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On voudrait absolument trouver un sens à la vie mais, s’il y a un sens, ce n’est pas au sens où nous entendons le mot sens. Il est tapi au sein de l’insensé. Le seul sens de la vie est dans sa finalité : vivre pour vivre, finalité dont on ne peut trouver le sens.

Connaissance, ignorance, mystère - Edgar Morin

La manipulation devenue technique, devient de plus en plus autonome par rapport à la science, de plus de plus de dépendante par rapport aux Appareils sociaux. Ainsi une véritable succion de finalité s’opère au profit de la manipulation. Or, et je voudrais que le lecteur commence à s’en douter, le paradigme de simplification ouvre la porte à toutes les manipulations. Je suis désormais persuadé que toute connaissance simplifiante, donc mutilée, est mutilante, et se traduit par une manipulation, répression, dévastation du réel dès qu’elle est transformée en action, et singulièrement en action politique. « La pensée simplifiante est devenue est devenue la barbarie de la science. C’est la barbarie de spécifique de notre civilisation. C’est la barbarie qui aujourd’hui s’allie à toutes les formes historiques et mythologiques de Barbarie. »

Disons dès maintenant qu’une science complexe n’aura jamais à se valider par le pouvoir de manipulation qu’elle procure, au contraire. Mais, si elle ne débouche pas sur des actions manipulatrice, elle débouche nécessairement sur de l’action. Or, en enrichissant et changeant le sens du mot connaître, la complexité nous appelle à enrichir et changer le sens du mot action, lequel en science comme en politique, et tragiquement quand il veut être libération, devient toujours de façon ultime manipulation et asservissement. Nous pouvons entrevoir qu’une science qui apporte des possibilités d’auto-connaissance, qui s’ouvre sur de la solidarité cosmique, qui ne désintègre pas le visage des êtres et des existants, qui reconnaît le mystère en toute choses, pourrait proposer un principe d’action qui, non pas ordonne mais organise, non pas manipule mais communique, non pas dirige mais anime.

Edgard Morin

La méthode 1 La nature de la nature

... il n'y a pas une finalité de la vie, il y a un complexe de finalités dans le simple terme vivre... la finalité de la vie ne peut s'exprimer que dans l'apparente tautologie vivre pour vivre... ce qui signifie que la finalité de la vie est immanente à elle-même, sans pouvoir se définir hors de la sphère de la vie. Elle signifie que vouloir-vivre et devoir-vivre comportent une finalité formidable, têtue, frénétique, mais sans fondement rationalisable; elle signifie en même temps que la finalité est insuffisante pour définir la vie. Accepter que la vie ne soit pas justifiée, c'est accepter vraiment la vie...

Le paradigme perdu - Edgar Morin

La vie une fois vécue, bouclée, accomplie, on se demandait : à quoi bon? Oui, à quoi rime cette petite promenade de Monsieur Untel dans le firmament du destin, ce stage de quelques décennies dans la vallée de la finitude? Ce séjour sans tête ni queue dans les pâturages de l'en-deça? Et pourquoi d'abord Monsieur Untel est-il né un jour plutôt que de rester éternellement inexistant? Et pourquoi, étant né, doit-il un autre jour cesser d'être sans qu'aucune explication ne lui soit fournie sur les raisons de cet absurde voyage circulaire? Quelle est donc la finalité de tout cela ?

La mort - Vladimir Jankélévitch

Il m'en reste un tiroir plein...

Un merveilleux rapace , et ce que j'aime en lui c'est qu'il est hyper spécialisé , comme.... les Grèbes !

Tout est fait dans leur physique pour une seule finalité : la capture de leurs proies ...

... vers la zone en dedans du dehors...un but, une finalité, un voyage...des réponses ou plus de questions...qui sait...

 

Mount Shrine - Winter Restlessness

L'eau est essentielle pour les oiseaux. D'abord pour s'hydrater, mais également pour se baigner.

 

La baignade permet à l'oiseau de préserver le parfait état de son plumage, dont le rôle est déterminant pour le vol et la thermorégulation. Même au cœur de l'hiver, les oiseaux ont besoin de se baigner, car si le plumage n'est pas parfaitement entretenu, il ne pourra plus assumer sa fonction de barrière thermique.

 

Les oiseaux aiment donc se baigner toute l'année. En se baignant, les oiseaux ne s'immergent pas complètement ; ceci pourrait détremper leurs plumes, ce qui les mettrait en danger face à un prédateur et au temps froid. Ils aspergent leur plumage en se secouant, en hérissant leurs plumes et en ébouriffant leurs ailes. En procédant ainsi, ils se mouillent superficiellement sans détremper complètement leur plumage. L'été un bain permet de les rafraîchir lorsqu'il fait très chaud. C'est pourquoi il est nécessaire d'installer une piscine pour oiseaux dans un refuge, s'il n'y a pas à proximité des sources d'eau naturelle que les oiseaux peuvent utiliser.

 

À l’instar d'autres oiseaux, les hirondelles et les martinets adorent se baigner sous la pluie ou même traverser les jets d'eau des dispositifs d'arrosage. Toutefois, ils éviteront de prolonger la séance, car la douche doit servir à humecter et non à détremper le plumage. Les fauvettes et quelques autres oiseaux se baignent en passant dans les feuillages mouillés.

 

Chez les oiseaux, la baignade est une activité hautement ritualisée. Le plumage est d'abord humecté, sans être détrempé. S'il est pris dans une averse, l'oiseau rentre la tête dans les épaules et se redresse sur ses pattes, de sorte que l'eau puisse s'évacuer rapidement. Ensuite, il s'ébouriffe avant de procéder à la toilette proprement dite. L'oiseau replie la queue sur le côté afin de pouvoir recueillir l'huile grasse sécrétée par la glande uropygienne qui se trouve sur le croupion. Il étale soigneusement ce liquide gras sur l'ensemble de ses plumes. La toilette de la tête est assurée par les pattes. Après la lubrification, l'oiseau se détend en lissant ses plumes. C'est le stade final du rituel. Il mordille les plumes, une à une, avant de les remettre en place. Ensuite, il s'étire et se repose quelques instants, fier du travail accompli. Les spécialistes ne sont pas d'accord sur la finalité de ces bains, car il ne semble pas qu'ils servent principalement à nettoyer le plumage. Il se peut que la sécrétion uropygienne se répande mieux sur des plumes mouillées. Des expériences ont montré que les plumes humides sont plus souples ; un bain faciliterait donc leur lissage.

... il n'y a pas une finalité de la vie, il y a un complexe de finalités dans le simple terme vivre... la finalité de la vie ne peut s'exprimer que dans l'apparente tautologie vivre pour vivre... ce qui signifie que la finalité de la vie est immanente à elle-même, sans pouvoir se définir hors de la sphère de la vie. Elle signifie que vouloir-vivre et devoir-vivre comportent une finalité formidable, têtue, frénétique, mais sans fondement rationalisable; elle signifie en même temps que la finalité est insuffisante pour définir la vie. Accepter que la vie ne soit pas justifiée, c'est accepter vraiment la vie...

Le paradigme perdu - Edgar Morin

... il n'y a pas une finalité de la vie, il y a un complexe de finalités dans le simple terme vivre... la finalité de la vie ne peut s'exprimer que dans l'apparente tautologie vivre pour vivre... ce qui signifie que la finalité de la vie est immanente à elle-même, sans pouvoir se définir hors de la sphère de la vie. Elle signifie que vouloir-vivre et devoir-vivre comportent une finalité formidable, têtue, frénétique, mais sans fondement rationalisable; elle signifie en même temps que la finalité est insuffisante pour définir la vie. Accepter que la vie ne soit pas justifiée, c'est accepter vraiment la vie .

Edgar Morin

Abbaye de Meymac.

Tous différents, ces yeux donnent une présence humaine à l’abbaye. Le bâtiment semble habité de géants qui regardent au dehors comme par des trous de serrure. Le spectateur n’est plus seulement celui qui regarde mais celui qui est observé.

La proposition de Lise Stoufflet, superpose les symboliques de l’œil ( questionnement, connaissance) et de la fenêtre ( ouverture, réceptivité) , pour mieux exprimer la finalité du projet de ce calendrier qui est de rendre visible à l’extérieur ce qui se tient habituellement à l’intérieur du bâtiment. En même temps, elle installe de manière spectaculaire le rapport que nous avons à l’œuvre d’art, qui se joue dans le regard. L’œuvre questionne autant qu’elle est questionnée. Elle nous regarde autant qu’elle est regardée. Ce que l’origine abbatiale du bât ne fait que souligner.

 

Lise Stoufflet est née en 1989. En 2014, elle sort diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-arts de Paris, où elle a passé 5 ans dans l’atelier du peintre Philippe Cognée.

 

Un grand merci pour vos favoris, commentaires et encouragements toujours très appréciés.

 

Many thanks for your much appreciated favorites and comments.

Être folâtre...

 

Chers hommes, ne jugez pas la folie,

La folie ouvre une fenêtre,

Sur un monde où l’art pénètre,

Au sein de l’âme avec euphorie.

