Locomotive à dôme
Gravure d’une locomotive à dôme (l=5m68) extraite du livre Traité élémentaire de physique expérimentale et appliquée et de météorologie d’Adolphe Ganot (9e édition, 1860).
« Légende :
A- Tuyau de cuivre rouge recevant la vapeur par l’extrémité I et se bifurquant à l’autre extrémité pour la conduire aux deux cylindres qui contiennent les pistons moteurs
B- Poignée du levier de changement de marche. Elle transmet le mouvement à la tringle C, qui le communique à la distribution de vapeur
C- Tringle du changement de marche
D- Partie inférieure de la boîte à feu contenant les grilles du foyer
E- Tuyau d’échappement de la vapeur après qu’elle a agi sur les pistons
F- Cylindre de fonte renfermant un piston moteur. De chaque côté de la locomotive il y en a un pareil. C’est afin de laisser apercevoir le piston qu’on a dessiné le cylindre entr’ouvert
G- Tringle qui sert à ouvrir le tiroir I pour laisser passer la vapeur dans le tube A. Dans le dessin, le mécanicien tient à la main le levier qui fait tourner cette tringle
H- Robinet de vidange de la chaudière
I- Tiroir s’ouvrant et se fermant à la main pour la prise de vapeur
K- Grande bielle motrice à fourchette réunissant la tête de la tige du piston à la manivelle M de la grande roue
L- Lampe et réflecteur servant à indiquer, pendant la nuit, l’approche de la locomotive
M- Manivelle qui transmet à l’essieu de la grande roue le mouvement du piston
N- Bouton d’attelage du tender qui suit la locomotive
O- Porte du foyer par laquelle le chauffeur introduit le coke
P- Piston métallique dont la tige s’articule à la bielle K
Q- Tuyau de la cheminée par lequel se dégagent la fumée ainsi que la vapeur qui sort des cylindres
R, R- Tuyaux conduisant l’eau du tender à deux pompes foulantes qui alimentent la chaudière, mais qui ne sont pas visibles dans le dessin
S- Chasse-pierre destiné à écarter les pierres ou tout autre objet encombrant la voie
T, T- Ressorts qui supportent la chaudière
U, U- Rails en fer maintenus sur la voie par des coussinets de fonte fixés eux-mêmes sur des traverses de bois
V- Encadrement de la boîte à étoupe des cylindres
X,X- Corps cylindrique de la chaudière, recouvert de douves d’acajou destinées à diminuer la perte de chaleur par leur faible conductibilité. On voit, au-dessous du tube A, jusqu’où s’élève le niveau de l’eau dans la chaudière. Au milieu même de l’eau sont des tubes de cuivre a, dans lesquels passent les produits de la combustion pour se rendre dans la boîte à fumée
Y- Boîte à fumée dans laquelle débouchent les tubes a
Z, Z- Boîte à feu surmontée d’un dôme dans lequel se rend la vapeur
a- Tubes de cuivre au nombre de 125, ouverts aux deux bouts et se terminant d’une part à la boîte à feu, de l’autre à la boîte à fumée. Ce sont ces tubes qui transmettent la chaleur du foyer à l’eau de la chaudière et la vaporisent
b- Secteur-guide placé sur le côté de la boîte à feu et portant des crans dans lesquels peut engrener le bras du levier B. Le cran extrême d’avant correspond à la marche en avant, le cran extrême d’arrière à la marche en arrière ; le cran du milieu est un point mort. Les crans intermédiaires entre celui-ci et les crans extrêmes donnent la détente pour la marche en avant ou en arrière
e- Étuis contenant des ressorts à boudin qui règlent le jeu des soupapes de sureté i
g- Sifflet d’alarme se faisant entendre à 2000 mètres
i- Soupape de sureté
m, m- Marchepieds pour monter sur le tablier de la locomotive
n- Tube de cristal placé devant le mécanicien, et indiquant le niveau de l’eau dans la chaudière, avec laquelle il communique par ses deux bouts
r, r- Guides destinés à maintenir en ligne droite le mouvement de la tête du piston
t, t- Robinets de purge après la mise en train et l’échauffement des cylindres
v- Tringle qui transmet le mouvement aux robinets de purge
Locomotive à dôme
Gravure d’une locomotive à dôme (l=5m68) extraite du livre Traité élémentaire de physique expérimentale et appliquée et de météorologie d’Adolphe Ganot (9e édition, 1860).
