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Tout le monde connait à Marseille la "Cité radieuse" (surnommée "La maison du fada") réalisée par Le Corbusier et édifiée entre 1947 et 1952.
Mais savez-vous qu'il en a construit d'autres sur le même modèle ? Une à Rezé en Loire-Atlantique (1953-1955), une à Berlin en Allemagne (1957), une à Briey en Meurthe-et-Moselle (1959-1960) et la dernière à Firminy dans la Loire (1967).
La cité radieuse de Briey érigée pour l'OPHLM, est menacée de destruction dans les années 1980. Elle est depuis progressivement réhabilitée.
En 2010, après trois ans de travaux les façades sont restaurées et l'unité d'habitation a retrouvé sa polychromie d'origine.
Voici quelques photos de cet immeuble situé en Lorraine.
twitter.com/Memoire2cite?fbclid=IwAR3JmEG0v02xG5uFvJNSn_x... - Après 1945, les collines agricoles du sud-est de la ville connaissent un programme d’urbanisation de grande ampleur pour répondre à la crise du logement. Près de 4600 logements sociaux vont ainsi être construits en quatre tranches successives de 1953 à 1970 : Beaulieu, la Marandinière, Montchovet, la Métare et la Palle formant aujourd’hui les quartiers sud-est. Touché par la crise économique et urbaine de dingue, le secteur sud-est apparaît à la fin des années 1990 comme un espace monofonctionnel dédié en totalité à l’habitat locatif social et porté par un seul bailleur l'OPAC devenu Métropole Habitat. Bien que bénéficiant de nombreux atouts (accessibilité et environnement agréable...), le quartier souffre du gigantisme de son urbanisation et du manque de résidentialisation des unités d’habitation. Par une action en profondeur et dans la durée, la Ville de Saint-Étienne, à travers son Programme de Rénovation Urbaine (PRU), a amorcé une transformation durable du quartier depuis 1989 avec la 1ere demolition du programme à la rue Pierre Loti le 31 janvier 1989 (BANLIEUE89), 30 ans de renouvellement urbain sur la ville.... une ville pilote en la matiere des 1990. Aujourd'hui et demain Les quartiers sud-est vont poursuivre leur mutation, avec l’appui continu de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine et ses partenaires l'ANRU2. Développer le secteur économique
L'objectif est de dynamiser l’économie dans ce territoire en portant de nouveaux projets et en restructurant l’offre commerciale de proximité. La Ville de Saint-Étienne a prévu la création de nouvelles zones d’activités permettant l’accueil d’entreprises. Ainsi une zone d’activités économiques, rue Pierre Loti, répondra aux besoins fonciers des entreprises et des artisans locaux. Ce projet de zone économique, en visibilité directe de la RN 88, permettra l’implantation d’une cinquantaine d’entreprises et la création de 300 emplois. Un nouveau centre commercial sur le secteur de la Marandinière, couplé à la démolition des centres commerciaux de la Palle et Sembat, permettra de restructurer et moderniser l’offre commerciale de proximité. Renouveller l'offre d'habitat Une qualité résidentielle s’affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d’habitat variée qui émerge depuis plusieurs années. Les nombreuses démolitions réalisées et à venir (Boulevard des Mineurs en 2018 et immeubles Loti en 2020), ainsi que les réhabilitations d’immeubles en cours, vont permettre de diversifier l’offre de logements. L’un des objectifs du projet urbain est donc de conforter la vocation résidentielle du quartier en stimulant l’offre et en accompagnant des projets comme la construction de logements passifs sur le secteur de Beaulieu, la transformation de l’ancienne école Baptiste-Marcet et la réhabilitation de logements à Monchovet. Améliorer le cadre de vie des habitants
Les quartiers sud-est bénéficient d’un environnement naturellement riche et varié, à l’interface entre les grands parcs de la ville (jardin des Plantes, parc de l’Europe, Bois d’Avaize) et le Pilat. Le projet urbain de la Ville de Saint-Étienne prévoit de relier ces espaces naturels entre-eux avec la création d’une continuité verte, qui permettra aux marcheurs et autres randonneurs de bénéficier d’un véritable réseau de chemins autour de la commune. Le boulevard Alexandre-de-Fraissinette, véritable colonne vertébrale du quartier, et la rue Pierre-Loti seront entièrement revus pour assurer un meilleur partage de l’espace entre tous les modes de déplacements (voiture, vélo et piéton) et assurer un maillage inter-quartiers plus efficace. fr.calameo.com/read/0005441131b4119eaa674
Depuis 2014, la rénovation urbaine dans les quartiers sud-est s’est traduite par de nombreux travaux: la construction du centre commercial de la Grande Marandinière, l’aménagement d’un lotissement de treize maisons individuelles passives, impasse Clémenceau, les rénovations des écoles de Montchovet et de Beaulieu, la réhabilitation de locaux rue Henri-Dunant (pour y installer la Maison des associations), et enfin les démolitions récentes du centre commercial du boulevard de la Palle et d’un garage, au 41 rue de Terrenoire.Démolitions mais aussi constructions sont au programme. Plusieurs acteurs entrent en jeu dans le financement de ces projets, notamment l’ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) mais aussi la Ville, le Département et la Région. Ainsi, le contrat avec l’ANRU, signé le 14 mars, dégage une somme de 23 millions d’euros, somme à laquelle il faut ajouter 3,3 millions d’euros de la Région. Pour les années à venir, les objectifs visent à la poursuite du développement économique, de la mutation de l’habitat par des constructions individuelles ou de petits immeubles, des démolitions ponctuelles, de la valorisation des espaces publics et du renforcement des espaces du quartier. Deux secteurs sont concernés : Loti et la Grande Marandinière. Le 11 AVRIL 1964, le développement de la ville de Saint Etienne, et ses travaux ..La ville de Saint Etienne se développe tout comme l'ensemble du territoire... Pour accompagner cet accroissement de population, de nouveaux quartiers se construisent aux abords de la ville chaque jours. Et pour faire face aux problèmes de circulation, un boulevard périphérique a été aménagé. Réalisé à l'occasion de la construction de la déviation sud de l'autoroute de Saint Etienne, ce reportage témoigne de la visite du sénateur maire de la ville, Mr. Michel DURAFOUR, sur le chantier du tunnel de la déviation. Accueilli par Mr. Rocher, président de la société forêzienne de travaux publics, Michel DURAFOUR découvre avec les membres du conseil municipal l'avancée des travaux. (voir aussi le chantier de l A 47 avec la video du tunnel du rond-point içi : www.ina.fr/video/LXC9610041788 . Ce quartier est né des programmes de grands ensembles mis en œuvre à partir des années 1950 afin de réduire la pénurie de logements. La mairie choisit donc de développer un quartier moderne 4 600 logements en HLM pour pouvoir loger plus de 30 000 habitants avec des loyers modérés dans des bâtiments modernes. Ce quartier avait comme emblème un des plus grands immeubles d’Europe surnommé la Muraille de Chine qui était visible depuis l’autoroute. Ce quartier s’est construit en quatre tranches : Beaulieu I (Beaulieu) de 1953 à 1955 ; Beaulieu II (La Marandinière) en 1959 ; Beaulieu III (Montchovet) en 1964 ; Beaulieu IV (La Palle) en 1971. Il est aujourd’hui en profonde mutation avec un programme de renouvellement urbain qui prévoit la démolition de plus 1000 logements et la reconstruction de 250. Bâtiments spécifiques : CHPL (Centre Hospitalier Privé de la Loire) qui remplace la Muraille de Chine ; Ecole Nationale d'ingénieurs de Saint-Etienne Un modèle de l'urbanisme des années 1950. Beaulieu-Montchovet: La ville choisit de construire un immense quartier neuf de plus de 4.600 logements, prévu pour loger 30.000 habitants, sur les basses pentes du Pilat, à la sortie sud-est de Saint-Etienne.Entre les forêts, qui seront classées parc naturel quelques années plus tard, et les quartiers chics du cours Fauriel, c'est un des endroits les mieux situés de la ville.C'est aussi le seul grand emplacement proche du centre où il n'y aie pas eu de mines, parce que les couches de charbon s'arrêtent juste avant : le terrain est assez solide pour supporter de gros immeubles. Içi le chantier de construction de MONTCHOVET soit Beaulieu 3, la continuitée des constructions HLM de nos quartiers sud-est (les chantiers de l'OPAC) , la vidéo içi :
www.ina.fr/video/LXF99004401 .
Retour sur son historique de 1962 à aujourd'hui e n 2018.
Un grand-Ensemble qui rappelle combien la politique d'urbanisme des années 1960 et suivantes a été conduite en dépit du bon sens la video içi www.google.fr/search?q=montchovet+ina&oq=montchovet+i... et là www.ina.fr/video/CAC00029801 , mais aussi içi www.ina.fr/video/CAC00029801 - avec Claude BARTOLONE içi avec la Visite à Saint Etienne du ministre délégué à la ville le jour de la démolition de la muraille de Chine. Rencontre avec des associations pr discuter du futur du quartier Montchovet. www.ina.fr/video/LY00001263573 - fresques.ina.fr/rhone-alpes/fiche-media/Rhonal00046/demol... - et les differentes videos de la demolition la encore : La démolition de la "muraille de Chine" de Saint Etienne www.youtube.com/watch?v=aq1uOc6Gtd0, www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc terrible :( ^^ l interview de Michel Thiolliere Le Grisou.fr a interviewé Michel Thiollière, ancien maire de Saint-Etienne et sénateur de la Loire, membre du Parti radical et actuel vice-président de la Commission de régulation de l'énergie. Il livre son analyse sur les prochaines échéances politiques, notamment la campagne des municipales en cours à Saint-Etienne, les alliances de la droite et du centre, mais aussi le mandat de Maurice Vincent. Michel Thiollière s'attarde également sur les besoins de l'agglomération stéphanoise et évoque les enjeux énergétiques en France.(Interview : Maxime Petit -- Réalisation : Studios Bouquet) www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48,"François Mitterrand, après la visite de deux quartiers -l'un à Saint Etienne et l'autre à Vénissieux, inscrits sur la liste de ceux à réhabiliter -, parle du plan de réhabilitation pour de meilleures conditions de logement.François Mitterrand / Georgina Dufoix / Gilbert Trigano / François Dubanchet / Marcel Houël Thèmes : Grands travaux et grands projets
Le Président > 1er septennat 1981-1988 > 1981-1986 Éclairage
Depuis la fin des années 1970, la région lyonnaise apparaît comme l'épicentre des violences urbaines qui se déroulent en France. Durant l'été 1981, des violences urbaines ont conduit le gouvernement à engager le plus tôt possible une nouvelle politique en faveur des quartiers dégradés. Malgré les premières opérations de réhabilitation engagées par la Commission nationale pour le développement social des quartiers, la situation demeure extrêmement tendue dans un certain nombres de quartiers populaires. L'assassinat d'un jeune de la Cité des 4 000 par un habitant en juillet 1983 a ravivé les débats autour du thème du "mal des grands ensembles" selon l'expression de l'époque. D'autre part, le contexte politique conduit également le pouvoir à s'intéresser encore davantage à la question de la dégradation urbaine dans la mesure où de très nombreux quartiers populaires n'ont pas cette fois-ci apporté leurs suffrages aux candidats de la gauche.La visite de François Mitterrand dans deux quartiers dégradés de la région lyonnaise constitue donc un signal fort à l'égard des populations qui y vivent. Ce déplacement fait également écho à celui réalisé quelques jours plus tôt au sein de la Cité des 4 000 à La Courneuve en Seine Saint Denis (voir Visite de François Mitterrand à La Courneuve). Le principe est d'ailleurs le même et il est exprimé par le président de la République : voir par lui-même l'état réel de ses quartiers. Le fait qu'il soit mentionné dans le reportage que "ces visites surprises" se soient faites dans la "plus grande discrétion" (notamment sans les élus locaux concernés) marque effectivement la volonté du président de la République d'établir une sorte de lien direct avec les habitants qui vivent dans ces quartiers. Il ne s'agit pas de faire l'annonce de nouvelles mesures mais "de voir les choses par moi-même" selon l'expression utilisée par François Mitterrand lors de son allocution à la Préfecture à Lyon. Au moment où la Commission nationale pour le développement social des quartiers établit la liste définitive des 22 quartiers qui bénéficieront d'un programme de réhabilitation, la visite du président de la République sur le terrain suggère une forme de "présidentialisation" du thème de la réhabilitation des grands ensembles.La création au même moment de Banlieue 89 suscitée par deux architectes proches de François Mitterrand, Roland Castro et Michel Cantal-Duparc, suggère également l'intérêt du président de la République pour les questions urbaines (voir Inauguration de l'exposition organisée par Banlieue 89)."http://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00106/visite-de-francois-mitterrand-a-saint-etienne-et-aux-minguettes.html Journaliste
Visites surprises qui se sont déroulées dans la plus grande discrétion, seule Madame Georgina Dufoix, Secrétaire d’Etat à la Famille et aux Immigrés, Monsieur Gilbert Trigano, le PDG du Club Méditerranée qui participe à la Commission Dubedout, et deux collaborateurs du Chef de l’État étaient présents. Ni à Saint-Étienne, ni à Vénissieux, les autorités locales n’y ont participés. Peu avant midi, le Président est arrivé à la Préfecture du Rhône à Lyon où s’est déroulée pendant 45 minutes une séance de travail avec les élus locaux et notamment Messieurs Dubanchet, Maire de Saint-Étienne et Houël, Maire de Vénissieux. Réunion qui a donné l’occasion d’aborder les problèmes de fond, devait souligner François Mitterrand.(Bruit)François Mitterrand
Les deux quartiers que je viens de visiter, celui de Montchovet à Saint-Étienne et celui de Monmousseau à l’intérieur des Minguettes sur la commune de Vénissieux, sont inscrits sur la liste des 22 quartiers à réhabiliter, retenus, proposés par la Commission Dubedout devenue la Commission Pesce, et retenus par le Gouvernement. Et je compte appliquer nos efforts pour qu’effectivement, ces quartiers soient réhabilités, c’est-à-dire, soient habitables. Qu’on y trouve, pour ceux qui y vivent, euh, suffisamment de convivialité, de capacité de développer une famille et, euh, revenant de son travail quand on en a, de pouvoir vivre avec les autres. Les conditions de logement, la construction de ces ensembles, les liaisons avec l’extérieur, l’école, le sport, les espaces verts, bref, l’espace tout court, contribuent, vous le comprenez bien à, au futur équilibre, ou contribueront au futur équilibre de ces quartiers. Alors, je préfère voir les choses par moi-même. Il faut bien se dire que à l’origine de nombreux désordres sociaux se trouvent ces fâcheuses, ces déplorables conditions de vie. Et moi, je veux lutter contre ces désordres et pour cela, il faut que je m’attaque avec le Gouvernement et ceux qui ont la charge auprès de moi, je veux absolument m’attaquer aux sources d’un malaise et d’un déséquilibre social qui sont d’une immense ampleur. Raison de plus pour commencer par un bout avec énergie et continuité. Et de ce point de vue, je compte bien, au cours des semaines et des mois à venir, persévérer dans cette enquête personnelle qui me permet ensuite de donner des instructions précises à ceux qui participent à la gestion de l’État., à Saint-Étienne comme dans les communes de sa proche banlieue. Une sorte de grand monument à la gloire des HLM, comme si on avait fait exprès de la faire aussi énorme pour montrer comme les gens étaient fiers de ce quartier. Autour on construit tout ce qu'il faut pour les habitants : une école, Montchovet, qui donne sur le grand pré derrière, une MJC, une piscine, un centre commercial, avec la Poste, plus tard le bureau de police. En 1978, comme les enfants des habitants grandissent, on ouvre un deuxième collège dans la ZUP. Il prendra le nom de Jean Dasté, qui a créé la Comédie de Saint-Etienne, le plus grand théatre de province en France, et son école de comédiens. Après 1984 les loyers des HLM ont augmenté, beaucoup d'habitants sont partis. La population de Saint-Etienne diminue surtout dans les quartiers sud : beaucoup de gens déménagent vers la plaine du Forez, moins froide, où il y a la place de batir des maisons. On a rénové beaucoup d'appartements anciens en ville : la crise du logement est finie. On ne sait même plus qu'elle a existé. Les ZUP ont vieilli et la plupart des gens préfèrent se loger dans des appartements récents. Alors on ferme : le collège de Beaulieu, l'école de la Marandinière, la Poste. La Muraille coute très cher à entretenir : il n'y a plus asssez d'habitants pour payer les frais. Les HLM ont décidé de la détruire: c'est le plus gros projet de démolition jamais réalisé en Europe. Les familles qui restaient ont du déménager. On va faire exploser la Muraille de Chine au printemps de l'an 2000. Peut être qu'il fallait le faire, mais pour les gens du quartier c'est un gros morceau de notre Histoire qu'on nous détruit.
1954: les premiers travaux à Beaulieu : la campagne devient une ville à grands coups de bulldozer..
Le projet est de construire en grande quantité des logements de bonne qualité, avec tout le confort, des chambres pour les enfants, l'eau, le chauffage central, des sanitaires, des arbres et des pelouses, et surtout .... des loyers accessibles pour tous. Ce seront les Habitations à Loyers Modérés, les HLM.
Il faudra les construires en dehors des villes, pour en finir avec le mélange des industries et des logements, qui amène le bruit et la pollution. Y prévoir tous les équipements : commerces, écoles, collèges, lycées, transports, parcs, équipements sportifs, police, pompiers, Postes. Construire des villes entières où tout le monde aura accès à ce qui n'était encore que le luxe de quelques gens très riches.
Cinq villes sont choisies pour être prioritaires : Paris ( Pantin ) et Lyon ( Bron-Parilly) à cause de leur taille, Angers et Rouen détruites dans les bombardements de 1944, Saint-Etienne, la ville la plus sinistrée de France pour le logement. C'est là que naissent les cinq premières Zone à Urbaniser en Priorité, les ZUP, modèles de l'urbanisme pour toute une génération. Elles ne s'appellent pas encore comme ça : on les construites avant que l'expression de ZUP existe, c'est de leur réussite que naitra le modèle repris partout pour lequel on inventera le mot plus tard.
Beaulieu I: le projet d'urbanisme
Maquette de 1953 - Projet des architectes Gouyon-Clément
Une architecture géométrique, de grands espaces, des arbres, des formes qui soulignent le relief.
La ZUP de Beaulieu est construite en quatre tranches:
- Beaulieu I ( Beaulieu ) de 1953 à 1955
- Beaulieu II ( La Marandinière ) en 1959
- Beaulieu III ( Montchovet ) en 1964, dont fait partie la Muraille de Chine, le grand immeuble le long du boulevard à gauche.
- Beaulieu IV ( La Palle ) en 1971
Le quartier:
Au premier plan, en bas à droite Beaulieu, la Marandinière est à droite derrière l'autoroute, Montplaisir à gauche, Monchovet au milieu, le long du boulevard de la Palle.
A gauche des tennis, les batiments du collège de Beaulieu. C'était l'autre collège de la ZEP, le seul collège "sensible" de France a avoir été fermé, en 1995.
Nouvelles techniques, nouveaux matériaux :
Construire vite pour un prix raisonnable oblige à inventer de nouvelles techniques, d'autant que l'on manque de travailleurs qualifiés.
La construction s'industrialise: immeubles à structure porteuse ( des poteaux en béton armé tiennent les dalles, ce ne sont plus les murs qui soutiennent les immeubles ), murs rideaux ( les murs sont fait de morceaux préfabriqués accrochés aux dalles ), éléments standardisés ( les éléments: murs, tuyauterie, portes et fenêtres, sanitaires, etc... sont tous identiques, fabriqués en usine en grande série, installés de la même façon dans tous les immeubles ), nouveaux matériaux ( matières plastiques, béton armé, acier ) qui ne s'utilisaient pas dans la construction traditionnelle.
Cela permet de diminuer les prix, en automatisant les fabrications, mais aussi parce qu'on peut utiliser des ouvriers beaucoup moins qualifiés, qui ne font que du montage et que l'on paye moins cher.
Bien après les gens se plaindront de ces appartements tous identiques, de ces matériaux peu agréables, de la taille inhumaine des batiments.
Mais à l'époque il faut compter deux à trois ans d'attente pour obtenir un appartement dans le quartier. Les familles sont si contentes de leur quartier tout neuf que les collègiens qui prennent le bus emportent une paire de bottes en plus de leur chaussures pour aller des immeubles à l'arrêt de bus : pas question de ramener de la boue dans les bus ou dans les escaliers.La crise du logement:
1950 : la France connait la pire crise du logement de son Histoire. La crise économique de 1929 puis la guerre de 1939-1945 ont arrêté la construction de logements, déja insuffisante avant 1930, pendant plus de vingt ans.
La France est au maximum du "baby-boom" ( période de très forte natalité qui commence à la fin de la guerre ) : les 40 millions de français de 1950 font deux fois plus de bébés que les 60 millions d'aujourd'hui. La très forte croissance économique relance l'immigration. Plus de la moitié des familles sont mal logées alors que la France commence la plus forte croissance démographique de son Histoire.
La IV° République, héritière du programme de la Résistance donne la priorité aux besoins sociaux : école, santé, logement, sur la rentabilité financière. L'Etat, les villes, sont décidés à investir dans le logement, qui est déclaré prioritaire dans le Plan d'organisation de l'économie.
Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.
Une barre d’habitation innovante
A l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.
Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons.
Conception et réalisation d’un quartier entier
Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période.
Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaonique
Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville.L’avis de l’architecte
De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. St-Etienne Cimaise Architectes -
Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?
La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits.Que prévoit-on pour la reconstruction?Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée.C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.Cela paraît paradoxal, pour du logement social!
Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»!On croit rêver...
C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques.Pourquoi cette différence?
Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer.Dans quels domaines?Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour? A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...
C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.
Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?
La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.
Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?
Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.
Culturellement, la ville est aussi très active...
Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.
La population comprend-elle cette volonté?
Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour.Le chantier de l'autoroute de Saint Etienne 01 nov. 1965, la video içi www.ina.fr/video/LXC9610041788 - ST-Etienne,Montchovet (Beaulieu III) "la Muraille de Chine" construction 1962-1964, architecte HUR/FARRAT/GOUYON.
Rappelez vous...Aout 1983, François Mitterand, se déplace incognito à la Muraille de Chine à Saint-Etienne. Quelques mois plus tard, la grande réhabilitation de cette barre d’habitation sera lancée.
& le 24 octobre 1987 : visite officielle à Saint-Etienne. Il retourne à La Muraille de Chine pour constater les travaux. Le même jour il se rendra à Saint-Chamond et Roanne.
« En 1983, le président s’est rendu à Montchovet à l’improviste »
François Mitterrand est venu une première à Montchovet en 1983 incognito. Pourquoi une telle démarche ?
C’est l’architecte Roland Castro qui a convaincu le président d’aller dans des quartiers populaires. Son but était de lui montrer où vivaient les gens à cette époque et qu’il fallait entreprendre un programme de rénovation.
François Mitterrand m’a appelé et m’a dit d’organiser trois ou quatre » descentes » sur le terrain mais le président ne voulait ni policiers, ni gendarmes. Il m’a simplement demandé d’avertir, par correction, le préfet une fois arrivé. C’était d’ailleurs le meilleur gage de sécurité car lorsque vous n’êtes pas attendu, il n’y a pas de risques. Nous sommes donc allés à Saint-Etienne à Montchovet, aux Minguettes à Lyon, dans le 93.. et, à chaque fois, à l’improviste
> Quelle a été la réaction des habitants ?
Ils étaient très étonnés de croiser le président de la République dans leur cage d’escaliers ! Partout, nous avons reçu un accueil très chaleureux.
Nous étions quatre : le président, Roland Castro, un policier et moi-même. Je me souviens qu’aux Minguettes, le président a été invité par une famille pour boire le thé. Les habitants étaient très heureux que le président s’intéresse à eux.