 

Nul ne peut juger une approche,

Nul ne peut juger une création,

L’art repose sur une idéation,

Qui es-tu pour darder un reproche ?

 

La folie nourrit la réalité,

Dans son giron, je me sens traversé,

De cent feux aux chemins de traverse,

C’est ce monde-là, ma finalité.

 

Les êtres communs sont pathétiques,

Il faut voguer dans les sphères de l’esprit,

Même si souvent, tu es incompris,

Dans l’univers, il n’y a pas d’éthique.

 

Michaël Overberg

   

J’ai encore souvenance de ces navires,

Voilures chahutées par de fiers aquilons,

Éthers qui enjôlaient l’ivresse de ces sbires ;

Ces marins râblés, l’épiderme macaron.

– J’ai encore souvenance de ces navires…

 

Aux tempêtes injurieuses, les nefs subirent

Tant de véhémence – Tephillim tympanon

Qu’en finalité létale elles se fendirent

Et délivrèrent aux océans leurs cargaisons.

– Aux tempêtes injurieuses, les nefs subirent…

 

Les terribles aventures des longs gréements,

Aujourd’hui résonnent fort et comme un airain ;

Fabuleux voyages aux propos captivants

En mon esprit agité – un sang de mutin.

– Les terribles aventures des longs gréements…

 

Vois ! A l’horizon se profilent les chalands,

Vierges sacrifiées à de pénibles destins.

Aussi on devine dans les nuages blancs

Quelques équipages le mouchoir à la main.

– Lors, à l’horizon se profilent les chalands…

 

J’ai encore souvenance de ces navires :

Aux tempêtes injurieuses, les nefs subirent

Les terribles aventures des longs gréements ;

Vois ! A l’horizon se profilent les chalands.

 

Didier Sicchia,

Le travail est rarement une finalité en soi d'un point de vue métaphysique, il est vrai qu'il peut l'être dans la construction sociale, par rapport à autrui ou pour son épanouissement personnel relatif. L'ataraxie comprend un travail pour atteindre l'hédonisme, pour enrichir son immanence. Celui-ci n'est nullement un levier pour être admis dans une société malade par la

performance, la compétitivité est une valeur relative pour les tiers qui nivellent votre bonheur de vie par le bas. Le travail doit être un moyen, non une détermination du prolongement de soi.

Michaël Overberg

La vie une fois vécue, bouclée, accomplie, on se demandait : à quoi bon? Oui, à quoi rime cette petite promenade de Monsieur Untel dans le firmament du destin, ce stage de quelques décennies dans la vallée de la finitude? Ce séjour sans tête ni queue dans les pâturages de l'en-deça? Et pourquoi d'abord Monsieur Untel est-il né un jour plutôt que de rester éternellement inexistant? Et pourquoi, étant né, doit-il un autre jour cesser d'être sans qu'aucune explication ne lui soit fournie sur les raisons de cet absurde voyage circulaire? Quelle est donc la finalité de tout cela?

La mort - Vladimir Jankélévitch

Après avoir livré une rame chargée à la scierie de Swiss Krono AG à Menznau dans le canton de Lucerne. WRS récupères une rame vide en échange. Ces wagons ont pour finalité la zone de chargement de Delémont et Porrentruy dans le canton du Jura.

La Re 4/12 WRS est composée de la Re 420 502, 421 373 et 430 114 et passe les courbes de Sissach, au sud de Basel. Le train s'arrête à Basel GB pour un rebroussement puis continuera par la suite vers Delémont.

A noté que le train s'est arrêté à Rothrist GB pour récupérer le Tm232 ex-SOB et il a été placé en queue du train. Le locotracteur est nécessaire pour manœuvrer les wagons dans les zones dépourvues de caténaire.

 

Le pont de Coq se situe sur le parcours le plus direct entre Paris et la mer. La distance est de 33,90 lieues soit 158 km. En premier lieu à finalité militaire et politique (c'est le plus court chemin pour rallier l'Angleterre) , cette voie va ensuite prendre un usage commercial essentiel pour le pays de Bray. Elle devient l'une des routes des chasse-marée, permettant à la cour du roi et aux Parisiens d'avoir du poisson frais sur la table.

Ces itinéraires, empruntés par les mareyeurs, existent depuis le 13eme siècle. Ils utilisaient de robustes charrettes tirées par 4 ou 6 chevaux solides: les boulonnais.....

les fameux équipages parcouraient la route en 12 heures!

Ils pouvaient former, pendant les grandes saisons de pêche, de longues files d'attelages.

Le trajet part du port de Dieppe et traverse Neufchatel en Bray, Gaillefontaine, le pont de Coq, Gournay en Bray, Gisors, Pontoise jusqu'à la rue Poissonnière, au coeur de Paris!

 

The Pont de Coq is located on the most direct route between Paris and the sea. The distance is 33.90 leagues or 158 km. Firstly for military and political purposes (it is the shortest route to reach England), this route will then take on an essential commercial use for the country of Bray. It became one of the fishing routes, allowing the king's court and Parisians to have fresh fish on the table.

 

These routes, used by fishmongers, have existed since the 13th century. They used sturdy carts pulled by 4 or 6 strong horses: the Boulonnais.....

 

the famous crews covered the route in 12 hours!

 

During the main fishing seasons, they could form long lines of teams.

 

The route starts from the port of Dieppe and crosses Neufchatel en Bray, Gaillefontaine, the Pont de Coq, Gournay en Bray, Gisors, Pontoise to rue Poissonnière, in the heart of Paris!

  

Une d'échéance du corps et de l'esprit. Une vie qui n'en est plus une, des contraintes médicales plus ou moins lourdes mais qui de toutes façons ne servent plus à rien puisque cette leucémie aiguë est totalement incurable, à la finalité irréversible !

Alors des soins, une médecine de confort rien que pour survivre dans les pires conditions pour l'être humain que je suis ?

NON À UN ACHARNEMENT MÉDICAL DONT JE NE VEUX PAS !

Je l'ai décidé depuis longtemps.

En toute logique et dans ces conditions j'ai librement choisi d'y mettre fin de mon plein gré, au moment où je l'ai décidé, encadré par la médecine palliative et l'association EXIT dévouée à vous soutenir dans cette démarche de mettre un terme à ma vie. Tout cela est autorisé sans problèmes par la Suisse qui a été le premier pays au monde à autoriser la pratique du suicide médicalement assisté, acte totalement charitable en évitant les souffrances et dégradations.

Ce sera pour très bientôt (mardi) et ce sera un immense soulagement, tout en douceur. C'est moi qui l'ai décidé, la paix dans l'âme, le calme dans la tête et dans le cœur, je pars en toute sérénité.

Voilà vous ne me verrez plus. Ne pleurez pas, au contraire réjouissez-vous pour moi !

Croyez-moi, la vie est belle ! Continuez à rire et prenez soin de vous et de vos proches.

La fermeture définitive de toutes mes adresse courriels @ sera effective dimanche 8 décembre 14h00, vous ne pourrez plus m'atteindre.

 

23 juillet 2021

  

Quitter le taf à 15 h 30 et partir de Toulon (83) pour se rendre vers Vichy (03) 6 h plus tard était un des paris les plus risqués que nous avions pu prendre puisque la situation orageuse devait démarrer dans la soirée , en finalité il s'avérera être payant avec une des ambiances photographique comme ce coucher de soleil qui composera parfaitement avec ce cumulonimbus aux allures de Supercellule LP ( Low Precipitiation ),et ce depuis l'A89 qui nous mène vers Clermont-Ferrand (63) .

Je vous réserve une suite bien électrique ;)

 

L’EXPO URBAIN DE PANAME À PARIS.

2000 M2 D’ART URBAIN À L’HONNEUR

Pour sa première édition, Urbain de Paname met à l’honneur les œuvres de plus de 30 artistes, certains émergents, d’autres bien connus du grand public. Invader, Banksy, et Kaws y seront notamment exposés.Tous les artistes sont inspirés par la ville, sa faune, ses habitants, et ses paysages. L’exposition vise ainsi à créer des passerelles naturelles entre street art, art urbain, et art contemporain, afin de proposer un art accessible au plus grand nombre.

Laurent Perbos

Dans la pure tradition de l’assemblage, ses œuvres interrogent la manière dont les choses de l’ordinaire, une fois revisitées, se découvrent plus comme un récit que comme une image. Un monde dans lequel les choses ont subi une métamorphose tant formelle que philosophique créant des œuvres ambivalentes, aussi bien mentales que visuelles.

 

Laurent Perbos​

​Né en 1971 à Bordeaux, Laurent Perbos vit et travaille à Marseille.

Il est diplômé de l'École d'art de Bordeaux.

Depuis ses premières pièces, le plasticien ne déroge pas au traitement de la forme qui ne prévaut cependant pas sur le propos de ses sculptures. Certes, le travail de Laurent Perbos s’articule autour de la forme et de la matière. Ces deux composantes sont traitées l’une et l’autre comme une fin en soit, une finalité plastique. Une harmonie des proportions, un soucis des qualités plastiques intrinsèques aux matières qu’il utilise, le tout accentué par une charte de couleurs pop, acidulées, qui rappellent celles utilisées par l’industrie du jouet.

