Montréal, 1831. Panorama depuis le mont Royal (détail).
Analyse détaillée d'un tableau réalisé en 1831 par le peintre irlandais James Duncan (1806-1881).
Musée McCord.
En 1831, le développement urbain s'arrête à la rue Sherbrooke. Au nord de cet axe, Montréal conserve encore son caractère champêtre, à témoin ces vaches broutant paisiblement dans un grand pré.
Le bâtiment qui apparaît au centre de ce détail figure parmi les premières belles Villas du secteur de la Côte à Baron. Il S'agit probablement d'une luxueuse demeure construite vers 1820 au coin Nord-Est de rue Sherbrooke et rue de Bleury (actuelle ave. du Parc, nommée ainsi après la création du Parc du mont Royal vers 1872).
À l'époque où James Duncan peint ce magnifique panorama, la rue de Bleury, au Nord de rue Sherbrooke, n'est encore qu'un chemin traversant la campagne montréalaise où on trouvait de nombreux vergers.
Vers 1900, la Villa accueillera la clinique du docteur Laforest (voir ci-bas).
Montréal, 1831. Panorama depuis le mont Royal (détail).
Analyse détaillée d'un tableau réalisé en 1831 par le peintre irlandais James Duncan (1806-1881).
Musée McCord.
En 1831, le développement urbain s'arrête à la rue Sherbrooke. Au nord de cet axe, Montréal conserve encore son caractère champêtre, à témoin ces vaches broutant paisiblement dans un grand pré.
Le bâtiment qui apparaît au centre de ce détail figure parmi les premières belles Villas du secteur de la Côte à Baron. Il S'agit probablement d'une luxueuse demeure construite vers 1820 au coin Nord-Est de rue Sherbrooke et rue de Bleury (actuelle ave. du Parc, nommée ainsi après la création du Parc du mont Royal vers 1872).
À l'époque où James Duncan peint ce magnifique panorama, la rue de Bleury, au Nord de rue Sherbrooke, n'est encore qu'un chemin traversant la campagne montréalaise où on trouvait de nombreux vergers.
Vers 1900, la Villa accueillera la clinique du docteur Laforest (voir ci-bas).