> Comment François Mitterrand a-t-il réagi en voyant la vie de ses quartiers ?Il était fasciné. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était, pour lui, une découverte mais il était un rural et le fait de se confronter à la vie de ces gens qui vivaient dans de grandes barres fut enrichissant.> Ces visites impromptues ont-elles été suivies d’effets ?Oui car la mission Banlieues 89 est née de ces visites de terrain. Ce fut d’ailleurs la naissance de la politique de la ville.> En 1987, cette fois, la visite fut officielle - Proposer de nouveaux logements dans une démarche environnementale forte. Dans la poursuite des opérations engagées depuis 2001 (démolition de la Muraille de Chine en 2000, implantation du CHPL, de l ’AIMV en 2005), une qualité résidentielle s'affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d'habitat variée (en forme comme en type de produits). Le dynamisme du quartier s'appuie sur l'accueil et le développement de services, d'activités économiques et d'équipements d'agglomération (centre nautique, Nouveau Théâtre de Beaulieu...) et de proximité (salles de sport, travaux dans les écoles). Les atouts paysagers du site sont pleinement exploités dans une démarche environnementale forte. L'aménagement des espaces libres et la requalification des axes structurants et de desserte renforcent les liaisons internes aux quartiers et les ouvrent sur l'ensemble de la ville. Beaulieu, un patrimoine de qualité, valorisé et adapté à ses occupants
40 logement ont été adaptés au vieillissement de leur occupants (bacs à douche, volets électriques, aménagement des ascenseurs, …). L'amélioration des espaces extérieurs, résidentiels ou publics (rue K.Marx, square Renoir, allée Clémenceau) viendra rendre plus conviviaux ces lieux de vie partagés. Petite Marandinière : une cité jardin qui se rénove en gardant son caractère Sur la Petite Marandinière, 320 logements de Métropole Habitat ont été rénovés. Les bâtiments ont été transformés pour arriver à 32 logements, avec création de T3, T4, et T5 en tenant compte de la rénovation thermique et du confort des logements. 54 logements ont été construits, répartis en 6 bâtiments à l'architecture contemporaine et fonctionnelle (surfaces généreuses, double ou triple orientation, terrasse ou loggia). En parallèle, les espaces publics ont été réaménagés dans une démarche environnementale durable et innovante : résidentialisation et embellissement des espaces extérieurs, traitement paysager d'ensemble, requalification des voiries et des circulations douces adaptées aux usages, gestion optimisée du stationnement et des eaux pluviales...Une nouvelle mixité pour le quartier : les maisons de ville "Jardins Sembat" 22 maisons de ville (du T3 au T5) ont été construites à l’angle de la rue Marcel Sembat et du boulevard de Fraissinette. Conçu et développé par l'équipe XXL-Civita-Spirit, ce projet se caractérise par la qualité de la construction (matériaux durables, aménagement soigné des espaces extérieurs…) et par la mise en valeur paysagère du site, ouvert sur les collines du Pilat. 3 types de maisons ont été proposées en location libre : maisons jumelées le long du boulevard de Fraissinette, maisons en pente en fond de parcelle adossée au talus, maisons patio au cœur de l’îlot. Un nouveau centre nautique sur le secteur Loti Souhaité par les habitants, exemplaire d’une démarche participative de coproduction, le centre nautique Yves Naime a été ouvert à l'été 2013, en remplacement de l'ancienne piscine de la Marandinière. Ce centre nautique comprend un bassin sportif (25m, 6 lignes d'eau), un bassin destiné aux activités ludiques (bains bouillonnants, aquagym...), une pataugoire et des plages extérieures.Grande Marandinière : un secteur d'habitat en développement . Après la démolition de la barre Sisley et celle en cours de la barre Féguide, c'est un nouveau quartier qui se dessine sur ce secteur. La reconfiguration de la rue Sisley en voie de promenade avec des vues en belvédère et l'aménagement d'une « coulée verte » ont profondément modifié le paysage urbain du secteur. Ce nouvel environnement a permis à Métropole Habitat de réaliser un programme immobilier de 27 logements locatifs. Dans ce bâtiment collectif moderne et fonctionnel, chaque logement comporte un espace extérieur privatif, balcon ou terrasse. Au rez-de-chaussée, des locaux d'activités (centre social espace-loisirs) ou de services sont déployés le long de la nouvelle rue Sisley. La Palle : des résidentialisations de qualité
La résidentialisation des immeubles du boulevard de la Palle apporte aux habitants de nouvelles terrasses privatives en rez-de-chaussée, des espaces en cœur d’îlots plus agréables, et de nouveaux parcours piétonniers avec aires de jeux. Elle s’accompagne de la réhabilitation des immeubles (réfection des façades, changement des garde-corps…). Des opérations de résidentialisation ont été menées immeuble par immeuble de 2006 à 2009. Elles permettent de définir les limites entre les parties publiques ouvertes à tous, et les parties privées. Des petits jardins privatifs sont ainsi aménagés pour chaque logement de rez-de-chaussée.
Le Pont Aven : du logement social à haute performance environnementale
Développé par Métropole Habitat, le Pont-Aven est un exemple en matière de construction écologique. Il accueille 20 logements sociaux du T2 au T5. L’ensemble de la conception du bâtiment intègre des critères environnementaux : parois extérieures en brique mono-mur, eau chaude solaire, chauffage collectif au gaz naturel, ventilation intérieure à double flux pour une meilleure circulation de l’air, équipements électriques et sanitaires économes en énergie. La toiture végétalisée permet quant à elle une meilleure conservation de la fraîcheur en été, les auvents du toit protègent les fenêtres du soleil et les eaux de pluie seront récupérées pour arroser les espaces extérieurs…Résultat : une diminution des rejets en CO2 et une baisse significative des charges de chauffage pour les locataires.
Favoriser l'accessibilité et les relations inter-quartiers Le réaménagement du boulevard de la Palle a favorisé une meilleure desserte du quartier en transports en commun. Une station de taxis, des pistes cyclables et des pelouses ont été aménagées le long du boulevard, sécurisant ainsi la traversée piétonne entre les terrasses Roinat et le centre hospitalier. A l'intérieur du quartier, la trame piétonnière a été développée dans le principe d'une continuité paysagère entre les différents secteurs. Initiée avec l’aménagement des terrasses Roinat, une coulée verte, nouveau poumon vert du quartier, facilitant la circulation des piétons et des cyclistes, relie désormais le boulevard de la Palle, et plus loin le bois d'Avaize, au Parc de l'Europe. - Après la seconde guerre mondiale, un immense chantier s'ouvre en France dans le but de loger massivement une population démunie, les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre , le film parle de St-Etienne entre autre avec les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée : www.dailymotion.com/video/xgj74q .
Jusqu'au milieu des années 1970, cette période dite des « Trente Glorieuses l'après guerre et montre la plupart des grandes réalisations de 1945 à 1960. A travers les exemples de la région parisienne et de quelques grandes villes françaises sont posé les problèmes de la diversité architecturale, de l'esthétique et de l'harmonie entre le passé et l'avenir. Les images montrent les grands ensembles de Beaulieu, la Marandiniére, à Saint-Etienne, la cité le Haut du Lièvre à Nancy, des cités à Sarcelles, Asnières, Bron-Parilly, Epinay, Pantin, Bobigny, la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille, le front de mer à Royan, la video de l'Année 1962, une réalisation de Philippe Brunet içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz » fut le terrain de nombreuses expérimentations architecturales et urbanistiques, fondées notamment sur les idées émises plus tôt dans le siècle par le Mouvement moderne.
Aujourd'hui, ces ensembles bâtis sont au cœur d'une autre actualité, liée à leur adaptation à l'évolution des modes de vie de notre société contemporaine. Cette question qui se posa dès la fin des années 1970 apparaît sous un jour nouveau, avec les premières démolitions dans les années 1980 et, plus récemment, le vaste programme de réhabilitation mis en place dans le cadre de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain.
Après Les Grands Ensembles. Une histoire qui continue…, ce nouvel ouvrage, fruit de la collaboration entre l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et l'Université Jean Monnet, apporte un éclairage nouveau sur cet héritage bâti, mettant au jour simultanément la question de son vécu et celle des acteurs engagés dans son édification. En réunissant quinze auteurs spécialistes de ce domaine, il s'agit de regrouper autant de points de vue, pour comprendre la diversité et la complexité des enjeux liés à la postérité de ce bâti. - « Petite enquête sur Beaulieu – Le Rond-Point », La Tribune du centre et du sud-est, 13 octobre 1955 et « Le chantier de Beaulieu – Le Rond-Point (1ère tranche) sera terminé le 30 juin 1956 très exactement »,La Tribune du centre & du sud-est, 26 juin 1956 -
«St-Etienne, la place des grands ensembles dans l’histoire de l’habitat social français »
Saint-Étienne/Beaulieu, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la cité de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 boutiques. Des parrains prestigieux et l’élite de l’architecture sté- phanoise sont mobilisés pour ce premier grand ensemble local.
Tantôt les bâtiments suivent le dessin de la courbe de niveau 600, devenue rue Le Corbusier, tantôt ils s’installent perpendi-culairement à la pente, reliés à la rue par des passerelles ou de grands escaliers. A l’implantation exemplaire des bâtiments répond une maîtrise raffinée du végétal d’accompagnement, décliné selon les modes habituels aux squares urbains, avec une virtuosité étonnante dus aux talents de l’ingénieur des Services techniques de la ville, Jean Marc, associé à l’équipe de concep-tion dès l’origine de l’opération.
Le vocabulaire de l’art des jardins s’adapte au grand ensemble : les espaces sont découpés à partir des courbes de niveau et des allées, et caractérisés par un système de haies et de contre-haies (haies étagées doubles ou triples) constituées de troènes com-muns ou dorés, prunus, berbéris et buffets de laurier, et sont plantés d arbres rythmés et colorés (érables négundo et acacias), ou parfois fastigiés (la gamme d’arbres est d’ailleurs peu riche), selon un dessin géométrique et des alternances de couleurs. Ces espaces verts ne sont réalisés qu’à partir de 1964, après avoir été longtemps laissés en prairies fauchées. Cet état de fait, dû au départ à l’étirement des financements des projets d’espaces exté-rieurs, s’inscrivait aussi dans la logique de conception de notre ingénieur, qui pensait « qu’il était nécessaire de laisser vivre un groupe d’habitations avant de planter » – afin de reprendre notamment les chemins tracés par l’usage.
Cette réalisation révèle le décalage entre les réflexions et les savoir-faire architecturaux et paysagers et exprime quelques traits caractéristiques de la pratique paysagiste. Le festonnage des haies qui jalonne les espaces extérieurs rejoint celui des collines boca- gères surplombant les bâtiments. Il rappelle le site environnant et inspirera plus tard l’AUA et Alexandre Chemetoff pour la réhabilitation du quartier de Montreynaud.
Relevons que, sans l’action concertée des services de la ville et de l’office d’HLM, qui finança entièrement la réalisation des espaces verts, rien n’aurait été fait à cette époque, compte tenu du désintérêt pour cet aspect du projet des principaux responsables du chantier. « D’ailleurs, à cette époque, les architectes ne jouaient pas au paysagiste… », queleques superbes videos du Ministere de la Cohésion et des Territoires içi : .Naissance d'une banlieue mort d'un village 2000 www.dailymotion.com/video/x1a98iz
Réalisateur : Sidney Jézéquel Production : Les Films Roger Leenhardt Sujet : la commune de Goussainville (95) --------
Quatre murs et un toit 1953 www.dailymotion.com/video/xk6xui Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) ----------------Le Bonheur est dans le béton www.dailymotion.com/video/x413amo - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie ---------------------Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.--- Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq ----
SAINT-ETIENNE BEAULIEU une barre d’habitation innovante
A l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.
Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.
Un projet pharaonique
Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecte
De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc
( l'OPAC l'office public de logements sociaux, devenu plus tard Métropole-Habitat, est la plus importante au niveau National, c'est la plus grosse boite d'HLM). Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanche
dans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans la
ville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :les premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,
l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris. Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»
L"apres guerre...Que prévoit-on pour la reconstruction? Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on
Résidence des Alpes - Cité Pont-de-Sèvres - Boulogne Billancourt - France
A suburb of Paris - France
Je suis retourné dans cette cité car l’un des lieux que je voulais photographier (place de la résidence des Alpes) était en travaux les fois précédentes. Malheureusement les travaux ne sont toujours pas finis ! :-) J’ai quand même fais quelques photos. Du coup, certains clichés ressemblent peut-être à d’anciennes tofs.
(Source : Par Jérôme Bernatas - 11 avril 2016 - leparisien.fr)
Vues du ciel, les belles formes géométriques subliment le quartier du Pont-de-Sèvres. Arcs de cercle, croissants et hexagones résument le savoir-faire des deux concepteurs, Daniel Badani et Pierre Roux-Dorlut, de l’imposante cité livrée en 1976. Sur les 10 ha les architectes désignés en 1967 déploient des formes souples. « Badani avait la volonté de ne pas faire des lignes droites, des cubes ou des morceaux de sucre », se souvient Pierre Vigneron, architecte de Renault, qui a rejoint le duo sur cette opération d’envergure.
Malgré des lenteurs administratives et les soubresauts économiques du premier choc pétrolier, le gigantesque ensemble pousse cahin-caha. Les premiers habitants s’y installent en 1976. L’OPHLM de Paris, devenu depuis Paris Habitat, porte l’opération sur les terrains rachetés à Renault, copieusement bombardés en 1942 et en 1943. Novateur, le programme comprend 1 900 logements dont 1 500 à loyers modérés et moyens pour favoriser la mixité sociale.
Conçus à l’ère du tout voiture, les bâtiments surplombent un parking de 3 900 places !
Architectes : Joseph Bassompierre-Sewrin [1871-1950], Paul de Rutté [1871-1943] & Paul Sirvin [1891-1977]
Cité des 4000 - La Courneuve - France
A suburb of Paris - France
Panorama de 2 photos.
La photo ne rend vraiment pas compte de l’immensité de cette barre d’immeuble Robespierre. Lorsque l’on est au pied de l’immeuble, c’est impressionnant.
Malheureusement je n’ai pas pu faire de photos à proximité. Quand je me suis rapproché j’ai entendu des sortes de sifflements. J’ai bien compris qu’on était en train d’avertir de ma venue, que je gênais « l’économie locale…. »
Du coup j’ai continué mon chemin. J’avais trop envie de prendre des photos au pied de l’immeuble, donc je suis revenu par l’autre coté en essayant d’aller derrière l’immeuble. Là, je n’ai croisé personne, c’était plus qu’isolé, sombre, pas ouvert sur l’extérieur. Franchement, j’ai pensé que ce n’était pas une bonne idée de trainer sur place. Du coup, 1 seule photo. Dommage, c’était la face arrière qui était la plus photogénique, avec des sortes d’excroissances (sorte de balcons, loggias) qui ont été ajoutées dans les années 80 ( voir cette photo trouvée sur Flickr flic.kr/p/kuyt1p ).
La barre devant être détruite fin 2019, j'imagine qu'il n'y a plus beaucoup d'appartement occupés, c'est certainement pour cela qu'un seul appartement est éclairé sur la photo.
(Source : wiki) :
La Cité des 4000, à l'origine dénommée Cité des Quatre Mille logements, est un quartier de la ville de La Courneuve.
La construction de la cité a commencé en mars 1956, sur les plans des architectes Clément Tambuté et Henri Delacroix, et a duré plus de 10 ans. Ces logements dépendent alors de Paris Habitat, l'Office HLM de la ville de Paris. La cité, alors très bien entretenue et vivante, sert de cadre au film de Jean-Luc Godard « Deux ou trois choses que je sais d'elle », sorti en 1967, où il critique sa conception.
La Cité des 4000 est emblématique des grands ensembles édifiés en France dans les années 1960, et plus particulièrement de ceux bâtis en région parisienne. Achevée en 1964, elle a été construite par la Ville de Paris. Les quatre gigantesques barres accueillent alors des milliers d'habitants que la capitale ne peut héberger, notamment des rapatriés d'Afrique du Nord.
Cette situation a profondément évolué, avec le temps, notamment parce que la cité est restée gérée fort longtemps par Paris habitat qui pratiquait sur place une politique d'attribution de logements destinée à regrouper en banlieue des familles et des populations dont la mairie de Paris voulait se débarrasser. La plus grande partie des habitants du grand ensemble a, dès le début des années 1970, été confrontée à des difficultés sociales et financières importantes, subissant de plein fouet les effets de la désindustrialisation de la banlieue Nord de Paris.
(Source : pss-archi.eu) :
La barre Robespierre, est le plus haut bâtiment de la partie nord de la cité des 4000 avec ses 15 étages qui abritent 306 logements. Elle a été construite en 1964 par les architectes Delacroix et Tambuté pour le compte de l'OPHLM de Paris.
En 1985, l'architecte Bernard Paurd fut le premier à réhabiliter le bâtiment, puisqu'il a restructuré ses 5 halls d'entrée en ajoutant des bancs en céramique. La même année, dans le cadre du projet de rénovation urbaine des 4000 Nord proposé par la mairie de La Courneuve, il proposa une maquette de restructuration profonde du bâtiment avec l'aménagement de tours de loggias faisant 10 étages maximum ainsi que la suppression de 30 logements en partie haute dans le but de créer des jardins en gradins destinés aux logements attenants (par conservation partielle des planchers des niveaux démolis). Deux tours de loggias furent ajoutées en 1997 avec 11 m² de loggias pour les 5 pièces et 4 m² pour les 2 pièces.
10 cm d'isolant extérieur ont été ajoutés aux 3 cm existants, ce qui a fait de la barre Robespierre un bâtiment quasi-BBC (Bâtiment Basse Consommation).
Il faut toutefois noter que les jardins en gradins n'ont jamais pu être réalisés, car suite à la démolition de la barre Debussy en 1986, les habitants de cette dernière ont été relogés dans la barre Robespierre, ce qui a généré un surpeuplement de l'immeuble.
Aujourd'hui, l'ANRU souhaite démolir à son tour la barre Robespierre.
Le relogement des habitants du bâtiment a débuté fin 2015, en vue de sa démolition prévue pour 2019.
