Montréal vers 1852. Brasserie Molson, rue Notre-Dame Est.
Archives nationales du Canada.
Daguerréotype montrant les ruines de la Brasserie de la famille Molson, rue Notre-Dame Est, dans le secteur de faubourg Québec. Certains bâtiments de l'ensemble que voici, dataient de la fin du XVIIIe siècle.
La photo est prise ici, depuis le coin Sud-Est des rues Notre-Dame et l'ancienne rue Monarque (prolongement Sud de la rue Papineau).
Une rare photographie témoignant de la destruction causée par le grand feu de 1852 (ou peut être s'agit-il de celui de 1858).
Le grand incendie de 1852, qui dévaste la presque totalité du faubourg Saint-Laurent, se propage jusqu'au faubourg Québec. La brasserie et la distillerie Molson, l'église St. Thomas et de nombreux bâtiments de bois sont détruits.
"Une étendue sauvage et fumante, couverte de cheminées ressemblant à une forêt de pins dévastée..." commente "The Montréal Gazette" de l'époque.
Nota: les établissements de la Brasserie Molson furent la proie des flammes à une seconde reprise, en 1858.
Montréal vers 1852. Brasserie Molson, rue Notre-Dame Est.
Archives nationales du Canada.
Daguerréotype montrant les ruines de la Brasserie de la famille Molson, rue Notre-Dame Est, dans le secteur de faubourg Québec. Certains bâtiments de l'ensemble que voici, dataient de la fin du XVIIIe siècle.
La photo est prise ici, depuis le coin Sud-Est des rues Notre-Dame et l'ancienne rue Monarque (prolongement Sud de la rue Papineau).
Une rare photographie témoignant de la destruction causée par le grand feu de 1852 (ou peut être s'agit-il de celui de 1858).
Le grand incendie de 1852, qui dévaste la presque totalité du faubourg Saint-Laurent, se propage jusqu'au faubourg Québec. La brasserie et la distillerie Molson, l'église St. Thomas et de nombreux bâtiments de bois sont détruits.
"Une étendue sauvage et fumante, couverte de cheminées ressemblant à une forêt de pins dévastée..." commente "The Montréal Gazette" de l'époque.
Nota: les établissements de la Brasserie Molson furent la proie des flammes à une seconde reprise, en 1858.