Les oeuvres de Laurent Perbos s’inscrivent dans la pure tradition de l’assemblage, largement utilisé par les nouveaux réalistes. C’est une démarche artistique « qui ne boude pas son plaisir », qui assume son coté esthétisant parce qu’elle ne se limite pas à cela. Quand bien même ses sculptures ne raconteraient rien d’autre, le plaisir esthétique serait déjà une expérience suffisante, car celui-ci est autant une expérience de l’art qu‘une expérience de soit même … Mais le recours à l’assemblage préconise l’utilisation d’objets existants pour rendre la réalité de leur temps. Ainsi, l’artiste opère un curieux mélange entre le réel, celui des objets du quotidien et le merveilleux, les références au mythe, à la fable. Laurent Perbos utilise l’objet comme un élément de composition de base, une sorte de vocabulaire plastique usité. Héritier du ready-made, il réutilise un objet manufacturé, (tuyaux d’arrosage, sandow, balle de tennis) et lui impose une nouvelle finalité. Ainsi ce n’est pas seulement la forme qui se retrouve au service d’autre chose, mais la place que l’objet occupait dans l’inconscient collectif populaire.

Souvent, les expositions des Laurent Perbos sont construites comme un conte initiatique. On évolue dans un monde imaginaire, dans lequel les objets prennent vie grâce au contre emploi que l’artiste leur inflige. Il utilise des images symboliques ou allégoriques comme l’arc en ciel, l’arbre, ou un personnage mythologique et leur invente une histoire. C’est cette histoire qui implique un sentiment et de fait opère une personnification du sujet. Laurent Perbos joue sur des idées, sur des représentations… Il utilise des procédés littéraires ou poétiques, comme l’oxymore, la métaphore et crée des images ambivalentes aussi bien mentales que visuelles. La chute des éléments en est l’un des exemples le plus poétique.

Le Chœur de la Cité épiscopale d’Albi

Sainte-Cécile d’Albi est la seule cathédrale de France à conserver intégralement son chœur. Dans les autres en effet le jubé a disparu, pour des motifs divers.

Cet ensemble exceptionnel comporte deux registres : un cadre architectural, la clôture, et un ensemble de statuaire très fourni, qui comptait à l’origine 280 statues, dont 150 restent aujourd’hui en place.

 

Les baies du tour de chœur présentent un réseau à l’allure de flammes. Par ailleurs, la façade externe du jubé expose tous les éléments fondamentaux du gothique tardif : arcs en accolade et contre-courbes qui suscitent un dynamisme architectural renforcé par des verticales bien marquées ; elle intègre également des arcs en plein cintre et des horizontales qui tempèrent l’élan vertical. Les voûtes en éventail, à clés pendantes, sur lesquelles repose la tribune, illustrent le très grand savoir-faire des ateliers engagés pour édifier le chœur.

 

Ils connaissaient la technique des couvrements complexes et les procédés de construction les plus évolués.

 

Dans l’ensemble du chœur, la qualité de la stéréotomie s’avère exceptionnelle. Aucune structure, dais, socle ou autre n’est un monolithe (une seule pierre). Toutes se composent de plusieurs éléments. L’assemblage de ces derniers, recouverts d’un décor complexe, a requis une grande précision dans leur façonnement, cela d’autant que les joints sont rarement visibles.

 

Ce raffinement met en exergue la virtuosité des tailleurs de pierre engagés par Louis d’Amboise. Leur grande maîtrise a, seule, permis la floraison des merveilles du flamboyant, surabondantes au chœur d’Albi, où l’ornement foisonne en une sorte de jubilation créatrice. La pierre, guillochée comme un objet d’orfèvrerie, ajourée et présentant des motifs détachés du fond qui les porte, se résout en filigranes et devient dentelle.

 

Les formes de l’architecture : arcs, pinacles, remplages, se démultiplient de manière étonnante. On a pu dire à cet égard que le dais de la chaire épiscopale constituait à lui seul un résumé de l’art flamboyant. À la féerie de la pierre se conjugue celle des ouvrages de bois et de fer qui sont magnifiques, façonnés par des huchiers (fabricants de meubles) et des ferronniers d’un talent remarquable.

 

La richesse de la clôture fait du chœur une châsse de pierre qui souligne l’importance essentielle du sacrifice eucharistique opéré dans le sanctuaire, et celle de l’office, prière d’adoration et de requête, chantée dans le chœur proprement dit.

 

L’intérieur, en particulier, offre un véritable éblouissement. Il frappe par son caractère précieux. Les dais qui dominent les stalles et les anges qui les encadrent composent une extraordinaire « forêt ».

 

La ciselure de la pierre blanche s’enlève sur des panneaux rouges et bleus et cet éclat chromatique se trouve encore renforcé par les motifs de grotesques dorés qui animent chacun de ceux-ci. L’ensemble de la clôture manifeste une profonde unité dont la finalité est sans doute d’exprimer l’harmonie du ciel et de l’ordre divin.

 

Tous les détails de la clôture s’avèrent signifiants. On y observe, notamment, l’expression de bien des données de l’arithmétique sacrée du Moyen Âge. Entre autres faits, la clôture comporte trente-trois panneaux, autant que d’années dans la vie terrestre du Christ, et la voûte de la chaire épiscopale compte sept roses et repose sur douze culots.

 

De même, les feuillages qui courent en maints endroits possèdent un sens profond. Le chêne renvoie à la Première Alliance, conclue par Dieu avec Abraham sous le chêne de Mambré. La vigne, quant à elle, symbolise la Nouvelle Alliance par le sacrifice eucharistique.

 

Tous ces détails ont donc fait l’objet d’une réflexion attentive. Le cycle de la statuaire présente une cohérence identique.

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>>> We're All Anonymous People. But Our Final Destination is the Very Same.

Cette imposante porte à deux pas de la cathédrale cache bien son passé. En effet, malgré son aspect un peu austère, le bâtiment fut reconnu Monument historique de la chimie par l’Académie suisse des sciences naturelles. La raison est qu'au XIXe siècle, c'est en ce lieu que Christian Schönbein, imminant chimiste allemand naturalisé suisse qui y découvrit l’effet de la pile à combustible à hydrogène ainsi que l’ozone, rien que ça (ainsi que d'autres découvertes également). Le bâtiment a depuis eu d'autres finalités et a fini par appartenir au département bâlois de la construction qui ont aussi annexé le prochain édifice.

 

Sources : Wiki sur le bâtiment (ALS) && Article de presse sur la reconnaissance du lieu (DE) && Wiki sur le chimiste (FR) && Site universitaire parlant du classement du lieu (DE) && Communiqué de presse sur le classement du bâtiment (FR) && Site du département de construction de la ville (DE)

3 / ...en parlant d'oiseau, j'avais oublié de vous montrer la finalité de mon "nid", en voici le détail.....

Le Chœur de la Cité épiscopale d’Albi

Sainte-Cécile d’Albi est la seule cathédrale de France à conserver intégralement son chœur. Dans les autres en effet le jubé a disparu, pour des motifs divers.

Cet ensemble exceptionnel comporte deux registres : un cadre architectural, la clôture, et un ensemble de statuaire très fourni, qui comptait à l’origine 280 statues, dont 150 restent aujourd’hui en place.

 

Les baies du tour de chœur présentent un réseau à l’allure de flammes. Par ailleurs, la façade externe du jubé expose tous les éléments fondamentaux du gothique tardif : arcs en accolade et contre-courbes qui suscitent un dynamisme architectural renforcé par des verticales bien marquées ; elle intègre également des arcs en plein cintre et des horizontales qui tempèrent l’élan vertical. Les voûtes en éventail, à clés pendantes, sur lesquelles repose la tribune, illustrent le très grand savoir-faire des ateliers engagés pour édifier le chœur.

 

Ils connaissaient la technique des couvrements complexes et les procédés de construction les plus évolués.

 

Dans l’ensemble du chœur, la qualité de la stéréotomie s’avère exceptionnelle. Aucune structure, dais, socle ou autre n’est un monolithe (une seule pierre). Toutes se composent de plusieurs éléments. L’assemblage de ces derniers, recouverts d’un décor complexe, a requis une grande précision dans leur façonnement, cela d’autant que les joints sont rarement visibles.

 

Ce raffinement met en exergue la virtuosité des tailleurs de pierre engagés par Louis d’Amboise. Leur grande maîtrise a, seule, permis la floraison des merveilles du flamboyant, surabondantes au chœur d’Albi, où l’ornement foisonne en une sorte de jubilation créatrice. La pierre, guillochée comme un objet d’orfèvrerie, ajourée et présentant des motifs détachés du fond qui les porte, se résout en filigranes et devient dentelle.

 

Les formes de l’architecture : arcs, pinacles, remplages, se démultiplient de manière étonnante. On a pu dire à cet égard que le dais de la chaire épiscopale constituait à lui seul un résumé de l’art flamboyant. À la féerie de la pierre se conjugue celle des ouvrages de bois et de fer qui sont magnifiques, façonnés par des huchiers (fabricants de meubles) et des ferronniers d’un talent remarquable.

