Île Sainte-Hélène, 1831. Depuis le port de Montréal.
Archives de la Ville de Montréal / Album Jacques Viger (1787-1858), "souvenirs canadiens"
Aquarelle de James Duncan, 1831.
"isle de saincte Elaine"
Nommée ainsi par Samuel de Champlain en 1611 en l'honneur de sa femme, Hélène de Champlain.
Propriété de Charles Lemoyne, seigneur de Longueuil dès 1665 et de sa descendance jusqu'en 1818. Le gouvernement britannique s'en porte alors acquéreur et, dans la foulée des guerres napoléoniennes, y fait construire un fort entre 1820 et 18214 (visible sur l'aquarelle) et une poudrière.
Île Sainte-Hélène, 1831. Depuis le port de Montréal.
Archives de la Ville de Montréal / Album Jacques Viger (1787-1858), "souvenirs canadiens"
Aquarelle de James Duncan, 1831.
"isle de saincte Elaine"
Nommée ainsi par Samuel de Champlain en 1611 en l'honneur de sa femme, Hélène de Champlain.
Propriété de Charles Lemoyne, seigneur de Longueuil dès 1665 et de sa descendance jusqu'en 1818. Le gouvernement britannique s'en porte alors acquéreur et, dans la foulée des guerres napoléoniennes, y fait construire un fort entre 1820 et 18214 (visible sur l'aquarelle) et une poudrière.