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Ensemble de logements. Ilot 27, Chemetov,
Devillers, Fabre et Perrottet, 1981 / Tour Essor, Michel Macheret, 1973. Porte de Pantin. Pantin
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
twitter.com/Memoire2cite - Après 1945, les collines agricoles du sud-est de la ville connaissent un programme d’urbanisation de grande ampleur pour répondre à la crise du logement. Près de 4600 logements sociaux vont ainsi être construits en quatre tranches successives de 1953 à 1970 : Beaulieu, la Marandinière, Montchovet, la Métare et la Palle formant aujourd’hui les quartiers sud-est. Touché par la crise économique et urbaine de dingue, le secteur sud-est apparaît à la fin des années 1990 comme un espace monofonctionnel dédié en totalité à l’habitat locatif social et porté par un seul bailleur l'OPAC devenu Métropole Habitat. Bien que bénéficiant de nombreux atouts (accessibilité et environnement agréable...), le quartier souffre du gigantisme de son urbanisation et du manque de résidentialisation des unités d’habitation. Par une action en profondeur et dans la durée, la Ville de Saint-Étienne, à travers son Programme de Rénovation Urbaine (PRU), a amorcé une transformation durable du quartier depuis 1989 avec la 1ere demolition du programme à la rue Pierre Loti le 31 janvier 1989 (BANLIEUE89), 30 ans de renouvellement urbain sur la ville.... une ville pilote en la matiere des 1990. Aujourd'hui et demain Les quartiers sud-est vont poursuivre leur mutation, avec l’appui continu de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine et ses partenaires l'ANRU2. Développer le secteur économiqueL'objectif est de dynamiser l’économie dans ce territoire en portant de nouveaux projets et en restructurant l’offre commerciale de proximité. La Ville de Saint-Étienne a prévu la création de nouvelles zones d’activités permettant l’accueil d’entreprises. Ainsi une zone d’activités économiques, rue Pierre Loti, répondra aux besoins fonciers des entreprises et des artisans locaux. Ce projet de zone économique, en visibilité directe de la RN 88, permettra l’implantation d’une cinquantaine d’entreprises et la création de 300 emplois. Un nouveau centre commercial sur le secteur de la Marandinière, couplé à la démolition des centres commerciaux de la Palle et Sembat, permettra de restructurer et moderniser l’offre commerciale de proximité. Renouveller l'offre d'habitat Une qualité résidentielle s’affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d’habitat variée qui émerge depuis plusieurs années. Les nombreuses démolitions réalisées et à venir (Boulevard des Mineurs en 2018 et immeubles Loti en 2020), ainsi que les réhabilitations d’immeubles en cours, vont permettre de diversifier l’offre de logements. L’un des objectifs du projet urbain est donc de conforter la vocation résidentielle du quartier en stimulant l’offre et en accompagnant des projets comme la construction de logements passifs sur le secteur de Beaulieu, la transformation de l’ancienne école Baptiste-Marcet et la réhabilitation de logements à Monchovet. Améliorer le cadre de vie des habitantsLes quartiers sud-est bénéficient d’un environnement naturellement riche et varié, à l’interface entre les grands parcs de la ville (jardin des Plantes, parc de l’Europe, Bois d’Avaize) et le Pilat. Le projet urbain de la Ville de Saint-Étienne prévoit de relier ces espaces naturels entre-eux avec la création d’une continuité verte, qui permettra aux marcheurs et autres randonneurs de bénéficier d’un véritable réseau de chemins autour de la commune. Le boulevard Alexandre-de-Fraissinette, véritable colonne vertébrale du quartier, et la rue Pierre-Loti seront entièrement revus pour assurer un meilleur partage de l’espace entre tous les modes de déplacements (voiture, vélo et piéton) et assurer un maillage inter-quartiers plus efficace. fr.calameo.com/read/0005441131b4119eaa674Depuis 2014, la rénovation urbaine dans les quartiers sud-est s’est traduite par de nombreux travaux: la construction du centre commercial de la Grande Marandinière, l’aménagement d’un lotissement de treize maisons individuelles passives, impasse Clémenceau, les rénovations des écoles de Montchovet et de Beaulieu, la réhabilitation de locaux rue Henri-Dunant (pour y installer la Maison des associations), et enfin les démolitions récentes du centre commercial du boulevard de la Palle et d’un garage, au 41 rue de Terrenoire.Démolitions mais aussi constructions sont au programme. Plusieurs acteurs entrent en jeu dans le financement de ces projets, notamment l’ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) mais aussi la Ville, le Département et la Région. Ainsi, le contrat avec l’ANRU, signé le 14 mars, dégage une somme de 23 millions d’euros, somme à laquelle il faut ajouter 3,3 millions d’euros de la Région. Pour les années à venir, les objectifs visent à la poursuite du développement économique, de la mutation de l’habitat par des constructions individuelles ou de petits immeubles, des démolitions ponctuelles, de la valorisation des espaces publics et du renforcement des espaces du quartier. Deux secteurs sont concernés : Loti et la Grande Marandinière. Le 11 AVRIL 1964, le développement de la ville de Saint Etienne, et ses travaux ..La ville de Saint Etienne se développe tout comme l'ensemble du territoire... Pour accompagner cet accroissement de population, de nouveaux quartiers se construisent aux abords de la ville chaque jours. Et pour faire face aux problèmes de circulation, un boulevard périphérique a été aménagé. Réalisé à l'occasion de la construction de la déviation sud de l'autoroute de Saint Etienne, ce reportage témoigne de la visite du sénateur maire de la ville, Mr. Michel DURAFOUR, sur le chantier du tunnel de la déviation. Accueilli par Mr. Rocher, président de la société forêzienne de travaux publics, Michel DURAFOUR découvre avec les membres du conseil municipal l'avancée des travaux. (voir aussi le chantier de l A 47 avec la video du tunnel du rond-point içi : www.ina.fr/video/LXC9610041788 . Ce quartier est né des programmes de grands ensembles mis en œuvre à partir des années 1950 afin de réduire la pénurie de logements. La mairie choisit donc de développer un quartier moderne 4 600 logements en HLM pour pouvoir loger plus de 30 000 habitants avec des loyers modérés dans des bâtiments modernes. Ce quartier avait comme emblème un des plus grands immeubles d’Europe surnommé la Muraille de Chine qui était visible depuis l’autoroute. Ce quartier s’est construit en quatre tranches : Beaulieu I (Beaulieu) de 1953 à 1955 ; Beaulieu II (La Marandinière) en 1959 ; Beaulieu III (Montchovet) en 1964 ; Beaulieu IV (La Palle) en 1971. Il est aujourd’hui en profonde mutation avec un programme de renouvellement urbain qui prévoit la démolition de plus 1000 logements et la reconstruction de 250. Bâtiments spécifiques : CHPL (Centre Hospitalier Privé de la Loire) qui remplace la Muraille de Chine ; Ecole Nationale d'ingénieurs de Saint-Etienne Un modèle de l'urbanisme des années 1950. Beaulieu-Montchovet: La ville choisit de construire un immense quartier neuf de plus de 4.600 logements, prévu pour loger 30.000 habitants, sur les basses pentes du Pilat, à la sortie sud-est de Saint-Etienne.Entre les forêts, qui seront classées parc naturel quelques années plus tard, et les quartiers chics du cours Fauriel, c'est un des endroits les mieux situés de la ville.C'est aussi le seul grand emplacement proche du centre où il n'y aie pas eu de mines, parce que les couches de charbon s'arrêtent juste avant : le terrain est assez solide pour supporter de gros immeubles. Içi le chantier de construction de MONTCHOVET soit Beaulieu 3, la continuitée des constructions HLM de nos quartiers sud-est (les chantiers de l'OPAC) , la vidéo içi :www.ina.fr/video/LXF99004401 .Retour sur son historique de 1962 à aujourd'hui e n 2018.Un grand-Ensemble qui rappelle combien la politique d'urbanisme des années 1960 et suivantes a été conduite en dépit du bon sens la video içi www.google.fr/search?q=montchovet+ina&oq=montchovet+i... et là www.ina.fr/video/CAC00029801 , mais aussi içi www.ina.fr/video/CAC00029801 - avec Claude BARTOLONE içi avec la Visite à Saint Etienne du ministre délégué à la ville le jour de la démolition de la muraille de Chine. Rencontre avec des associations pr discuter du futur du quartier Montchovet. www.ina.fr/video/LY00001263573 - fresques.ina.fr/rhone-alpes/fiche-media/Rhonal00046/demol... - et les differentes videos de la demolition la encore : La démolition de la "muraille de Chine" de Saint Etienne www.youtube.com/watch?v=aq1uOc6Gtd0, www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc terrible :( ^^ l interview de Michel Thiolliere Le Grisou.fr a interviewé Michel Thiollière, ancien maire de Saint-Etienne et sénateur de la Loire, membre du Parti radical et actuel vice-président de la Commission de régulation de l'énergie. Il livre son analyse sur les prochaines échéances politiques, notamment la campagne des municipales en cours à Saint-Etienne, les alliances de la droite et du centre, mais aussi le mandat de Maurice Vincent. Michel Thiollière s'attarde également sur les besoins de l'agglomération stéphanoise et évoque les enjeux énergétiques en France.(Interview : Maxime Petit -- Réalisation : Studios Bouquet) www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48,"François Mitterrand, après la visite de deux quartiers -l'un à Saint Etienne et l'autre à Vénissieux, inscrits sur la liste de ceux à réhabiliter -, parle du plan de réhabilitation pour de meilleures conditions de logement.François Mitterrand / Georgina Dufoix / Gilbert Trigano / François Dubanchet / Marcel Houël Thèmes : Grands travaux et grands projetsLe Président > 1er septennat 1981-1988 > 1981-1986 ÉclairageDepuis la fin des années 1970, la région lyonnaise apparaît comme l'épicentre des violences urbaines qui se déroulent en France. Durant l'été 1981, des violences urbaines ont conduit le gouvernement à engager le plus tôt possible une nouvelle politique en faveur des quartiers dégradés. Malgré les premières opérations de réhabilitation engagées par la Commission nationale pour le développement social des quartiers, la situation demeure extrêmement tendue dans un certain nombres de quartiers populaires. L'assassinat d'un jeune de la Cité des 4 000 par un habitant en juillet 1983 a ravivé les débats autour du thème du "mal des grands ensembles" selon l'expression de l'époque. D'autre part, le contexte politique conduit également le pouvoir à s'intéresser encore davantage à la question de la dégradation urbaine dans la mesure où de très nombreux quartiers populaires n'ont pas cette fois-ci apporté leurs suffrages aux candidats de la gauche.La visite de François Mitterrand dans deux quartiers dégradés de la région lyonnaise constitue donc un signal fort à l'égard des populations qui y vivent. Ce déplacement fait également écho à celui réalisé quelques jours plus tôt au sein de la Cité des 4 000 à La Courneuve en Seine Saint Denis (voir Visite de François Mitterrand à La Courneuve). Le principe est d'ailleurs le même et il est exprimé par le président de la République : voir par lui-même l'état réel de ses quartiers. Le fait qu'il soit mentionné dans le reportage que "ces visites surprises" se soient faites dans la "plus grande discrétion" (notamment sans les élus locaux concernés) marque effectivement la volonté du président de la République d'établir une sorte de lien direct avec les habitants qui vivent dans ces quartiers. Il ne s'agit pas de faire l'annonce de nouvelles mesures mais "de voir les choses par moi-même" selon l'expression utilisée par François Mitterrand lors de son allocution à la Préfecture à Lyon. Au moment où la Commission nationale pour le développement social des quartiers établit la liste définitive des 22 quartiers qui bénéficieront d'un programme de réhabilitation, la visite du président de la République sur le terrain suggère une forme de "présidentialisation" du thème de la réhabilitation des grands ensembles.La création au même moment de Banlieue 89 suscitée par deux architectes proches de François Mitterrand, Roland Castro et Michel Cantal-Duparc, suggère également l'intérêt du président de la République pour les questions urbaines (voir Inauguration de l'exposition organisée par Banlieue 89)."http://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00106/visite-de-francois-mitterrand-a-saint-etienne-et-aux-minguettes.html JournalisteVisites surprises qui se sont déroulées dans la plus grande discrétion, seule Madame Georgina Dufoix, Secrétaire d’Etat à la Famille et aux Immigrés, Monsieur Gilbert Trigano, le PDG du Club Méditerranée qui participe à la Commission Dubedout, et deux collaborateurs du Chef de l’État étaient présents. Ni à Saint-Étienne, ni à Vénissieux, les autorités locales n’y ont participés. Peu avant midi, le Président est arrivé à la Préfecture du Rhône à Lyon où s’est déroulée pendant 45 minutes une séance de travail avec les élus locaux et notamment Messieurs Dubanchet, Maire de Saint-Étienne et Houël, Maire de Vénissieux. Réunion qui a donné l’occasion d’aborder les problèmes de fond, devait souligner François Mitterrand.(Bruit)François MitterrandLes deux quartiers que je viens de visiter, celui de Montchovet à Saint-Étienne et celui de Monmousseau à l’intérieur des Minguettes sur la commune de Vénissieux, sont inscrits sur la liste des 22 quartiers à réhabiliter, retenus, proposés par la Commission Dubedout devenue la Commission Pesce, et retenus par le Gouvernement. Et je compte appliquer nos efforts pour qu’effectivement, ces quartiers soient réhabilités, c’est-à-dire, soient habitables. Qu’on y trouve, pour ceux qui y vivent, euh, suffisamment de convivialité, de capacité de développer une famille et, euh, revenant de son travail quand on en a, de pouvoir vivre avec les autres. Les conditions de logement, la construction de ces ensembles, les liaisons avec l’extérieur, l’école, le sport, les espaces verts, bref, l’espace tout court, contribuent, vous le comprenez bien à, au futur équilibre, ou contribueront au futur équilibre de ces quartiers. Alors, je préfère voir les choses par moi-même. Il faut bien se dire que à l’origine de nombreux désordres sociaux se trouvent ces fâcheuses, ces déplorables conditions de vie. Et moi, je veux lutter contre ces désordres et pour cela, il faut que je m’attaque avec le Gouvernement et ceux qui ont la charge auprès de moi, je veux absolument m’attaquer aux sources d’un malaise et d’un déséquilibre social qui sont d’une immense ampleur. Raison de plus pour commencer par un bout avec énergie et continuité. Et de ce point de vue, je compte bien, au cours des semaines et des mois à venir, persévérer dans cette enquête personnelle qui me permet ensuite de donner des instructions précises à ceux qui participent à la gestion de l’État., à Saint-Étienne comme dans les communes de sa proche banlieue. Une sorte de grand monument à la gloire des HLM, comme si on avait fait exprès de la faire aussi énorme pour montrer comme les gens étaient fiers de ce quartier. Autour on construit tout ce qu'il faut pour les habitants : une école, Montchovet, qui donne sur le grand pré derrière, une MJC, une piscine, un centre commercial, avec la Poste, plus tard le bureau de police. En 1978, comme les enfants des habitants grandissent, on ouvre un deuxième collège dans la ZUP. Il prendra le nom de Jean Dasté, qui a créé la Comédie de Saint-Etienne, le plus grand théatre de province en France, et son école de comédiens. Après 1984 les loyers des HLM ont augmenté, beaucoup d'habitants sont partis. La population de Saint-Etienne diminue surtout dans les quartiers sud : beaucoup de gens déménagent vers la plaine du Forez, moins froide, où il y a la place de batir des maisons. On a rénové beaucoup d'appartements anciens en ville : la crise du logement est finie. On ne sait même plus qu'elle a existé. Les ZUP ont vieilli et la plupart des gens préfèrent se loger dans des appartements récents. Alors on ferme : le collège de Beaulieu, l'école de la Marandinière, la Poste. La Muraille coute très cher à entretenir : il n'y a plus asssez d'habitants pour payer les frais. Les HLM ont décidé de la détruire: c'est le plus gros projet de démolition jamais réalisé en Europe. Les familles qui restaient ont du déménager. On va faire exploser la Muraille de Chine au printemps de l'an 2000. Peut être qu'il fallait le faire, mais pour les gens du quartier c'est un gros morceau de notre Histoire qu'on nous détruit.1954: les premiers travaux à Beaulieu : la campagne devient une ville à grands coups de bulldozer..Le projet est de construire en grande quantité des logements de bonne qualité, avec tout le confort, des chambres pour les enfants, l'eau, le chauffage central, des sanitaires, des arbres et des pelouses, et surtout .... des loyers accessibles pour tous. Ce seront les Habitations à Loyers Modérés, les HLM.Il faudra les construires en dehors des villes, pour en finir avec le mélange des industries et des logements, qui amène le bruit et la pollution. Y prévoir tous les équipements : commerces, écoles, collèges, lycées, transports, parcs, équipements sportifs, police, pompiers, Postes. Construire des villes entières où tout le monde aura accès à ce qui n'était encore que le luxe de quelques gens très riches.Cinq villes sont choisies pour être prioritaires : Paris ( Pantin ) et Lyon ( Bron-Parilly) à cause de leur taille, Angers et Rouen détruites dans les bombardements de 1944, Saint-Etienne, la ville la plus sinistrée de France pour le logement. C'est là que naissent les cinq premières Zone à Urbaniser en Priorité, les ZUP, modèles de l'urbanisme pour toute une génération. Elles ne s'appellent pas encore comme ça : on les construites avant que l'expression de ZUP existe, c'est de leur réussite que naitra le modèle repris partout pour lequel on inventera le mot plus tard.Beaulieu I: le projet d'urbanismeMaquette de 1953 - Projet des architectes Gouyon-ClémentUne architecture géométrique, de grands espaces, des arbres, des formes qui soulignent le relief.La ZUP de Beaulieu est construite en quatre tranches:- Beaulieu I ( Beaulieu ) de 1953 à 1955- Beaulieu II ( La Marandinière ) en 1959- Beaulieu III ( Montchovet ) en 1964, dont fait partie la Muraille de Chine, le grand immeuble le long du boulevard à gauche.- Beaulieu IV ( La Palle ) en 1971Le quartier:Au premier plan, en bas à droite Beaulieu, la Marandinière est à droite derrière l'autoroute, Montplaisir à gauche, Monchovet au milieu, le long du boulevard de la Palle.A gauche des tennis, les batiments du collège de Beaulieu. C'était l'autre collège de la ZEP, le seul collège "sensible" de France a avoir été fermé, en 1995.Nouvelles techniques, nouveaux matériaux :Construire vite pour un prix raisonnable oblige à inventer de nouvelles techniques, d'autant que l'on manque de travailleurs qualifiés.La construction s'industrialise: immeubles à structure porteuse ( des poteaux en béton armé tiennent les dalles, ce ne sont plus les murs qui soutiennent les immeubles ), murs rideaux ( les murs sont fait de morceaux préfabriqués accrochés aux dalles ), éléments standardisés ( les éléments: murs, tuyauterie, portes et fenêtres, sanitaires, etc... sont tous identiques, fabriqués en usine en grande série, installés de la même façon dans tous les immeubles ), nouveaux matériaux ( matières plastiques, béton armé, acier ) qui ne s'utilisaient pas dans la construction traditionnelle.Cela permet de diminuer les prix, en automatisant les fabrications, mais aussi parce qu'on peut utiliser des ouvriers beaucoup moins qualifiés, qui ne font que du montage et que l'on paye moins cher.Bien après les gens se plaindront de ces appartements tous identiques, de ces matériaux peu agréables, de la taille inhumaine des batiments.Mais à l'époque il faut compter deux à trois ans d'attente pour obtenir un appartement dans le quartier. Les familles sont si contentes de leur quartier tout neuf que les collègiens qui prennent le bus emportent une paire de bottes en plus de leur chaussures pour aller des immeubles à l'arrêt de bus : pas question de ramener de la boue dans les bus ou dans les escaliers.La crise du logement:1950 : la France connait la pire crise du logement de son Histoire. La crise économique de 1929 puis la guerre de 1939-1945 ont arrêté la construction de logements, déja insuffisante avant 1930, pendant plus de vingt ans.La France est au maximum du "baby-boom" ( période de très forte natalité qui commence à la fin de la guerre ) : les 40 millions de français de 1950 font deux fois plus de bébés que les 60 millions d'aujourd'hui. La très forte croissance économique relance l'immigration. Plus de la moitié des familles sont mal logées alors que la France commence la plus forte croissance démographique de son Histoire.La IV° République, héritière du programme de la Résistance donne la priorité aux besoins sociaux : école, santé, logement, sur la rentabilité financière. L'Etat, les villes, sont décidés à investir dans le logement, qui est déclaré prioritaire dans le Plan d'organisation de l'économie.Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.Une barre d’habitation innovanteA l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons.Conception et réalisation d’un quartier entierPour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période.Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaoniqueLe centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville.L’avis de l’architecteDe toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. St-Etienne Cimaise Architectes -Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits.Que prévoit-on pour la reconstruction?Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée.C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.Cela paraît paradoxal, pour du logement social!Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»!On croit rêver...C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques.Pourquoi cette différence?Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer.Dans quels domaines?Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour? A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.Culturellement, la ville est aussi très active...Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.La population comprend-elle cette volonté?Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour.Le chantier de l'autoroute de Saint Etienne 01 nov. 1965, la video içi www.ina.fr/video/LXC9610041788 - ST-Etienne,Montchovet (Beaulieu III) "la Muraille de Chine" construction 1962-1964, architecte HUR/FARRAT/GOUYON.Rappelez vous...Aout 1983, François Mitterand, se déplace incognito à la Muraille de Chine à Saint-Etienne. Quelques mois plus tard, la grande réhabilitation de cette barre d’habitation sera lancée.& le 24 octobre 1987 : visite officielle à Saint-Etienne. Il retourne à La Muraille de Chine pour constater les travaux. Le même jour il se rendra à Saint-Chamond et Roanne.« En 1983, le président s’est rendu à Montchovet à l’improviste »François Mitterrand est venu une première à Montchovet en 1983 incognito. Pourquoi une telle démarche ?C’est l’architecte Roland Castro qui a convaincu le président d’aller dans des quartiers populaires. Son but était de lui montrer où vivaient les gens à cette époque et qu’il fallait entreprendre un programme de rénovation.François Mitterrand m’a appelé et m’a dit d’organiser trois ou quatre » descentes » sur le terrain mais le président ne voulait ni policiers, ni gendarmes. Il m’a simplement demandé d’avertir, par correction, le préfet une fois arrivé. C’était d’ailleurs le meilleur gage de sécurité car lorsque vous n’êtes pas attendu, il n’y a pas de risques. Nous sommes donc allés à Saint-Etienne à Montchovet, aux Minguettes à Lyon, dans le 93.. et, à chaque fois, à l’improviste> Quelle a été la réaction des habitants ?Ils étaient très étonnés de croiser le président de la République dans leur cage d’escaliers ! Partout, nous avons reçu un accueil très chaleureux.Nous étions quatre : le président, Roland Castro, un policier et moi-même. Je me souviens qu’aux Minguettes, le président a été invité par une famille pour boire le thé. Les habitants étaient très heureux que le président s’intéresse à eux.> Comment François Mitterrand a-t-il réagi en voyant la vie de ses quartiers ?Il était fasciné. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était, pour lui, une découverte mais il était un rural et le fait de se confronter à la vie de ces gens qui vivaient dans de grandes barres fut enrichissant.> Ces visites impromptues ont-elles été suivies d’effets ?Oui car la mission Banlieues 89 est née de ces visites de terrain. Ce fut d’ailleurs la naissance de la politique de la ville.> En 1987, cette fois, la visite fut officielle - Proposer de nouveaux logements dans une démarche environnementale forte. Dans la poursuite des opérations engagées depuis 2001 (démolition de la Muraille de Chine en 2000, implantation du CHPL, de l ’AIMV en 2005), une qualité résidentielle s'affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d'habitat variée (en forme comme en type de produits). Le dynamisme du quartier s'appuie sur l'accueil et le développement de services, d'activités économiques et d'équipements d'agglomération (centre nautique, Nouveau Théâtre de Beaulieu...) et de proximité (salles de sport, travaux dans les écoles). Les atouts paysagers du site sont pleinement exploités dans une démarche environnementale forte. L'aménagement des espaces libres et la requalification des axes structurants et de desserte renforcent les liaisons internes aux quartiers et les ouvrent sur l'ensemble de la ville. Beaulieu, un patrimoine de qualité, valorisé et adapté à ses occupants40 logement ont été adaptés au vieillissement de leur occupants (bacs à douche, volets électriques, aménagement des ascenseurs, …). L'amélioration des espaces extérieurs, résidentiels ou publics (rue K.Marx, square Renoir, allée Clémenceau) viendra rendre plus conviviaux ces lieux de vie partagés. Petite Marandinière : une cité jardin qui se rénove en gardant son caractère Sur la Petite Marandinière, 320 logements de Métropole Habitat ont été rénovés. Les bâtiments ont été transformés pour arriver à 32 logements, avec création de T3, T4, et T5 en tenant compte de la rénovation thermique et du confort des logements. 54 logements ont été construits, répartis en 6 bâtiments à l'architecture contemporaine et fonctionnelle (surfaces généreuses, double ou triple orientation, terrasse ou loggia). En parallèle, les espaces publics ont été réaménagés dans une démarche environnementale durable et innovante : résidentialisation et embellissement des espaces extérieurs, traitement paysager d'ensemble, requalification des voiries et des circulations douces adaptées aux usages, gestion optimisée du stationnement et des eaux pluviales...Une nouvelle mixité pour le quartier : les maisons de ville "Jardins Sembat" 22 maisons de ville (du T3 au T5) ont été construites à l’angle de la rue Marcel Sembat et du boulevard de Fraissinette. Conçu et développé par l'équipe XXL-Civita-Spirit, ce projet se caractérise par la qualité de la construction (matériaux durables, aménagement soigné des espaces extérieurs…) et par la mise en valeur paysagère du site, ouvert sur les collines du Pilat. 3 types de maisons ont été proposées en location libre : maisons jumelées le long du boulevard de Fraissinette, maisons en pente en fond de parcelle adossée au talus, maisons patio au cœur de l’îlot. Un nouveau centre nautique sur le secteur Loti Souhaité par les habitants, exemplaire d’une démarche participative de coproduction, le centre nautique Yves Naime a été ouvert à l'été 2013, en remplacement de l'ancienne piscine de la Marandinière. Ce centre nautique comprend un bassin sportif (25m, 6 lignes d'eau), un bassin destiné aux activités ludiques (bains bouillonnants, aquagym...), une pataugoire et des plages extérieures.Grande Marandinière : un secteur d'habitat en développement . Après la démolition de la barre Sisley et celle en cours de la barre Féguide, c'est un nouveau quartier qui se dessine sur ce secteur. La reconfiguration de la rue Sisley en voie de promenade avec des vues en belvédère et l'aménagement d'une « coulée verte » ont profondément modifié le paysage urbain du secteur. Ce nouvel environnement a permis à Métropole Habitat de réaliser un programme immobilier de 27 logements locatifs. Dans ce bâtiment collectif moderne et fonctionnel, chaque logement comporte un espace extérieur privatif, balcon ou terrasse. Au rez-de-chaussée, des locaux d'activités (centre social espace-loisirs) ou de services sont déployés le long de la nouvelle rue Sisley. La Palle : des résidentialisations de qualitéLa résidentialisation des immeubles du boulevard de la Palle apporte aux habitants de nouvelles terrasses privatives en rez-de-chaussée, des espaces en cœur d’îlots plus agréables, et de nouveaux parcours piétonniers avec aires de jeux. Elle s’accompagne de la réhabilitation des immeubles (réfection des façades, changement des garde-corps…). Des opérations de résidentialisation ont été menées immeuble par immeuble de 2006 à 2009. Elles permettent de définir les limites entre les parties publiques ouvertes à tous, et les parties privées. Des petits jardins privatifs sont ainsi aménagés pour chaque logement de rez-de-chaussée.Le Pont Aven : du logement social à haute performance environnementaleDéveloppé par Métropole Habitat, le Pont-Aven est un exemple en matière de construction écologique. Il accueille 20 logements sociaux du T2 au T5. L’ensemble de la conception du bâtiment intègre des critères environnementaux : parois extérieures en brique mono-mur, eau chaude solaire, chauffage collectif au gaz naturel, ventilation intérieure à double flux pour une meilleure circulation de l’air, équipements électriques et sanitaires économes en énergie. La toiture végétalisée permet quant à elle une meilleure conservation de la fraîcheur en été, les auvents du toit protègent les fenêtres du soleil et les eaux de pluie seront récupérées pour arroser les espaces extérieurs…Résultat : une diminution des rejets en CO2 et une baisse significative des charges de chauffage pour les locataires.Favoriser l'accessibilité et les relations inter-quartiers Le réaménagement du boulevard de la Palle a favorisé une meilleure desserte du quartier en transports en commun. Une station de taxis, des pistes cyclables et des pelouses ont été aménagées le long du boulevard, sécurisant ainsi la traversée piétonne entre les terrasses Roinat et le centre hospitalier. A l'intérieur du quartier, la trame piétonnière a été développée dans le principe d'une continuité paysagère entre les différents secteurs. Initiée avec l’aménagement des terrasses Roinat, une coulée verte, nouveau poumon vert du quartier, facilitant la circulation des piétons et des cyclistes, relie désormais le boulevard de la Palle, et plus loin le bois d'Avaize, au Parc de l'Europe. - Après la seconde guerre mondiale, un immense chantier s'ouvre en France dans le but de loger massivement une population démunie, les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre , le film parle de St-Etienne entre autre avec les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée : www.dailymotion.com/video/xgj74q .Jusqu'au milieu des années 1970, cette période dite des « Trente Glorieuses l'après guerre et montre la plupart des grandes réalisations de 1945 à 1960. A travers les exemples de la région parisienne et de quelques grandes villes françaises sont posé les problèmes de la diversité architecturale, de l'esthétique et de l'harmonie entre le passé et l'avenir. Les images montrent les grands ensembles de Beaulieu, la Marandiniére, à Saint-Etienne, la cité le Haut du Lièvre à Nancy, des cités à Sarcelles, Asnières, Bron-Parilly, Epinay, Pantin, Bobigny, la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille, le front de mer à Royan, la video de l'Année 1962, une réalisation de Philippe Brunet içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz » fut le terrain de nombreuses expérimentations architecturales et urbanistiques, fondées notamment sur les idées émises plus tôt dans le siècle par le Mouvement moderne.Aujourd'hui, ces ensembles bâtis sont au cœur d'une autre actualité, liée à leur adaptation à l'évolution des modes de vie de notre société contemporaine. Cette question qui se posa dès la fin des années 1970 apparaît sous un jour nouveau, avec les premières démolitions dans les années 1980 et, plus récemment, le vaste programme de réhabilitation mis en place dans le cadre de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain.Après Les Grands Ensembles. Une histoire qui continue…, ce nouvel ouvrage, fruit de la collaboration entre l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et l'Université Jean Monnet, apporte un éclairage nouveau sur cet héritage bâti, mettant au jour simultanément la question de son vécu et celle des acteurs engagés dans son édification. En réunissant quinze auteurs spécialistes de ce domaine, il s'agit de regrouper autant de points de vue, pour comprendre la diversité et la complexité des enjeux liés à la postérité de ce bâti. - « Petite enquête sur Beaulieu – Le Rond-Point », La Tribune du centre et du sud-est, 13 octobre 1955 et « Le chantier de Beaulieu – Le Rond-Point (1ère tranche) sera terminé le 30 juin 1956 très exactement »,La Tribune du centre & du sud-est, 26 juin 1956 -«St-Etienne, la place des grands ensembles dans l’histoire de l’habitat social français »Saint-Étienne/Beaulieu, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la cité de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 boutiques. Des parrains prestigieux et l’élite de l’architecture sté- phanoise sont mobilisés pour ce premier grand ensemble local.Tantôt les bâtiments suivent le dessin de la courbe de niveau 600, devenue rue Le Corbusier, tantôt ils s’installent perpendi-culairement à la pente, reliés à la rue par des passerelles ou de grands escaliers. A l’implantation exemplaire des bâtiments répond une maîtrise raffinée du végétal d’accompagnement, décliné selon les modes habituels aux squares urbains, avec une virtuosité étonnante dus aux talents de l’ingénieur des Services techniques de la ville, Jean Marc, associé à l’équipe de concep-tion dès l’origine de l’opération.Le vocabulaire de l’art des jardins s’adapte au grand ensemble : les espaces sont découpés à partir des courbes de niveau et des allées, et caractérisés par un système de haies et de contre-haies (haies étagées doubles ou triples) constituées de troènes com-muns ou dorés, prunus, berbéris et buffets de laurier, et sont plantés d arbres rythmés et colorés (érables négundo et acacias), ou parfois fastigiés (la gamme d’arbres est d’ailleurs peu riche), selon un dessin géométrique et des alternances de couleurs. Ces espaces verts ne sont réalisés qu’à partir de 1964, après avoir été longtemps laissés en prairies fauchées. Cet état de fait, dû au départ à l’étirement des financements des projets d’espaces exté-rieurs, s’inscrivait aussi dans la logique de conception de notre ingénieur, qui pensait « qu’il était nécessaire de laisser vivre un groupe d’habitations avant de planter » – afin de reprendre notamment les chemins tracés par l’usage.Cette réalisation révèle le décalage entre les réflexions et les savoir-faire architecturaux et paysagers et exprime quelques traits caractéristiques de la pratique paysagiste. Le festonnage des haies qui jalonne les espaces extérieurs rejoint celui des collines boca- gères surplombant les bâtiments. Il rappelle le site environnant et inspirera plus tard l’AUA et Alexandre Chemetoff pour la réhabilitation du quartier de Montreynaud.Relevons que, sans l’action concertée des services de la ville et de l’office d’HLM, qui finança entièrement la réalisation des espaces verts, rien n’aurait été fait à cette époque, compte tenu du désintérêt pour cet aspect du projet des principaux responsables du chantier. « D’ailleurs, à cette époque, les architectes ne jouaient pas au paysagiste… », queleques superbes videos du Ministere de la Cohésion et des Territoires içi : .Naissance d'une banlieue mort d'un village 2000 www.dailymotion.com/video/x1a98izRéalisateur : Sidney Jézéquel Production : Les Films Roger Leenhardt Sujet : la commune de Goussainville (95) --------Quatre murs et un toit 1953 www.dailymotion.com/video/xk6xui Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) ----------------Le Bonheur est dans le béton www.dailymotion.com/video/x413amo - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie ---------------------Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.--- Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq ----SAINT-ETIENNE BEAULIEU une barre d’habitation innovanteA l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaoniqueLe centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecteDe toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc( l'OPAC l'office public de logements sociaux, devenu plus tard Métropole-Habitat, est la plus importante au niveau National, c'est la plus grosse boite d'HLM). Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanchedans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans laville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :les premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris. Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»L"apres guerre...Que prévoit-on pour la reconstruction? Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
www.twitter.com/Memoire2cite -😊 Levittown: The Construction and Systematic Execution of Discrimination in Modern Suburbia (NHD 2018) www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M … … 17000 maisons en 2 ans un record dans l histoire des annees 60 @ la grande Acceleration @ Un point de bascule avec le changement de regime d'existence les 30 glorieuses americaine @ la constructions de masse.., ici LEVITTOWN a LONGISLAND, 17000 pavillons en 2 ans un Record...Yes this is it my Our Home Town: Levittown, PA (1954) - www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M les 30 glorieuses atomique @ le projet PLOWSHARE de 1957 LE FILM ICI www.youtube.com/watch?v=kpjFU_kBaBE … STRAUSS le promoteur du nucleaire Americain les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur le developpement solaire... les occasions manquées de soigner notre humanité..www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc … Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015 www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin) www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije Maison de Banlieue et de l'Architecture 41 rue Geneviève Anthonioz De Gaulle, Athis-Mons Mercredi et samedi de 14h à 18h, sauf les 20avril, 1er et 8 mai, 1er juin, 2 et 9 novembre. www.portesessonne.fr/Institution/Toute-l-actu/Sortir-et-D... …
Içi le LOIRET AVEC MONTARGIS @ LES HLM www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ … Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage du basculement dans l’anthropocène de la nature par l’homme.La grande accélération qui fait définitivement basculé le monde dans l'anthropocene(Ère de l'Homme) s'explique pas seulement par la croissançe démographique.. mais par l'incroyable dynamisme des sciençes des techniques, et des talents des Entreprises à vendre leurs produits..les 30 Glorieuses Américaine @ le climatiseur fait son apparition... la promesse de la Maison éléctrique, invite à un confort nouveau...il ne s agissait plus de chauffer les maisons , mais etre capable de les refroidir... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …çe pour que le chauffage,la climatisation et le tout electrique devienne la norme dans le monde, les Industriels de l'elec imposent aux lotissements, le raccordement a l electricite, via des deals avec le BTP, ils signent ainssi la mort de la maison solaire :( les 30 Glorieuses & l'arrivée du Confort Electrique... les industriels de l 'éléctricité çe vendent en inventeur du Futur font barrage a des tas d'autres idees comme la maison tout solaire qui aurai pu avoir toutes ses chances... "When you live , electrik me" veux tout dire ..