 

La richesse de la clôture fait du chœur une châsse de pierre qui souligne l’importance essentielle du sacrifice eucharistique opéré dans le sanctuaire, et celle de l’office, prière d’adoration et de requête, chantée dans le chœur proprement dit.

 

L’intérieur, en particulier, offre un véritable éblouissement. Il frappe par son caractère précieux. Les dais qui dominent les stalles et les anges qui les encadrent composent une extraordinaire « forêt ».

 

La ciselure de la pierre blanche s’enlève sur des panneaux rouges et bleus et cet éclat chromatique se trouve encore renforcé par les motifs de grotesques dorés qui animent chacun de ceux-ci. L’ensemble de la clôture manifeste une profonde unité dont la finalité est sans doute d’exprimer l’harmonie du ciel et de l’ordre divin.

 

Tous les détails de la clôture s’avèrent signifiants. On y observe, notamment, l’expression de bien des données de l’arithmétique sacrée du Moyen Âge. Entre autres faits, la clôture comporte trente-trois panneaux, autant que d’années dans la vie terrestre du Christ, et la voûte de la chaire épiscopale compte sept roses et repose sur douze culots.

 

De même, les feuillages qui courent en maints endroits possèdent un sens profond. Le chêne renvoie à la Première Alliance, conclue par Dieu avec Abraham sous le chêne de Mambré. La vigne, quant à elle, symbolise la Nouvelle Alliance par le sacrifice eucharistique.

 

Tous ces détails ont donc fait l’objet d’une réflexion attentive. Le cycle de la statuaire présente une cohérence identique.

No Visa, Docteur Bergman

Dans l’espace de l’église Saint-Merry, une dizaine d’emplacements ont été définis pour mettre en valeur les œuvres. Le défi est de savoir comment des artistes fondamentalement libres peuvent se mesurer à un lieu qui reçoit un large public sans être un espace public et doit être respecté dans ses finalités, église dont le site Internet s’intitule « l’Évangile dans la ville » et qui, tous les après-midi, ouvre ses portes monumentales sur la rue Saint-Martin, a tenter de développer un dialogue avec cet art urbain.

saintmerry.org/street-art-a-saint-merry-13-18-juin-2016/

Agen,

boulevard Dumon,

gare SNCF.

 

Voilà la finalité de millions d'euros dépensés en cabinets conseils, en propagande politique, en cabinets d'architectes, en infrastructures cyclables et en matériel de vidéosurveillance.

 

La finalité du plan vélo ministériel est réduit à néant car les courageux qui font l'effort de se déplacer à vélo se le font voler.

Et en plus, comme ici, sous le regard de caméras de surveillance municipales!

 

"La France est championne du vol de vélos avec plus de 300.000 vélos volés par an." (sic)

 

Cocorico!

 

Mais que font nos ministres ainisi que nos élus locaux et leurs complices qui nous coûtent si cher?

 

reassurez-moi.fr/guide/communication/etude-la-france-est-...

 

Après un demi siècle d'exploitation sur le réseau ferré français, une autre série de machines est sur le point de quitter la scène ferroviaire française.

 

D'abord affectées dans l'Est, puis en Normandie et le Nord pour la finalité de leurs carrières.

 

À ce jour, les les BB 15000 ont assurées leurs derniers services sur les TER Hauts de France.. mais elles devraient assurer des trains en cas d'avaries du matériel roulant moderne jusqu'à la fin de l'année avant de définitivement disparaitre.

 

Ici la BB 15040R avec ses stickers d'hommage à la série est en tête d'une V2N en gare de Amiens. La rame repartira pour le technicentre quelques minutes plus tard après le passage de plusieurs TER.

 

Le 27/10/2025.

En parallèle des essais de formation des ADC sur la ligne N, (avec normalement une mise en service commercial le 14 décembre entre Paris Montparnasse et Sèvres Rive Gauche, dans un premier temps), des essais, réalisés par l'AEF, au niveau du pantographe ont lieu avec la Z 57131/32. Cette dernière est équipée d'appareils de mesure (capteurs, caméras, etc) au niveau de la toiture. Ces essais ont eu lieu aujourd'hui entre Trappes et Rambouillet, avec deux allers-retours. Je n'en sais pas plus, sur la finalité de ces essais. On peut voir la rame, à l'approche du Perray et à la sortie des Essarts le Roi. 24 novembre 2020. (Photos faites dans le cadre de mes déplacements professionnels)

   

Domaine viticole d’Ardhuy à Corgoloin

 

Exploitation familiale transmise de père en filles, le Domaine d’Ardhuy est situé à la frontière entre la Côte de Beaune et la Côte de Nuits, autour de son vignoble emblématique « Le Clos des Langres ».

Le Domaine d’Ardhuy est guidé par une ligne directrice forte : produire de beaux raisins et de beaux vins, représentatifs de leur terroir. Cette finalité n’est atteinte que grâce à l’addition de plusieurs savoir-faire : le travail méticuleux et exigeant de la vigne, rythmé par les saisons, le respect de nos terroirs, l’attention portée lors de la vendange, la précision et la diversité des vinifications, la délicatesse des élevages en fûts, la maîtrise de la mise en bouteille. Le tout afin de garantir des vins de qualité et la promesse d’un authentique voyage gustatif.

Le Domaine d’Ardhuy a obtenu la certification en Agriculture Biologique et Biodynamique à partir du millésime 2012 pour l’ensemble de son vignoble. En février 2018, suite à des millésimes difficiles, il a été décidé de faire une pause de la certification afin d’engager un travail de fond sur nos pratiques culturales, toujours dans le respect du terroir et de l’environnement. L’objectif du domaine est celui d’un retour progressif à la certification AB dans un premier temps, à partir de 2024. Ils se sont engagés dans la certification environnementale à partir du millésime 2019, pour lequel ils sont certifiés Haute Valeur Environnementale Niveau 3.

 

exposition à la Galerie Itinerance, du 29 janvier (vernissage ce meme jour à partir de 18h,) et ce jusqu’au 28 février

Adresse: Galerie Itinerrance 7bis, rue René Goscinny 75013 PARIS

blackcat92.free.fr/

 

vitostreet.ekosystem.org/2009/01/seize-aka-happywallmaker...

   

SEIZE, Artiste urbain, nous fait l’honneur d’investir les murs de la

Galerie ITINERRANCE pour nous entraîner dans le monde infini des réseaux

qui s’entremêlent, se croisent pour configurer des espaces obéissant aux

logiques à la fois subtiles et opiniâtres de celui qui se crée son chemin

Réminiscence d’un ancien conducteur de métro, qu’il fût pendant 10 ans,

l’artiste qu’il est devenu, dans une volonté de tracer des itinéraires

ayant chacun sa finalité propre, mais en même temps, à partir de cette

logique formelle rappelant les plans de métro, il tente d’insérer des

parcours dont les circuits n’obéissent qu’à la mise en œuvre d’un monde

de couleurs qui cherchent à se rencontrer, se croiser, se toiser, se

juxtaposer que pour mieux s’écarter ou se superposer.

L’effet de réseau réapparaît, plus fluide, plus sensible dessinant des

complexités que l’artiste multiplie en glissant de façon sous jacente,

les figures diaphanes de l’artiste YZ. Cette dernière, autre

plasticienne de la rue, convoque elle aussi suivant des parcours qu’elle

initie à travers les grandes capitales, les visages suffisamment

imprécis des populations citadines, que pour mieux signifier les

rencontres impromptues que réserve l’espace urbain.

YZ investit cet espace de figures plurielles, suggérant des visages de

tous les continents, rencontrés dans toutes les grandes métropoles. Ses

figures en noir et blanc jalonnent des circuits dont l’artiste s’invente

les raisons d’être…pour Paris ils retracent le pourtour de la capitale.

Ces circuits sont aussi les périples de tout un chacun, badauds des

villes, flâneurs des pavés et des bitumes… poétique urbaine des réseaux,

sur laquelle nos artistes se rencontrent entre itinéraire et errance

dans ce lieu privilégié qu’offre ITINERRANCE, où se tissent et se

tracent les logiques en mouvement de la vie et de l’espoir, à travers

les créations plastiques non conventionnelles de l’urbanité vécue et

recréée.

 

hotel dieu clermont-ferrand puy de dôme septembre 2016 journée du patrimoine.

Clermont-Ferrand — Le CHU va vendre l'Hôtel-Dieu a des promoteurs privés. La Ville achètera elle une partie pour construire la bibliothèque communautaire. Explications et interviews.

La saga de la vente de l’Hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand a-t-elle connu son épilogue la semaine dernière avec l’annonce d’un accord tripartite entre le CHU, la Ville et les acquéreurs ? C’est ce que pensaient et espéraient Olivier Bianchi et les directeurs du CHU et de l’Agence Régionale de Santé Auvergne.

