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La Fanette (1963), Jacques Brel
Atlantic coast, Southern France
Os dejo con Jacques Brel que lo dice mejor que yo.
Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence et aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite enfin, de ne jamais renoncer à la recherche, à l'aventure, à la vie, à l'amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille.
Je vous souhaite surtout d'être vous, fier de l'être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable. » Jacques Brel
Jacques Brel, 1962
Pink blend hybrid musk "Felicia"
La Fanette, Jacques Brel
I was unlikely to get the water perfectly still because of the coming and going of the boats. And while I was trying to capture a short quiet moment, in the midst of the tumult, I heard Jacques Brel shouting his song in my ears "In the port of Amsterdam" !
The platform indicator does a great job of describing both service and operator as BREL-built class 320, unit 320416, draws in to Paisley Gilmour Street station with a train to Gourock. If splitting hairs though the use of the past tense is questionable.
The Victorian architecture here is fabulous which the bright sunny day showing it off perfectly, even if there was a bit of a bracing wind coming off the coast.
For the record, the train is Scotrail's 2.25pm ex-Glasgow Central (1G49).
A shot taken almost two years ago to the day. How times have changed in the meantime.
2.33pm, 14th June 2019
Oh mon amour
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore, tu sais, je t'aime
- Jacques brel
J.Brel. www.youtube.com/watch?v=dU-OD5_Dxrs
Un grand merci pour vos favoris, commentaires, encouragements et critiques toujours très appréciés.
Many thanks for your much appreciated favorites and comments.
Le château de Kergroadès (Kergroadez en breton) est un château du XVII siècle situé sur la commune de Brélès, dans le département du Finistère, en Bretagne.
Jacques Brel
www.youtube.com/watch?v=41od-lgSQgI
¡Feliz día del padre a todos los padres fotógrafos o de fotógrafos!
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Happy Father's Day to all fathers of photographers or photographers!
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Bonne fête des pères à tous les pères de photographes ou de photographes !
Le château de Kergroadès (Kergroadez en breton) est un château du XVII siècle situé sur la commune de Brélès, dans le département du Finistère, en Bretagne.
Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis mai 1995. Renaissance bretonne,TypeManoir.
Proche de Brest, situé entre Lanrivoaré et Brélès, le château de Kergroadès, fut construit de 1602 à 1613, pour François III de Kergroadez, seigneur du lieu
L'enfance
Il est midi tous les quarts d'heure
Il est jeudi tous les matins
Les adultes sont déserteurs
Tous les bourgeois sont des Indiens
J. Brel
… Bruxelles « chantait » car en 2015, année de la prise de ce cliché, « Covid.19 » ne faisait pas la manchette de la presse !
Je me demande ce que notre grand artiste Jacques Brel aurait pensé de cette situation actuelle … il en aurait certainement fait une « chanson » !
Ils parlent de la mort comme tu parles d'un fruit,
Ils regardent la mer comme tu regardes un puits.
Les femmes sont lascives au soleil redouté,
Et s'il n'y a pas d'hiver, cela n'est pas l'été.
La pluie est traversière, elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin.
Et par manque de brise le temps s'immobilise
Aux Marquises
Du soir montent des feux et des points de silence
Qui vont s'élargissant et la lune s'avance.
Et la mer se déchire infiniment brisée
Par des rochers qui prirent des prénoms affolés.
Et puis plus loin des chiens, des chants de repentance
Et quelques pas de deux et quelques pas de danse.
Et la nuit est soumise et l'alizé se brise
Aux Marquises
Le rire est dans le cœur, le mot dans le regard,
Le cœur est voyageur, l'avenir est au hasard.
Et passent des cocotiers qui écrivent des chants d'amour
Que les sœurs d'alentour ignorent d'ignorer.
Les pirogues s'en vont, les pirogues s'en viennent,
Et mes souvenirs deviennent ce que les vieux en font.
Veux-tu que je te dise : gémir n'est pas de mise
Aux Marquises
traduction
tribute to Jacques Brel, one of the most famous french singer of the last century ..
listen the song here : www.youtube.com/watch?v=aKW3TfaMcZQ&t=3s
here is the english translation, even if translating such poetry is not easy : muzikum.eu/en/jacques-brel/orly-lyrics-english-translation
Le château de Kergroadès a été construit entre 1602 et 1613, selon un plan inspiré de celui du château de Kerjean, construit quelques quarante ans plus tôt : il est constitué par trois ailes disposées en U autour d'une cour fermée par une galerie, avec quatre pavillons aux angles. Si la distribution interne s'inspire également de celle de Kerjean, l'architecture s'en distingue par sa sévérité. Resté dans la famille de Kergroadès jusqu'en 1732, le château n'a subi aucune modification sous l'Ancien Régime. La propriété a été mise sous séquestre à la fin du XVIIIe siècle, ce qui a provoqué la liquidation des portes, fenêtres, et de la charpente en 1807. Racheté par la famille Chevillotte à l'état de ruine, il a été restauré en 1913-1914 : la charpente, la toiture, toutes les menuiseries et aménagements intérieurs ont été entièrement refaits ab nihilo. Les maçonneries semblent cependant n'avoir subi aucune modification.
pour unique voyage.
