vuestros comentarios. Un abrazo
I started to write a new blog dedicated to travel photography, I encourage you to visit and hope your comments.
J'ai commencé à écrire un nouveau blog dédié à la photographie de voyage, je vous encourage à visiter et nous espérons vos commentaires. Une étreinte
Sucre, cuyo nombre oficial es La Ilustre y Heróica Sucre, es la capital[1] constitucional e histórica de Bolivia. Anteriormente fue conocida como Charcas, La Plata y Chuquisaca (término equivoco ya que así es llamado el Departamento). En la actualidad, es sede de la Corte Suprema de Justicia, del Tribunal Constitucional, del Consejo de la Judicatura y de la Fiscalía General de la República.[2] Es también asiento del Tribunal Agrario Nacional y de la Asamblea Constituyente, además de ser capital del departamento de Chuquisaca. La ciudad tiene una población aproximada de 230.000 habitantes y se encuentra localizada en la parte central sur del país, a una altitud de 2800 metros. Fue también llamada La Ciudad Blanca.
Contenido [ocultar]
1 Historia
1.1 La tierra media en la geografía boliviana
1.2 La primera ciudad de Bolivia
1.3 La Cruz de San Andrés
1.4 La tradición Republicana
1.5 La Capital
1.6 La guerra civil de 1898-1899
1.7 La planificación Urbana
1.8 El Plan Bohan
1.9 La Revolución de 1952
1.10 La cordura chuquisaqueña
1.11 La estrategia boliviana de desarrollo
1.12 La periferia de la periferia
1.13 Patrimonio y desarrollo
1.14 Una identidad en construcción
2 Arquitectura
3 Turismo
4 Tierra de Dinosaurios
5 Ciudades Hermanas
6 Referencias
7 Enlaces externos
Historia
El 29 de septiembre de 1538, Sucre fue fundada bajo el nombre de Ciudad de la Plata de la Nueva Toledo por Pedro de Anzures, Marqués de Campo Redondo, por órdenes de Pizarro. En ese lugar habitaban indígenas denominados "Charcas", los cuales no opusieron resistencia a los colonizadores españoles. Posteriormente esta ciudad adquirió gran importancia por la proximidad a las minas de Porco y Potosí. En 1559 el Rey Felipe II estableció la Real Audiencia de Charcas en "La Plata", con autoridad sobre el área que hoy es el actual país de Paraguay, el sudeste peruano, el norte de Chile y la Argentina y gran parte de lo que hoy es Bolivia. En 1609, un arzobispado fue fundado en la ciudad. En 1624 se fundó la Universidad Mayor Real y Pontificia de San Francisco de Xavier de Chuquisaca.
En el siglo XVIII se unió al Virreinato del Río de La Plata. Hasta el siglo XVIII, La Plata fue el centro judicial, cultural y religioso de la región.
El 25 de mayo de 1809 los estudiantes de la Universidad San Francisco Xavier se rebelaron, seguidos por el pueblo, pidiendo la liberación de Jaime de Zudáñez— acusado y tomado prisionero por "conspiración" el mismo día— y la renuncia del presidente de la Audiencia de Charcas, Pizarro. Éste dijo Con un Pizarro empezó la Colonia y con otro termina la misma[cita requerida]. Ese mismo dia Jaime de Zudáñez fue liberado. La Revolución de Chuquisaca, es conocida como el Primer Grito Libertario de América y la chispa que encendió la lucha libertaria de América.[3]
En 1825 fue testigo de la firma del acta de fundación de la República de Bolivia en la histórica Casa de la Libertad. En 1839, después de que la ciudad se convirtió en la capital de Bolivia, fue rebautizada en honor del héroe revolucionario Gran Mariscal de Ayacucho Antonio José de Sucre. Tras el declive económico de Potosí, Sucre apareció demasiado lejos de la ruta de la riqueza económica, lo que motivó que el Gobierno Boliviano se trasladase a La Paz en 1899 después de una guerra civil entablada entre los poderes económicos de la plata y el estaño. En 1991, Sucre fue declarada Patrimonio de la Humanidad por la Unesco.