 

Olivier Bianchi heureux de sortir de ce dossier par le haut

Le maire arrive à éclaircir un dossier merdeux laissé par son prédécesseur et Dominique Adenot qui n’avaient pas souhaité préempter le terrain et qui même ne pensaient pas que quelqu’un d’autre que la Ville pouvait se porter acquéreur. Après avoir proposé 20 millions ils avaient surtout fait voté la modification du Plan d’Occupation des Sols (POS) quand le CHU avait signé un compromis avec les acquéreurs prévis. Une tentative de faire échouer le projet pas vraiment du goût de la cour administrative d’appel de Lyon.

 

Saisie par le CHU et les investisseurs privés après une décision favorable à la mairie du tribunal administratif de Clermont le 10 janvier 2014, le tribunal lyonnais a annulé la décision du tribunal clermontois et la modification du POS jugeant qu’elle « n’a eu d’autre finalité que de faire échec à la transaction immobilière conclue entre le centre hospitalier universitaire et la SCI Hôtel-Dieu, dont l’obtention d’un permis d’aménager un ensemble immobilier d’une surface de plancher équivalente à 69.000 m2 constituait l’une des conditions suspensives. »

 

Olivier Bianchi n’avait d’ailleurs pas attendu cette décision pour discuter avec toutes les parties et envisager une solution et déboucher sur ce qu’il a qualifié d’un « moment historique pour sortir de ce dossier par le haut. » Par ce choix il estime avoir « oeuvré pour le bien public et surtout ne « pas avoir dépensé inconsidérément l’argent des clermontois. »

 

www.cyberbougnat.net/actus/hotel-dieu-clermont-ferrand-ve...

 

 

VOIGTLANDER "BERGHEIL" + Héliar 15cm F:4,5 + filtrage spécifique "home made"

EKTAPAN100 périmées de 1996 exposition et traitement adaptés sur la base de kodak HC-110

 

Pas de recettes exotiques de forums dits "argentiques " à la concon, pas de posemètre, pas de pré-mouillage, pas de bain d'arrêt, pas d'agent mouillant, pas d'agitation à la "concon" , pas se la péter surtout, et juste, ne pas parler de ce que l'on connaît pas ... LOL :o))) ET TOC !!!!!

 

*Même si on admet à juste titre que la finalité d'un format donné n'est pas d'en n'utiliser qu'une partie .....

*Je suis tenté de dire tout dépend du format .... entre un 5x7' recadré et un 6x17, si on utilise la même optique, où se trouve la différence ????

Avec le très gros avantage du grand format, bascule et décentrement, et possibilité de recadrage presque infinies ....

Le seul appareil vraiment différent est un modèle avec tourelle tournante qui lui, et lui seul, par conception, pourra donner des images vraiment différentes !!

 

Partant des constatations suivantes :

 

-Plan film de très bonne qualité, certes périmés de 21 ans .... et alors ?

-Optique excellente, certes non traitée couleur .... est-ce grave docteur ?

-Surface du format, juste 12,5 fois supérieure à celle d'un très ridicule petit format, même affublé d'un point rouge ....

-Exposition, filtrage et traitement plutôt corrects ...

 

Je me dis que "perdre" 1/3 ou 1/4 de mon format n'est pas vraiment catastrophique LOL Preuve en image : il en reste !!

 

Mathématiquement, même si on admet une surface de film juste que 6 fois supérieure à celle d'un petit format .... trouver une optique 6 fois supérieure à un héliar même non traité me paraît un peu difficile ....

Après il est évident que le grand format n'est pas l'outil idéal pour voler des photographies des petites filles des autres, à l'ombre et à F:2,8 .....

 

J'ai choisi de passer une excellente journée avec mon "BERGHEIL" , je n'ai pas souvent utilisé le dépoli, ni la loupe, ni de posemètre, mais le plus important est-il d'en faire, d'y prendre du plaisir et de partager ou bien de polémiquer sur un forum qui fait juste de la fumée -( vieillards séniles, dépressifs, décérébrés, pervers etc ...) Personnellement j'ai choisi mon camp !! Hahahaha !

Je suis forcément totalement mort de rire !!

Que peuvent bien faire des amateurs compétents dans un endroit aussi puant ???

 

A bientôt sur flickr pour partager, apprendre, transmettre :o))

 

Quand on commence à créer, on ne sait jamais la finalité que cela va prendre, on se laisse porter, c'est excitant. J'aime savoir que cette créativité qui nous court après, ou après laquelle on court, est si volatile, qu'on doit toujours se demander si on va l'attraper.

Les oracles est une création belgo-québécoise composée de deux parties distinctes et complémentaires, Percées et Prototype n° 1.

 

Dans ce dyptique, chacun des volets traite du rôle et de la place de la femme dans la société actuelle selon un point de vue particulier, singulier, et dans une forme propre à chacun des duos.

 

Si le point de départ est un duo écrivaine/chorégraphe, la finalité est véritablement collective et interdisciplinaire puisqu’elle convie non seulement la danse et la littérature, mais aussi les arts sonores et la vidéo.

  

_Chapitre I: Percées

 

Auteure et interprète • Catrine Godin

 

Chorégraphe • Karine Ledoyen

 

Interprètes (vidéo) • Fabien Piché et Ariane Voineau

  

Percées, c’est d’abord une parole troublée — voire torturée par moments — mais aimante.

 

Une parole qui fut physiquement tavaillée, dans le corps de la poète par la chorégraphe Karine Ledoyen.

 

De tous ces mouvements — contraintes, tensions, relâchements —, de toute cette physicalité, ne restent que les traces dans la voix.

 

Retriturés, rebrassés, remixés ensemble et transposés en d’autres langages que sont les images du vidéaste Thomas Israël et les musiques de l’artiste sonore Philippe Franck, les mots dansés s’incarnent avec force et aplomb, portés par la présence physique de l’auteure qui habite la scène, et de la percutante rencontre entre la poète et la chorégraphe.

  

_Chapitre II: Prototype n° 1

 

Auteure • Martine Delvaux

 

Chorégraphe • Manon Oligny

 

Interprète et co-chorégraphe • Marilyn Daoust

  

Dans Prototype n° 1, le duo formé initialement de Martine Delvaux et Manon Oligny (appuyée par Marilyn Daoust), croise le prototype et l’archétype en explorant de quelle manière l’imaginaire collectif — surtout masculin — produit des « filles en série ».

 

Ce second volet aborde la question du rapport à l’autre (qu’il soit masculin ou féminin) dans le contexte de cette fabrication: quel regard poser sur le prototype d’une fille usinée?

 

Comment la représenter et, surtout, de quelle manière représenter la vision d’elle-même se concevant comme modèle en train d’être fabriqué?

  

┌ Équipe de création ┐

 

Direction artistique et mise ensemble • Simon Dumas

 

Création sonore • Philippe Franck

 

Création video • Thomas Israël

 

Danse • Marilyn Daoust

 

Production et coordination de la diffusion • Yves Doyon

En préambule de la présentation de ce bâtiment de culte, il faut remettre du contexte du début du XXe siècle. Les juifs furent exclus, tolérés, bannis, cloisonnés et finalement libres comme tout citoyen de l'empire austro-hongrois sous le règne de Joseph II rejoignant les idéaux des Lumières. De ce fait, le ghetto changea de nom en cette fin du XVIIIe siècle pour Josefov. Les riches purent de ce fait quitter ce quartier médiéval exiguë pour se trouver un endroit à la hauteur de leur moyen. Pour les autres, l'habitation ne changea peu jusqu'autour des années 1880 ou comme dans d'autres grandes villes d'Europe on a souhaité retravailler les vieux quartiers réputés comme sales, pouilleux et dangereux (Paris, Strasbourg, Vienne pour ne citer qu'eux) : c'est l'Assainissement.

 

Par contre autant à Strasbourg, le but fut surtout de faire de grande axes larges dans le centre en esquivant ce qui avait trop de valeur, autant ici, ça a vraiment été une boucherie patrimoniale. Presque rien ne survit dans cette ancienne ville indépendante juive. La population de ce petit district (V) baissa de 2/3 et de grands immeubles à l'allure haussmannienne sortirent de terre. Bien plus en accord avec les envies du gotha d'une capitale européenne.

 

Voilà pour le contexte.

 

Seulement 6 synagogues survirèrent à ce nettoyage systémique et notre bâtiment ici présent est exactement à la même place qu'un ancien édifice de même finalité.

 

Il fut construit de 1906 à 1908 dans un style néo-roman permettant d'insuffler un aspect ancien. Mais comme dit en introduction, la population baissa tellement et le quartier devenant un quartier comme un autre, le bâtiment fut rapidement d'une utilité très relative. C'est en 1914 que fut décidé de ne plus l'utiliser par la confrérie funéraire et puis 12 ans plus tard il fut rattaché (via location) au musée juif voisin et servit à cela depuis. Depuis les années 90, le mémoire des cérémonies (funéraires) fut de nouveau au cœur du bâtiment mais d'un point de vue muséal.

