Saint-Vincent-de-Paul / Laval, vers 1900-1910. Le pont de la Pinière.
Document BAnQ
Carte postale
À cet endroit, le boulevard Lévesque traversait un petit pont de bois qui enjambait le ruisseau de La Pinière, avant de s'engager au Nord sur la Montée Masson (ancien chemin du Domaine).
Un premier pont est construit en 1732 à l'embouchure du ruisseau de la Pinière.
L'ancienne maison de ferme en pierre que l'on voit ici était, semble t-il, celle d'un certain Pierre Labelle. Construite vers 1750, cette ancienne demeure rurale est le seul vestige du premier noyau villageois de Saint-Vincent-de-Paul et, quoi que légèrement modifiée, existe toujours (voir ci-bas).
Ruisseau de la Pinède
Ce petit cours d'eau doit son nom à la forêt de Pins (Pinède) qui s'élevait autrefois à cet endroit comme en témoignent les archives de l'époque.
Ainsi, en 1674, le père Dalmas décrivait en ces termes le site privilégié de Saint-Vincent-de-Paul: " Je découvre une grande anse, terminée par un coteau (...). Ce coteau porte une belle Pinède et les Cèdres sont forts gros et fréquents tout le long de ces côtes".
Source: Itinéraire histoire et patrimoine / Histoire de raconter le Vieux Saint-Vincent-de-Paul.
BAnQ, BAC, 2010.
Collaboration: Jean-Marc Hurtubise
Saint-Vincent-de-Paul / Laval, vers 1900-1910. Le pont de la Pinière.
Document BAnQ
Carte postale
À cet endroit, le boulevard Lévesque traversait un petit pont de bois qui enjambait le ruisseau de La Pinière, avant de s'engager au Nord sur la Montée Masson (ancien chemin du Domaine).
Un premier pont est construit en 1732 à l'embouchure du ruisseau de la Pinière.
L'ancienne maison de ferme en pierre que l'on voit ici était, semble t-il, celle d'un certain Pierre Labelle. Construite vers 1750, cette ancienne demeure rurale est le seul vestige du premier noyau villageois de Saint-Vincent-de-Paul et, quoi que légèrement modifiée, existe toujours (voir ci-bas).
Ruisseau de la Pinède
Ce petit cours d'eau doit son nom à la forêt de Pins (Pinède) qui s'élevait autrefois à cet endroit comme en témoignent les archives de l'époque.
Ainsi, en 1674, le père Dalmas décrivait en ces termes le site privilégié de Saint-Vincent-de-Paul: " Je découvre une grande anse, terminée par un coteau (...). Ce coteau porte une belle Pinède et les Cèdres sont forts gros et fréquents tout le long de ces côtes".
Source: Itinéraire histoire et patrimoine / Histoire de raconter le Vieux Saint-Vincent-de-Paul.
BAnQ, BAC, 2010.
Collaboration: Jean-Marc Hurtubise