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The MD Helicopters MD Explorer is a light twin-engined utility helicopter designed and initially produced by the American rotorcraft specialist McDonnell Douglas Helicopter Systems.
On 18 December 1992, the maiden flight was conducted, initial certification for the type followed roughly two years later. The initial model, the MD 900, was joined by an improved successor, the MD 902, during the late 1990s. The Explorer is currently produced by MD Helicopters.
The MD Helicopters MD Explorer is a twin engined utility helicopter; it is equipped with a fully-articulated five-bladed main rotor system as well as bearingless composite flexbeams and rotor hub. The fuselage is composed of composite materials, such as carbonfibre, that are resistant to corrosion even in hostile marine environments, it also incorporates lightning strike protection measures. The tail features similar construction. It is powered by a pair of Pratt & Whitney Canada-built PW200 turboshaft engines. It can be flown by a single pilot, and carry up to six passengers at a time.
A key feature of the MD Explorer is the NOTAR anti-torque system; instead of a traditional tail rotor, a fan exhaust is directed out of slots in the tail boom, thus using the Coandă effect for yaw control. The benefits of NOTAR have reportedly included reduced pilot workload, greatly minimised external noise levels, and significant improvements in safety, particularly when operating in confined areas and from offshore platforms, along with general performance and controllability enhancements. It is disputed which of the fenestron and NOTAR approaches produces less noises.Boeing retains the design rights to the NOTAR technology despite selling the former McDonnell Douglas civil helicopter line to MD Helicopters in early 1999.
C-FKUR, an Airbus Helicopters EC 130 T2, landing at Toronto Buttonville Municipal Airport in Markham, Ontario. It was arriving from Collingwood, Ontario.
Motorisation : turbine Turboméca Astazou IIIA de 590 ch
1er vol le 7 avril 1967
Vitesse maximale : 250 km/h
Plafond pratique : 5000 m
Distance franchissable : 670 km
Succédant aux Alouette II et III, ce quadriplace innove sur deux points : des pales en matériaux composites reliées à une tête de rotor rigide et un fenestron à la place de l’anticouple. 162 unités civiles ont été produites, sur plus de 1500 au total. C’est avant tout un appareil militaire d’observation, de lutte antichar et de transport léger. L’exemplaire présenté est le N°1609 de l’ALAT (Aviation Légère de l’Armée de Terre).
Registered as G-BZYD, former Army Air Corps Westland Gazelle AH.1 XZ329 caught dropping in to Shoreham Airport
276A6365
One of the two newest helicopters of the French Sécurité Civile, seen here returning from a test flight. The H145 D3 is recognizable by the 5-bladed main rotor and the beautiful fenestron at the rear.
Nîmes Garons is the home base of the GHSC (Groupement Hélicoptères de la Sécurité Civile) where the maintenance is done on Dragons. The two new H145 were ordered to compensate the loss of some EC145 in various regions of France, and two more were ordered to be delivered in 2023.
Dédicace à Clément :)
For my video; youtu.be/uyOKNuljNCA?si=Iby-utP3zguAJPFp,
Airbus Helicopters H130
Mill Bay Marine group,
Sea Island, Richmond, British Columbia, Vancouver International Airport, YVR, Canada.
The Airbus Helicopters H130 (formerly Eurocopter EC130) is a single engine light utility helicopter developed from the earlier Eurocopter AS350 Écureuil, one of the primary changes from which was the adoption of a Fenestron anti-torque device in place of a conventional tail rotor. It was launched and produced by the Eurocopter Group, which would later be rebranded as Airbus Helicopters
L'Émilienne.
Qui peut se souvenir de n'avoir jamais croisé l'Émilienne ? Cafetier, clients du Grand Bazar, commerçant, facteur, touriste, grenouille de bénitier avaient beau passer, on la voyait toujours à la même place, dans la même attitude, occupée à la même besogne de vendeuse de billets de loterie dans son petit cagibi à l'angle de la rue de la République et de la place des Cordeliers, si bien que par la suite on prétendit qu'elle était venue au monde avec un dixième gagnant à la main.
On ne lui témoignait aucune considération. Loin de saluer l'habitante de la guérite, les passants ne lui prêtaient pas plus d'attention qu'à une mendiante assise sur le parvis de l'église Saint-Bonaventure, à une enjambée de son abri.