La tierra media en la geografía boliviana
Sucre en la geografía bolivianaLa ciudad de Sucre, capital histórica de Bolivia, se sitúa en la Provincia Oropeza del Departamento de Chuquisaca, al pie de los cerros Sica Sica y Churuquella, cordillera oriental de los Andes donde las cadenas montañosas pierden altura y propician un clima cálido y seco de cabecera de valle. Su localización coincide con la divisoria hidrográfica de los sistemas Amazonas y Cuenca del Plata, desembocando en 4 ríos importantes: los ríos Chico y Grande para el Amazonas, y los ríos Cachimayu y Pilcomayu para la Cuenca del Plata.
La primera ciudad de Bolivia
Históricamente, se funda en 1538 con el nombre de "Villa de La Plata" por una expedición española proveniente del Cuzco (Perú), sobre un asentamiento preexistente de indios Charcas, como plaza fuerte, punto de partida de nuevas exploraciones al interior del continente. Durante la Colonia, su estratégica situación geográfica (cabecera de valle situada a 2.750 m.s.n.m.), clima cálido y seco, y la proximidad de las minas de plata descubiertas en 1545 en Potosí (4.060 m.s.n.m.), juegan un papel decisivo en su desarrollo como ciudad administrativa. Tres grandes instituciones la caracterizan:
La Iglesia, con la creación de la sede Episcopal en 1552 y su posterior transformación en Arzobispado de la Plata en 1609; el tribunal administrativo, con la creación de la Real Audiencia de Charcas en 1559, asociada al virreinato del Perú con sede en Lima y la Universidad San Francisco Xavier de Chuquisaca, creada en 1623 (séptima universidad de América), seguida de la Real Academia Carolina en 1776.
La Cruz de San Andrés
En 1555, la Villa de La Plata es ascendida al rango de ciudad por decreto real de Carlos V y se le otorga la "Cruz de San Andrés" como estandarte, consistente en una cruz escarlata sobre fondo blanco. En 1639, periodo de máximo esplendor colonial, la ciudad cuenta con 14.000 habitantes sobre una superficie de 90 hectáreas. En 1776, su importancia se ve disminuida cuando la Audiencia de Charcas es absorbida por el virreinato de La Plata, con sede en Buenos Aires. Este hecho es acompañado por la decadencia de la explotación de plata en Potosí a principios del siglo XIX.
La tradición Republicana
Entre 1808 y 1814, Napoleón Bonaparte ocupa y anexa el reino de España a Francia. La corona española prefiere abdicar antes que trasladarse al nuevo mundo como sucede con la corona portuguesa y desata una pugna política sobre quién debe beneficiarse de los cuantiosos tributos coloniales.
En Sucre, el movimiento estudiantil chuquisaqueño, fuertemente impregnado de los ideales de la Revolución de 1789 (Libertad, Igualdad y Fraternidad) llega a la conclusión de que ni el imperio es tan fuerte como se creía, ni las colonias tan dependientes como se pretendía y se decide tomar el camino de la emancipación. Los hermanos Zudañez son los encargados de iniciar la Revolución con la estrategia de desconocer abiertamente toda otra autoridad más que la del rey depuesto: es el denominado "primer grito libertario", un 25 de mayo de 1809.
La Capital
El 6 de agosto de 1825, Bolivia se declara Estado Independiente y un año más tarde, Sucre es oficialmente designada como Capital. La ciudad cuenta entonces con 12.000 habitantes y una superficie de 170 hectáreas. A fines del siglo XIX, se impone la explotación del estaño, centrada en Oruro (1606, 3.708 m.s.n.m.). En 1892, se moderniza la explotación minera con la introducción del primer ferrocarril entre Oruro y el puerto de Antofagasta (Chile). En Sucre se establecen las casas matrices de las empresas mineras de Potosí y las principales entidades bancarias nacionales. En 1909 se crea la Escuela Normal de Maestros (actual Universidad Pedagógica).
La guerra civil de 1898-1899
La Paz (1548, 3.632 m.s.n.m.), favorecida por su proximidad a Oruro desata una pugna administrativa con Sucre que termina en la guerra civil de 1898–1899, convirtiéndose en sede de facto de Gobierno (poderes Ejecutivo y Legislativo), Sucre conserva el poder Judicial. La vinculación férrea que une La Paz-Oruro-Potosí con las costas del pacífico consolida la hegemonía paceña en la primera mitad del siglo XX. Cochabamba (2.553 m.s.n.m.) se convierte en el principal centro de abastecimiento del país, desplazando a Santa Cruz (1561, 437 m.s.n.m.) que hasta entonces había cumplido un rol similar con Sucre. La llegada del ferrocarril a Sucre no se hace efectiva hasta 1936, acompañada de la construcción del barrio ferroviario, primer asentamiento urbano fuera del casco antiguo. En el censo de 1900, Sucre tiene 20.907 habitantes y una superficie de 215, 12 hectáreas.