« Légende :
A- Tuyau de cuivre rouge recevant la vapeur par l’extrémité I et se bifurquant à l’autre extrémité pour la conduire aux deux cylindres qui contiennent les pistons moteurs
B- Poignée du levier de changement de marche. Elle transmet le mouvement à la tringle C, qui le communique à la distribution de vapeur
C- Tringle du changement de marche
D- Partie inférieure de la boîte à feu contenant les grilles du foyer
E- Tuyau d’échappement de la vapeur après qu’elle a agi sur les pistons
F- Cylindre de fonte renfermant un piston moteur. De chaque côté de la locomotive il y en a un pareil. C’est afin de laisser apercevoir le piston qu’on a dessiné le cylindre entr’ouvert
G- Tringle qui sert à ouvrir le tiroir I pour laisser passer la vapeur dans le tube A. Dans le dessin, le mécanicien tient à la main le levier qui fait tourner cette tringle
H- Robinet de vidange de la chaudière
I- Tiroir s’ouvrant et se fermant à la main pour la prise de vapeur
K- Grande bielle motrice à fourchette réunissant la tête de la tige du piston à la manivelle M de la grande roue
L- Lampe et réflecteur servant à indiquer, pendant la nuit, l’approche de la locomotive
M- Manivelle qui transmet à l’essieu de la grande roue le mouvement du piston
N- Bouton d’attelage du tender qui suit la locomotive
O- Porte du foyer par laquelle le chauffeur introduit le coke
P- Piston métallique dont la tige s’articule à la bielle K
Q- Tuyau de la cheminée par lequel se dégagent la fumée ainsi que la vapeur qui sort des cylindres
R, R- Tuyaux conduisant l’eau du tender à deux pompes foulantes qui alimentent la chaudière, mais qui ne sont pas visibles dans le dessin
S- Chasse-pierre destiné à écarter les pierres ou tout autre objet encombrant la voie
T, T- Ressorts qui supportent la chaudière
U, U- Rails en fer maintenus sur la voie par des coussinets de fonte fixés eux-mêmes sur des traverses de bois
V- Encadrement de la boîte à étoupe des cylindres
X,X- Corps cylindrique de la chaudière, recouvert de douves d’acajou destinées à diminuer la perte de chaleur par leur faible conductibilité. On voit, au-dessous du tube A, jusqu’où s’élève le niveau de l’eau dans la chaudière. Au milieu même de l’eau sont des tubes de cuivre a, dans lesquels passent les produits de la combustion pour se rendre dans la boîte à fumée
Y- Boîte à fumée dans laquelle débouchent les tubes a
Z, Z- Boîte à feu surmontée d’un dôme dans lequel se rend la vapeur
a- Tubes de cuivre au nombre de 125, ouverts aux deux bouts et se terminant d’une part à la boîte à feu, de l’autre à la boîte à fumée. Ce sont ces tubes qui transmettent la chaleur du foyer à l’eau de la chaudière et la vaporisent
b- Secteur-guide placé sur le côté de la boîte à feu et portant des crans dans lesquels peut engrener le bras du levier B. Le cran extrême d’avant correspond à la marche en avant, le cran extrême d’arrière à la marche en arrière ; le cran du milieu est un point mort. Les crans intermédiaires entre celui-ci et les crans extrêmes donnent la détente pour la marche en avant ou en arrière
e- Étuis contenant des ressorts à boudin qui règlent le jeu des soupapes de sureté i
g- Sifflet d’alarme se faisant entendre à 2000 mètres
i- Soupape de sureté
m, m- Marchepieds pour monter sur le tablier de la locomotive
n- Tube de cristal placé devant le mécanicien, et indiquant le niveau de l’eau dans la chaudière, avec laquelle il communique par ses deux bouts
r, r- Guides destinés à maintenir en ligne droite le mouvement de la tête du piston
t, t- Robinets de purge après la mise en train et l’échauffement des cylindres
v- Tringle qui transmet le mouvement aux robinets de purge