 

Sources : Wikipédia quartier juif (Multi) && Agence de tourisme francophone praguoise (FR) && Wikipédia salle de cérémonie (Multi) && Office du tourisme (CZ)

Enserrée dans le creux de son vallon, l'Abbaye Notre-Dame de Sénanque demeure comme un des plus purs témoins de l'architecture cistercienne primitive. Elle est toujours habitée par une communauté de moines cisterciens.

 

Depuis plus de 850 ans, l'Abbaye Notre-Dame de Sénanque témoigne de la Présence de Dieu dans notre monde.

 

Plus précisément, c'est le témoignage d'hommes rassemblés par l'appel du Christ pour le suivre de plus près, qui donne sens à cet édifice religieux. Le lieu d'implantation d'un monastère, son architecture, son style rappellent à tous les visiteurs la finalité d'un tel ensemble de bâtiments : "être une école du service du Seigneur". Saint Benoît a écrit une Règle (VI° siècle), sous laquelle nous militons, qui veut être une modalité d'application de l'Évangile.

 

Au XI° siècle, les saints Robert, Albéric et Etienne, nos Pères Fondateurs ont voulu revenir à la Règle bénédictine dans un désir d'une vie monastique plus exigeante et authentique. Notre vie cistercienne repose sur trois piliers : l'Office liturgique, la Lectio Divina, le travail. La célébration liturgique, qui est un culte public rendu à Dieu, est l'élément qui structure notre existence.

 

Sept fois par jour la communauté se rassemble à l'église pour prier. Ce rythme de prière, la liturgie des Heures, a pour but de sanctifier la journée. Elle est le lieu privilégié de rencontre du moine (et de la communauté) avec le Créateur et le Sauveur.

 

La Lectio Divina (lecture de la Bible) est le temps consacré par le moine à cette connaissance de la Parole de Dieu. Lecture savourée, amoureuse, de l'Écriture Sainte qui va pénétrer le cœur du lecteur pour le convertir. La Tradition monastique voit comme quatre étapes à cette rencontre avec Dieu dans la solitude et le silence : lecture, méditation, prière, contemplation. Le travail fait partie intégrante de notre vie monastique. Il a pour terme non seulement l'acquisition du pain quotidien pour la communauté, "ils sont vraiment moines s'ils vivent du travail de leurs mains" nous dit Saint Benoît, mais avant tout la glorification de Dieu par l'activité humaine.

 

Le travail est un service fraternel en vue du bien commun et de l'épanouissement de chaque frère.

 

Cette vie communautaire et fraternelle est vécue dans l'obéissance à l'Abbé qui est le Père du monastère tant sur le plan spirituel que temporel. Il tient la place du Christ au sein de la communauté. La vie monastique est la réponse à un appel. Appel de Dieu à la sainteté comme pour tous les baptisés. Chemin de transfiguration. C'est une réponse à l'Amour de miséricorde donné par Jésus, Dieu fait homme, dans la Présence de l'Esprit-Saint à la gloire du Père.

L'abbaye Sainte-Marie de Souillac est une ancienne abbaye bénédictine située à Souillac dans le département du Lot.

 

Lorsque les bénédictins s'installent dans la plaine de Souillès - ainsi nommée d'un mot local « souilh » signifiant lieu boueux et marécageux -, ils remplacent une communauté fondée, d'après la tradition, par saint-Éloi. Les moines assèchent sans relâche et transforment le marécage en un riche domaine. Plusieurs fois ruinée et saccagée pendant la guerre de Cent Ans, l'abbaye se relève grâce à la ténacité des abbés, mais les guerres de Religion lui causent des dommages encore plus grands. Reconstruite au XVe siècle, et rattachée alors à la Congrégation de Saint-Maur, l'abbaye cesse d'exister à la Révolution, ses bâtiments étant transformés en magasin des tabacs.

 

L'église abbatiale Sainte-Marie est devenue l'église paroissiale de Souillac, en lieu et place de l'église Saint-Martin, détruite lors des guerres de religion.

 

Architecture

L'église remonte au xiie siècle et s'apparente aux édifices de style byzantin tels que Périgueux avec la cathédrale Saint-Front et Cahors avec la cathédrale Saint-Étienne en connaissent, mais elle est plus évoluée dans ses formes, plus légère dans son élévation. De l'extérieur on admire un ravissant chevet aux absidioles pentagonales, et une étonnante tour. Le transept est particulièrement important, tandis que le chœur, polygonal, s'ouvre sur plusieurs chapelles.

 

À l'intérieur, des reliefs proviennent du projet avorté d'un grand porche occidental qui aurait dû ressembler à celui de Moissac et qui ne fut jamais réalisé. Ils présentent sur trois registres la légende de Théophile, qui vendit son âme au diable et la préparation au sacrifice d'Isaac. À droite (en regardant le portail), on observe le très curieux « pilier de Souillac », enchevêtrement impressionnant de monstres, à la finalité indéfinie faute de documents. Du même côté, on remarque la prodigieuse figure du prophète Isaïe, chef-d’œuvre de l’ensemble, et qui devrait être considérée comme une œuvre marquante de la sculpture mondiale.

 

Mobilier

L'église conserve des objets d'art de différentes époques et provenances. Il faut particulièrement noter sur la paroi nord, un tableau d'Eustache Le Sueur, un curieux et remarquable polyptyque de tradition médiévale datable au plus tôt de la première moitié du XVIIe s. et surtout une œuvre majeure de Théodore Chassériau, Le Christ au Jardin des Oliviers (1844). Un éclairage et une mise en valeur de ce tableau de grande qualité sont prévus dans un délai rapide.

 

L'abbatiale possède aussi les restes d'un retable baroque, consistant en un tableau en bas-relief représentant Dieu le père bénissant, conservé dans l'antichambre de l'orgue. Probablement placé dans le registre supérieur d'un retable et surplombant la grande Crucifixion exposée dans la nef, ce bas-relief en bois doré et polychrome est apparenté stylistiquement aux œuvres de la famille Tournié de Gourdon.

 

De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy

Pas d'effort, vraiment!

 

Robinia pseudoacacia et ses féroces épines qui trouent les pneus des vélos et dont les branches obligent les cyclistes et les piétons à se déporter, rendant les croisements dangereux.

 

Toujours le même mépris pour les cyclistes et pour les piétons!

 

On se demande vraiment à quoi ça sert de dépenser de l'argent public pour construire des voies cyclables s'il elles ne doivent pas être entretenues par la suite!

Ce n'est en finalité qu'un gaspillage d'argent public qui n'aura seulement servi qu'au président-maire pour se faire mousser en période pré-électorale!

 

L'agglomération d'Agen est gérée depuis des décennies par des inconséquents que l'on peut penser adeptes du courant de pensée je-m'en-foutiste.

 

Mais où va l'argent des contribuables?

Rue de Nazareth. Amen

 

Plaque sur un bel immeuble aux environs des Halles, Paris

 

L'avenir du Prolétariat était une espèce de société immobilière mutualiste dont les revenus locatifs servaient à financer la retraite de ses adhérents cotisants. Lors de son rachat - ou plutôt de sa disparition - en 1995, L'Avenir du prolétariat détenait une trentaine d'immeubles situés dans les arrondissements les plus huppés de la capitale, avec en prime quelques pied-à-terre spacieux à Lyon et Toulouse. Ce parc immobilier est passé sous le contrôle de la famille Catteau (et non Catho... pas de lien a priori avec la rue de Nazareth) fin 1994 pour environ 6.000 francs par mètre carré (soit bien moins de 1000 euros le m2) .

L'histoire de l'Avenir du Prolétariat remonte à 1893. Un receveur des Postes, Ferdinand Boire, créa un organisme, « L’Avenir du prolétariat » qui collectait des cotisations auprès des ouvriers, et investissait cet argent dans des "immeubles de rapport". Investissement locatif immobilier, donc. Au bout d’une période qui pouvait aller de quinze ans minimum à cinquante ans, les déposants, s'ils étaient encore en vie, et s'ils avaient pu payer toutes les mensualités sans interruption percevaient une retraite. Le système devait générer assez de bénéfices pour qu’on puisse financer une rente, mais il n’avait pas pour finalité le profit du capital comme dans une entreprise classique. Voir ce vieil article de Libération écrit lors du rachat de l'Avenir du Prolétariat" en novembre 1995 par une (très) riche famille: <a www.liberation.fr/futurs/1995/11/28/la-famille-catteau-se...

Façade à pans de bois, apparemment une interprétation moderne de cette technique de construction ancienne mais je ne pourrai dire de quand date cette réalisation "pour le moins originale"... ni même s'il s'agit d'une extension, pas sûr qu'elle soit récente non plus ; peut-être s'agit-il d'ailleurs d'une réhabilitation ou reconstruction dont l'aspect esthétique me paraît en tout cas plutôt hasardeux même si en finalité elle s'intègre pas si mal dans le paysage de la vieille ville...

 

Collection #Thiers

 

Thiers, ville haute, centre médiéval

Canon set/7 num. /35mm

unpublished - summer 2019

 

www.stephaneblin.com/archi-thiers/

Médaille d'or aux précédentes élections présidentielles, Môssieur Macron s'est comme il se doit fait intrôniser Grand Maître de l’ordre national de la Légion d’honneur. (on est jamais mieux servi que par soi même)

Un véritable champion!

