Vieux-Montréal, 1953. Coin Nord-Est des rues Saint-Jean-Baptiste et des Commissaires (actuelle rue de la Commune).
Archives de la Ville de Montréal
Ancienne maison-magasin J. Archambault
Construction: 1846
Le bâtiment a aussi une façade sur rue Saint-Paul
Voir: www.flickr.com/photos/urbexplo/7224977824
La construction de cet immeuble fut rendue possible grâce au prolongement de la petite rue Saint-Jean-Baptiste entre les rues Saint-Paul et des Commissaires (actuelle rue de la Commune). La Ville avait acheté le terrain, en 1841, après qu'on ait démoli l'ancienne maison de pierre qui s'y trouvait.
Le rez-de-chaussée dont on voit l'accès ici sur de la Commune, était occupé à l'origine par l'aubergiste John Gainer.
Dans les années 1950, le vénérable bâtiment n'a pas fière allure, il évoque même l'abandon. Une publicité peinte sur la pierre mentionne ...M'S CAFÉ EKERS (probablement CREAM'S CAFE ), une taverne qui devait occuper le rez-de-chaussée dans les années 1940-1950, fréquentée à l'époque surtout par les débardeurs et marins du port de Montréal.
Ce bâtiment fut sauvé de la démolition, restauré et revitalisé.
Vieux-Montréal, 1953. Coin Nord-Est des rues Saint-Jean-Baptiste et des Commissaires (actuelle rue de la Commune).
Archives de la Ville de Montréal
Ancienne maison-magasin J. Archambault
Construction: 1846
Le bâtiment a aussi une façade sur rue Saint-Paul
Voir: www.flickr.com/photos/urbexplo/7224977824
La construction de cet immeuble fut rendue possible grâce au prolongement de la petite rue Saint-Jean-Baptiste entre les rues Saint-Paul et des Commissaires (actuelle rue de la Commune). La Ville avait acheté le terrain, en 1841, après qu'on ait démoli l'ancienne maison de pierre qui s'y trouvait.
Le rez-de-chaussée dont on voit l'accès ici sur de la Commune, était occupé à l'origine par l'aubergiste John Gainer.
Dans les années 1950, le vénérable bâtiment n'a pas fière allure, il évoque même l'abandon. Une publicité peinte sur la pierre mentionne ...M'S CAFÉ EKERS (probablement CREAM'S CAFE ), une taverne qui devait occuper le rez-de-chaussée dans les années 1940-1950, fréquentée à l'époque surtout par les débardeurs et marins du port de Montréal.
Ce bâtiment fut sauvé de la démolition, restauré et revitalisé.