Et des chemins de pluie pour unique bonsoir.
Brel
With the string of days as unique journey
And rainy walks as sole goodnights.
DITES, SI C'ÉTAIT VRAI
Jacques Brel - 1958
Dites, dites, si c'était vrai
S'il était né vraiment à Bethléem, dans une étable
Dites, si c'était vrai
Si les rois Mages étaient vraiment venus
De loin, de fort loin
Pour lui porter l'or, la myrrhe, l'encens
Dites, si c'était vrai
Si c'était vrai tout ce qu'ils ont écrit Luc, Matthieu
Et les deux autres,
Dites, si c'était vrai
Si c'était vrai le coup des Noces de Cana
Et le coup de Lazare
Dites, si c'était vrai
Si c'était vrai ce qu'ils racontent les petits enfants
Le soir avant d'aller dormir
Vous savez bien, quand ils disent Notre Père, quand ils disent Notre Mère
Si c'était vrai tout cela
Je dirais oui
Oh, sûrement je dirais oui
Parce que c'est tellement beau tout cela
Quand on croit que c'est vrai.
Jeder wollte mit ihr musizieren. Jacques Brel besuchte sie mit seiner Gitarre in der Rue de Berri, als er fünfundzwanzig Jahre alt und noch völlig unbekannt war. Welches seiner Lieder dem Publikum am schwersten nahezubringen sei, wollte sie von ihm wissen und machte „Ça va, le diable“, einen satirischen Lobgesang auf die Zerstörungskraft des Teufels, der 1954 noch zu früh kam, über die Jahre zu einem Klassiker. Auch Georges Brassens war ein nahezu unbeschriebenes Blatt, als er ihr das „Chanson pour l’Auvergnat“ überließ, eine Ode an die Résistance. „Padam, padam“ wurde ihr angeboten, aber sie lehnte ab. Dafür nahm sie „Je hais les dimanches“ von Charles Aznavour, das Edith Piaf zuvor verschmäht hatte. Mit Serge Gainsbourg entstand 1958 „L’Accordéon“. Und noch im neuen Jahrtausend suchte Juliette Gréco unter den Stimmen einer jungen Generation nach Weggefährten. Neben Benjamin Biolay fand sie auch den Rapper Abd al Malik, dessen Art von Musik im Anprangern der Verhältnisse, das wusste sie, das französische Chanson längst abgelöst hatte.
Zufällig war keine dieser Begegnungen. Juliette Gréco hat ihre Arbeit stets als Engagement begriffen, das mit der sorgsamen Auswahl ihrer Lieder begann. Oft war diese Wahl vom Mut, Neues zu wagen, nicht zu trennen. Mit Miles Davis trat sie im New Yorker Waldorf Astoria in den fünfziger Jahren auf, als eine weiße Frau neben einem schwarzen Mann auf der Bühne den Hoteldienern noch die Gesichtszüge entgleiten ließen. Im Jahr 1967 hauchte sie dem Publikum „Déshabillez-moi“ entgegen, glitt mit den Händen an ihrem Körper entlang und löste einen Skandal aus. Schon bald nach dem Krieg besuchte sie auch wieder Deutschland, weinte auf der Bühne, aber fand ein Publikum, dessen treue Begeisterung sie mit regelmäßigen Konzerten belohnte. Sie machte nie einen Hehl daraus, dass ihr Verhältnis zu den Franzosen gespaltener war als das zu anderen. Die Franzosen seien treuloser und sprunghafter, sagte sie, die Deutschen aber kundige Zuhörer und Zuschauer, die nicht zufällig vorbeikämen. Es stimmte. Ihre stets schwarze Silhouette, ihre dunkel umrandeten Augen, das Besingen der verrinnenden Zeit, der sie doch mit jeder Modulation ein Schnippchen schlug, auch das ewige Akkordeon wirkten auf das Publikum in Deutschland viel seltener antiquiert als in Frankreich, wo man keine Sehnsucht nach sich selbst hatte.
Doch es galt auch umgekehrt: Dass diese Sehnsucht hierzulande über Jahrzehnte lebendig geblieben ist, daran hatte Juliette Gréco einen großen Anteil. Es waren ihre Stimme und ihr Spiel, die den Assoziationsraum öffneten, in dem, für einen Abend lang, eine Zeit aufschien, die ein Versprechen barg und alles möglich machte.
Dass sich nicht jedes Versprechen erfüllt, wusste Gréco wohl am besten. Sie war dreimal verheiratet, zuletzt mit Gérard Jouannest, der für Jacques Brel mehr als vierzig Chansons komponierte, bevor er Gréco mehr als zwanzig Jahre lang am Klavier begleitete. Sie hat ein Kind geboren und eines abgetrieben. Eine Krebserkrankung überstanden. Ein Selbstmordversuch scheiterte. Bis vor wenigen Jahren stand sie auf der Bühne, aber sie wusste, wann die Zeit vorbei war. „Man darf nicht als Besiegter gehen, sondern als Sieger“, sagte sie, kurz bevor sie zum letzten Mal in Deutschland auftrat. Das ist ihr gelungen. Am Mittwoch ist Juliette Gréco im Alter von 93 Jahren gestorben.