 

A ce titre j'aurais aimé lui poser quelques questions au delà des doléances habituelles d'un petit français plutôt déçu par ce qu'il voit dans la rue et qui est la finalité de toute politique me semble-t-il.

 

Môssieur le Président,

pourquoi une entreprise américaine, Microsoft, fournit le système informatique de l'armée française et paie des impôts réduits en Irlande?

Pourquoi l'entreprise américaine qui vous conseille coûte si cher et paie ses impôts aux États-Unis? (à ce propos si vous êtes réélu, gardez bien en tête que je peux vous conseiller pour la moitié du prix, 500 millions d'euros, tout en payant mes impôts en France).

Pourquoi choisissez-vous des porte-paroles du gouvernement aussi médiocres?

Pourquoi tolère-t-on que le Parlement Européen soit la risée du monde entier à cause de son l'incroyable niveau de corruption tout en étant moralisateur?

Pourquoi le pays du tour de France, notre pays, propose-t-il un réseau cyclable aussi peu qualitatif et aussi peu développé?

Pourquoi 20 ans après l'explosion de usine AZF de Toulouse, il y a encore des usines classées Seveso niveau haut au milieu des zones d'habitations comme à Agen?

Pourquoi tolère-t-on que les multinationales saignent à blanc les producteurs et les consommateurs de bétail, de fromage, de fruits et légumes?

Pourquoi le niveau de corruption est-il encore aussi élevé en France? (estimé à 120 milliards d'euros par an!)

Pourquoi tolère-t-on que le travail des agents municipaux pour améliorer le paysage urbain et rural soit réduit à néant par des vandales?

Pourquoi tolère-t-on la persistance de ces patrons maffieux du BTP et du secteur bancaire entre autres?

A ce propos, Môssieur le Président, a-t-on retrouvé les treize MILLIARDS d'euros qui ont disparus dans le béton armé du chantier du Grand Paris?

 

Et tant d'autre questions qui restent sans réponses claires faites en toute transparence!

 

C'est dommage quand même, nous avons un beau pays à l'intérêt touristique indéniable qui tombe en ruine.

Il serait peut-être temps d'arrêter de vendre du rêve et de faire des actions concrètes pour que les choses changent, non?

  

youtu.be/iZVaK8R0tmM

 

youtu.be/6Ohjyeb8q-A?t=2807

 

www.youtube.com/watch?v=6Ohjyeb8q-A&t=5561s

 

youtu.be/CbfwDlMqzBg

 

youtu.be/DUXnxz-J_nU

   

Le Chœur de la Cité épiscopale d’Albi

Sainte-Cécile d’Albi est la seule cathédrale de France à conserver intégralement son chœur. Dans les autres en effet le jubé a disparu, pour des motifs divers.

Cet ensemble exceptionnel comporte deux registres : un cadre architectural, la clôture, et un ensemble de statuaire très fourni, qui comptait à l’origine 280 statues, dont 150 restent aujourd’hui en place.

 

Les baies du tour de chœur présentent un réseau à l’allure de flammes. Par ailleurs, la façade externe du jubé expose tous les éléments fondamentaux du gothique tardif : arcs en accolade et contre-courbes qui suscitent un dynamisme architectural renforcé par des verticales bien marquées ; elle intègre également des arcs en plein cintre et des horizontales qui tempèrent l’élan vertical. Les voûtes en éventail, à clés pendantes, sur lesquelles repose la tribune, illustrent le très grand savoir-faire des ateliers engagés pour édifier le chœur.

 

Ils connaissaient la technique des couvrements complexes et les procédés de construction les plus évolués.

 

Dans l’ensemble du chœur, la qualité de la stéréotomie s’avère exceptionnelle. Aucune structure, dais, socle ou autre n’est un monolithe (une seule pierre). Toutes se composent de plusieurs éléments. L’assemblage de ces derniers, recouverts d’un décor complexe, a requis une grande précision dans leur façonnement, cela d’autant que les joints sont rarement visibles.

 

Ce raffinement met en exergue la virtuosité des tailleurs de pierre engagés par Louis d’Amboise. Leur grande maîtrise a, seule, permis la floraison des merveilles du flamboyant, surabondantes au chœur d’Albi, où l’ornement foisonne en une sorte de jubilation créatrice. La pierre, guillochée comme un objet d’orfèvrerie, ajourée et présentant des motifs détachés du fond qui les porte, se résout en filigranes et devient dentelle.

 

Les formes de l’architecture : arcs, pinacles, remplages, se démultiplient de manière étonnante. On a pu dire à cet égard que le dais de la chaire épiscopale constituait à lui seul un résumé de l’art flamboyant. À la féerie de la pierre se conjugue celle des ouvrages de bois et de fer qui sont magnifiques, façonnés par des huchiers (fabricants de meubles) et des ferronniers d’un talent remarquable.

 

La richesse de la clôture fait du chœur une châsse de pierre qui souligne l’importance essentielle du sacrifice eucharistique opéré dans le sanctuaire, et celle de l’office, prière d’adoration et de requête, chantée dans le chœur proprement dit.

 

L’intérieur, en particulier, offre un véritable éblouissement. Il frappe par son caractère précieux. Les dais qui dominent les stalles et les anges qui les encadrent composent une extraordinaire « forêt ».

 

La ciselure de la pierre blanche s’enlève sur des panneaux rouges et bleus et cet éclat chromatique se trouve encore renforcé par les motifs de grotesques dorés qui animent chacun de ceux-ci. L’ensemble de la clôture manifeste une profonde unité dont la finalité est sans doute d’exprimer l’harmonie du ciel et de l’ordre divin.

 

Tous les détails de la clôture s’avèrent signifiants. On y observe, notamment, l’expression de bien des données de l’arithmétique sacrée du Moyen Âge. Entre autres faits, la clôture comporte trente-trois panneaux, autant que d’années dans la vie terrestre du Christ, et la voûte de la chaire épiscopale compte sept roses et repose sur douze culots.

 

De même, les feuillages qui courent en maints endroits possèdent un sens profond. Le chêne renvoie à la Première Alliance, conclue par Dieu avec Abraham sous le chêne de Mambré. La vigne, quant à elle, symbolise la Nouvelle Alliance par le sacrifice eucharistique.

 

Tous ces détails ont donc fait l’objet d’une réflexion attentive. Le cycle de la statuaire présente une cohérence identique.

L'aigle cria et finit par abdiquer face aux attaques des corneilles.

Ils s'étaient éloignés et témoigner de la finalité fut compliqué

Agen,

rue Boillot.

 

Voie cyclable et piétonne située devant la résidence Services Seniors DOMITYS - Les Vergers d'Ebène.

 

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L'idée de différencier la couleur des voies piétonne et cyclable était bonne au départ.

(la voie cyclable est goudronnée et la voie piétonne est bétonnée).

 

Mais l'idiocratie locale a fait poser là des rochers!!!

 

Ce qui revient à saboter le plan vélo gouvernemental et à rendre caducs les investissements réalisés ici, ce qui n'est en finalité qu'un gaspillage d'argent public.

 

Voilà comment le président-maire d'Agen et ses complices règlent les problèmes d'incivilités : en posant des rochers sur les pistes cyclables et les trottoirs piétons!

 

Jean Dionis du Séjour, Comte de Beauregard, Seigneur d'Agen et de ses alentours, Chevalier de l'Ordre du Copinage, de l'ineptie urbanistique, du laxisme, de l'inconséquence, de l'Incurie et du Mépris pour le peuple.

 

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1988 : Directeur Général des Services de la ville d'Agen

1995 : Deuxième adjoint au maire, chargé des finances opaques.

2002-2011 : Député-Maire de Lot-et-Garonne

Depuis 2008 : Maire d'Agen.

Depuis 2016 : Conseiller régional d'aquitaine

Depuis 2008 : Président de l'Agglomération d'Agen,

Depuis 2008 : Président des maires du Lot-et-Garonne,

Depuis des lustres : président de l'aéroport"

 

Un élu grassement payé par le contribuable, qui sévit à Agen depuis 36 ans !

 

Arles, Provence

terrasses des Forges

 

Orientation platforms, par Liam Gillick est composée de sculptures en métal à la double réalité : elles invitent à la détente et sont aussi un lieu de contemplation et de discussion, notamment autour de la sculpture elle-même. Imbriquées dans l’architecture et l’espace, elles manifestent l’inévitable friction entre la présentation et la finalité, l’utilité et l’esthétique. Ces plateformes sont également les relais d’orientation qui ponctuent le site, accompagnant les visiteurs dans leur découverte du parc.

 

www.luma.org/fr/arles/notre-programme/event/interventions...

 

fr.wikipedia.org/wiki/Luma_Arles

 

Huile sur toile, 60 x 73 cm, 1905, musée, musée d'Art moderne, Troyes.