… les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur la Maison Solaire... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs.…De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète @ le film içi www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …
…L'homme a mangé la Terre _ 1960 les 30 Glorieuses dans le plastique @ l'Alathon ,le Delrin,le Lucite,le Teflon , les Molécules,la Grande distribution & les hypermarchés,le salon de l 'auto,les arts ménagers,la consommation de masse alimente encore plus fortement les emissions Co2 De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.
Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.
Liaisons dangereuses
En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.
Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! Le lien direct vers le film : cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... … 🎥@Cinematheque42 ▶ içi MONTREYNAUD cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... - Içi
LA COTONNE MONTFERRE cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... bit.ly/2KK0n1D - 69 Vénissieux 1984 Images des Minguettes dans le clip ORIGINAL Envole moi de jean jacques Goldman la V.O. là www.facebook.com/icivenissieux/videos/2042888055963468/ … & clip officiel içi www.youtube.com/watch?v=oltptNDHocw … - Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Structure Couleurs d'une cité provençale en 1975 extrait du film Bâtir mieux plus vite et moins cher @ le BTP en 1975, l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant...Une nouvelle cité provençale ... dai.ly/xyjudq Jacques Tati & la villa Arpel @ le film "mon Oncle"
www.ina.fr/video/R09119655 TURQUIE - Cette ville fantôme a pourrait servir de tournage à un film d'horreur. La commune de Mudurnu, au nord de la Turquie, compte des centaines de répliques de châteaux français tous à l'abandon www.youtube.com/watch?v=qGML4Ej7muM … www.youtube.com/watch?v=U8cFGOnxns4 … Démolition Tour DEF mercredi 23 juin 2010 - Cité Balzac Création artistique autour de la démolition d'un bâtiment. Ce film a été réalisé par les équipes de Plug N' Prod. www.youtube.com/watch?v=L9A_lUN1TPU … 42 - SAINT-ETIENNE LOIRE - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, en 1962, les vues des HLM de RHONE ALPES de PARIS & plus... en FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet
Saint-Etienne l' Extension Marandiniere 1957-59 architecte Jean Farat 42 St-Etienne LOIRE - la Marandiniere les espaces verts @ les 30 G & Jacques SIMON - Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». www.dailymotion.com/video/xgj74q LE FILM 42 - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, 1962, le FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije ,Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! ▶ bit.ly/2KK0n1D la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruite.Le film montre à Strasbourg, Mulhouse, des réalisation moderne de grands ensembles et des images d'archive de la reconstruction du Havre de Saint Nazaire.Le film se termine à Marseille sur les réalisation nouvelles autour du vieux port puis on assiste à l'inauguration de la Cité Radieuse par le ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme Eugène Claudius-Petit en présence de son architecte Le Corbusier à qui le ministre remet la cravate de commandeur de la légion d'honneur. www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695... Mémoire2cité Mémoire2Ville Mémoire de l'Habitat,içi la page listant mes 43 albums photos disponibles, çe x 1000 pour chacuns d'entre eux ..Merci aux 5859 followers qui porte une attention particuliere à nos quartiers..
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruit
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
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le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije Cardem les 60 ans de l'entreprise de démolition française tres prisée des bailleurs pour les 80, 90's (1956 - 2019) toute l'Histoire de l'entreprise içi www.youtube.com/watch?v=Yyf1XGvTZYs - 69 LYON & la Cardem pour la démolition de la barre 230 Quartier la Duchère le 2 juillet 2015, youtu.be/BSwidwLw0NA pic.twitter.com/5XgR8LY7At -34 Béziers - C'était Capendeguy le 27 janv 2008 En quelques secondes, 450 kg d'explosifs ont soufflé la barre HLM de 492 lgts, de 480 m, qui laissera derrière elle 65.000 tonnes de gravas. www.youtube.com/watch?v=rydT54QYX50 … … Les usines Peugeot - Sochaux Montbéliard. 100 ans d'histoire en video www.youtube.com/watch?v=X4w3CxXVAyY … - 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
- Villeneuve-la-Garenne, La Caravelle est à mettre au crédit de Jean Dubuisson, l’un des architectes les plus en vue des années 1960, www.dailymotion.com/video/x1re3h5 via @Dailymotion - AMIENS les HLM C'était le 29 juillet 2010, à 11h02. En quelques secondes, cette tour d'habitation s'est effondrée, détruite par implosion. Construite en 1961, la tour avait été vidée de ses habitants quelques années auparavant. www.youtube.com/watch?v=ajz2xk5KBNo … … - Les habitants de Montreynaud parlent de leur quartier et de cette destruction entre nostalgie et soulagement içi en video www.dailymotion.com/video/xmiwfk - Les bâtiments de la région parisienne - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/CAF96034508/les-batiments-de-la-region-p... … via @Inafr_officiel - Daprinski - George Michael (Plaisir de France remix) www.youtube.com/watch?v=sJeH-nzlj3I
Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … …
www.twitter.com/Memoire2cite 93 : Mémoire d un territoire - Documentaire de Yasmina Benguigui www.youtube.com/watch?v=-Pdmy0shDfY … PODCAST Au cœur des politiques publiques : la construction des grands ensembles Conférence d’Annie Fourcaut, historienne, professeur à l’Université Paris 1, directrice du Centre d’histoire sociale (CHS), animée par Danièle Voldman, histoirenne www.histoire-immigration.fr/agenda/2010-09/au-coeur-des-p... … … le Logement Collectif* 50,60,70's dans tous ses états..Histoire & Mémoire de l'Habitat / Rétro-Villes / HLM / Banlieue / Renouvellement Urbain / Urbanisme 😊 De grandes barres d’immeubles, appelées les grands ensembles, sont le symbole de nos banlieues. Entrée Libre revient sur le phénomène de destruction de ces bâtiments qui reflètent aujourd’hui la misere www.youtube.com/watch?v=mCqHBP5SBiM Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije …
archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ...
museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije :- que dire de RICARDO BOFFIL Les meilleures balades que j’ai fait autour de Paris je les ai faites dans l’application Plans. Je ne minore pas le rôle de Google Maps, révolution cartographique sans précédent et sans égale, qui aura réalisé nos fantasmes d’Aleph borgesien — l’idée d’un point d’où le monde serait visible en totalité — parachevé Mercator et permis d’explorer des parties du globe inconnues de Cook, Bougainville et Amundsen. Je n’oublie pas non plus cet exercice de cartographie au collège, qui nous avait démontré que nous étions à 3 cartes IGN de la capitale, et que le tissu urbain était de plus en plus serré à mesure que nous avancions vers le nord. Mais Plan possédait une fonctionnalité inédite, le Flyover, technologie à l’origine destinée aux pilotes de chasse, et qui fournissait des rendus 3D spectaculaire des bâtiments survolés — ainsi que des arbres et des déclivités du sol.On quittait enfin les champs asphyxiants de la photographie aérienne pour des vues à l’oblique des villes visitées : après un siècle d’écrasement — la photographie aérienne est étroitement contemporaine du bombardement aérien — les villes reprenaient enfin de la vigueur et remontaient vers le ciel. J’avais d’ailleurs effectué moi-même une manœuvre de redressement similaire le jour où j’étais parti, à pied depuis Paris, visiter à Nanterre une exposition sur la photographie aérienne. J’étais à la quête des premières vues de Paris qu’avait prises Nadar depuis un ballon captif. À défaut de ces images, définitivement manquantes, j’avais parcouru, après la Grande Arche, les derniers kilomètres de la Voie Royale, cette prodigieuse perspective historique partie du Louvre — rare exemple de frise chronologique implémentée dans une structure urbanistique.J’avais en réalité un peu dévié de la ligne droite pour aller voir les tours Nuages d’Emile Aillaud, le Facteur Cheval du modernisme, dont je connaissais déjà les autres chefs d’œuvres d'architecture naïve, les nouilles chinoises de Grigny et le spaghetti de Pantin.C’était précisément l’usage que j’avais fait de l’application Plans : j’étais parti à la recherche de tous les groupements de tour qu’elle m’avait permis d’identifier, sur mon iPad. Je les faisais tourner avec deux doigts, comme un éclaireur qui marcherait autour d’un donjon, avant de les immortaliser, sous leur plus bel angle, par une capture d’écran.Un éclaireur autour d’un donjon : c’était exactement cela, qui m’avait fasciné. Les guerres territoriales entre Les Tarterêts de Corbeil et les Pyramides d’Evry avaient marqué mon enfance. La notion de cité, telle qu’elle avait été définie, à partir des années 80, dans le second âge des grands ensembles, l’âge du déclin, avait conservé un cachet médiéval. Ici, vivaient guetteurs et trafiquants, condottieres à la tête d’une écurie de go-fast et entretenant des chenils remplis de mâtins rares et dangereux. Ici, l’État central ne remplissait plus ses tâches régaliennes, ici la modernité laïque était entrée en crise. Mais ce que j’avais découvert, en collectionnant ces captures d’écran, c’était à quel point l’urbanisme de la banlieue parisienne était, strictement, d’obédience médiévale. On était passé, d’un seul mouvement et sans même s’en rendre compte de Château-Gaillard à la Cité 4000, du Donjon de Vincennes aux tours de Sarcelles, du château de Gisors aux choux fleurs de Créteil.J’ai même retrouvé la colonne détruite du désert de Retz dans le babylonien château d’eau de Noisiel.Des hauteurs de Rosny à celle de Chanteloup, du plateau de Clichy à la dalle d’Argenteuil, on avait bizarrement livré des pastiches inconscients de la grande architecture militaire médiévales : les environs de Paris s’étaient retrouvés à nouveau fortifiés, la vieille tour de Montlhéry n’était plus solitaire, et même les immeubles de briques rouges qui avaient succédé à l’enceinte de Thiers évoquaient des murailles.Et ce que j’avais initialement pris pour des anomalies, des accidents malheureux du post-modernisme, les grand ensembles voûtés et cannelés de Ricardo Boffil, étaient peut-être ce qui exprimait le mieux tout cela — ou du moins qui clôturaient avec le génie le plus clair cet âge des grands ensembles.Car c’était cela, ces Carcassonnes, ces Acropoles, ces Atlandides qui surnageaient avec le plus de conviction au milieu des captures d’écrans de ruines médiévales qui s’accumulaient sur mon bureau.Si décriées, dès leur construction, pour leur kitch intolérable ces mégastructures me sont soudain apparues comme absolument nécessaires.Si les Villes Nouvelles n’ont jamais existé, et persisteront dans la mémoire des hommes, elles le doivent à ces rêveries bizarres et grandioses, à ces hybridations impossibles entre les cités idéales de Ledoux et les utopies corbuséennes.
L’Aqueduc de Saint-Quentin-en-Yvelines, les Espaces d’Abraxas à Marne-la-Vallée, les Colonnes de Saint-Christophe à Cergy-Pontoise sont les plus belles ruines du Grand Paris.
www.franceculture.fr/emissions/la-conclusion/ricardo-bofill immerssion dans le monde du logement social, l'univers des logements sociaux, des H.B.M au H.L.M - Retour sur l'histoire du logement collectif d'apres guerre - En Françe, sur l’ensemble du territoire avant, 4 millions d’immeubles étaient vétustes, dont 500.000 à démolir; au total 10% des logements étaient considérés comme insalubres et 40% réputés d’une qualité médiocre, et surpeuplés. C’est pour ces raisons que, à partir de 1954, le Ministre à la Reconstruction et au Logement évalue le besoin en logements à 2.000.660, devenant ainsi une priorité nationale. Quelques années plus tard à l’appel de l’Abbé Pierre, le journaliste Gilbert Mathieu, en avril 1957 publiait dans le quotidien Le Monde une série d’articles sur la situation dramatique du logement : Logement, notre honte et dénonçant le nombre réduit de logements et leur impitoyable état. Robert Doisneau, Banlieue après-guerre, 1943-1949 /Le mandat se veut triple : reconstruire le parc immobilier détruit durant les bombardements essentiellement du printemps/été 1944, faire face à l’essor démographique et enfin résorber l’habitat insalubre notamment les bidonvilles et les cités de transit. Une ambition qui paraît, dès le début, très élevée, associée à l’industrialisation progressive de la nation entre autre celle du secteur de la construction (voir le vidéo de l’INA du 17 juillet 1957 intitulée La crise du logement, un problème national. Cela dit, l’effort pour l’État français était d’une ampleur jamais vue ailleurs. La double nécessité de construire davantage et vite, est en partie la cause de la forme architecturale excentrique qui constituera les Grands Ensembles dans les banlieues françaises. Cinq caractéristiques permettent de mieux comprendre ce terme : la rupture avec le tissu urbain ancien, un minimum de mille logements, une forme collective (tours, barres) de quatre jusqu’à vingt niveaux, la conception d’appartements aménagés et équipés et enfin une gestion destinée pour la plupart à des bailleurs de logement social.
Pour la banlieue parisienne leur localisation s’est opérée majoritairement dans la périphérie, tandis que dans les autres cas, plus de la moitié a été construite dans le centre ville, le plus souvent à la limite des anciens faubourgs.
Architecture d’Aujourd’hui n° 46, 1953 p. 58-55
C’est le triomphe de l’urbanisme fonctionnel et rationaliste cher à Le Corbusier. Entre 1958 et 1973, cent quatre-vingt-quinze Zones à Urbaniser en Priorité (ZUP) sont créées, comprenant deux millions de logements, essentiellement de type populaire en Habitations à Loyer Modéré (HLM), mais pas exclusivement, remplaçant ainsi les anciennes Habitations à Bon Marché (HBM) crées en 1894. Selon le décret du 27 mars 1954 qui en fixe les conditions d’attribution, les bénéficiaires de la législation n’ont pas changé, ce sont toujours des « personnes peu fortunées vivant principalement de leur salaire », selon la loi Strauss de 1906. En 1953, tous les HLM voient leur surface maximale se réduire, en passant de 71 à 65 mètres carrés pour un quatre pièces. L’accès au logement des familles modestes se fera donc au détriment de la qualité et quantité de l’espace habité pour des familles nombreuses. À ce propos, le sociologue Thierry Oblet a bien montré comment se sont articulées les pensées des architectes et des ingénieurs modernistes, avec leur souci planificateur d’un État interventionniste[8] grâce à l’hégémonie du béton, de la ligne droite et de la standardisation de la construction.Les exemples de cette architecture restent nombreux : de la Cité de 4000 (pour 4000 logements) à la Courneuve en Seine-Saint-Denis (93) aux logements de 15 étages aux balcons pétales, appelés « Chou-fleur » à Créteil en Val-de Marne (94) dessinés au début des années 70 par l’architecte Gérard Grandval. De la Cité des nuages à Nanterre dans les Hauts-de-Seine (92) à la Grande borne construite entre 1967 et 1971 sur le territoire des communes de Grigny et Viry-Châtillon, dans l’Essonne (91) en passant par la Noé à Chanteloup-les-Vignes dans le département des Yvelines (78) scénario du célèbre film La Haine[9] de Kassovits.
Récemment, plusieurs expositions photographiques se sontconcentrées sur cette nouvelle figure de l’urbanisme fonctionnaliste français de l’après-guerre. Par exemple Toit&Moi, 100 ans de logement social (2012), Les Grands ensembles 1960-2010 (2012) produite par l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, selon un projet du Ministère de la Culture et de la Communication. Enfin l’exposition Photographie à l’œuvre, (2011-2012) d’Henri Salesse, photographe du service de l’inventaire du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme et Voyage en périphérie (2012) de Cyrus Cornut.
