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Saint-Malo. Libertad, un des plus grands voiliers du monde, en escale et ouvert au public
Le navire de 103 mètres fera escale dans le port de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) mardi 2 et mercredi 3 août 2022. Une visite ouverte au public est organisée le premier jour.
C’est une première, la frégate argentine Libertad va faire escale à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) mardi 2 et mercredi 3 août 2022. Le navire a entrepris en avril 2022 son 50e voyage instruction au cours duquel il effectue onze escales européennes et américaines, dont celle dans la cité corsaire.
103 mètres
Ce trois-mâts carré argentin qui sert, depuis 1960, de navire école à la Marine argentine, est l’un des voiliers les plus grands du monde. Il mesure 103,70 m de long, pèse 3 765 tonnes, et possède 27 voiles dont la surface de voilure totale atteint les 2 712,49 m2.
Son plus grand mât mesure 52,88 m. Sa figure de proue, taillée en chêne rouge, représente la République. Il s’agit d’une œuvre d’art du sculpteur espagnol, résident en Argentine, Carlos García González.
Des milliers d’élèves officiers et de sous-officiers argentins ont appris l’art de la mer et de la navigation sur ses ponts et dans ses salles de classe.
La frégate sera ouverte au public mardi 2 août 2022, de 15 h à 19 h, et mercredi 3 août, de 10 h à 15 h.
103 mètres : l’un des cinq plus grands voiliers du monde en escale à Saint-Malo
103 mètres de long ! Libertad, l’un des cinq plus grands navires du monde fera escale dans le port de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) mardi 2 et mercredi 3 août 2022. Le public pourra visiter cette impressionnante frégate ce mardi.
C’est une première, la frégate argentine Libertad va faire escale à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) mardi 2 et mercredi 3 août 2022. Le navire a entrepris en avril 2022 son 50e voyage instruction au cours duquel il effectue onze escales européennes et américaines, dont celle dans la cité corsaire.
103 mètres
Ce trois-mâts carré argentin qui sert, depuis 1960, de navire école à la Marine argentine, est l’un des voiliers les plus grands du monde. Il mesure 103,70 m de long, pèse 3 765 tonnes, et possède 27 voiles dont la surface de voilure totale atteint les 2 712,49 m2.
La frégate Libertad, en escale à Saint-Malo
La frégate argentine Libertad fera halte à Saint-Malo les 2 et 3 août.
Les mardi 2 et mercredi 3 août 2022, pour la première fois, la frégate argentine Libertad va faire escale dans le port de Saint-Malo, qui est l’une des 11 escales européennes et américaines du 50e Voyage d’Instruction que le navire a entrepris depuis fin avril.
Un trois-mâts navire école
Ce trois-mâts carré argentin qui sert depuis 1960 de navire-école à la Marine argentine est l’un des voiliers les plus grands du monde (103,70 m). Il possède 27 voiles et son plus haut mât mesure 52,88 m. Vous ne pourrez pas non plus passer à côté de sa figure de proue qui représente la République et a été taillée en chêne rouge par le sculpteur espagnol Carlos García González.
Le Libertad (ou ARA Libertad, Q-2) est un trois-mâts carré argentin à coque acier, qui sert de navire-école à la marine argentine. Depuis 1960, il remplace le ARA Presidente Sarmiento. Avec ces 103 m de long, il est l'un des plus grands voiliers du monde.
Le Libertad mesure plus de 103,7 m de long, pour une largeur de 14,31 m et un tirant-d'eau de 6,6 m1, il est l'un des plus grands voiliers du monde. Ces 27 voiles et 5 focs représentent une surface de voiles de 2 643 m3 portées par les trois mâts mesurant 43 à 49 m : 49,8 m (grand-mât), 48,66 m (mât de misaine), 43,17 m (mât d'artimon)2. L’importante voilure, la coque métallique et le design effilé, permet au ARA Libertad d’atteindre la vitesse de 13.8 nœuds sous voiles1, avec un record enregistré à 18.5 nœuds en 1966.
Au moteur (2 moteurs diesels Sulzer de 1200 chevaux chacun), la vitesse du navire est de 12 nœuds1, avec une vitesse maximale au moteur de 13.5 nœuds.
Le navire possède quatre canons de 47 mm (modèle 1891), transférés de l'ancien navire-école : la frégate ARA Presidente Sarmiento, qui sont utilisés comme batterie de salut.
Pour remplacer le ARA Presidente Sarmiento, le Libertard est construit aux docks nationaux argentin : A.F.N.E. Astilleros Navales à Rio Santiago (Argentine). Bien que sa quille soit posée en 1953, il n'est lancé que le 30 mai 1956 et mis en service le 28 mai 1960. Son voyage inaugural de six mois n'a lieu que trois ans plus tard. Il le conduit à San Juan (Bernudes), Lisbonne, Le Havre, Hambourg, Londres, Cadix et Dakar3. Durant son arrêt à Hambourg, 30 000 personnes le visiteront.
La frégate détient le record mondial de vitesse de la traversée transatlantique Nord à la voile entre le Canada et l'Irlande (île de Dursey) avec 6 jours 4 heures, en 1966.