La planificación Urbana
El 27 de marzo de 1948, un violento temblor sacude la ciudad de Sucre a raíz del cual se forma el “Comité de Reconstrucción y Auxilio” que formula el “Plan Regulador” de 1950, sobre dos lineamientos: la reconstrucción de la ciudad, introduciendo criterios del urbanismo "moderno" como la interrelación entre el casco antiguo y zona de expansión; la necesidad de dotar a Sucre de otras funciones que las administrativas, potenciando la industria y el agro. Si bien este plan no se lleva a la práctica, constituye el primer intento de planificación urbana y propicia la creación de 2 grandes industrias regionales: la Refinería de Petróleo Carlos Montenegro y la Fabrica Nacional de Cemento (1959).
El Plan Bohan
Santa Cruz de la Sierra (1561, 437 m.s.n.m.), bajo el lema de “ferrocarril o nada” consigue en 1952 la vinculación carretera con Cochabamba, es el comienzo de la denominada “marcha al oriente” sugerida por el Plan Bohan de 1940, proponiendo para Santa Cruz: la construcción de infraestructura básica de transporte; la asistencia técnica y financiera para el agro; y programas de migración planificada y espontánea hacia el oriente. Esta política nacional de “diversificación económica y de creación de un nuevo polo de desarrollo” propicia la conformación de un nuevo eje económico denominado “eje central” La Paz-Cochabamba-Santa Cruz y marca el comienzo de la decadencia del eje minero La Paz-Oruro-Potosí-Sucre. Los créditos agrícolas otorgados a Chuquisaca entre 1955 y 1964 alcanzan al 5,7% frente al 42,6% para Santa Cruz; entre 1964 y 1970, estos mismos créditos descienden al 3,9% para Chuquisaca mientras Santa Cruz recibe 43,1% y entre 1970 y 1975, Chuquisaca solo recibe un 1,2% mientras Santa Cruz alcanza el 69,9%.
La Revolución de 1952
Como consecuencia de la Revolución nacional de 1952, se producen en Bolivia cuatro reformas estructurales que marcan el paso de un Estado oligárquico a un Estado liberal y consolidan el centralismo de La Paz:
El voto universal de 1952, ampliando el derecho de voto a la mujer, analfabetos y campesinos; la nacionalización de las minas de 1952, recuperando el 80% de los ingresos de las exportaciones de estaño a poder del Estado; la reforma agraria de 1953, otorgando la tierra a los campesinos y eliminando las servidumbres y la reforma educativa de 1955, transformando la educación excluyente en universal y obligatoria.
Estas reformas estatales son producto de grandes convulsiones sociales que estremecen al país en su conjunto y a la sociedad chuquisaqueña en particular, conocida como conservadora y fuertemente arraigada a las propiedades rurales. La reforma agraria provoca el repliegue de los estratos sociales altos a la ciudad y la caída de la producción agrícola. Los campesinos, sin asesoramiento técnico, ni recursos económicos no tienen posibilidad alguna de dar continuidad a la producción agrícola encontrándose rápidamente en una economía de subsistencia. Sucre cuenta entonces con 40.128 habitantes y una superficie de 253.56 hectáreas.
La cordura chuquisaqueña
La llegada de nuevos cuadros técnicos chuquisaqueños, formados en universidades del interior de la República como la Politécnica de Oruro, donde imparten cátedra Profesores judío-alemanes emigrados durante la segunda guerra mundial dan el soporte técnico necesario para poner en funcionamiento la refinería de petróleo y la fabrica de cemento (FANCESA), empresas que no tardan en convertirse en el motor de desarrollo regional. En la década de los 80, FANCESA se convierte en la primera cementera nacional, desplazando a SOBOCE de La Paz y COBOCE de Cochabamba. La Universidad, antiguamente especializada en ciencias políticas y medicina diversifica sus programas académicos con ramas técnicas. Sucre comienza a destacar nuevamente como centro de excelencia académica.