Quelle: F.A.Z.
Aimer jusqu'à la déchirure Aimer, même trop, même mal, Tenter, sans force et sans armure, D'atteindre l'inaccessible étoile Telle est ma quête, Suivre l'étoile Peu m'importent mes chances Peu m'importe le temps Ou ma désespérance Et puis lutter toujours Sans questions ni repos Se damner Pour l'or d'un mot d'amour.
La quête - Jacques Brel
Southern 455819 + 455830 pass the site of Selhurst Depot working 08/28 East Croydon to London Bridge on 6 May 2022.
Thanks to JS for the location recommendation!
Jacques Brel (Schaerbeek 1929 - Bobigny 1978) auteur-compositeur-interprète, poète, acteur et réalisateur belge.
"L'ENVOL", statue sculptée par Tom Frantzen, représente l'artiste les bras ouverts.
AN ETERNAL POET.
Jacques Brel (Schaerbeek 1929 - Bobigny 1978) Belgian singer-songwriter, poet, actor and director.
"L'ENVOL", statue sculpted by Tom Frantzen, represents the artist with open arms.
Place de la Vieille Halle aux Blés. Bruxelles.
Vesoul
Lyrics:
T'as voulu voir Vierzon, et on a vu Vierzon
T'as voulu voir Vesoul, et on a vu Vesoul
T'as voulu voir Honfleur, et on a vu Honfleur
T'as voulu voir Hambourg, et on a vu Hambourg
J'ai voulu voir Anvers, on a revu Hambourg
J'ai voulu voir ta sœur, et on a vu ta mère
Comme toujours ...
Chanson sur youtube:
www.youtube.com/watch?v=tVKWiseNGUU
Lyrics:
www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=Lvesoul+ja...
Wikipédia sur Jaque Brel:
Just waiting for a visit to the paint shops newly completed class 455/7 EMU no.5733 is seen in BREL York Works Yard.
In the tradition of coding Southern Region EMU's the new class 455/7's were to be designated 4-HIT which I believe stood for "High capacity with Intermediate Trailer" although if anybody knows different I would be pleased to know.
The class 455/8 fleet (no's 5801-74) had been built prior to these between August 1982 and January 1984 and they received no BR-SR unit classification which is probably why the 4-HIT classification allotted to the 455/7's was never applied or referred to in traffic. The 455/7's were the follow on build being constructed between April 1984 and December 1984 but assembled as three car sets as they received the spare 'TS' Trailer second from class 508 EMU's being moved from the Southern Region to Merseyside. Technically the 455/7's were the same as 455/8's but they did have a revised front end which was also used for the 455/9's and the motor bogies were different. In service they were readily identifiable by the flat roof ex class 508 trailer inserted in them.
19/03/2019 (Tue) 1839
Edinburgh Waverley east end
380113
1K59 1756 North Berwick to Ayr
(Rokinon 35mm T1.5 IF UMC cine lens)
If you like railway pictures that are a bit different to the norm, try the Phoenix Railway Photographic circle website;
For months now the Glasgow to Lanark services have been worked by the Hitachi Class 385s, however on Sundays they have been reverting back to the BREL-built Class 320's and 318s.
320315 was working one of the diagrams today and is pictured passing Cartland with 2B92 to Lanark. The service was running around 15 minutes late at this point which had a knock on effect on traffic behind it and created an unusually busy 10 minutes here.
NOTE: Scottish Government travel guidance was adhered to during this outing. I traveled alone in a private vehicle and remained within my council area (South Lanarkshire).
Jacques BREL, né le 8 avril 1929 à Schaerbeek et mort le 9 octobre 1978 à Bobigny.
www.youtube.com/watch?v=ovPwUihaVdE&index=3&list=...
fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Brel
Merci pour vos visites et vos commentaires.
Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.
King Class locomotive 6000 KING GEORGE V. The locomotive carries a brass bell which was presented to the locomotive during a visit to the Baltimore and Ohio Railroad in the USA.
King George V was the prototype for Great Western Railway’s (GWR) King class; it was the first of a thirty strong fleet built in Swindon from 1927-1930 in order to meet the demands of rising passenger numbers and heavier carriages. In the late 1950s the front end frames of a number of Kings, including No. 6000, were renewed.
The King class was also the most powerful ever British 4-6-0 design; it had the highest permissible axle load of 22½ tons, and the largest fire grate of 34.3 square feet of any British narrow firebox locomotive design.
King George V was withdrawn from service in 1962. It was subsequently preserved at Swindon and then at Bulmer’s Railway Centre in Hereford. In 1971 the locomotive broke a three year ban on steam locomotives on the mainline which came into effect in 1969, thus consolidating its place in preservation history.
Click here for more photographs of STEAM: The Museum of the Great Western Railway: www.jhluxton.com/Railways-and-Tramways/Railway-Museums/St...