 

Sur un premier plan dégagé devant un foisonnement de troncs, deux petites silhouettes sont happées par le fond du tableau. La représentation du paysage n'a d'autre finalité que l'urgence d'une expression par la couleur, d'une transposition émotionnelle. "Ce que je voulais, c'était l'objet lui-même avec son poids, sa densité, comme si je l'avais représenté avec la même matière dont il était formé... J'aspirais à faire vivre ce paysage... en rapport avec l'émotion qu'il déclenchait en moi". Mais Vlaminck libère le premier plan, traité au moyen de petites touches concises, auxquelles succèdent les verticales des troncs d'une facture plus lisse (cf. kerdonis.fr).

Pentax K-3 II, objectif Pentax DA 50mm F1.8 à F6.3, 200iso, 1/13. Avec retardateur 2s et fonction Pixel Shift Resolution en Raw DNG.Panoramique linéaire de 15 prises. Recadrage approximativement en 16:9. Utilisation d’un trépied.

 

En ce qui concerne la technique :

Un panoramique linéaire ne se fait pas en pivotant autour d'un point de rotation "idéal" appelé point nodal, non, il faut déplacer successivement son appareil photo en veillant bien à rester parallèle par rapport à la surface plane que l’on photographie et garder si possible la même hauteur de prise de vue.

C’est une technique utilisée pour représenter des bâtiments mitoyens dans une rue sans avoir la courbure significative des lignes droites horizontales que l’on obtient habituellement avec le panoramique.

Utiliser cette technique est un objectif, à mon avis, qui correspond à trois finalités : Premièrement, produire comme je l’ai dit avant, un panoramique sans déformation de l’image générée par la rotation du point de vue. Deuxièmement, photographier lorsque l’on n’a pas le recul nécessaire possible pour obtenir cette photographie en seule prise et troisièmement, obtenir une photo en haute définition et avoir de fait une meilleure résolution pour l’agrandissement des détails.

Je reviens sur ces deux derniers points : dans la photo que j’ai postée, j’avais tout juste le recul pour produire la même photo avec la même focale, si j’agrandis cette unique photo, je ne peux pas lire ce qui est écrit sur la pancarte à droite sur le pilier mais si je prends l’original du panoramique, je peux la lire sans problème.

A titre de comparaison, mon appareil photo APSC fournit une image de 24 millions de pixels, le panoramique, lui, fait 42 millions de pixels. C’est plus que les 36 millions que donnerait un plein format comme le Pentax K1 (bientôt le mark II) mais moins que ce que fournirait un moyen format comme le Pentax 645Z : 51 millions de pixels. Imaginons que je refasse le panoramique linéaire avec ce dernier, cela pourrait donner une photo de 90 millions de pixels ! Bon, je ne suis pas un spécialiste qui utilise Gigapan, je ne joue pas dans la cour des grands, je vais en revenir à ma photo.

J’ai fait la photo avec un trépied et un retard de 2 secondes pour éviter le bougé en utilisant la fonction Pixel Shift Résolution de Pentax qui cumule 4 photos pour permettre de produire une image plus nette. Mon choix d’objectif c’est porté sur le DA 50 mm F1.8 plutôt que sur mon HD 16-85mm, pourquoi utiliser cet objectif qui fait un peu « bas de gamme » ? Parce le choix d’un 50mm (qui fait 75 mm en APSC) est plus judicieux qu’un grand angle pour éviter les déformations de l’image sur les bords et aussi parce que les tests démontrent que ce petit caillou est excellent en résolution (MTF) de F4 à F8, avec une distorsion minime, des AC et du vignettage insignifiant. Comme je voulais photographier dans une cathédrale à 200iso, j’ai choisi la focale F6.3.

Avec un panoramique habituel, un grand angle est souhaitable car on limite ainsi les prises de vues en ayant une bonne profondeur de champ. Là, non, un décalage d’un pas à chaque fois tout en vérifiant la composition sur la grille de l’écran Live view, au total 15 prises.

L’assemblage peut être réalisé par un logiciel spécialisé en panoramique ou par montage pointu dans un logiciel type Photoshop , Paintshop Pro ou autres( il n’ y a pas que Adobe dans la vie d’un photographe !). J’ai tout d’abord passé en tiff mes 15 prises dans le logiciel Pentax DCU car DXOLab ne sait pas traiter correctement les raw »pixel shift résolution » ( hélas !), je suis ensuite passé par DXO pour un premier post-traitement visant à donner une image particulière : très vive, nette, aux ombres débouchées, tout en restant naturelle qui rappelle les enluminures car il ne faut oublier que les sculptures étaient polychromes au Moyen-Age et qu’aujourd’hui, elles sont bien ternes …

Après différentes tentatives, je suis arrivé au meilleur résultat en utilisant mes 15 prises dans le logiciel Image Composite Editor de Microsoft et en ne retravaillant la perspective de l’image qu’à la fin par DXO car les photos sont faites avec une légère contre-plongée. Un tout dernier post-traitement par PaintShop pro et c’est fini.

 

En ce qui concerne le sujet de la photographie :

Il s’agit de la première partie représentant la vie de Saint Firmin, une deuxième lui succède dans le sens de la visite. Nous sommes sur le côté sud de la clôture du chœur, c’est la première travée el le bas-relief date de 1490, on remarque 4 niches avec couronnement et un soubassement avec un gisant : Ferry de Beauvoir, oncle d’Adrien de Hénencourt, évêque d’Amiens qui a demandé la réalisation des sculptures.

Ce sont 5 scènes qui sont racontées dans ce qui nous ferait penser aujourd’hui à un diorama :

L’arrivée à Amiens de Saint-Firmin, la prêche, le baptême de la fille de Faustinien, l’arrestation et la décapitation Précisons que les personnages sont vêtus comme à l’époque du Moyen-Age et pas celle du citoyen romain Saint-Firmin. A l’arrière se laisse découvrir une vue panoramique d’Amiens en 1490. Des statues ont été mutilées en 1792 et restaurées ensuite par les frères Duthoit.

Le soubassement nous montre une magnifique fresque de 12 apôtres, deux anges et deux chanoines soulèvent une courtine.

  

Le Bacchus (1497) est une sculpture en marbre du peintre, architecte, poète et sculpteur italien de la haute Renaissance Michel-Ange. La statue d'une hauteur de 203 cm représente Bacchus, le dieu romain du vin, dans un état d'ébriété ce qui était révolutionnaire pour l'époque. Avec la Pietà, le Bacchus est l'une des deux seules sculptures qui peuvent être attribués avec certitude à la première période romaine de l'artiste. Bacchus est représenté avec des yeux révulsés, son corps chancelant vacille presque hors de l'affleurement rocheux sur lequel il se trouve. Assis derrière lui se trouve un faune qui mange une grappe de raisin tombant de sa main gauche.

 

La statue dont la poitrine et l'abdomen sont bombés, fait dire à Giorgio Vasari qu'elle possède « à la fois la finesse d'un jeune homme et la croupe et la rondeur d'une femme ». Son androgynie a souvent été remarquée (bien que les testicules soient aussi gonflés). L'inspiration pour le travail semble provenir de la description de Pline l'Ancien (Histoire Naturelle) d'une sculpture (perdue) en bronze de Praxitèle,représentant Bacchus, l'ivresse et une satyre1.

 

Michel-Ange a donné à la sculpture un centre de gravité élevé et une attitude titubante qui avec la couronne symbolique de la vigne, donne l'impression que le vin lui soit monté à la tête. La même pose précaire se retrouve dans un certain nombre de travaux plus tardifs de l'artiste, notamment les David et les fresques du plafond de la chapelle Sixtine. Mais le Bacchus était sans précédent, « en bref... ce n'est pas l'image d'un dieu » 2

 

Bacchus tient dans sa main droite une coupe de vin et dans sa main gauche une peau de tigre, un animal associé au dieu « pour son amour de la vigne » (selon le biographe de Michel-Ange Ascanio Condivi). La main du Bacchus tenant la coupe a été brisée et le pénis cassé bien avant que Maarten van Heemskerck ait vu la sculpture dans les années 1530. Seule la coupe a été réparée au début des années 1550. Placée dans le jardin romain de Jacopo Galli3 parmi d'autres pièces, un buste antique et des fragments de reliefs romains, les mutilations avaient pour finalité de donner à la sculpture l'illusion d'une plus grande antiquité. Cette concession aux « sensibilités classiques » n'a toutefois pas convaincu Percy Bysshe Shelley de la fidélité de l'œuvre à « l'esprit et à la signification de Bacchus. Il a écrit que « Il semble ivre, brutal et borné, et exprime un libertinage des plus révoltants »4.

 

Histoire

La statue a été commandée pour le jardin du cardinal Raffaele Riario5 afin de compléter sa collection de sculptures classiques. Elle a été refusée par le cardinal Riario et en 15066 elle a trouvé sa place dans la collection de Jacopo Galli, banquier à la fois du cardinal et de Michel-Ange, et qui possédait un jardin similaire près du Palais de la Chancellerie. C'est là que la statue est apparue dans un dessin de Martin Heemskerck (vers 1533 -1536)7. La statue a finalement été achetée pour les Médicis et transférée à Florence en 1572.

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