En 1974 se formula el “Plan Regulador de Sucre”, primer intento de coordinación interinstitucional local para cubrir el vacío existente en planificación urbana, respondiendo a las necesidades de integración de los nuevos barrios periféricos al núcleo central. En 1976, Sucre cuenta con 63.259 habitantes, sobre una superficie de 605.20 hectáreas.
La estrategia boliviana de desarrollo
En la década de los 70 se suceden en Bolivia los golpes militares (1969 – 1980), en este periodo se desarrolla la denominada “Estrategia Boliviana de Desarrollo” con lineamientos no muy distantes del Plan Bohan de 1940, dividiendo al país en 3 tipos de regiones (homogéneas, polarizadas, plan) y creando las denominadas Corporaciones Regionales de Desarrollo, organismos técnicos encargados de elaborar proyectos de impacto. En Chuquisaca se crea la Corporación Regional de Desarrollo de Chuquisaca (CORDECH), dirigida por militares, la cual elabora cantidad de proyectos, la mayoría de los cuales no se ejecutan por falta de presupuesto. Tres grandes proyectos se concretan en Sucre: el aeropuerto, la terminal de buses y el mercado central.
A fines de los 70 y principios de los 80, la población rural, fuertemente empobrecida, comienza a emigrar a la ciudad y al oriente boliviano (Santa Cruz, cosechas agrícolas estacionales), los estratos altos de la ciudad también emigran al eje central, en su mayoría, de manera definitiva. Entre 1971 y 1976 Chuquisaca soporta una tasa de migración de -4,7% mientras que Santa Cruz gana un 18,9%; entre 1987 y 1992 Chuquisaca sigue perdiendo un -3,8% mientras que que Santa Cruz gana un 7,4% y entre 1996 y 2001 Chuquisaca literalmente se "vacía" con una tasa negativa de -6,4% mientras que Santa Cruz gana un 10,6%.
La periferia de la periferia
En la década de los 80 se produce la crisis del estaño, ocasionando a Bolivia una inflación sin precedente que en 1985 alcanza el 8'767%. El Gobierno, con la dramática frase “Bolivia se nos muere”, aplica el famoso decreto 21060, cerrando la mayoría de las minas y poniendo en la calle a más de 23.000 mineros. Es la decadencia del eje minero La Paz–Oruro–Potosí-Sucre y la consolidación del eje central La Paz–Cochabamba–Santa Cruz. Sucre y su Departamento son completamente periféricos en la economía nacional aportando actualmente menos del 5% del PIB nacional mientras que Santa Cruz supera el 30%. En el censo de 1992, la ciudad cuenta con 131.769 habitantes y una superficie de 3.173 hectáreas. En 2001, Chuquisaca es la región más pobre de Bolivia con 79,8% de su población por debajo del umbral de la pobreza, de la cual 57,2% se encuentra en condiciones de indigencia y marginalidad total.
Patrimonio y desarrollo
Ciudad Histórica de Sucre.1
Patrimonio de la Humanidad — UNESCO
Vista de la Basílica de San Francisco
Coordenadas 19°2′35″S 65°15′33″O / -19.04306, -65.25917
País Bolivia
Tipo Cultural
Criterios iv
N.° identificación 566
Región2 Latinoamérica y Caribe
Año de inscripción 1991 (XV sesión)
1 Nombre oficial según Unesco
2 Clasificación según Unesco
El urbanismo colonial y la arquitectura Republicana que caracterizan Sucre le valen el título de “| Patrimonio Cultural de la Humanidad”, otorgado en 1991 por la UNESCO. Es la segunda ciudad en Bolivia que recibe esta distincción después de Potosí (1987). Este hecho propicia la creación del Plan de Rehabilitación de las Áreas Históricas de Sucre (PRAHS, 1995), institución local encargada de la gestión del centro histórico, en colaboración con la Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID). Se potencia el secmento productivo del turismo cultural y se perfila la idea de un nuevo eje turístico entre Sucre y Potosí como iniciativa mancomunada de desarrollo regional.
