Vieux-Montréal, 1852. Jour de marché, rue Saint-Paul.
Collection privée, Toronto.
Aquarelle sur papier / James Duncan (1806-1881).
En cette journée d'hiver, à l'approche des Fêtes, il y a cohue au Marché Bonsecours. Les étals regorgent des produits des fermiers des environs. À droite, des ouvriers s'affairent à couper des billes de bois au bucksaw, des cordes de bois pour le chauffage des maisons.
Toujours à la faveur du genre anecdotique qu'affectionnait le peintre James Duncan, on peut voir la chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours dans sa version XVIIIe siècle (elle sera revampée vers 1880). À gauche, au faîte du pignon de l'église, on distingue une statue de la Sainte-Vierge côté port, en guise d'épi.
L'édifice du Marché Bonsecours est grandiose! Conçu par William Footner vers 1845, l'architecte s'était inspiré de l'édifice des douanes de Dublin. À l'extrême droite, plusieurs hôtels offraient le gite aux voyageurs comme au commerçants.
Vieux-Montréal, 1852. Jour de marché, rue Saint-Paul.
Collection privée, Toronto.
Aquarelle sur papier / James Duncan (1806-1881).
En cette journée d'hiver, à l'approche des Fêtes, il y a cohue au Marché Bonsecours. Les étals regorgent des produits des fermiers des environs. À droite, des ouvriers s'affairent à couper des billes de bois au bucksaw, des cordes de bois pour le chauffage des maisons.
Toujours à la faveur du genre anecdotique qu'affectionnait le peintre James Duncan, on peut voir la chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours dans sa version XVIIIe siècle (elle sera revampée vers 1880). À gauche, au faîte du pignon de l'église, on distingue une statue de la Sainte-Vierge côté port, en guise d'épi.
L'édifice du Marché Bonsecours est grandiose! Conçu par William Footner vers 1845, l'architecte s'était inspiré de l'édifice des douanes de Dublin. À l'extrême droite, plusieurs hôtels offraient le gite aux voyageurs comme au commerçants.