Il s’agissait là non seulement d’un progrès matériel, mais aussi démocratique, donnant ainsi à chaque citoyen, la possibilité d’accéder à son petit appartement doté de tous les conforts de l’époque. La recherche d’économie et de rapidité dans la conduite des chantiers portent à l’utilisation du béton comme matériel privilégié et à des plans architecturaux aussi simples que possible avec la réalisation de logements standardisés, dont les barres et les tours deviennent les figures principales : Au mitan des années cinquante, apparurent d’étranges formes urbaines. Des immeubles d’habitation de plus en plus longs et de plus en plus hauts, assemblés en blocs qui ne s’intégraient pas aux villes existantes. Ces blocs s’en différenciaient ostensiblement et parfois comme systématiquement, s’en isolaient. Ils semblaient faire ville à part. Surtout ils ne ressemblaient pas à ce qu’on avait l’habitude d’appeler ville. Et leur architecture aussi, qui était tellement déroutante. On les a nommés » grands ensembles. Cité de l’Abreuvoir, Bobigny (93), 2003 (Inventaire général du Patrimoine, Région Ile de France / Stéphane Asseline)
Bref, entre 1946 et 1975 le parc immobilier français passe de 12,7 millions à 21 millions de logements. Environ 8 millions de ceux-ci sont neufs, construits entre 1953-1975 – dont la moitié sous forme de grands ensembles – et près de 80 % des logements grâce à une aide de l’État avec des crédits publics. Le nombre de logements sociaux passe de moins de 500.000 à près de 3 millions, dont 43 % en région parisienne, où la demande est la plus forte[11]. Ce qui témoigne d’un effort énorme. Secrétariat d’État à la Reconstruction et au Logement, Supplément du logement en 1954, cité par Bachmann, C. Le Guennec, N., Violences urbaines…Op.cit, p.24. Alors que l’hiver 1954 est particulièrement rigoureux, l’abbé Pierre lance un appel en faveur des sans-logis et déshérités et organise des collectes de vêtements et de nourriture pour les plus démunis. Cela nous rappelle également que les inégalités sociales restaient particulièrement importantes à l’époque, malgré les débuts de la croissance économique, et que la crise du logement n’était pas encore complètement résolue. Danièle Voldman, La reconstruction des villes françaises de 1940 à 1954 : histoire d’une politique, Paris, L’Harmattan, 1997. Les Actualités françaises, La crise du logement, un problème national, 17 juillet, 1957, in fresques.ina.fr/…/la-crise-du-logement-un-probleme-n…, consulté le 20/02/2014. C’est l’urbaniste Marcel Rotival dans un numéro d’Architecture d’Aujourd’hui de juin 1935 (vol.1, n°6, juin 1935, p.57) qui propose pour la première fois cette terminologie pour désigner les Habitations à Bon Marché (HBM) et leur transformation en Habitations à Loyer Modéré (HLM), par la loi du 21 juillet 1951: « Nous espérons, un jour, sortir des villes comme Paris, non seulement par l’avenue des Champs Elysées, la seule réalisation de tenue sans laquelle Paris n’existerait pas, mais sortir par Belleville, par Charonne, par Bobigny, etc., et trouver harmonieusement disposés le long de larges autostrades, au milieu de grands espaces boisés, de parcs, de stades, de grandes cités claires, bien orientées, lumineusement éclairées par le soleil. » Largement reprise depuis les années 1950 dans le jargon administratif et public, elle apparaît pour la première fois dans un texte officiel qu’en 1973 avec la Circulaire Guichard, alors Ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Equipement, du Logement et du tourisme. Celui-ci met un terme à la politique initiée après-guerre afin « d’empêcher la réalisation des formes d’urbanisation désignées généralement sous le nom de “grands ensembles”, peu conforme aux aspirations des habitants et sans justification économique sérieuse ». Paradoxalement, le terme de grands ensembles s’officialise donc au moment même où ils son mis en question. ZUP est un acronyme qui signifie Zone à Urbaniser en Priorité. Elles ont été créées par le décret N°58-1464 du 31 décembre 1958, afin de planifier et d’encadrer sur le territoire national, le développement urbain pour répondre à la carence de logements face à l’accroissement démographique et favoriser enfin la résorption de l’habitat insalubre. Oblet, Thierry, Gouverner la ville. Les voies urbaines de la démocratie moderne, Paris, PUF, 2003. En particulier par l’intermédiaire de la Société centrale de construction et de la Société centrale pour l’équipement du territoire, créées au milieu des années 1950 en tant que filiales de la Caisse des dépôts et consignations.Cornu, Marcel, Libérer la ville, Bruxelles, Casterman, 1977, p.60. twitter.com/Memoire2citeil Les 30 Glorieuses . com et la carte postale ... Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije Cardem les 60 ans de l'entreprise de démolition française tres prisée des bailleurs pour les 80, 90's (1956 - 2019) toute l'Histoire de l'entreprise içi www.youtube.com/watch?v=Yyf1XGvTZYs - 69 LYON & la Cardem pour la démolition de la barre 230 Quartier la Duchère le 2 juillet 2015, youtu.be/BSwidwLw0NA pic.twitter.com/5XgR8LY7At -34 Béziers - C'était Capendeguy le 27 janv 2008 En quelques secondes, 450 kg d'explosifs ont soufflé la barre HLM de 492 lgts, de 480 m, qui laissera derrière elle 65.000 tonnes de gravas. www.youtube.com/watch?v=rydT54QYX50 … … Les usines Peugeot - Sochaux Montbéliard. 100 ans d'histoire en video www.youtube.com/watch?v=X4w3CxXVAyY … - 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
Villeneuve-la-Garenne, La Caravelle est à mettre au crédit de Jean Dubuisson, l’un des architectes les plus en vue des années 1960, www.dailymotion.com/video/x1re3h5 via @Dailymotion - AMIENS les HLM C'était le 29 juillet 2010, à 11h02. En quelques secondes, cette tour d'habitation s'est effondrée, détruite par implosion. Construite en 1961, la tour avait été vidée de ses habitants quelques années auparavant. www.youtube.com/watch?v=ajz2xk5KBNo … … - Les habitants de Montreynaud parlent de leur quartier et de cette destruction entre nostalgie et soulagement içi en video www.dailymotion.com/video/xmiwfk - Les bâtiments de la région parisienne - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/CAF96034508/les-batiments-de-la-region-p... … via @Inafr_officiel - Daprinski - George Michael (Plaisir de France remix) www.youtube.com/watch?v=sJeH-nzlj3I
Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondesSur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc … Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015 www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin) www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... <a href="http://www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije" rel
twitter.com/Memoire2cite - Après 1945, les collines agricoles du sud-est de la ville connaissent un programme d’urbanisation de grande ampleur pour répondre à la crise du logement. Près de 4600 logements sociaux vont ainsi être construits en quatre tranches successives de 1953 à 1970 : Beaulieu, la Marandinière, Montchovet, la Métare et la Palle formant aujourd’hui les quartiers sud-est. Touché par la crise économique et urbaine de dingue, le secteur sud-est apparaît à la fin des années 1990 comme un espace monofonctionnel dédié en totalité à l’habitat locatif social et porté par un seul bailleur l'OPAC devenu Métropole Habitat. Bien que bénéficiant de nombreux atouts (accessibilité et environnement agréable...), le quartier souffre du gigantisme de son urbanisation et du manque de résidentialisation des unités d’habitation. Par une action en profondeur et dans la durée, la Ville de Saint-Étienne, à travers son Programme de Rénovation Urbaine (PRU), a amorcé une transformation durable du quartier depuis 1989 avec la 1ere demolition du programme à la rue Pierre Loti le 31 janvier 1989 (BANLIEUE89), 30 ans de renouvellement urbain sur la ville.... une ville pilote en la matiere des 1990. Aujourd'hui et demain Les quartiers sud-est vont poursuivre leur mutation, avec l’appui continu de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine et ses partenaires l'ANRU2. Développer le secteur économiqueL'objectif est de dynamiser l’économie dans ce territoire en portant de nouveaux projets et en restructurant l’offre commerciale de proximité. La Ville de Saint-Étienne a prévu la création de nouvelles zones d’activités permettant l’accueil d’entreprises. Ainsi une zone d’activités économiques, rue Pierre Loti, répondra aux besoins fonciers des entreprises et des artisans locaux. Ce projet de zone économique, en visibilité directe de la RN 88, permettra l’implantation d’une cinquantaine d’entreprises et la création de 300 emplois. Un nouveau centre commercial sur le secteur de la Marandinière, couplé à la démolition des centres commerciaux de la Palle et Sembat, permettra de restructurer et moderniser l’offre commerciale de proximité. Renouveller l'offre d'habitat Une qualité résidentielle s’affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d’habitat variée qui émerge depuis plusieurs années. Les nombreuses démolitions réalisées et à venir (Boulevard des Mineurs en 2018 et immeubles Loti en 2020), ainsi que les réhabilitations d’immeubles en cours, vont permettre de diversifier l’offre de logements. L’un des objectifs du projet urbain est donc de conforter la vocation résidentielle du quartier en stimulant l’offre et en accompagnant des projets comme la construction de logements passifs sur le secteur de Beaulieu, la transformation de l’ancienne école Baptiste-Marcet et la réhabilitation de logements à Monchovet. Améliorer le cadre de vie des habitantsLes quartiers sud-est bénéficient d’un environnement naturellement riche et varié, à l’interface entre les grands parcs de la ville (jardin des Plantes, parc de l’Europe, Bois d’Avaize) et le Pilat. Le projet urbain de la Ville de Saint-Étienne prévoit de relier ces espaces naturels entre-eux avec la création d’une continuité verte, qui permettra aux marcheurs et autres randonneurs de bénéficier d’un véritable réseau de chemins autour de la commune. Le boulevard Alexandre-de-Fraissinette, véritable colonne vertébrale du quartier, et la rue Pierre-Loti seront entièrement revus pour assurer un meilleur partage de l’espace entre tous les modes de déplacements (voiture, vélo et piéton) et assurer un maillage inter-quartiers plus efficace. fr.calameo.com/read/0005441131b4119eaa674Depuis 2014, la rénovation urbaine dans les quartiers sud-est s’est traduite par de nombreux travaux: la construction du centre commercial de la Grande Marandinière, l’aménagement d’un lotissement de treize maisons individuelles passives, impasse Clémenceau, les rénovations des écoles de Montchovet et de Beaulieu, la réhabilitation de locaux rue Henri-Dunant (pour y installer la Maison des associations), et enfin les démolitions récentes du centre commercial du boulevard de la Palle et d’un garage, au 41 rue de Terrenoire.Démolitions mais aussi constructions sont au programme. Plusieurs acteurs entrent en jeu dans le financement de ces projets, notamment l’ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) mais aussi la Ville, le Département et la Région. Ainsi, le contrat avec l’ANRU, signé le 14 mars, dégage une somme de 23 millions d’euros, somme à laquelle il faut ajouter 3,3 millions d’euros de la Région. Pour les années à venir, les objectifs visent à la poursuite du développement économique, de la mutation de l’habitat par des constructions individuelles ou de petits immeubles, des démolitions ponctuelles, de la valorisation des espaces publics et du renforcement des espaces du quartier. Deux secteurs sont concernés : Loti et la Grande Marandinière. Le 11 AVRIL 1964, le développement de la ville de Saint Etienne, et ses travaux ..La ville de Saint Etienne se développe tout comme l'ensemble du territoire... Pour accompagner cet accroissement de population, de nouveaux quartiers se construisent aux abords de la ville chaque jours. Et pour faire face aux problèmes de circulation, un boulevard périphérique a été aménagé. Réalisé à l'occasion de la construction de la déviation sud de l'autoroute de Saint Etienne, ce reportage témoigne de la visite du sénateur maire de la ville, Mr. Michel DURAFOUR, sur le chantier du tunnel de la déviation. Accueilli par Mr. Rocher, président de la société forêzienne de travaux publics, Michel DURAFOUR découvre avec les membres du conseil municipal l'avancée des travaux. (voir aussi le chantier de l A 47 avec la video du tunnel du rond-point içi : www.ina.fr/video/LXC9610041788 . Ce quartier est né des programmes de grands ensembles mis en œuvre à partir des années 1950 afin de réduire la pénurie de logements. La mairie choisit donc de développer un quartier moderne 4 600 logements en HLM pour pouvoir loger plus de 30 000 habitants avec des loyers modérés dans des bâtiments modernes. Ce quartier avait comme emblème un des plus grands immeubles d’Europe surnommé la Muraille de Chine qui était visible depuis l’autoroute. Ce quartier s’est construit en quatre tranches : Beaulieu I (Beaulieu) de 1953 à 1955 ; Beaulieu II (La Marandinière) en 1959 ; Beaulieu III (Montchovet) en 1964 ; Beaulieu IV (La Palle) en 1971. Il est aujourd’hui en profonde mutation avec un programme de renouvellement urbain qui prévoit la démolition de plus 1000 logements et la reconstruction de 250. Bâtiments spécifiques : CHPL (Centre Hospitalier Privé de la Loire) qui remplace la Muraille de Chine ; Ecole Nationale d'ingénieurs de Saint-Etienne Un modèle de l'urbanisme des années 1950. Beaulieu-Montchovet: La ville choisit de construire un immense quartier neuf de plus de 4.600 logements, prévu pour loger 30.000 habitants, sur les basses pentes du Pilat, à la sortie sud-est de Saint-Etienne.Entre les forêts, qui seront classées parc naturel quelques années plus tard, et les quartiers chics du cours Fauriel, c'est un des endroits les mieux situés de la ville.C'est aussi le seul grand emplacement proche du centre où il n'y aie pas eu de mines, parce que les couches de charbon s'arrêtent juste avant : le terrain est assez solide pour supporter de gros immeubles. Içi le chantier de construction de MONTCHOVET soit Beaulieu 3, la continuitée des constructions HLM de nos quartiers sud-est (les chantiers de l'OPAC) , la vidéo içi :www.ina.fr/video/LXF99004401 .Retour sur son historique de 1962 à aujourd'hui e n 2018.Un grand-Ensemble qui rappelle combien la politique d'urbanisme des années 1960 et suivantes a été conduite en dépit du bon sens la video içi www.google.fr/search?q=montchovet+ina&oq=montchovet+i... et là www.ina.fr/video/CAC00029801 , mais aussi içi www.ina.fr/video/CAC00029801 - avec Claude BARTOLONE içi avec la Visite à Saint Etienne du ministre délégué à la ville le jour de la démolition de la muraille de Chine. Rencontre avec des associations pr discuter du futur du quartier Montchovet. www.ina.fr/video/LY00001263573 - fresques.ina.fr/rhone-alpes/fiche-media/Rhonal00046/demol... - et les differentes videos de la demolition la encore : La démolition de la "muraille de Chine" de Saint Etienne www.youtube.com/watch?v=aq1uOc6Gtd0, www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc terrible :( ^^ l interview de Michel Thiolliere Le Grisou.fr a interviewé Michel Thiollière, ancien maire de Saint-Etienne et sénateur de la Loire, membre du Parti radical et actuel vice-président de la Commission de régulation de l'énergie. Il livre son analyse sur les prochaines échéances politiques, notamment la campagne des municipales en cours à Saint-Etienne, les alliances de la droite et du centre, mais aussi le mandat de Maurice Vincent. Michel Thiollière s'attarde également sur les besoins de l'agglomération stéphanoise et évoque les enjeux énergétiques en France.(Interview : Maxime Petit -- Réalisation : Studios Bouquet) www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48,"François Mitterrand, après la visite de deux quartiers -l'un à Saint Etienne et l'autre à Vénissieux, inscrits sur la liste de ceux à réhabiliter -, parle du plan de réhabilitation pour de meilleures conditions de logement.François Mitterrand / Georgina Dufoix / Gilbert Trigano / François Dubanchet / Marcel Houël Thèmes : Grands travaux et grands projetsLe Président > 1er septennat 1981-1988 > 1981-1986 ÉclairageDepuis la fin des années 1970, la région lyonnaise apparaît comme l'épicentre des violences urbaines qui se déroulent en France. Durant l'été 1981, des violences urbaines ont conduit le gouvernement à engager le plus tôt possible une nouvelle politique en faveur des quartiers dégradés. Malgré les premières opérations de réhabilitation engagées par la Commission nationale pour le développement social des quartiers, la situation demeure extrêmement tendue dans un certain nombres de quartiers populaires. L'assassinat d'un jeune de la Cité des 4 000 par un habitant en juillet 1983 a ravivé les débats autour du thème du "mal des grands ensembles" selon l'expression de l'époque. D'autre part, le contexte politique conduit également le pouvoir à s'intéresser encore davantage à la question de la dégradation urbaine dans la mesure où de très nombreux quartiers populaires n'ont pas cette fois-ci apporté leurs suffrages aux candidats de la gauche.La visite de François Mitterrand dans deux quartiers dégradés de la région lyonnaise constitue donc un signal fort à l'égard des populations qui y vivent. Ce déplacement fait également écho à celui réalisé quelques jours plus tôt au sein de la Cité des 4 000 à La Courneuve en Seine Saint Denis (voir Visite de François Mitterrand à La Courneuve). Le principe est d'ailleurs le même et il est exprimé par le président de la République : voir par lui-même l'état réel de ses quartiers. Le fait qu'il soit mentionné dans le reportage que "ces visites surprises" se soient faites dans la "plus grande discrétion" (notamment sans les élus locaux concernés) marque effectivement la volonté du président de la République d'établir une sorte de lien direct avec les habitants qui vivent dans ces quartiers. Il ne s'agit pas de faire l'annonce de nouvelles mesures mais "de voir les choses par moi-même" selon l'expression utilisée par François Mitterrand lors de son allocution à la Préfecture à Lyon. Au moment où la Commission nationale pour le développement social des quartiers établit la liste définitive des 22 quartiers qui bénéficieront d'un programme de réhabilitation, la visite du président de la République sur le terrain suggère une forme de "présidentialisation" du thème de la réhabilitation des grands ensembles.La création au même moment de Banlieue 89 suscitée par deux architectes proches de François Mitterrand, Roland Castro et Michel Cantal-Duparc, suggère également l'intérêt du président de la République pour les questions urbaines (voir Inauguration de l'exposition organisée par Banlieue 89)."http://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00106/visite-de-francois-mitterrand-a-saint-etienne-et-aux-minguettes.html JournalisteVisites surprises qui se sont déroulées dans la plus grande discrétion, seule Madame Georgina Dufoix, Secrétaire d’Etat à la Famille et aux Immigrés, Monsieur Gilbert Trigano, le PDG du Club Méditerranée qui participe à la Commission Dubedout, et deux collaborateurs du Chef de l’État étaient présents. Ni à Saint-Étienne, ni à Vénissieux, les autorités locales n’y ont participés. Peu avant midi, le Président est arrivé à la Préfecture du Rhône à Lyon où s’est déroulée pendant 45 minutes une séance de travail avec les élus locaux et notamment Messieurs Dubanchet, Maire de Saint-Étienne et Houël, Maire de Vénissieux. Réunion qui a donné l’occasion d’aborder les problèmes de fond, devait souligner François Mitterrand.(Bruit)François MitterrandLes deux quartiers que je viens de visiter, celui de Montchovet à Saint-Étienne et celui de Monmousseau à l’intérieur des Minguettes sur la commune de Vénissieux, sont inscrits sur la liste des 22 quartiers à réhabiliter, retenus, proposés par la Commission Dubedout devenue la Commission Pesce, et retenus par le Gouvernement. Et je compte appliquer nos efforts pour qu’effectivement, ces quartiers soient réhabilités, c’est-à-dire, soient habitables. Qu’on y trouve, pour ceux qui y vivent, euh, suffisamment de convivialité, de capacité de développer une famille et, euh, revenant de son travail quand on en a, de pouvoir vivre avec les autres. Les conditions de logement, la construction de ces ensembles, les liaisons avec l’extérieur, l’école, le sport, les espaces verts, bref, l’espace tout court, contribuent, vous le comprenez bien à, au futur équilibre, ou contribueront au futur équilibre de ces quartiers. Alors, je préfère voir les choses par moi-même. Il faut bien se dire que à l’origine de nombreux désordres sociaux se trouvent ces fâcheuses, ces déplorables conditions de vie. Et moi, je veux lutter contre ces désordres et pour cela, il faut que je m’attaque avec le Gouvernement et ceux qui ont la charge auprès de moi, je veux absolument m’attaquer aux sources d’un malaise et d’un déséquilibre social qui sont d’une immense ampleur. Raison de plus pour commencer par un bout avec énergie et continuité. Et de ce point de vue, je compte bien, au cours des semaines et des mois à venir, persévérer dans cette enquête personnelle qui me permet ensuite de donner des instructions précises à ceux qui participent à la gestion de l’État., à Saint-Étienne comme dans les communes de sa proche banlieue. Une sorte de grand monument à la gloire des HLM, comme si on avait fait exprès de la faire aussi énorme pour montrer comme les gens étaient fiers de ce quartier. Autour on construit tout ce qu'il faut pour les habitants : une école, Montchovet, qui donne sur le grand pré derrière, une MJC, une piscine, un centre commercial, avec la Poste, plus tard le bureau de police. En 1978, comme les enfants des habitants grandissent, on ouvre un deuxième collège dans la ZUP. Il prendra le nom de Jean Dasté, qui a créé la Comédie de Saint-Etienne, le plus grand théatre de province en France, et son école de comédiens. Après 1984 les loyers des HLM ont augmenté, beaucoup d'habitants sont partis. La population de Saint-Etienne diminue surtout dans les quartiers sud : beaucoup de gens déménagent vers la plaine du Forez, moins froide, où il y a la place de batir des maisons. On a rénové beaucoup d'appartements anciens en ville : la crise du logement est finie. On ne sait même plus qu'elle a existé. Les ZUP ont vieilli et la plupart des gens préfèrent se loger dans des appartements récents. Alors on ferme : le collège de Beaulieu, l'école de la Marandinière, la Poste. La Muraille coute très cher à entretenir : il n'y a plus asssez d'habitants pour payer les frais. Les HLM ont décidé de la détruire: c'est le plus gros projet de démolition jamais réalisé en Europe. Les familles qui restaient ont du déménager. On va faire exploser la Muraille de Chine au printemps de l'an 2000. Peut être qu'il fallait le faire, mais pour les gens du quartier c'est un gros morceau de notre Histoire qu'on nous détruit.1954: les premiers travaux à Beaulieu : la campagne devient une ville à grands coups de bulldozer..Le projet est de construire en grande quantité des logements de bonne qualité, avec tout le confort, des chambres pour les enfants, l'eau, le chauffage central, des sanitaires, des arbres et des pelouses, et surtout .... des loyers accessibles pour tous. Ce seront les Habitations à Loyers Modérés, les HLM.Il faudra les construires en dehors des villes, pour en finir avec le mélange des industries et des logements, qui amène le bruit et la pollution. Y prévoir tous les équipements : commerces, écoles, collèges, lycées, transports, parcs, équipements sportifs, police, pompiers, Postes. Construire des villes entières où tout le monde aura accès à ce qui n'était encore que le luxe de quelques gens très riches.Cinq villes sont choisies pour être prioritaires : Paris ( Pantin ) et Lyon ( Bron-Parilly) à cause de leur taille, Angers et Rouen détruites dans les bombardements de 1944, Saint-Etienne, la ville la plus sinistrée de France pour le logement. C'est là que naissent les cinq premières Zone à Urbaniser en Priorité, les ZUP, modèles de l'urbanisme pour toute une génération. Elles ne s'appellent pas encore comme ça : on les construites avant que l'expression de ZUP existe, c'est de leur réussite que naitra le modèle repris partout pour lequel on inventera le mot plus tard.Beaulieu I: le projet d'urbanismeMaquette de 1953 - Projet des architectes Gouyon-ClémentUne architecture géométrique, de grands espaces, des arbres, des formes qui soulignent le relief.La ZUP de Beaulieu est construite en quatre tranches:- Beaulieu I ( Beaulieu ) de 1953 à 1955- Beaulieu II ( La Marandinière ) en 1959- Beaulieu III ( Montchovet ) en 1964, dont fait partie la Muraille de Chine, le grand immeuble le long du boulevard à gauche.- Beaulieu IV ( La Palle ) en 1971Le quartier:Au premier plan, en bas à droite Beaulieu, la Marandinière est à droite derrière l'autoroute, Montplaisir à gauche, Monchovet au milieu, le long du boulevard de la Palle.A gauche des tennis, les batiments du collège de Beaulieu. C'était l'autre collège de la ZEP, le seul collège "sensible" de France a avoir été fermé, en 1995.Nouvelles techniques, nouveaux matériaux :Construire vite pour un prix raisonnable oblige à inventer de nouvelles techniques, d'autant que l'on manque de travailleurs qualifiés.La construction s'industrialise: immeubles à structure porteuse ( des poteaux en béton armé tiennent les dalles, ce ne sont plus les murs qui soutiennent les immeubles ), murs rideaux ( les murs sont fait de morceaux préfabriqués accrochés aux dalles ), éléments standardisés ( les éléments: murs, tuyauterie, portes et fenêtres, sanitaires, etc... sont tous identiques, fabriqués en usine en grande série, installés de la même façon dans tous les immeubles ), nouveaux matériaux ( matières plastiques, béton armé, acier ) qui ne s'utilisaient pas dans la construction traditionnelle.Cela permet de diminuer les prix, en automatisant les fabrications, mais aussi parce qu'on peut utiliser des ouvriers beaucoup moins qualifiés, qui ne font que du montage et que l'on paye moins cher.Bien après les gens se plaindront de ces appartements tous identiques, de ces matériaux peu agréables, de la taille inhumaine des batiments.Mais à l'époque il faut compter deux à trois ans d'attente pour obtenir un appartement dans le quartier. Les familles sont si contentes de leur quartier tout neuf que les collègiens qui prennent le bus emportent une paire de bottes en plus de leur chaussures pour aller des immeubles à l'arrêt de bus : pas question de ramener de la boue dans les bus ou dans les escaliers.La crise du logement:1950 : la France connait la pire crise du logement de son Histoire. La crise économique de 1929 puis la guerre de 1939-1945 ont arrêté la construction de logements, déja insuffisante avant 1930, pendant plus de vingt ans.La France est au maximum du "baby-boom" ( période de très forte natalité qui commence à la fin de la guerre ) : les 40 millions de français de 1950 font deux fois plus de bébés que les 60 millions d'aujourd'hui. La très forte croissance économique relance l'immigration. Plus de la moitié des familles sont mal logées alors que la France commence la plus forte croissance démographique de son Histoire.La IV° République, héritière du programme de la Résistance donne la priorité aux besoins sociaux : école, santé, logement, sur la rentabilité financière. L'Etat, les villes, sont décidés à investir dans le logement, qui est déclaré prioritaire dans le Plan d'organisation de l'économie.Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.Une barre d’habitation innovanteA l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons.Conception et réalisation d’un quartier entierPour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période.Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaoniqueLe centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville.L’avis de l’architecteDe toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. St-Etienne Cimaise Architectes -Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits.Que prévoit-on pour la reconstruction?Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée.C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.Cela paraît paradoxal, pour du logement social!Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»!On croit rêver...C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques.Pourquoi cette différence?Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer.Dans quels domaines?Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour? A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.Culturellement, la ville est aussi très active...Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.La population comprend-elle cette volonté?Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour.Le chantier de l'autoroute de Saint Etienne 01 nov. 1965, la video içi www.ina.fr/video/LXC9610041788 - ST-Etienne,Montchovet (Beaulieu III) "la Muraille de Chine" construction 1962-1964, architecte HUR/FARRAT/GOUYON.Rappelez vous...Aout 1983, François Mitterand, se déplace incognito à la Muraille de Chine à Saint-Etienne. Quelques mois plus tard, la grande réhabilitation de cette barre d’habitation sera lancée.& le 24 octobre 1987 : visite officielle à Saint-Etienne. Il retourne à La Muraille de Chine pour constater les travaux. Le même jour il se rendra à Saint-Chamond et Roanne.« En 1983, le président s’est rendu à Montchovet à l’improviste »François Mitterrand est venu une première à Montchovet en 1983 incognito. Pourquoi une telle démarche ?C’est l’architecte Roland Castro qui a convaincu le président d’aller dans des quartiers populaires. Son but était de lui montrer où vivaient les gens à cette époque et qu’il fallait entreprendre un programme de rénovation.François Mitterrand m’a appelé et m’a dit d’organiser trois ou quatre » descentes » sur le terrain mais le président ne voulait ni policiers, ni gendarmes. Il m’a simplement demandé d’avertir, par correction, le préfet une fois arrivé. C’était d’ailleurs le meilleur gage de sécurité car lorsque vous n’êtes pas attendu, il n’y a pas de risques. Nous sommes donc allés à Saint-Etienne à Montchovet, aux Minguettes à Lyon, dans le 93.. et, à chaque fois, à l’improviste> Quelle a été la réaction des habitants ?Ils étaient très étonnés de croiser le président de la République dans leur cage d’escaliers ! Partout, nous avons reçu un accueil très chaleureux.Nous étions quatre : le président, Roland Castro, un policier et moi-même. Je me souviens qu’aux Minguettes, le président a été invité par une famille pour boire le thé. Les habitants étaient très heureux que le président s’intéresse à eux.> Comment François Mitterrand a-t-il réagi en voyant la vie de ses quartiers ?Il était fasciné. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était, pour lui, une découverte mais il était un rural et le fait de se confronter à la vie de ces gens qui vivaient dans de grandes barres fut enrichissant.> Ces visites impromptues ont-elles été suivies d’effets ?Oui car la mission Banlieues 89 est née de ces visites de terrain. Ce fut d’ailleurs la naissance de la politique de la ville.> En 1987, cette fois, la visite fut officielle - Proposer de nouveaux logements dans une démarche environnementale forte. Dans la poursuite des opérations engagées depuis 2001 (démolition de la Muraille de Chine en 2000, implantation du CHPL, de l ’AIMV en 2005), une qualité résidentielle s'affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d'habitat variée (en forme comme en type de produits). Le dynamisme du quartier s'appuie sur l'accueil et le développement de services, d'activités économiques et d'équipements d'agglomération (centre nautique, Nouveau Théâtre de Beaulieu...) et de proximité (salles de sport, travaux dans les écoles). Les atouts paysagers du site sont pleinement exploités dans une démarche environnementale forte. L'aménagement des espaces libres et la requalification des axes structurants et de desserte renforcent les liaisons internes aux quartiers et les ouvrent sur l'ensemble de la ville. Beaulieu, un patrimoine de qualité, valorisé et adapté à ses occupants40 logement ont été adaptés au vieillissement de leur occupants (bacs à douche, volets électriques, aménagement des ascenseurs, …). L'amélioration des espaces extérieurs, résidentiels ou publics (rue K.Marx, square Renoir, allée Clémenceau) viendra rendre plus conviviaux ces lieux de vie partagés. Petite Marandinière : une cité jardin qui se rénove en gardant son caractère Sur la Petite Marandinière, 320 logements de Métropole Habitat ont été rénovés. Les bâtiments ont été transformés pour arriver à 32 logements, avec création de T3, T4, et T5 en tenant compte de la rénovation thermique et du confort des logements. 54 logements ont été construits, répartis en 6 bâtiments à l'architecture contemporaine et fonctionnelle (surfaces généreuses, double ou triple orientation, terrasse ou loggia). En parallèle, les espaces publics ont été réaménagés dans une démarche environnementale durable et innovante : résidentialisation et embellissement des espaces extérieurs, traitement paysager d'ensemble, requalification des voiries et des circulations douces adaptées aux usages, gestion optimisée du stationnement et des eaux pluviales...Une nouvelle mixité pour le quartier : les maisons de ville "Jardins Sembat" 22 maisons de ville (du T3 au T5) ont été construites à l’angle de la rue Marcel Sembat et du boulevard de Fraissinette. Conçu et développé par l'équipe XXL-Civita-Spirit, ce projet se caractérise par la qualité de la construction (matériaux durables, aménagement soigné des espaces extérieurs…) et par la mise en valeur paysagère du site, ouvert sur les collines du Pilat. 3 types de maisons ont été proposées en location libre : maisons jumelées le long du boulevard de Fraissinette, maisons en pente en fond de parcelle adossée au talus, maisons patio au cœur de l’îlot. Un nouveau centre nautique sur le secteur Loti Souhaité par les habitants, exemplaire d’une démarche participative de coproduction, le centre nautique Yves Naime a été ouvert à l'été 2013, en remplacement de l'ancienne piscine de la Marandinière. Ce centre nautique comprend un bassin sportif (25m, 6 lignes d'eau), un bassin destiné aux activités ludiques (bains bouillonnants, aquagym...), une pataugoire et des plages extérieures.Grande Marandinière : un secteur d'habitat en développement . Après la démolition de la barre Sisley et celle en cours de la barre Féguide, c'est un nouveau quartier qui se dessine sur ce secteur. La reconfiguration de la rue Sisley en voie de promenade avec des vues en belvédère et l'aménagement d'une « coulée verte » ont profondément modifié le paysage urbain du secteur. Ce nouvel environnement a permis à Métropole Habitat de réaliser un programme immobilier de 27 logements locatifs. Dans ce bâtiment collectif moderne et fonctionnel, chaque logement comporte un espace extérieur privatif, balcon ou terrasse. Au rez-de-chaussée, des locaux d'activités (centre social espace-loisirs) ou de services sont déployés le long de la nouvelle rue Sisley. La Palle : des résidentialisations de qualitéLa résidentialisation des immeubles du boulevard de la Palle apporte aux habitants de nouvelles terrasses privatives en rez-de-chaussée, des espaces en cœur d’îlots plus agréables, et de nouveaux parcours piétonniers avec aires de jeux. Elle s’accompagne de la réhabilitation des immeubles (réfection des façades, changement des garde-corps…). Des opérations de résidentialisation ont été menées immeuble par immeuble de 2006 à 2009. Elles permettent de définir les limites entre les parties publiques ouvertes à tous, et les parties privées. Des petits jardins privatifs sont ainsi aménagés pour chaque logement de rez-de-chaussée.Le Pont Aven : du logement social à haute performance environnementaleDéveloppé par Métropole Habitat, le Pont-Aven est un exemple en matière de construction écologique. Il accueille 20 logements sociaux du T2 au T5. L’ensemble de la conception du bâtiment intègre des critères environnementaux : parois extérieures en brique mono-mur, eau chaude solaire, chauffage collectif au gaz naturel, ventilation intérieure à double flux pour une meilleure circulation de l’air, équipements électriques et sanitaires économes en énergie. La toiture végétalisée permet quant à elle une meilleure conservation de la fraîcheur en été, les auvents du toit protègent les fenêtres du soleil et les eaux de pluie seront récupérées pour arroser les espaces extérieurs…Résultat : une diminution des rejets en CO2 et une baisse significative des charges de chauffage pour les locataires.Favoriser l'accessibilité et les relations inter-quartiers Le réaménagement du boulevard de la Palle a favorisé une meilleure desserte du quartier en transports en commun. Une station de taxis, des pistes cyclables et des pelouses ont été aménagées le long du boulevard, sécurisant ainsi la traversée piétonne entre les terrasses Roinat et le centre hospitalier. A l'intérieur du quartier, la trame piétonnière a été développée dans le principe d'une continuité paysagère entre les différents secteurs. Initiée avec l’aménagement des terrasses Roinat, une coulée verte, nouveau poumon vert du quartier, facilitant la circulation des piétons et des cyclistes, relie désormais le boulevard de la Palle, et plus loin le bois d'Avaize, au Parc de l'Europe. - Après la seconde guerre mondiale, un immense chantier s'ouvre en France dans le but de loger massivement une population démunie, les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre , le film parle de St-Etienne entre autre avec les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée : www.dailymotion.com/video/xgj74q .Jusqu'au milieu des années 1970, cette période dite des « Trente Glorieuses l'après guerre et montre la plupart des grandes réalisations de 1945 à 1960. A travers les exemples de la région parisienne et de quelques grandes villes françaises sont posé les problèmes de la diversité architecturale, de l'esthétique et de l'harmonie entre le passé et l'avenir. Les images montrent les grands ensembles de Beaulieu, la Marandiniére, à Saint-Etienne, la cité le Haut du Lièvre à Nancy, des cités à Sarcelles, Asnières, Bron-Parilly, Epinay, Pantin, Bobigny, la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille, le front de mer à Royan, la video de l'Année 1962, une réalisation de Philippe Brunet içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz » fut le terrain de nombreuses expérimentations architecturales et urbanistiques, fondées notamment sur les idées émises plus tôt dans le siècle par le Mouvement moderne.Aujourd'hui, ces ensembles bâtis sont au cœur d'une autre actualité, liée à leur adaptation à l'évolution des modes de vie de notre société contemporaine. Cette question qui se posa dès la fin des années 1970 apparaît sous un jour nouveau, avec les premières démolitions dans les années 1980 et, plus récemment, le vaste programme de réhabilitation mis en place dans le cadre de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain.Après Les Grands Ensembles. Une histoire qui continue…, ce nouvel ouvrage, fruit de la collaboration entre l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et l'Université Jean Monnet, apporte un éclairage nouveau sur cet héritage bâti, mettant au jour simultanément la question de son vécu et celle des acteurs engagés dans son édification. En réunissant quinze auteurs spécialistes de ce domaine, il s'agit de regrouper autant de points de vue, pour comprendre la diversité et la complexité des enjeux liés à la postérité de ce bâti. - « Petite enquête sur Beaulieu – Le Rond-Point », La Tribune du centre et du sud-est, 13 octobre 1955 et « Le chantier de Beaulieu – Le Rond-Point (1ère tranche) sera terminé le 30 juin 1956 très exactement »,La Tribune du centre & du sud-est, 26 juin 1956 -«St-Etienne, la place des grands ensembles dans l’histoire de l’habitat social français »Saint-Étienne/Beaulieu, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la cité de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 boutiques. Des parrains prestigieux et l’élite de l’architecture sté- phanoise sont mobilisés pour ce premier grand ensemble local.Tantôt les bâtiments suivent le dessin de la courbe de niveau 600, devenue rue Le Corbusier, tantôt ils s’installent perpendi-culairement à la pente, reliés à la rue par des passerelles ou de grands escaliers. A l’implantation exemplaire des bâtiments répond une maîtrise raffinée du végétal d’accompagnement, décliné selon les modes habituels aux squares urbains, avec une virtuosité étonnante dus aux talents de l’ingénieur des Services techniques de la ville, Jean Marc, associé à l’équipe de concep-tion dès l’origine de l’opération.Le vocabulaire de l’art des jardins s’adapte au grand ensemble : les espaces sont découpés à partir des courbes de niveau et des allées, et caractérisés par un système de haies et de contre-haies (haies étagées doubles ou triples) constituées de troènes com-muns ou dorés, prunus, berbéris et buffets de laurier, et sont plantés d arbres rythmés et colorés (érables négundo et acacias), ou parfois fastigiés (la gamme d’arbres est d’ailleurs peu riche), selon un dessin géométrique et des alternances de couleurs. Ces espaces verts ne sont réalisés qu’à partir de 1964, après avoir été longtemps laissés en prairies fauchées. Cet état de fait, dû au départ à l’étirement des financements des projets d’espaces exté-rieurs, s’inscrivait aussi dans la logique de conception de notre ingénieur, qui pensait « qu’il était nécessaire de laisser vivre un groupe d’habitations avant de planter » – afin de reprendre notamment les chemins tracés par l’usage.Cette réalisation révèle le décalage entre les réflexions et les savoir-faire architecturaux et paysagers et exprime quelques traits caractéristiques de la pratique paysagiste. Le festonnage des haies qui jalonne les espaces extérieurs rejoint celui des collines boca- gères surplombant les bâtiments. Il rappelle le site environnant et inspirera plus tard l’AUA et Alexandre Chemetoff pour la réhabilitation du quartier de Montreynaud.Relevons que, sans l’action concertée des services de la ville et de l’office d’HLM, qui finança entièrement la réalisation des espaces verts, rien n’aurait été fait à cette époque, compte tenu du désintérêt pour cet aspect du projet des principaux responsables du chantier. « D’ailleurs, à cette époque, les architectes ne jouaient pas au paysagiste… », queleques superbes videos du Ministere de la Cohésion et des Territoires içi : .Naissance d'une banlieue mort d'un village 2000 www.dailymotion.com/video/x1a98izRéalisateur : Sidney Jézéquel Production : Les Films Roger Leenhardt Sujet : la commune de Goussainville (95) --------Quatre murs et un toit 1953 www.dailymotion.com/video/xk6xui Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) ----------------Le Bonheur est dans le béton www.dailymotion.com/video/x413amo - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie ---------------------Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.--- Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq ----SAINT-ETIENNE BEAULIEU une barre d’habitation innovanteA l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaoniqueLe centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecteDe toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc( l'OPAC l'office public de logements sociaux, devenu plus tard Métropole-Habitat, est la plus importante au niveau National, c'est la plus grosse boite d'HLM). Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanchedans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans laville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :les premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris. Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»L"apres guerre...Que prévoit-on pour la reconstruction? Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
www.twitter.com/Memoire2cite -😊 Levittown: The Construction and Systematic Execution of Discrimination in Modern Suburbia (NHD 2018) www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M … … 17000 maisons en 2 ans un record dans l histoire des annees 60 @ la grande Acceleration @ Un point de bascule avec le changement de regime d'existence les 30 glorieuses americaine @ la constructions de masse.., ici LEVITTOWN a LONGISLAND, 17000 pavillons en 2 ans un Record...Yes this is it my Our Home Town: Levittown, PA (1954) - www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M les 30 glorieuses atomique @ le projet PLOWSHARE de 1957 LE FILM ICI www.youtube.com/watch?v=kpjFU_kBaBE … STRAUSS le promoteur du nucleaire Americain les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur le developpement solaire... les occasions manquées de soigner notre humanité..www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc … Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015 www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin) www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije Maison de Banlieue et de l'Architecture 41 rue Geneviève Anthonioz De Gaulle, Athis-Mons Mercredi et samedi de 14h à 18h, sauf les 20avril, 1er et 8 mai, 1er juin, 2 et 9 novembre. www.portesessonne.fr/Institution/Toute-l-actu/Sortir-et-D... …
Içi le LOIRET AVEC MONTARGIS @ LES HLM www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ … Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage du basculement dans l’anthropocène de la nature par l’homme.La grande accélération qui fait définitivement basculé le monde dans l'anthropocene(Ère de l'Homme) s'explique pas seulement par la croissançe démographique.. mais par l'incroyable dynamisme des sciençes des techniques, et des talents des Entreprises à vendre leurs produits..les 30 Glorieuses Américaine @ le climatiseur fait son apparition... la promesse de la Maison éléctrique, invite à un confort nouveau...il ne s agissait plus de chauffer les maisons , mais etre capable de les refroidir... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …çe pour que le chauffage,la climatisation et le tout electrique devienne la norme dans le monde, les Industriels de l'elec imposent aux lotissements, le raccordement a l electricite, via des deals avec le BTP, ils signent ainssi la mort de la maison solaire :( les 30 Glorieuses & l'arrivée du Confort Electrique... les industriels de l 'éléctricité çe vendent en inventeur du Futur font barrage a des tas d'autres idees comme la maison tout solaire qui aurai pu avoir toutes ses chances... "When you live , electrik me" veux tout dire ..
… les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur la Maison Solaire... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs.…De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète @ le film içi www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …
…L'homme a mangé la Terre _ 1960 les 30 Glorieuses dans le plastique @ l'Alathon ,le Delrin,le Lucite,le Teflon , les Molécules,la Grande distribution & les hypermarchés,le salon de l 'auto,les arts ménagers,la consommation de masse alimente encore plus fortement les emissions Co2 De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.
Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.
Liaisons dangereuses
En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.
Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! Le lien direct vers le film : cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... … 🎥@Cinematheque42 ▶ içi MONTREYNAUD cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... - Içi
LA COTONNE MONTFERRE cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... bit.ly/2KK0n1D - 69 Vénissieux 1984 Images des Minguettes dans le clip ORIGINAL Envole moi de jean jacques Goldman la V.O. là www.facebook.com/icivenissieux/videos/2042888055963468/ … & clip officiel içi www.youtube.com/watch?v=oltptNDHocw … - Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Structure Couleurs d'une cité provençale en 1975 extrait du film Bâtir mieux plus vite et moins cher @ le BTP en 1975, l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant...Une nouvelle cité provençale ... dai.ly/xyjudq Jacques Tati & la villa Arpel @ le film "mon Oncle"
www.ina.fr/video/R09119655 TURQUIE - Cette ville fantôme a pourrait servir de tournage à un film d'horreur. La commune de Mudurnu, au nord de la Turquie, compte des centaines de répliques de châteaux français tous à l'abandon www.youtube.com/watch?v=qGML4Ej7muM … www.youtube.com/watch?v=U8cFGOnxns4 … Démolition Tour DEF mercredi 23 juin 2010 - Cité Balzac Création artistique autour de la démolition d'un bâtiment. Ce film a été réalisé par les équipes de Plug N' Prod. www.youtube.com/watch?v=L9A_lUN1TPU … 42 - SAINT-ETIENNE LOIRE - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, en 1962, les vues des HLM de RHONE ALPES de PARIS & plus... en FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet
Saint-Etienne l' Extension Marandiniere 1957-59 architecte Jean Farat 42 St-Etienne LOIRE - la Marandiniere les espaces verts @ les 30 G & Jacques SIMON - Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». www.dailymotion.com/video/xgj74q LE FILM 42 - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, 1962, le FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije ,Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! ▶ bit.ly/2KK0n1D la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruite.Le film montre à Strasbourg, Mulhouse, des réalisation moderne de grands ensembles et des images d'archive de la reconstruction du Havre de Saint Nazaire.Le film se termine à Marseille sur les réalisation nouvelles autour du vieux port puis on assiste à l'inauguration de la Cité Radieuse par le ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme Eugène Claudius-Petit en présence de son architecte Le Corbusier à qui le ministre remet la cravate de commandeur de la légion d'honneur. www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695... Mémoire2cité Mémoire2Ville Mémoire de l'Habitat,içi la page listant mes 43 albums photos disponibles, çe x 1000 pour chacuns d'entre eux ..Merci aux 5859 followers qui porte une attention particuliere à nos quartiers..
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruit
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
twitter.com/Memoire2cite - La matrice des G.E. s'est développée au lendemain de la guerre, lors de la reconstruction, mais ses origines de 1930, en France (Cité de la Muette à Drancy, quartier des Gratte-ciel à Villeurbanne).Gilles Ragot, historien de l'art, maître de recherche içi www.youtube.com/watch?v=dEBfg4vXNOM … Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.l'UNION SOCIALE POUR L HABITAT fete ses 90 ans "TOUT savoir tout voir, tout connaitre, sur le LOGEMENT SOCIAL des HLM aux HBM avec le Musée HLM" en ligne sur le WEB içi www.banquedesterritoires.fr/lunion-sociale-pour-lhabitat-... … De grandes barres d’immeubles, appelées les grands ensembles, sont le symbole de nos banlieues. Entrée Libre revient sur le phénomène de destruction de ces bâtiments qui reflètent aujourd’hui la misere www.youtube.com/watch?v=mCqHBP5SBiM twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
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31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije …
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le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije :- que dire de RICARDO BOFFIL Les meilleures balades que j’ai fait autour de Paris je les ai faites dans l’application Plans. Je ne minore pas le rôle de Google Maps, révolution cartographique sans précédent et sans égale, qui aura réalisé nos fantasmes d’Aleph borgesien — l’idée d’un point d’où le monde serait visible en totalité — parachevé Mercator et permis d’explorer des parties du globe inconnues de Cook, Bougainville et Amundsen. Je n’oublie pas non plus cet exercice de cartographie au collège, qui nous avait démontré que nous étions à 3 cartes IGN de la capitale, et que le tissu urbain était de plus en plus serré à mesure que nous avancions vers le nord. Mais Plan possédait une fonctionnalité inédite, le Flyover, technologie à l’origine destinée aux pilotes de chasse, et qui fournissait des rendus 3D spectaculaire des bâtiments survolés — ainsi que des arbres et des déclivités du sol.On quittait enfin les champs asphyxiants de la photographie aérienne pour des vues à l’oblique des villes visitées : après un siècle d’écrasement — la photographie aérienne est étroitement contemporaine du bombardement aérien — les villes reprenaient enfin de la vigueur et remontaient vers le ciel. J’avais d’ailleurs effectué moi-même une manœuvre de redressement similaire le jour où j’étais parti, à pied depuis Paris, visiter à Nanterre une exposition sur la photographie aérienne. J’étais à la quête des premières vues de Paris qu’avait prises Nadar depuis un ballon captif. À défaut de ces images, définitivement manquantes, j’avais parcouru, après la Grande Arche, les derniers kilomètres de la Voie Royale, cette prodigieuse perspective historique partie du Louvre — rare exemple de frise chronologique implémentée dans une structure urbanistique.J’avais en réalité un peu dévié de la ligne droite pour aller voir les tours Nuages d’Emile Aillaud, le Facteur Cheval du modernisme, dont je connaissais déjà les autres chefs d’œuvres d'architecture naïve, les nouilles chinoises de Grigny et le spaghetti de Pantin.C’était précisément l’usage que j’avais fait de l’application Plans : j’étais parti à la recherche de tous les groupements de tour qu’elle m’avait permis d’identifier, sur mon iPad. Je les faisais tourner avec deux doigts, comme un éclaireur qui marcherait autour d’un donjon, avant de les immortaliser, sous leur plus bel angle, par une capture d’écran.Un éclaireur autour d’un donjon : c’était exactement cela, qui m’avait fasciné. Les guerres territoriales entre Les Tarterêts de Corbeil et les Pyramides d’Evry avaient marqué mon enfance. La notion de cité, telle qu’elle avait été définie, à partir des années 80, dans le second âge des grands ensembles, l’âge du déclin, avait conservé un cachet médiéval. Ici, vivaient guetteurs et trafiquants, condottieres à la tête d’une écurie de go-fast et entretenant des chenils remplis de mâtins rares et dangereux. Ici, l’État central ne remplissait plus ses tâches régaliennes, ici la modernité laïque était entrée en crise. Mais ce que j’avais découvert, en collectionnant ces captures d’écran, c’était à quel point l’urbanisme de la banlieue parisienne était, strictement, d’obédience médiévale. On était passé, d’un seul mouvement et sans même s’en rendre compte de Château-Gaillard à la Cité 4000, du Donjon de Vincennes aux tours de Sarcelles, du château de Gisors aux choux fleurs de Créteil.J’ai même retrouvé la colonne détruite du désert de Retz dans le babylonien château d’eau de Noisiel.Des hauteurs de Rosny à celle de Chanteloup, du plateau de Clichy à la dalle d’Argenteuil, on avait bizarrement livré des pastiches inconscients de la grande architecture militaire médiévales : les environs de Paris s’étaient retrouvés à nouveau fortifiés, la vieille tour de Montlhéry n’était plus solitaire, et même les immeubles de briques rouges qui avaient succédé à l’enceinte de Thiers évoquaient des murailles.
Et ce que j’avais initialement pris pour des anomalies, des accidents malheureux du post-modernisme, les grand ensembles voûtés et cannelés de Ricardo Boffil, étaient peut-être ce qui exprimait le mieux tout cela — ou du moins qui clôturaient avec le génie le plus clair cet âge des grands ensembles.
Car c’était cela, ces Carcassonnes, ces Acropoles, ces Atlandides qui surnageaient avec le plus de conviction au milieu des captures d’écrans de ruines médiévales qui s’accumulaient sur mon bureau.
Si décriées, dès leur construction, pour leur kitch intolérable ces mégastructures me sont soudain apparues comme absolument nécessaires.
Si les Villes Nouvelles n’ont jamais existé, et persisteront dans la mémoire des hommes, elles le doivent à ces rêveries bizarres et grandioses, à ces hybridations impossibles entre les cités idéales de Ledoux et les utopies corbuséennes.