Una identidad en construcción
Sucre resume la historia misma de Bolivia desde su fundación hasta la primera mitad del siglo XX (fundación, auge y decadencia). Sucre se plantea el desafío de escribir las nuevas páginas del siglo XXI reveindicando la capitalía plena en el actual debate autonómico y constitucional.
Arquitectura
Sucre sigue el plano de damero, común en las ciudades coloniales, con una red de plazoletas, jardines y parques que otorgan gran armonía al conjunto urbano. Es una de las ciudades de arquitectura hispánica mejor conservada en América, con calles empedradas, fuentes labradas en granito, iglesias antiguas, casa techadas con tejas de barro cocido espolvoreadas con cal y con paredes blancas, características del diseño colonial.
Es abundante la arquitectura religiosa, destacándose la iglesia de San Lázaro, la más antigua, construida en 1544; la iglesia la Merced, que cuenta con una hermosa capilla; el convento de San Francisco Javier, y la Catedral, cuya construcción comenzó en 1571 y finalizó un siglo más tarde, donde resalta su bella fachada barroca.
En la arquitectura civil se destacan el hospital (1554), el Arzobispado de La Plata (hoy de Chuquisaca), la Universidad de San Francisco Javier de Chuquisaca (1624), la Corte Suprema de Justicia. Además, durante la colonia, Sucre fue sede de la Audiencia de Charcas, la Casa de Gobierno (hasta fines del siglo XIX) y la Casa de la Libertad (donde se reunió el primer Congreso Constituyente de la Nación y se firmó el Acta de la Independencia). También se puede visitar la Biblioteca Nacional, que conserva más de 100.000 piezas impresas desde 1493, así como muchos otros edificios.
A fines del siglo XVIII y a principios del siglo XIX la ciudad de Sucre sufre una transformación en su arquitectura debido al auge de la minería. Estos elementos se mantienen hasta la fecha y representan la imagen característica de la ciudad.
Turismo
La ciudad atrae miles de turistas cada año gracias a los edificios de su casco antiguo, los cuales se encuentran bien conservados. Otras atracciones son las huellas paleontológicas del periodo cretáceo halladas a las afueras de la ciudad y los diversos archivos, iglesias y documentos históricos, como la primera bandera argentina, que se encuentra en la Casa de la Libertad, palacete adyacente a la Prefectura. El Convento de La Recoleta es otro de los edificios más notables de la ciudad. Sucre fue designada sede de los juegos deportivos bolivarianos del año 2009.
Tierra de Dinosaurios
Cal Orko en Sucre.Cal Orko es el yacimiento de huellas fosilizadas más grande del mundo, fascina a los paleontólogos y los admiradores de dinosaurios. A tan sólo pocos kilómetros de la ciudad de Sucre, a 3000 metros de altura en los Andes centrales, está situada en la cantera de la fábrica de cemento más grande de Bolivia.
Hoy en día es un empinado farallón de 70 grados, con una altura hasta de 80 metros y más de un kilómetro de largo testifica sobre este pasado la historia de la tierra. No solo la dimensión, también la calidad fascina a los geólogos. Aquí se tiene toda la diversidad de dinosaurios poco antes que desaparecieran de la faz de la tierra. Esto demuestra que la variedad de criaturas era mucho más grande de lo que se suponía hasta ahora. Uno de los descubrimientos más importantes es que los anquilosaurios-cuadrúpedos herbívoros con un caparazón óseo se extendieron hasta Sudamérica. Anteriormente se desconocía su legado fosilizado en el subcontinente.
Las huellas de los titanosaurios son los más importantes para el investigador Meyer. Con un tamaño de hasta 25 metros eran verdaderos gigantes entre los inmensos saurios. Caminaban relativamente lento a 3 Km. por hora, otras especies alcanzaban en cambio una velocidad de 30 Km. por hora. En el caso de un saurio depredador, los investigadores pudieron incluso determinar que cojeaba. Cal´Orko es un lugar de superlativos paleontológicos. Aquí se encuentra la huella de una "caminata de paseo" de un saurio depredador de más de 350 metros de largo, las larga de todo el mundo hasta ahora conocida. La cantidad es también abrumadora, alrededor de 5000 huellas de pisadas, la mayoría bien conservadas, tantas como en ningún lugar del planeta.
Ciudades Hermanas
La Plata, Argentina.
Quito, Ecuador (2007)