Un mètre carré au sol. Une porte à crochet. Pour tout mobilier un minuscule tabouret. Une devanture vitrée à fenestron mobile. Une planche garnie de pinces prévues pour la présentation des carnets de billets de loterie. Voilà décrit l'univers d'Émilienne. Vue de profil l'abri ressemblait à un cercueil debout, de dos à un lieu d'aisance qu'Édouard Herriot aurait oublié de détruire malgré sa politique de réaménagement de l'espace urbain.
Présente les six jours de la semaine, elle remplissait ses grilles de mots croisés, tambourinait du pied lorsqu'un chien mal éduqué levait la patte sur son abri, se dégourdissait les siennes quelques minutes avant l'heure de pointe. Les Galeries Lafayette tout comme le Grand Bazar étaient si tellement cafies de monde que c'était miracle si on n'était pas écramaillé. Les veuves titulaires d'une pension sortant ou non du 24 de la rue Confort constituaient l'aristocratie de sa clientèle. Sans un regard pour la personne qui lui commandait un numéro particulier, l'Émilienne tendait le bout de papier en échange de l'argent demandé, considérait un instant la souche restante, puis se mettait en devoir de relever sa vente sur le cahier officiel.
Les jeunes de passage épuisaient sur elle l'arsenal des plaisanteries en vogue dans la fin des années cinquante. Certains gamins s'amusaient à ficeler le cabanon comme un charcutier son jésus ; d'autres tentaient de le déplacer au grand désespoir de l'habitante terrée dans un mutisme aveugle.
Il n'y eut pas de drame.
Le reste du temps, personne ne la remarquait, car elle vivait discrète dans un paisible effacement. L'Émilienne demeurait impassible, gribouillait ses mots croisés.
Un ennemi guettait à Lyon. Les travailleurs de la rue, ceux du bâtiment, les marraires, les maçons, ceux du quai de Saône, les maraîchers, les marieurs, les pêcheurs, le regrolleur ou le patti, tous craignaient cet ennemi : le brouillard.
Pour le combattre, elle portait sous sa pelisse, un petit scapulaire dégotté dans le grenier de la cure du point du jour. Ce vêtement religieux, d’une seule pièce, percé en son centre pour laisser passer la tête, et dont les deux côtés, prenant appuis sur les épaules pendaient l’un sur la poitrine et l’autre dans le dos. La décision de couper court les pans lui permit de rentrer le tissu dans ses pantalons de laine eux aussi.
Ni le vêtement de serge, ni la minuscule croix portée en médaillon ne donnaient à l'Émilienne, la confirmation d'une condition spirituelle exceptionnelle. Bien au contraire. Sa foi avait été définitivement estropiée lorsqu'elle vécut au quotidien les souffrances de son père revenu des tranchées avec l'insigne honneur d'appartenir au clan héroïque des gueules cassées.
À quatorze ans déjà, elle travaillait à l'usine d'armement du sud de Perrache (sur l’emplacement de l’actuelle caserne de gendarmerie Général Delfosse) d'où sortaient 5 000 obus par jour. À partir du 7 août 1914, jour de la mobilisation générale, les ouvrières purent lire le panneau encadré au-dessus des vestiaires :
Debout, femmes françaises, jeunes enfants, filles et fils de la Patrie.
Remplacez sur le champ du travail ceux qui sont sur le champ de bataille...
C’était l’annonce d’une guerre totale. Dans les têtes des mères et épouses de soldats, un seul mot d'ordre trottait, écrit en lettres de feu :
Pourvu qu’ils tiennent !
Ce sont elles qui ont tenu, les bien nommées femmes de l'Arrière, tenu et soutenu ceux qui sont revenus poilus ou non.
Après la Der des Der, l'Émilienne fut employée au cinéma le Comœdia. Les films hollywoodiens redonnaient bon espoir aux citadins peu critiques. Mais la salle de spectacle perdit de son engouement, les priorités revinrent peu à peu au développement industriel.
Malheureusement, l'invasion des boches transforma Lyon en garnison rebaptisant en lettres gothiques les noms des rues. Au début de l'été 1942, les autorités allemandes réquisitionnèrent le cinéma pour le transformer en Soldatenkino. Heureusement, les alliés participèrent à la destruction des bâtiments impurs comme le siège de la Gestapo. L'ancien Comœdia, temple du septième art situé juste devant, fit les frais des écarts de visée des bombardiers anglais et détruit le 26 mai 1944. L'Émilienne y laissa une partie de sa peau avec un petit morceau d'os du crâne disparus dans les décombres.