L’Aqueduc de Saint-Quentin-en-Yvelines, les Espaces d’Abraxas à Marne-la-Vallée, les Colonnes de Saint-Christophe à Cergy-Pontoise sont les plus belles ruines du Grand Paris.
www.franceculture.fr/emissions/la-conclusion/ricardo-bofill immerssion dans le monde du logement social, l'univers des logements sociaux, des H.B.M au H.L.M - Retour sur l'histoire du logement collectif d'apres guerre - En Françe, sur l’ensemble du territoire avant, 4 millions d’immeubles étaient vétustes, dont 500.000 à démolir; au total 10% des logements étaient considérés comme insalubres et 40% réputés d’une qualité médiocre, et surpeuplés. C’est pour ces raisons que, à partir de 1954, le Ministre à la Reconstruction et au Logement évalue le besoin en logements à 2.000.660, devenant ainsi une priorité nationale. Quelques années plus tard à l’appel de l’Abbé Pierre, le journaliste Gilbert Mathieu, en avril 1957 publiait dans le quotidien Le Monde une série d’articles sur la situation dramatique du logement : Logement, notre honte et dénonçant le nombre réduit de logements et leur impitoyable état. Robert Doisneau, Banlieue après-guerre, 1943-1949 /Le mandat se veut triple : reconstruire le parc immobilier détruit durant les bombardements essentiellement du printemps/été 1944, faire face à l’essor démographique et enfin résorber l’habitat insalubre notamment les bidonvilles et les cités de transit. Une ambition qui paraît, dès le début, très élevée, associée à l’industrialisation progressive de la nation entre autre celle du secteur de la construction (voir le vidéo de l’INA du 17 juillet 1957 intitulée La crise du logement, un problème national. Cela dit, l’effort pour l’État français était d’une ampleur jamais vue ailleurs. La double nécessité de construire davantage et vite, est en partie la cause de la forme architecturale excentrique qui constituera les Grands Ensembles dans les banlieues françaises. Cinq caractéristiques permettent de mieux comprendre ce terme : la rupture avec le tissu urbain ancien, un minimum de mille logements, une forme collective (tours, barres) de quatre jusqu’à vingt niveaux, la conception d’appartements aménagés et équipés et enfin une gestion destinée pour la plupart à des bailleurs de logement social.
Pour la banlieue parisienne leur localisation s’est opérée majoritairement dans la périphérie, tandis que dans les autres cas, plus de la moitié a été construite dans le centre ville, le plus souvent à la limite des anciens faubourgs.
Architecture d’Aujourd’hui n° 46, 1953 p. 58-55
C’est le triomphe de l’urbanisme fonctionnel et rationaliste cher à Le Corbusier. Entre 1958 et 1973, cent quatre-vingt-quinze Zones à Urbaniser en Priorité (ZUP) sont créées, comprenant deux millions de logements, essentiellement de type populaire en Habitations à Loyer Modéré (HLM), mais pas exclusivement, remplaçant ainsi les anciennes Habitations à Bon Marché (HBM) crées en 1894. Selon le décret du 27 mars 1954 qui en fixe les conditions d’attribution, les bénéficiaires de la législation n’ont pas changé, ce sont toujours des « personnes peu fortunées vivant principalement de leur salaire », selon la loi Strauss de 1906. En 1953, tous les HLM voient leur surface maximale se réduire, en passant de 71 à 65 mètres carrés pour un quatre pièces. L’accès au logement des familles modestes se fera donc au détriment de la qualité et quantité de l’espace habité pour des familles nombreuses. À ce propos, le sociologue Thierry Oblet a bien montré comment se sont articulées les pensées des architectes et des ingénieurs modernistes, avec leur souci planificateur d’un État interventionniste[8] grâce à l’hégémonie du béton, de la ligne droite et de la standardisation de la construction.
Les exemples de cette architecture restent nombreux : de la Cité de 4000 (pour 4000 logements) à la Courneuve en Seine-Saint-Denis (93) aux logements de 15 étages aux balcons pétales, appelés « Chou-fleur » à Créteil en Val-de Marne (94) dessinés au début des années 70 par l’architecte Gérard Grandval. De la Cité des nuages à Nanterre dans les Hauts-de-Seine (92) à la Grande borne construite entre 1967 et 1971 sur le territoire des communes de Grigny et Viry-Châtillon, dans l’Essonne (91) en passant par la Noé à Chanteloup-les-Vignes dans le département des Yvelines (78) scénario du célèbre film La Haine[9] de Kassovits.
Récemment, plusieurs expositions photographiques se sont
concentrées sur cette nouvelle figure de l’urbanisme fonctionnaliste français de l’après-guerre. Par exemple Toit&Moi, 100 ans de logement social (2012), Les Grands ensembles 1960-2010 (2012) produite par l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, selon un projet du Ministère de la Culture et de la Communication. Enfin l’exposition Photographie à l’œuvre, (2011-2012) d’Henri Salesse, photographe du service de l’inventaire du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme et Voyage en périphérie (2012) de Cyrus Cornut.
Il s’agissait là non seulement d’un progrès matériel, mais aussi démocratique, donnant ainsi à chaque citoyen, la possibilité d’accéder à son petit appartement doté de tous les conforts de l’époque. La recherche d’économie et de rapidité dans la conduite des chantiers portent à l’utilisation du béton comme matériel privilégié et à des plans architecturaux aussi simples que possible avec la réalisation de logements standardisés, dont les barres et les tours deviennent les figures principales : Au mitan des années cinquante, apparurent d’étranges formes urbaines. Des immeubles d’habitation de plus en plus longs et de plus en plus hauts, assemblés en blocs qui ne s’intégraient pas aux villes existantes. Ces blocs s’en différenciaient ostensiblement et parfois comme systématiquement, s’en isolaient. Ils semblaient faire ville à part. Surtout ils ne ressemblaient pas à ce qu’on avait l’habitude d’appeler ville. Et leur architecture aussi, qui était tellement déroutante. On les a nommés » grands ensembles. Cité de l’Abreuvoir, Bobigny (93), 2003 (Inventaire général du Patrimoine, Région Ile de France / Stéphane Asseline)
Bref, entre 1946 et 1975 le parc immobilier français passe de 12,7 millions à 21 millions de logements. Environ 8 millions de ceux-ci sont neufs, construits entre 1953-1975 – dont la moitié sous forme de grands ensembles – et près de 80 % des logements grâce à une aide de l’État avec des crédits publics. Le nombre de logements sociaux passe de moins de 500.000 à près de 3 millions, dont 43 % en région parisienne, où la demande est la plus forte[11]. Ce qui témoigne d’un effort énorme. Secrétariat d’État à la Reconstruction et au Logement, Supplément du logement en 1954, cité par Bachmann, C. Le Guennec, N., Violences urbaines…Op.cit, p.24. Alors que l’hiver 1954 est particulièrement rigoureux, l’abbé Pierre lance un appel en faveur des sans-logis et déshérités et organise des collectes de vêtements et de nourriture pour les plus démunis. Cela nous rappelle également que les inégalités sociales restaient particulièrement importantes à l’époque, malgré les débuts de la croissance économique, et que la crise du logement n’était pas encore complètement résolue. Danièle Voldman, La reconstruction des villes françaises de 1940 à 1954 : histoire d’une politique, Paris, L’Harmattan, 1997. Les Actualités françaises, La crise du logement, un problème national, 17 juillet, 1957, in fresques.ina.fr/…/la-crise-du-logement-un-probleme-n…, consulté le 20/02/2014. C’est l’urbaniste Marcel Rotival dans un numéro d’Architecture d’Aujourd’hui de juin 1935 (vol.1, n°6, juin 1935, p.57) qui propose pour la première fois cette terminologie pour désigner les Habitations à Bon Marché (HBM) et leur transformation en Habitations à Loyer Modéré (HLM), par la loi du 21 juillet 1951: « Nous espérons, un jour, sortir des villes comme Paris, non seulement par l’avenue des Champs Elysées, la seule réalisation de tenue sans laquelle Paris n’existerait pas, mais sortir par Belleville, par Charonne, par Bobigny, etc., et trouver harmonieusement disposés le long de larges autostrades, au milieu de grands espaces boisés, de parcs, de stades, de grandes cités claires, bien orientées, lumineusement éclairées par le soleil. » Largement reprise depuis les années 1950 dans le jargon administratif et public, elle apparaît pour la première fois dans un texte officiel qu’en 1973 avec la Circulaire Guichard, alors Ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Equipement, du Logement et du tourisme. Celui-ci met un terme à la politique initiée après-guerre afin « d’empêcher la réalisation des formes d’urbanisation désignées généralement sous le nom de “grands ensembles”, peu conforme aux aspirations des habitants et sans justification économique sérieuse ». Paradoxalement, le terme de grands ensembles s’officialise donc au moment même où ils son mis en question. ZUP est un acronyme qui signifie Zone à Urbaniser en Priorité. Elles ont été créées par le décret N°58-1464 du 31 décembre 1958, afin de planifier et d’encadrer sur le territoire national, le développement urbain pour répondre à la carence de logements face à l’accroissement démographique et favoriser enfin la résorption de l’habitat insalubre. Oblet, Thierry, Gouverner la ville. Les voies urbaines de la démocratie moderne, Paris, PUF, 2003. En particulier par l’intermédiaire de la Société centrale de construction et de la Société centrale pour l’équipement du territoire, créées au milieu des années 1950 en tant que filiales de la Caisse des dépôts et consignations.
Kassovitz, Mathieu, La Haine, France, 1995.
Cornu, Marcel, Libérer la ville, Bruxelles, Casterman, 1977, p.60. Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015
www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin)
www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...
42 LOIRE ST-ETIENNE MONTREYNAUD tout une histoire youtu.be/ietu6yPB5KQ - Mascovich & la tour de Montreynaud www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE … -Travaux dalle du Forum à Montreynaud Saint-Etienne www.youtube.com/watch?v=0WaFbrBEfU4 … & içi www.youtube.com/watch?v=aHnT_I5dEyI … - et fr3 là www.youtube.com/watch?v=hCsXNOMRWW4 … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline et sur les pentes de cette colline s’accroche une petite ville, un quartier, un peu à part. Cet endroit niché au milieu de la verdure, c’est le quartier de Montreynaud. www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo&fbclid=IwAR2ALN4d... …Et sinon, avez-vous remarqué au dessus du P de AGIP ? On voit, dans le film, la Tour Réservoir Plein Ciel du quartier de Montreynaud, détruite 3 ans plus tard par foudroyage ! Sûr que @Memoire2cite a des photos du quartier et de la tout à l'époque ! ;-) 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
- Que de chemin parcouru, Muraille de Chine La Palle Beaulieu jusqu'aux années 90. L habitat se transforme et s adapte aux nouveaux besoins. Autre temps, période d'essor économique et du "vivre ensemble". Merci à @Memoire2cite pour cette introspection du passé! -
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
www.twitter.com/Memoire2cite -😊 Levittown: The Construction and Systematic Execution of Discrimination in Modern Suburbia (NHD 2018) www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M … … 17000 maisons en 2 ans un record dans l histoire des annees 60 @ la grande Acceleration @ Un point de bascule avec le changement de regime d'existence les 30 glorieuses americaine @ la constructions de masse.., ici LEVITTOWN a LONGISLAND, 17000 pavillons en 2 ans un Record...Yes this is it my Our Home Town: Levittown, PA (1954) - www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M les 30 glorieuses atomique @ le projet PLOWSHARE de 1957 LE FILM ICI www.youtube.com/watch?v=kpjFU_kBaBE … STRAUSS le promoteur du nucleaire Americain les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur le developpement solaire... les occasions manquées de soigner notre humanité..www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc … Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
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www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije Maison de Banlieue et de l'Architecture 41 rue Geneviève Anthonioz De Gaulle, Athis-Mons Mercredi et samedi de 14h à 18h, sauf les 20avril, 1er et 8 mai, 1er juin, 2 et 9 novembre. www.portesessonne.fr/Institution/Toute-l-actu/Sortir-et-D... …
Içi le LOIRET AVEC MONTARGIS @ LES HLM www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ … Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage du basculement dans l’anthropocène de la nature par l’homme.La grande accélération qui fait définitivement basculé le monde dans l'anthropocene(Ère de l'Homme) s'explique pas seulement par la croissançe démographique.. mais par l'incroyable dynamisme des sciençes des techniques, et des talents des Entreprises à vendre leurs produits..les 30 Glorieuses Américaine @ le climatiseur fait son apparition... la promesse de la Maison éléctrique, invite à un confort nouveau...il ne s agissait plus de chauffer les maisons , mais etre capable de les refroidir... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …çe pour que le chauffage,la climatisation et le tout electrique devienne la norme dans le monde, les Industriels de l'elec imposent aux lotissements, le raccordement a l electricite, via des deals avec le BTP, ils signent ainssi la mort de la maison solaire :( les 30 Glorieuses & l'arrivée du Confort Electrique... les industriels de l 'éléctricité çe vendent en inventeur du Futur font barrage a des tas d'autres idees comme la maison tout solaire qui aurai pu avoir toutes ses chances... "When you live , electrik me" veux tout dire ..
… les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur la Maison Solaire... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs.…De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète @ le film içi www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …
…L'homme a mangé la Terre _ 1960 les 30 Glorieuses dans le plastique @ l'Alathon ,le Delrin,le Lucite,le Teflon , les Molécules,la Grande distribution & les hypermarchés,le salon de l 'auto,les arts ménagers,la consommation de masse alimente encore plus fortement les emissions Co2 De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.
Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.
Liaisons dangereuses
En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.
Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! Le lien direct vers le film : cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... … 🎥@Cinematheque42 ▶ içi MONTREYNAUD cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... - Içi
LA COTONNE MONTFERRE cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... bit.ly/2KK0n1D - 69 Vénissieux 1984 Images des Minguettes dans le clip ORIGINAL Envole moi de jean jacques Goldman la V.O. là www.facebook.com/icivenissieux/videos/2042888055963468/ … & clip officiel içi www.youtube.com/watch?v=oltptNDHocw … - Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Structure Couleurs d'une cité provençale en 1975 extrait du film Bâtir mieux plus vite et moins cher @ le BTP en 1975, l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant...Une nouvelle cité provençale ... dai.ly/xyjudq Jacques Tati & la villa Arpel @ le film "mon Oncle"
www.ina.fr/video/R09119655 TURQUIE - Cette ville fantôme a pourrait servir de tournage à un film d'horreur. La commune de Mudurnu, au nord de la Turquie, compte des centaines de répliques de châteaux français tous à l'abandon www.youtube.com/watch?v=qGML4Ej7muM … www.youtube.com/watch?v=U8cFGOnxns4 … Démolition Tour DEF mercredi 23 juin 2010 - Cité Balzac Création artistique autour de la démolition d'un bâtiment. Ce film a été réalisé par les équipes de Plug N' Prod. www.youtube.com/watch?v=L9A_lUN1TPU … 42 - SAINT-ETIENNE LOIRE - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, en 1962, les vues des HLM de RHONE ALPES de PARIS & plus... en FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet
Saint-Etienne l' Extension Marandiniere 1957-59 architecte Jean Farat 42 St-Etienne LOIRE - la Marandiniere les espaces verts @ les 30 G & Jacques SIMON - Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». www.dailymotion.com/video/xgj74q LE FILM 42 - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, 1962, le FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije ,Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! ▶ bit.ly/2KK0n1D la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruite.Le film montre à Strasbourg, Mulhouse, des réalisation moderne de grands ensembles et des images d'archive de la reconstruction du Havre de Saint Nazaire.Le film se termine à Marseille sur les réalisation nouvelles autour du vieux port puis on assiste à l'inauguration de la Cité Radieuse par le ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme Eugène Claudius-Petit en présence de son architecte Le Corbusier à qui le ministre remet la cravate de commandeur de la légion d'honneur. www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695... Mémoire2cité Mémoire2Ville Mémoire de l'Habitat,içi la page listant mes 43 albums photos disponibles, çe x 1000 pour chacuns d'entre eux ..Merci aux 5859 followers qui porte une attention particuliere à nos quartiers..
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruit
twitter.com/Memoire2cite Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije …
archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ...
museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije Cardem les 60 ans de l'entreprise de démolition française tres prisée des bailleurs pour les 80, 90's (1956 - 2019) toute l'Histoire de l'entreprise içi www.youtube.com/watch?v=Yyf1XGvTZYs - 69 LYON & la Cardem pour la démolition de la barre 230 Quartier la Duchère le 2 juillet 2015, youtu.be/BSwidwLw0NA pic.twitter.com/5XgR8LY7At -34 Béziers - C'était Capendeguy le 27 janv 2008 En quelques secondes, 450 kg d'explosifs ont soufflé la barre HLM de 492 lgts, de 480 m, qui laissera derrière elle 65.000 tonnes de gravas. www.youtube.com/watch?v=rydT54QYX50 … … Les usines Peugeot - Sochaux Montbéliard. 100 ans d'histoire en video www.youtube.com/watch?v=X4w3CxXVAyY … - 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
- Villeneuve-la-Garenne, La Caravelle est à mettre au crédit de Jean Dubuisson, l’un des architectes les plus en vue des années 1960, www.dailymotion.com/video/x1re3h5 via @Dailymotion - AMIENS les HLM C'était le 29 juillet 2010, à 11h02. En quelques secondes, cette tour d'habitation s'est effondrée, détruite par implosion. Construite en 1961, la tour avait été vidée de ses habitants quelques années auparavant. www.youtube.com/watch?v=ajz2xk5KBNo … … - Les habitants de Montreynaud parlent de leur quartier et de cette destruction entre nostalgie et soulagement içi en video www.dailymotion.com/video/xmiwfk - Les bâtiments de la région parisienne - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/CAF96034508/les-batiments-de-la-region-p... … via @Inafr_officiel - Daprinski - George Michael (Plaisir de France remix) www.youtube.com/watch?v=sJeH-nzlj3I
Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … …
twitter.com/Memoire2cite Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.l'UNION SOCIALE POUR L HABITAT fete ses 90 ans "TOUT savoir tout voir, tout connaitre, sur le LOGEMENT SOCIAL des HLM aux HBM avec le Musée HLM" en ligne sur le WEB içi www.banquedesterritoires.fr/lunion-sociale-pour-lhabitat-... … De grandes barres d’immeubles, appelées les grands ensembles, sont le symbole de nos banlieues. Entrée Libre revient sur le phénomène de destruction de ces bâtiments qui reflètent aujourd’hui la misere www.youtube.com/watch?v=mCqHBP5SBiM twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije …
archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ...
museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije :- que dire de RICARDO BOFFIL Les meilleures balades que j’ai fait autour de Paris je les ai faites dans l’application Plans. Je ne minore pas le rôle de Google Maps, révolution cartographique sans précédent et sans égale, qui aura réalisé nos fantasmes d’Aleph borgesien — l’idée d’un point d’où le monde serait visible en totalité — parachevé Mercator et permis d’explorer des parties du globe inconnues de Cook, Bougainville et Amundsen. Je n’oublie pas non plus cet exercice de cartographie au collège, qui nous avait démontré que nous étions à 3 cartes IGN de la capitale, et que le tissu urbain était de plus en plus serré à mesure que nous avancions vers le nord. Mais Plan possédait une fonctionnalité inédite, le Flyover, technologie à l’origine destinée aux pilotes de chasse, et qui fournissait des rendus 3D spectaculaire des bâtiments survolés — ainsi que des arbres et des déclivités du sol.
On quittait enfin les champs asphyxiants de la photographie aérienne pour des vues à l’oblique des villes visitées : après un siècle d’écrasement — la photographie aérienne est étroitement contemporaine du bombardement aérien — les villes reprenaient enfin de la vigueur et remontaient vers le ciel. J’avais d’ailleurs effectué moi-même une manœuvre de redressement similaire le jour où j’étais parti, à pied depuis Paris, visiter à Nanterre une exposition sur la photographie aérienne. J’étais à la quête des premières vues de Paris qu’avait prises Nadar depuis un ballon captif. À défaut de ces images, définitivement manquantes, j’avais parcouru, après la Grande Arche, les derniers kilomètres de la Voie Royale, cette prodigieuse perspective historique partie du Louvre — rare exemple de frise chronologique implémentée dans une structure urbanistique.
J’avais en réalité un peu dévié de la ligne droite pour aller voir les tours Nuages d’Emile Aillaud, le Facteur Cheval du modernisme, dont je connaissais déjà les autres chefs d’œuvres d'architecture naïve, les nouilles chinoises de Grigny et le spaghetti de Pantin.
C’était précisément l’usage que j’avais fait de l’application Plans : j’étais parti à la recherche de tous les groupements de tour qu’elle m’avait permis d’identifier, sur mon iPad. Je les faisais tourner avec deux doigts, comme un éclaireur qui marcherait autour d’un donjon, avant de les immortaliser, sous leur plus bel angle, par une capture d’écran.Un éclaireur autour d’un donjon : c’était exactement cela, qui m’avait fasciné. Les guerres territoriales entre Les Tarterêts de Corbeil et les Pyramides d’Evry avaient marqué mon enfance. La notion de cité, telle qu’elle avait été définie, à partir des années 80, dans le second âge des grands ensembles, l’âge du déclin, avait conservé un cachet médiéval. Ici, vivaient guetteurs et trafiquants, condottieres à la tête d’une écurie de go-fast et entretenant des chenils remplis de mâtins rares et dangereux. Ici, l’État central ne remplissait plus ses tâches régaliennes, ici la modernité laïque était entrée en crise. Mais ce que j’avais découvert, en collectionnant ces captures d’écran, c’était à quel point l’urbanisme de la banlieue parisienne était, strictement, d’obédience médiévale. On était passé, d’un seul mouvement et sans même s’en rendre compte de Château-Gaillard à la Cité 4000, du Donjon de Vincennes aux tours de Sarcelles, du château de Gisors aux choux fleurs de Créteil.J’ai même retrouvé la colonne détruite du désert de Retz dans le babylonien château d’eau de Noisiel.
Des hauteurs de Rosny à celle de Chanteloup, du plateau de Clichy à la dalle d’Argenteuil, on avait bizarrement livré des pastiches inconscients de la grande architecture militaire médiévales : les environs de Paris s’étaient retrouvés à nouveau fortifiés, la vieille tour de Montlhéry n’était plus solitaire, et même les immeubles de briques rouges qui avaient succédé à l’enceinte de Thiers évoquaient des murailles.
Et ce que j’avais initialement pris pour des anomalies, des accidents malheureux du post-modernisme, les grand ensembles voûtés et cannelés de Ricardo Boffil, étaient peut-être ce qui exprimait le mieux tout cela — ou du moins qui clôturaient avec le génie le plus clair cet âge des grands ensembles.
Car c’était cela, ces Carcassonnes, ces Acropoles, ces Atlandides qui surnageaient avec le plus de conviction au milieu des captures d’écrans de ruines médiévales qui s’accumulaient sur mon bureau.
Si décriées, dès leur construction, pour leur kitch intolérable ces mégastructures me sont soudain apparues comme absolument nécessaires.
Si les Villes Nouvelles n’ont jamais existé, et persisteront dans la mémoire des hommes, elles le doivent à ces rêveries bizarres et grandioses, à ces hybridations impossibles entre les cités idéales de Ledoux et les utopies corbuséennes.
L’Aqueduc de Saint-Quentin-en-Yvelines, les Espaces d’Abraxas à Marne-la-Vallée, les Colonnes de Saint-Christophe à Cergy-Pontoise sont les plus belles ruines du Grand Paris.
www.franceculture.fr/emissions/la-conclusion/ricardo-bofill immerssion dans le monde du logement social, l'univers des logements sociaux, des H.B.M au H.L.M - Retour sur l'histoire du logement collectif d'apres guerre - En Françe, sur l’ensemble du territoire avant, 4 millions d’immeubles étaient vétustes, dont 500.000 à démolir; au total 10% des logements étaient considérés comme insalubres et 40% réputés d’une qualité médiocre, et surpeuplés. C’est pour ces raisons que, à partir de 1954, le Ministre à la Reconstruction et au Logement évalue le besoin en logements à 2.000.660, devenant ainsi une priorité nationale. Quelques années plus tard à l’appel de l’Abbé Pierre, le journaliste Gilbert Mathieu, en avril 1957 publiait dans le quotidien Le Monde une série d’articles sur la situation dramatique du logement : Logement, notre honte et dénonçant le nombre réduit de logements et leur impitoyable état. Robert Doisneau, Banlieue après-guerre, 1943-1949 /Le mandat se veut triple : reconstruire le parc immobilier détruit durant les bombardements essentiellement du printemps/été 1944, faire face à l’essor démographique et enfin résorber l’habitat insalubre notamment les bidonvilles et les cités de transit. Une ambition qui paraît, dès le début, très élevée, associée à l’industrialisation progressive de la nation entre autre celle du secteur de la construction (voir le vidéo de l’INA du 17 juillet 1957 intitulée La crise du logement, un problème national. Cela dit, l’effort pour l’État français était d’une ampleur jamais vue ailleurs. La double nécessité de construire davantage et vite, est en partie la cause de la forme architecturale excentrique qui constituera les Grands Ensembles dans les banlieues françaises. Cinq caractéristiques permettent de mieux comprendre ce terme : la rupture avec le tissu urbain ancien, un minimum de mille logements, une forme collective (tours, barres) de quatre jusqu’à vingt niveaux, la conception d’appartements aménagés et équipés et enfin une gestion destinée pour la plupart à des bailleurs de logement social.
