Montréal, vers 1912. L'ancien faubourg Sainte-Anne.
Document BAnQ / Albums des rues: E. Z. Massicotte.
Ce panorama nous permet de survoler l'ancien faubourg Sainte-Anne (Griffintown) qui à l'époque n'offrait qu'une bien piètre qualité de vie aux habitants de ce quartier populaire formé à majorité de familles de travailleurs. Littéralement enveloppé d'une épaisse fumée produite par la combustion du charbon crachée par les multiples cheminées d'usines qui s'y trouvaient.
Repérez ce secteur sur une carte de 1873
www.flickr.com/photos/urbexplo/50557972732
En 1912, Montréal n'est électrifiée que depuis à peine plus d'une vingtaine d'années mais déjà c'est un problème, la production d'électricité provenant de sources d'énergie fossile, principalement du charbon. Outre le dépôt de suie omniprésente sur tout l'environnement il en résulte une bien médiocre qualité de l'air taxant les habitants de ce quartier de différentes carences pulmonaires.
Ce qui explique, en partie, l'exode, pour les plus nantis, sur des terrains plus au Nord, à flanc de montagne, là où l'air était plus respirable et l'environnement plus vert.
Montréal, vers 1912. L'ancien faubourg Sainte-Anne.
Document BAnQ / Albums des rues: E. Z. Massicotte.
Ce panorama nous permet de survoler l'ancien faubourg Sainte-Anne (Griffintown) qui à l'époque n'offrait qu'une bien piètre qualité de vie aux habitants de ce quartier populaire formé à majorité de familles de travailleurs. Littéralement enveloppé d'une épaisse fumée produite par la combustion du charbon crachée par les multiples cheminées d'usines qui s'y trouvaient.
Repérez ce secteur sur une carte de 1873
www.flickr.com/photos/urbexplo/50557972732
En 1912, Montréal n'est électrifiée que depuis à peine plus d'une vingtaine d'années mais déjà c'est un problème, la production d'électricité provenant de sources d'énergie fossile, principalement du charbon. Outre le dépôt de suie omniprésente sur tout l'environnement il en résulte une bien médiocre qualité de l'air taxant les habitants de ce quartier de différentes carences pulmonaires.
Ce qui explique, en partie, l'exode, pour les plus nantis, sur des terrains plus au Nord, à flanc de montagne, là où l'air était plus respirable et l'environnement plus vert.