Il a aussi gagné le Boston Teapot Trophy en 1966, 1976, 1981, 1987, 1992 et 1998.
Il a participé aux célébrations du bicentenaire des États-Unis du 4 juillet 1976 avec beaucoup d'autres grands gréements sur le fleuve Hudson à New York. En 1976, lors de "l'US Biecntennial Tall Ship Race" à New York, le Libertad entre en collision avec le navire espagnol Sebastian de Elcano
Au cours d'une visite officielle, le 2 octobre 2012, le voilier-école, a fait l'objet d'une saisie conservatoire. Il est retenu au port de Tema au Ghana à la suite d'une demande de NML Capital Limited, un fonds d'investissement basé aux îles Caïmans. Celui-ci exige le paiement de plus de 283 millions d'euros par l'Argentine pour des reliquats sa dette,. Fin octobre, quelque 280 marins sont évacués en avion et depuis 45 autres dont le capitaine et son second sont restés à bord. Fin novembre, l’Argentine a saisi le Tribunal international du droit de la mer (TIDM) et plaidé de l'immunité au titre de l'article 32 de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer (CNUDM) de 19825. Le 15 décembre 2012, le TIDM exige des autorités ghanéennes la libération immédiate de la frégate. Celle-ci quitte les eaux territoriales du Ghana le 20 décembre 2012 avec 142 marins, en direction de Mar del Plata sans escale prévue.
Le Libertad (ou ARA Libertad, Q-2) est un trois-mâts carré argentin qui sert de navire-école à la marine argentine, depuis 1960. Il remplaça le ARA Presidente Sarmiento. Avec ces 103 m de long, il est l'un des plus grands voiliers du monde.
La frégate Libertad attendue au port de Saint-Malo
La frégate Libertad, navire école de la Marine Argentine, sera visible au port de Saint-Malo le 2 et 3 août 2022.
À l’occasion de son 50e voyage d’instruction, la frégate Libertad fera escale à Saint-Malo mardi 2 et mercredi 3 août. C’est la première fois que ce trois-mâts, mis en service en 1960 en tant que navire école à la Marine argentine, fait une halte dans la cité corsaire. Son escale s’inscrit dans un tour d’Amérique et d’Europe qui mène la frégate dans onze ports : Fortaleza (Brésil), Castries (Sainte-Lucie), Saint-Domingue (République dominicaine), La Havane (Cuba), Veracruz (Mexique), Baltimore (États-Unis), Dublin (Irlande), Saint-Malo, Toulon, Cadix (Espagne) et Salvador de Bahia (Brésil).
Avec ces 103 m de long, c’est l‘un des plus grands voiliers du monde. Il a d’ailleurs quelques distinctions à son actif, dont un record mondial de vitesse de la traversée transatlantique Nord à la voile.
Le grand-voilier-école de la marine argentine, le Libertad, a fait escale à Toulon du 18 au 23 août. L’occasion de découvrir ce superbe trois-mâts carré qui effectue actuellement une campagne de formation de 7 mois vers l’Europe et les Amériques. Parti le 9 avril et devant retrouver Buenos Aires le 22 octobre, le Libertad, commandé par le capitaine de vaisseau Ignacio Errecaborde, est armé par 217 membres d’équipage et embarque 117 cadets, qui effectuent à bord leur premier grand déploiement, parsemé de 17 escales.
Lancé en 1956 et entré en service au sein de la flotte argentine en mai 1963, ce bâtiment de plus de 3700 tonnes en charge affiche une longueur hors-tout de 103.7 mètres, une largeur de 13.8 mètres et un tirant d’air de 52 mètres. Offrant 2700 m² de voilure, il a été motorisé en 2006 avec deux diesels de 1200 cv, lui permettant de naviguer à 10 nœuds. Participant comme de nombreux grands voiliers aux évènements majeurs réunissant les vieux gréements, le Libertad était à Brest au mois de juillet. Il est, également, venu à plusieurs reprises à Boulogne-sur-Mer (la dernière fois en 2007). Une ville dont le trait d’union avec l’Argentine est le général José de San Martin (1778 – 1850), considéré comme le libérateur du pays lors des guerres d’indépendance sud-américaines et qui a vécu ses dernières années dans la cité portuaire du Pas-de-Calais. Le sabre du « Libertador », comme l’appellent les Argentins, est d’ailleurs conservé à bord du Libertad, tout comme d’autres pièces historiques et des objets liés aux différentes escales que le voilier a réalisé depuis 60 ans.
la luz de mis horas de libertad
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Dedicada a todos aquellos que adoran a la plusvalía como becerro de oro del siglo pasado y del actual, a los que desconocían la expresión horas extraordinarias cuando les salía el trabajo por los ojos y no les cabía la avaricia en los bolsillos. A esos mismos, que sin tener pérdidas, despiden sin pudor y sin vergüenza a quienes en otro tiempo no tenían hora de entrada ni de salida.