Après l'hospitalisation, l'Émilienne retourna dans sa maison du point du jour. Elle se préparait des soupes de légumes provenant de son minuscule jardin. Un poêle à charbon réchauffait l'unique pièce mise en service pour elle toute seule. Le reste de la bâtisse encombré de vieilleries se contentait de la visite des souris.
Elle s'abandonnait à sa grande récompense favorite, celle de fermer les yeux, d'écouter chanter les garçons de la chorale Les compagnons de la musique chemin de Champvert. Ils répétaient dans le parc de la famille Chomel, juste derrière le mur de son potager. Une chanteuse frêle comme un piaf entonnait un morceau a capella les trois cloches.
Sa médaille des victimes de l'invasion obtenue en 1921 et l'Insigne des blessés civils due à sa trépanation lui donnèrent une promotion : celle d'accéder au cercle très fermé des professions réservées. La tenue d'un débit de tabac paraissait trop exigeante à son goût, et c'est ainsi qu'elle prit possession de son minuscule univers dédié à la chance.
Son embarcation avait la forme d'une caisse à savon, la marée humaine d'un Gulf Stream, l'auvent du Grand Bazar devint son port d'attache chauffé en hiver.
Parfois la position royale de son fragile édifice prenait des airs d'antenne touristique.
— La source de la Garonne, s'il vous plait ?
— Place des Terreaux, fontaine Bartoldi à droite.
— Statue de la République, please ?
— Place Carnot à gauche.
— Où est donc la statue de Carnot, madame ?
— Place de la République.
— C'est étrange, qui est ce cavalier romain place Bellecour ?
— Louis XlV évidement.
Un étranger devait se méfier s'il ne voulait pas se perdre.
Se perdre ou se pendre ? Avec la ficelle, l'Émilienne gravissait Fourvière. Au bord de la rambarde dominant la ville, elle aurait bien appris à voler, rejoint le Mont Blanc, l'Argentière où le patron de l'hôtel des Graçonnets réservait sa place de cuisinière pour la période des congés payés.
Un battement d'ailes, une heure à planer, la vallée de l'Arve sous les pieds et elle scrutait le dôme du goûter, les aiguilles rouges, celle du midi, le glacier des Bossons.
Se perdre en attendant que le début de l'été lui indique le chemin.
Se pendre au cou des grues, ces claques-bec arpenteuses de terres accueillantes... Le jour finissant, l'Émilienne retrouvait sa rue défoncée par les travaux dus à la pose des conduites de l'adduction d'eau.
Bien sûr la guérite a disparu le jour où l'ombre d'Émilienne fut emportée par la foule. Dans les allées du cimetière de Loyasse quelqu'un fredonne encore :
Non rien de rien, non je ne regrette rien...
Dis papa, ça s'est vraiment passé comme ça pour l'Émilienne ?
Confinement oblige :
Exercice de lumière naturelle en mode manuel.
Tous les autres modes n'auraient jamais pu obtenir ce résultat.
Le mode M a donc son utilité, dans certains cas bien précis..
D750 (plein format), au grand angle 24mm f/2.8, calé à f/4.5 pour une profondeur de champ suffisante, avec mise au point sur la lumière venant frapper le fenestron.
« Je conduis Jean à la séance de judo, tire Paul de la crèche, reviens au gymnase, plie du linge, prépare le dîner, surveille les petits. Comment acquérir de nouvelles lumières, plus de raison ? » (P.B.)
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The Aérospatiale Gazelle (company designations SA 340, SA 341 and SA 342) is a French five-seat helicopter, commonly used for light transport, scouting and light attack duties. It is powered by a single Turbomeca Astazou turbine engine and was the first helicopter to feature a fenestron tail instead of a conventional tail rotor. It was designed by Sud Aviation, later Aérospatiale, and manufactured in France and the United Kingdom through a joint production agreement with Westland Aircraft. This Tiger scheme version is returning from a NATO Tiger Meet mission in France 2019.
Seul trouble au calme plat régnant sur le terrain, le rotor principal soulève la machine dans une fine poussière dorée. Gauchi par les efforts, le disque s'illumine sous les premiers rayons du soleil...
Copyright : Raphaël Grinevald
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The Aérospatiale Gazelle (company designations SA 340, SA 341 and SA 342) is a French five-seat helicopter, commonly used for light transport, scouting and light attack duties. It is powered by a single Turbomeca Astazou turbine engine and was the first helicopter to feature a fenestron tail instead of a conventional tail rotor. It was designed by Sud Aviation, later Aérospatiale, and manufactured in France and the United Kingdom through a joint production agreement with Westland Aircraft. This Tiger scheme version is returning from a NATO Tiger Meet mission in France 2019.
