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Possibly half way up Ben MacDui now looking back along the way we've come along Glen Lui.
Ben Macdui is the UK's 2nd highest peak (second only to Ben Nevis) and stands at 1309m (4294ft). After descending from this Munro we make a climb to the 2nd Munro of the day, Carn a' Mhaim (pronounced Carn-ah-Vame) at 1037m (3402ft).
El sepulcro fue realizado en el siglo XIX por el escultor portugués Costa Mota.
Monasterio de los Jerónimos. Belen.
Lisboa.
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Y las mas interesantes:
Lui di Pallas (Phylloscopus proregulus) a mio giudizio il più bel lui osservabile in Italia che ha deliziato per pochi giorni i birders veneziani (e non solo). Valle Vecchia (VE) 6/1/23
Dio ci invita a "guardare" a Lui rimanendo tutti uniti nell'Amore...ancora di più nei momenti di difficoltà e di bisogno!
Il mondo attraverso la mente dominata dal "male" porta alla divisione le persone mettendo l'uno contro l'altro..."sgretolando" così i desideri di Dio!
Il mio invito è di "staccare" un pò dal mondo per poter ritrovare i desideri di Dio!!!
Dave
Mercedes-Benz OC500RF Irizar Pb de Autocares Luis Juan (Novelda) en servicio discrecional de cruceros
Ex_182 Bilman Bus
Alicante, Plaza Puerta del Mar
Marché informel de la porte Choa, le long de la muraille de la vieille ville d'Harar, Ethiopie.
Les jours de fermeture du marché officiel qui se tient au nord de la porte Choa , un marché informel coloré se tient sur l'esplanade de la porte, à l'extérieur des remparts. Les femmes musulmanes y proposent quelques vêtements et accessoires mais surtout leur modeste production personnelle de fruits et légumes.
La vieille ville historique d’Harar, en Ethiopie, située à quelque 450 km à l’est d’Addis Abeba, lovée à l’abri de ses remparts du XVIème siècle, entourée de déserts et de savanes, est un endroit atypique et particulièrement photogénique de l’Ethiopie avec ses ruelles étroites bordées de hauts murs colorés ou blanchis à la chaux sur lesquels se détachent les silhouettes furtives des femmes musulmanes. La ville est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO
Traditionnellement habitée par une population à forte majorité musulmane, elle est considérée comme la quatrième ville sainte de l’Islam et fut au XVIème siècle la capitale d’un important sultanat et le fief d’ Ahmed Ibn Ibrahim Al-Ghazi, connu sous le nom de Gragn (Le gaucher), qui mena, avec l’aide des Ottomans, une guerre sainte contre l’empire chrétien d’Abyssinie avant d’être vaincu en 1543 par les troupes impériales renforcées par les Portugais de Christophe de Gama, le fils de l’autre.
Plusieurs dizaines de mosquées et d’édifices religieux musulmans, dont trois mosquées remontant au Xème siècle, parsèment le labyrinthe de petites ruelles pavées et longées de hauts murs colorés de vert, de bleu ou de jaune, ou blanchis à la chaux.
La ville fut au XIXème siècle un carrefour commercial important, servant de relais aux échanges entre l’Inde et l’empire éthiopien, via les comptoirs installés sur la côte somalienne. Une ville traditionnellemnt plus proche de la civilisation cosmopolite de la côte somalienne que de celle des hauts plateaux éthiopiens.
Les récits des voyageurs du XIXème siècle évoquent des caravanes de plusieurs milliers de dromadaires qui quittaient le port de Berbera, lourdement chagés, en direction des entrepôts de Harar.
On y négociait les soies, le coton, le café, l’encens, la gomme, le musc, les peaux de bêtes, l'or. C’est pour cette raison que le poète français Arthur Rimbaud s’installa en 1880 à l'âge de 26 ans dans cette ville, pour s’y livrer avec plus ou moins de bonheur à des activités commerciales (on évoque le trafic d'armes au profit de l'empereur Menelik II), qui s’achèveront tragiquement.
On lui attribue à Harar une belle maison de bois, parfois ouverte à la visite touristique, construite à cette époque par des négociants indiens et dotée d'une véranda, type de maison qui donna naissance à un paysage urbain nouveau et suscita l’apparition de maisons mixtes indiennes et harari. En réalité, Rimbaud n'habita jamais cette maison.