A los bancos que lloran por el dinero del Estado, cuando es de sobra conocido el principio de todo sistema capitalista de que el mercado ha de regularse por sí mismo. Ese principio que funciona tan bien en época de vacas gordas y que todos denostan cuando ven que sus beneficios descienden.
En definitiva pues, esta foto se la dedico a esos ladrones y sinvergüenzas que nunca serán preguntados por sus acciones y que siguen paseando su mediocridad. Sin conciencia.
No creo que la vida sea justa, ni que ya les llegará la hora...
¡Guardianes adelante! Destruyan todo lo que este a su alcance. Bajo la llave del corazón, entre las perillas de la vida. ¡Allí, busquen y maten el secreto!
Ni la cárcel, ni la mente, ni el cielo, ni la tierra serán frontera de tu grandeza. Que el secreto de tu encierro sea el infinito de amor que esconden tus pechos.. ¡Libertad!
• Yo soy libre solamente en la medida en que reconozco la humanidad y respeto la libertad de todos los hombres que me rodean. •
Mijail Bakunin (1814-1876) Revolucionario ruso.
Que bueno lo que ha pasado con Ingrid Betancourt, y los demas rehenes liberados, ojalá hubiesen sido más y es que es tan asqueroso y aborrecible imaginar a niños con armas. Y el ver a ese pequeño que mostraron en la mañana por la tv, sin sus padres y con tanta pena, desgarra el corazón y lo peor es saber que hay más como él cautivos.
Quién les da el derecho a apropiarse de la vida de INOCENTES?
Quién les da el derecho de frustrar sueños ajenos?
.Que horrible que exista tanta maldad y estupidez.
Luego de nuestro
intercambio de soledades
y noches volátiles,
aceptemos de manera dulce
que el amor es igual de efímero
y no nos pertenece.
Amor, lo único que nos queda
es la LIBERTAD de no destruirnos.
Juana del Pilar.
La mayoría de las gaviotas no se molesta en aprender sino las normas de vuelo más elementales: como ir y volver entre playa y comida. Para la mayoría de las gaviotas, no es volar lo que importa, sino comer. Para esta gaviota, sin embargo, no era comer lo que le importaba, sino volar. Más que nada en el mundo, Juan Salvador Gaviota amaba volar.
Este modo de pensar, descubrió, no es la manera con que uno se hace popular entre los demás pájaros. Hasta sus padres se desilusionaron al ver a Juan pasarse días enteros, solo, haciendo cientos de planeos a baja altura, experimentando.
No comprendía por qué, por ejemplo, cuando volaba sobre el agua a alturas inferiores a la mitad de la envergadura de sus alas, podía quedarse en el aire más tiempo, con menos esfuerzo; y sus planeos no terminaban con el normal chapuzón al tocar sus patas en el mar, sino que dejaba tras de sí una estela plana y larga al rozar la superficie con sus patas plegadas en aerodinámico gesto contra su cuerpo. Pero fue al empezar sus aterrizajes de patas recogidas -que luego revisaba paso a paso sobre la playa- que sus padres se desanimaron aún más.
-¿Por qué, Juan, por qué? -preguntaba su madre-. ¿Por qué te resulta tan difícil ser como el resto de la Bandada, Juan? ¿Por qué no dejas los vuelos rasantes a los pelícanos y a los albatros? ¿Por qué no comes? ¡Hijo, ya no eres más que hueso y plumas!
-No me importa ser hueso y plumas, mamá. Sólo pretendo saber qué puedo hacer en el aire y qué no. Nada más. Sólo deseo saberlo.
-Mira, Juan -dijo su padre, con cierta ternura-. El invierno está cerca. Habrá pocos barcos, y los peces de superficie se habrán ido a las profundidades. Si quieres estudiar, estudia sobre la comida y cómo conseguirla. Esto de volar es muy bonito, pero no puedes comerte un planeo, ¿sabes? No olvides que la razón de volar es comer.
Juan asintió obedientemente. Durante los días sucesivos, intentó comportarse como las demás gaviotas; lo intentó de verdad, trinando y batiéndose con la Bandada cerca del muelle y los pesqueros, lanzándose sobre un pedazo de pan y algún pez. Pero no le dió resultado.
Es todo inútil, pensó, y deliberadamente dejó caer una anchoa duramente disputada a una vieja y hambrienta gaviota que le perseguía. Podría estar empleando todo este tiempo en aprender a volar. ¡Hay tanto que aprender!
No pasó mucho tiempo sin que Juan Salvador Gaviota saliera solo de nuevo hacia alta mar, hambriento, feliz, aprendiendo.
Juan Salvador Gaviota pasó el resto de sus días solo, pero voló mucho más allá de los Lejanos Acantilados. Su único pesar no era su soledad, sino que las otras gaviotas se negasen a creer en la gloria que les esperaba al volar; que se negasen a abrir sus ojos y a ver. Aprendía más cada día
Libertad!!!!
Poder gritar al viento mi libertad, poder agarrar el espacio con mis manos, inspirar el aire puro a mi alrededor, mientras el sol se pone a mis espaldas.
Dedicada a alonsodr.