Le 18 mai 2021, le H160 d'Airbus Helicopters a reçu sa certification de type par le Japan Civil Aviation Bureau (JCAB). L'appareil en photo, de numéro de série 1004, sera livré au client japonais ANH dans les prochaines semaines.
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10th June 2018 - Westland Gazelle HT.2 'XX436' affectionatly reffered to as 'Gordon' by the guys at 'The Gazelle Squadron'. Here a short description from their website:
Gordon was born in 1976 as an SA.341C (Gazelle HT.2), built by Westland Helicopters Ltd at their Factory in Yeovil, Somerset with the manufacturer's construction number 1402, he was first flown on 21 July 1976 with B.A. Horsey at the controls.
He was delivered to RNAY Wroughton on 19 February 1977 for storage until it was delivered to the Royal Navy at RNAS Culdrose in Cornwall on 25 July 1977, where he served for 26 years in a training role with 705 Naval Air Squadron (NAS). Throughout his life with 705NAS, Gordon wore the squadron code CU/(5)39.
From 19 June 1978 to 28 July 1978 he flew as part of The Tri-Service Helicopter Team in the British Helicopter Championships, and in August of that year both he and XX431 were to take part in the World Helicopter Championships, held in Vitebsk in the Soviet Union. Both XX431 and Gordon received special markings for this, with tri-service markings applied to the fenestron and the Royal Navy titles hidden with white stickers! However, neither aircraft left UK soil as the UK government withdrew their participation on political grounds shortly thereafter.
On 21 May 1997 he was flown to RAF Shawbury in Shropshire for long term storage until being demobbed - removed from military service - on 16 May 2002 and sold by JCM Disposals Ltd, when he was taken to Redhill in Surrey by road.
Sold in to civilian use, Gordon was painted in Royal Marines grey and green colours. The 2015 season saw Gordon's final season in this scheme, and through the winter he underwent a complete rebuild and transformation back to his original 705NAS scheme of bright red and white, complete with Royal Navy "Sharks" display team markings.
D-HOAE at Ellough Airport (EGSM), near Beccles, Suffolk.
Model: H-145 T2
Manufacturer: Airbus Helicopters
Year built: 2016
Construction number: 20105
Registration number: D-HOAE
Owner: Wiking Helikopter Service, Wilhelmshaven, Germany
Delivery date: 16th. November 2016
Pilots: 1 or 2
Max passengers: 8
Length: 42 ft. 9 in. (13.03 m)
Height: 11 ft. 4 in. (3.45 m)
Width: 10 ft. 9 in. (3.29 m)
Main rotor Ø: 36 ft. 1 in. (11 m)
Main rotor area: 1,020 sq. ft. (95 m2)
Fenestron rotor Ø: 3 ft. 9.5 in. (1.16 m)
Empty weight: 3,951 lb. (1,792 kg)
Payload: 3,953 lb. (1,793 kg)
MTOW: 8,377 lb. (3,800 kg)
Fuel capacity: 1,594 lb. (723 kg)
Engines: 2 x Turbomeca Arriel 1E2 turboshaft
Engine output, take-off: 2 x 740 hp (550 kW)
Cruise speed: 133 knots (153 mph - 246 km/h)
Never exceed speed: 145 knots (167 mph - 268 km/h)
Rate of climb: 1,590 ft/min. (8.1 m/sec)
Service ceiling: 20,000 ft. (6,100 m)
Max range: 440 nm (506 miles - 815 km)
Also registered as:
D-HOAE, Northern Helicopter NHC, delivered 31st. December 2022
D-HADD, test registration
This is a revisit of the civilian single engine EC130. The first time, I built it by eye with no scale drawings. Since then, (www.flickr.com/photos/80364352@N07/9270706991/in/album-72...), I’ve found numerous inaccuracies that I went back and fixed.
- Shorter, more secure rotor
- Smaller, more discrete fenestron
- Smaller landing gear
- Simplified air intake
I’m happier with this iteration.
The Guimbal Cabri G2 is a two-seater light helicopter designed for training, utility, and leisure flights. It features a fenestron tail rotor and a composite airframe, making it lightweight and easy to maneuver. Its glass cockpit and modern avionics make it a popular choice for flight schools and private pilots.
Part of the Flying Pig Helicopters fleet.
Another render, just for fun. Played around with the Special Operations Helicopter for an hour, adding stub-wings for fuel tanks, two external close air-support guns and 2 Air-Air and Air-Ground missiles.