Pour la banlieue parisienne leur localisation s’est opérée majoritairement dans la périphérie, tandis que dans les autres cas, plus de la moitié a été construite dans le centre ville, le plus souvent à la limite des anciens faubourgs.
Architecture d’Aujourd’hui n° 46, 1953 p. 58-55
C’est le triomphe de l’urbanisme fonctionnel et rationaliste cher à Le Corbusier. Entre 1958 et 1973, cent quatre-vingt-quinze Zones à Urbaniser en Priorité (ZUP) sont créées, comprenant deux millions de logements, essentiellement de type populaire en Habitations à Loyer Modéré (HLM), mais pas exclusivement, remplaçant ainsi les anciennes Habitations à Bon Marché (HBM) crées en 1894. Selon le décret du 27 mars 1954 qui en fixe les conditions d’attribution, les bénéficiaires de la législation n’ont pas changé, ce sont toujours des « personnes peu fortunées vivant principalement de leur salaire », selon la loi Strauss de 1906. En 1953, tous les HLM voient leur surface maximale se réduire, en passant de 71 à 65 mètres carrés pour un quatre pièces. L’accès au logement des familles modestes se fera donc au détriment de la qualité et quantité de l’espace habité pour des familles nombreuses. À ce propos, le sociologue Thierry Oblet a bien montré comment se sont articulées les pensées des architectes et des ingénieurs modernistes, avec leur souci planificateur d’un État interventionniste[8] grâce à l’hégémonie du béton, de la ligne droite et de la standardisation de la construction.
Les exemples de cette architecture restent nombreux : de la Cité de 4000 (pour 4000 logements) à la Courneuve en Seine-Saint-Denis (93) aux logements de 15 étages aux balcons pétales, appelés « Chou-fleur » à Créteil en Val-de Marne (94) dessinés au début des années 70 par l’architecte Gérard Grandval. De la Cité des nuages à Nanterre dans les Hauts-de-Seine (92) à la Grande borne construite entre 1967 et 1971 sur le territoire des communes de Grigny et Viry-Châtillon, dans l’Essonne (91) en passant par la Noé à Chanteloup-les-Vignes dans le département des Yvelines (78) scénario du célèbre film La Haine[9] de Kassovits.
Récemment, plusieurs expositions photographiques se sont
concentrées sur cette nouvelle figure de l’urbanisme fonctionnaliste français de l’après-guerre. Par exemple Toit&Moi, 100 ans de logement social (2012), Les Grands ensembles 1960-2010 (2012) produite par l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, selon un projet du Ministère de la Culture et de la Communication. Enfin l’exposition Photographie à l’œuvre, (2011-2012) d’Henri Salesse, photographe du service de l’inventaire du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme et Voyage en périphérie (2012) de Cyrus Cornut.
Il s’agissait là non seulement d’un progrès matériel, mais aussi démocratique, donnant ainsi à chaque citoyen, la possibilité d’accéder à son petit appartement doté de tous les conforts de l’époque. La recherche d’économie et de rapidité dans la conduite des chantiers portent à l’utilisation du béton comme matériel privilégié et à des plans architecturaux aussi simples que possible avec la réalisation de logements standardisés, dont les barres et les tours deviennent les figures principales : Au mitan des années cinquante, apparurent d’étranges formes urbaines. Des immeubles d’habitation de plus en plus longs et de plus en plus hauts, assemblés en blocs qui ne s’intégraient pas aux villes existantes. Ces blocs s’en différenciaient ostensiblement et parfois comme systématiquement, s’en isolaient. Ils semblaient faire ville à part. Surtout ils ne ressemblaient pas à ce qu’on avait l’habitude d’appeler ville. Et leur architecture aussi, qui était tellement déroutante. On les a nommés » grands ensembles. Cité de l’Abreuvoir, Bobigny (93), 2003 (Inventaire général du Patrimoine, Région Ile de France / Stéphane Asseline)
Bref, entre 1946 et 1975 le parc immobilier français passe de 12,7 millions à 21 millions de logements. Environ 8 millions de ceux-ci sont neufs, construits entre 1953-1975 – dont la moitié sous forme de grands ensembles – et près de 80 % des logements grâce à une aide de l’État avec des crédits publics. Le nombre de logements sociaux passe de moins de 500.000 à près de 3 millions, dont 43 % en région parisienne, où la demande est la plus forte[11]. Ce qui témoigne d’un effort énorme. Secrétariat d’État à la Reconstruction et au Logement, Supplément du logement en 1954, cité par Bachmann, C. Le Guennec, N., Violences urbaines…Op.cit, p.24. Alors que l’hiver 1954 est particulièrement rigoureux, l’abbé Pierre lance un appel en faveur des sans-logis et déshérités et organise des collectes de vêtements et de nourriture pour les plus démunis. Cela nous rappelle également que les inégalités sociales restaient particulièrement importantes à l’époque, malgré les débuts de la croissance économique, et que la crise du logement n’était pas encore complètement résolue. Danièle Voldman, La reconstruction des villes françaises de 1940 à 1954 : histoire d’une politique, Paris, L’Harmattan, 1997. Les Actualités françaises, La crise du logement, un problème national, 17 juillet, 1957, in fresques.ina.fr/…/la-crise-du-logement-un-probleme-n…, consulté le 20/02/2014. C’est l’urbaniste Marcel Rotival dans un numéro d’Architecture d’Aujourd’hui de juin 1935 (vol.1, n°6, juin 1935, p.57) qui propose pour la première fois cette terminologie pour désigner les Habitations à Bon Marché (HBM) et leur transformation en Habitations à Loyer Modéré (HLM), par la loi du 21 juillet 1951: « Nous espérons, un jour, sortir des villes comme Paris, non seulement par l’avenue des Champs Elysées, la seule réalisation de tenue sans laquelle Paris n’existerait pas, mais sortir par Belleville, par Charonne, par Bobigny, etc., et trouver harmonieusement disposés le long de larges autostrades, au milieu de grands espaces boisés, de parcs, de stades, de grandes cités claires, bien orientées, lumineusement éclairées par le soleil. » Largement reprise depuis les années 1950 dans le jargon administratif et public, elle apparaît pour la première fois dans un texte officiel qu’en 1973 avec la Circulaire Guichard, alors Ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Equipement, du Logement et du tourisme. Celui-ci met un terme à la politique initiée après-guerre afin « d’empêcher la réalisation des formes d’urbanisation désignées généralement sous le nom de “grands ensembles”, peu conforme aux aspirations des habitants et sans justification économique sérieuse ». Paradoxalement, le terme de grands ensembles s’officialise donc au moment même où ils son mis en question. ZUP est un acronyme qui signifie Zone à Urbaniser en Priorité. Elles ont été créées par le décret N°58-1464 du 31 décembre 1958, afin de planifier et d’encadrer sur le territoire national, le développement urbain pour répondre à la carence de logements face à l’accroissement démographique et favoriser enfin la résorption de l’habitat insalubre. Oblet, Thierry, Gouverner la ville. Les voies urbaines de la démocratie moderne, Paris, PUF, 2003. En particulier par l’intermédiaire de la Société centrale de construction et de la Société centrale pour l’équipement du territoire, créées au milieu des années 1950 en tant que filiales de la Caisse des dépôts et consignations.
Kassovitz, Mathieu, La Haine, France, 1995.
Cornu, Marcel, Libérer la ville, Bruxelles, Casterman, 1977, p.60. Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015
www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin)
www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...
42 LOIRE ST-ETIENNE MONTREYNAUD tout une histoire youtu.be/ietu6yPB5KQ - Mascovich & la tour de Montreynaud www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE … -Travaux dalle du Forum à Montreynaud Saint-Etienne www.youtube.com/watch?v=0WaFbrBEfU4 … & içi www.youtube.com/watch?v=aHnT_I5dEyI … - et fr3 là www.youtube.com/watch?v=hCsXNOMRWW4 … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline et sur les pentes de cette colline s’accroche une petite ville, un quartier, un peu à part. Cet endroit niché au milieu de la verdure, c’est le quartier de Montreynaud. www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo&fbclid=IwAR2ALN4d... …Et sinon, avez-vous remarqué au dessus du P de AGIP ? On voit, dans le film, la Tour Réservoir Plein Ciel du quartier de Montreynaud, détruite 3 ans plus tard par foudroyage ! Sûr que @Memoire2cite a des photos du quartier et de la tout à l'époque ! ;-) 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
twitter.com/Memoire2cite - Après 1945, les collines agricoles du sud-est de la ville connaissent un programme d’urbanisation de grande ampleur pour répondre à la crise du logement. Près de 4600 logements sociaux vont ainsi être construits en quatre tranches successives de 1953 à 1970 : Beaulieu, la Marandinière, Montchovet, la Métare et la Palle formant aujourd’hui les quartiers sud-est. Touché par la crise économique et urbaine de dingue, le secteur sud-est apparaît à la fin des années 1990 comme un espace monofonctionnel dédié en totalité à l’habitat locatif social et porté par un seul bailleur l'OPAC devenu Métropole Habitat. Bien que bénéficiant de nombreux atouts (accessibilité et environnement agréable...), le quartier souffre du gigantisme de son urbanisation et du manque de résidentialisation des unités d’habitation. Par une action en profondeur et dans la durée, la Ville de Saint-Étienne, à travers son Programme de Rénovation Urbaine (PRU), a amorcé une transformation durable du quartier depuis 1989 avec la 1ere demolition du programme à la rue Pierre Loti le 31 janvier 1989 (BANLIEUE89), 30 ans de renouvellement urbain sur la ville.... une ville pilote en la matiere des 1990. Aujourd'hui et demain Les quartiers sud-est vont poursuivre leur mutation, avec l’appui continu de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine et ses partenaires l'ANRU2. Développer le secteur économiqueL'objectif est de dynamiser l’économie dans ce territoire en portant de nouveaux projets et en restructurant l’offre commerciale de proximité. La Ville de Saint-Étienne a prévu la création de nouvelles zones d’activités permettant l’accueil d’entreprises. Ainsi une zone d’activités économiques, rue Pierre Loti, répondra aux besoins fonciers des entreprises et des artisans locaux. Ce projet de zone économique, en visibilité directe de la RN 88, permettra l’implantation d’une cinquantaine d’entreprises et la création de 300 emplois. Un nouveau centre commercial sur le secteur de la Marandinière, couplé à la démolition des centres commerciaux de la Palle et Sembat, permettra de restructurer et moderniser l’offre commerciale de proximité. Renouveller l'offre d'habitat Une qualité résidentielle s’affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d’habitat variée qui émerge depuis plusieurs années. Les nombreuses démolitions réalisées et à venir (Boulevard des Mineurs en 2018 et immeubles Loti en 2020), ainsi que les réhabilitations d’immeubles en cours, vont permettre de diversifier l’offre de logements. L’un des objectifs du projet urbain est donc de conforter la vocation résidentielle du quartier en stimulant l’offre et en accompagnant des projets comme la construction de logements passifs sur le secteur de Beaulieu, la transformation de l’ancienne école Baptiste-Marcet et la réhabilitation de logements à Monchovet. Améliorer le cadre de vie des habitantsLes quartiers sud-est bénéficient d’un environnement naturellement riche et varié, à l’interface entre les grands parcs de la ville (jardin des Plantes, parc de l’Europe, Bois d’Avaize) et le Pilat. Le projet urbain de la Ville de Saint-Étienne prévoit de relier ces espaces naturels entre-eux avec la création d’une continuité verte, qui permettra aux marcheurs et autres randonneurs de bénéficier d’un véritable réseau de chemins autour de la commune. Le boulevard Alexandre-de-Fraissinette, véritable colonne vertébrale du quartier, et la rue Pierre-Loti seront entièrement revus pour assurer un meilleur partage de l’espace entre tous les modes de déplacements (voiture, vélo et piéton) et assurer un maillage inter-quartiers plus efficace. fr.calameo.com/read/0005441131b4119eaa674Depuis 2014, la rénovation urbaine dans les quartiers sud-est s’est traduite par de nombreux travaux: la construction du centre commercial de la Grande Marandinière, l’aménagement d’un lotissement de treize maisons individuelles passives, impasse Clémenceau, les rénovations des écoles de Montchovet et de Beaulieu, la réhabilitation de locaux rue Henri-Dunant (pour y installer la Maison des associations), et enfin les démolitions récentes du centre commercial du boulevard de la Palle et d’un garage, au 41 rue de Terrenoire.Démolitions mais aussi constructions sont au programme. Plusieurs acteurs entrent en jeu dans le financement de ces projets, notamment l’ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) mais aussi la Ville, le Département et la Région. Ainsi, le contrat avec l’ANRU, signé le 14 mars, dégage une somme de 23 millions d’euros, somme à laquelle il faut ajouter 3,3 millions d’euros de la Région. Pour les années à venir, les objectifs visent à la poursuite du développement économique, de la mutation de l’habitat par des constructions individuelles ou de petits immeubles, des démolitions ponctuelles, de la valorisation des espaces publics et du renforcement des espaces du quartier. Deux secteurs sont concernés : Loti et la Grande Marandinière. Le 11 AVRIL 1964, le développement de la ville de Saint Etienne, et ses travaux ..La ville de Saint Etienne se développe tout comme l'ensemble du territoire... Pour accompagner cet accroissement de population, de nouveaux quartiers se construisent aux abords de la ville chaque jours. Et pour faire face aux problèmes de circulation, un boulevard périphérique a été aménagé. Réalisé à l'occasion de la construction de la déviation sud de l'autoroute de Saint Etienne, ce reportage témoigne de la visite du sénateur maire de la ville, Mr. Michel DURAFOUR, sur le chantier du tunnel de la déviation. Accueilli par Mr. Rocher, président de la société forêzienne de travaux publics, Michel DURAFOUR découvre avec les membres du conseil municipal l'avancée des travaux. (voir aussi le chantier de l A 47 avec la video du tunnel du rond-point içi : www.ina.fr/video/LXC9610041788 . Ce quartier est né des programmes de grands ensembles mis en œuvre à partir des années 1950 afin de réduire la pénurie de logements. La mairie choisit donc de développer un quartier moderne 4 600 logements en HLM pour pouvoir loger plus de 30 000 habitants avec des loyers modérés dans des bâtiments modernes. Ce quartier avait comme emblème un des plus grands immeubles d’Europe surnommé la Muraille de Chine qui était visible depuis l’autoroute. Ce quartier s’est construit en quatre tranches : Beaulieu I (Beaulieu) de 1953 à 1955 ; Beaulieu II (La Marandinière) en 1959 ; Beaulieu III (Montchovet) en 1964 ; Beaulieu IV (La Palle) en 1971. Il est aujourd’hui en profonde mutation avec un programme de renouvellement urbain qui prévoit la démolition de plus 1000 logements et la reconstruction de 250. Bâtiments spécifiques : CHPL (Centre Hospitalier Privé de la Loire) qui remplace la Muraille de Chine ; Ecole Nationale d'ingénieurs de Saint-Etienne Un modèle de l'urbanisme des années 1950. Beaulieu-Montchovet: La ville choisit de construire un immense quartier neuf de plus de 4.600 logements, prévu pour loger 30.000 habitants, sur les basses pentes du Pilat, à la sortie sud-est de Saint-Etienne.Entre les forêts, qui seront classées parc naturel quelques années plus tard, et les quartiers chics du cours Fauriel, c'est un des endroits les mieux situés de la ville.C'est aussi le seul grand emplacement proche du centre où il n'y aie pas eu de mines, parce que les couches de charbon s'arrêtent juste avant : le terrain est assez solide pour supporter de gros immeubles. Içi le chantier de construction de MONTCHOVET soit Beaulieu 3, la continuitée des constructions HLM de nos quartiers sud-est (les chantiers de l'OPAC) , la vidéo içi :www.ina.fr/video/LXF99004401 .Retour sur son historique de 1962 à aujourd'hui e n 2018.Un grand-Ensemble qui rappelle combien la politique d'urbanisme des années 1960 et suivantes a été conduite en dépit du bon sens la video içi www.google.fr/search?q=montchovet+ina&oq=montchovet+i... et là www.ina.fr/video/CAC00029801 , mais aussi içi www.ina.fr/video/CAC00029801 - avec Claude BARTOLONE içi avec la Visite à Saint Etienne du ministre délégué à la ville le jour de la démolition de la muraille de Chine. Rencontre avec des associations pr discuter du futur du quartier Montchovet. www.ina.fr/video/LY00001263573 - fresques.ina.fr/rhone-alpes/fiche-media/Rhonal00046/demol... - et les differentes videos de la demolition la encore : La démolition de la "muraille de Chine" de Saint Etienne www.youtube.com/watch?v=aq1uOc6Gtd0, www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc terrible :( ^^ l interview de Michel Thiolliere Le Grisou.fr a interviewé Michel Thiollière, ancien maire de Saint-Etienne et sénateur de la Loire, membre du Parti radical et actuel vice-président de la Commission de régulation de l'énergie. Il livre son analyse sur les prochaines échéances politiques, notamment la campagne des municipales en cours à Saint-Etienne, les alliances de la droite et du centre, mais aussi le mandat de Maurice Vincent. Michel Thiollière s'attarde également sur les besoins de l'agglomération stéphanoise et évoque les enjeux énergétiques en France.(Interview : Maxime Petit -- Réalisation : Studios Bouquet) www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48,"François Mitterrand, après la visite de deux quartiers -l'un à Saint Etienne et l'autre à Vénissieux, inscrits sur la liste de ceux à réhabiliter -, parle du plan de réhabilitation pour de meilleures conditions de logement.François Mitterrand / Georgina Dufoix / Gilbert Trigano / François Dubanchet / Marcel Houël Thèmes : Grands travaux et grands projetsLe Président > 1er septennat 1981-1988 > 1981-1986 ÉclairageDepuis la fin des années 1970, la région lyonnaise apparaît comme l'épicentre des violences urbaines qui se déroulent en France. Durant l'été 1981, des violences urbaines ont conduit le gouvernement à engager le plus tôt possible une nouvelle politique en faveur des quartiers dégradés. Malgré les premières opérations de réhabilitation engagées par la Commission nationale pour le développement social des quartiers, la situation demeure extrêmement tendue dans un certain nombres de quartiers populaires. L'assassinat d'un jeune de la Cité des 4 000 par un habitant en juillet 1983 a ravivé les débats autour du thème du "mal des grands ensembles" selon l'expression de l'époque. D'autre part, le contexte politique conduit également le pouvoir à s'intéresser encore davantage à la question de la dégradation urbaine dans la mesure où de très nombreux quartiers populaires n'ont pas cette fois-ci apporté leurs suffrages aux candidats de la gauche.La visite de François Mitterrand dans deux quartiers dégradés de la région lyonnaise constitue donc un signal fort à l'égard des populations qui y vivent. Ce déplacement fait également écho à celui réalisé quelques jours plus tôt au sein de la Cité des 4 000 à La Courneuve en Seine Saint Denis (voir Visite de François Mitterrand à La Courneuve). Le principe est d'ailleurs le même et il est exprimé par le président de la République : voir par lui-même l'état réel de ses quartiers. Le fait qu'il soit mentionné dans le reportage que "ces visites surprises" se soient faites dans la "plus grande discrétion" (notamment sans les élus locaux concernés) marque effectivement la volonté du président de la République d'établir une sorte de lien direct avec les habitants qui vivent dans ces quartiers. Il ne s'agit pas de faire l'annonce de nouvelles mesures mais "de voir les choses par moi-même" selon l'expression utilisée par François Mitterrand lors de son allocution à la Préfecture à Lyon. Au moment où la Commission nationale pour le développement social des quartiers établit la liste définitive des 22 quartiers qui bénéficieront d'un programme de réhabilitation, la visite du président de la République sur le terrain suggère une forme de "présidentialisation" du thème de la réhabilitation des grands ensembles.La création au même moment de Banlieue 89 suscitée par deux architectes proches de François Mitterrand, Roland Castro et Michel Cantal-Duparc, suggère également l'intérêt du président de la République pour les questions urbaines (voir Inauguration de l'exposition organisée par Banlieue 89)."http://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00106/visite-de-francois-mitterrand-a-saint-etienne-et-aux-minguettes.html JournalisteVisites surprises qui se sont déroulées dans la plus grande discrétion, seule Madame Georgina Dufoix, Secrétaire d’Etat à la Famille et aux Immigrés, Monsieur Gilbert Trigano, le PDG du Club Méditerranée qui participe à la Commission Dubedout, et deux collaborateurs du Chef de l’État étaient présents. Ni à Saint-Étienne, ni à Vénissieux, les autorités locales n’y ont participés. Peu avant midi, le Président est arrivé à la Préfecture du Rhône à Lyon où s’est déroulée pendant 45 minutes une séance de travail avec les élus locaux et notamment Messieurs Dubanchet, Maire de Saint-Étienne et Houël, Maire de Vénissieux. Réunion qui a donné l’occasion d’aborder les problèmes de fond, devait souligner François Mitterrand.(Bruit)François MitterrandLes deux quartiers que je viens de visiter, celui de Montchovet à Saint-Étienne et celui de Monmousseau à l’intérieur des Minguettes sur la commune de Vénissieux, sont inscrits sur la liste des 22 quartiers à réhabiliter, retenus, proposés par la Commission Dubedout devenue la Commission Pesce, et retenus par le Gouvernement. Et je compte appliquer nos efforts pour qu’effectivement, ces quartiers soient réhabilités, c’est-à-dire, soient habitables. Qu’on y trouve, pour ceux qui y vivent, euh, suffisamment de convivialité, de capacité de développer une famille et, euh, revenant de son travail quand on en a, de pouvoir vivre avec les autres. Les conditions de logement, la construction de ces ensembles, les liaisons avec l’extérieur, l’école, le sport, les espaces verts, bref, l’espace tout court, contribuent, vous le comprenez bien à, au futur équilibre, ou contribueront au futur équilibre de ces quartiers. Alors, je préfère voir les choses par moi-même. Il faut bien se dire que à l’origine de nombreux désordres sociaux se trouvent ces fâcheuses, ces déplorables conditions de vie. Et moi, je veux lutter contre ces désordres et pour cela, il faut que je m’attaque avec le Gouvernement et ceux qui ont la charge auprès de moi, je veux absolument m’attaquer aux sources d’un malaise et d’un déséquilibre social qui sont d’une immense ampleur. Raison de plus pour commencer par un bout avec énergie et continuité. Et de ce point de vue, je compte bien, au cours des semaines et des mois à venir, persévérer dans cette enquête personnelle qui me permet ensuite de donner des instructions précises à ceux qui participent à la gestion de l’État., à Saint-Étienne comme dans les communes de sa proche banlieue. Une sorte de grand monument à la gloire des HLM, comme si on avait fait exprès de la faire aussi énorme pour montrer comme les gens étaient fiers de ce quartier. Autour on construit tout ce qu'il faut pour les habitants : une école, Montchovet, qui donne sur le grand pré derrière, une MJC, une piscine, un centre commercial, avec la Poste, plus tard le bureau de police. En 1978, comme les enfants des habitants grandissent, on ouvre un deuxième collège dans la ZUP. Il prendra le nom de Jean Dasté, qui a créé la Comédie de Saint-Etienne, le plus grand théatre de province en France, et son école de comédiens. Après 1984 les loyers des HLM ont augmenté, beaucoup d'habitants sont partis. La population de Saint-Etienne diminue surtout dans les quartiers sud : beaucoup de gens déménagent vers la plaine du Forez, moins froide, où il y a la place de batir des maisons. On a rénové beaucoup d'appartements anciens en ville : la crise du logement est finie. On ne sait même plus qu'elle a existé. Les ZUP ont vieilli et la plupart des gens préfèrent se loger dans des appartements récents. Alors on ferme : le collège de Beaulieu, l'école de la Marandinière, la Poste. La Muraille coute très cher à entretenir : il n'y a plus asssez d'habitants pour payer les frais. Les HLM ont décidé de la détruire: c'est le plus gros projet de démolition jamais réalisé en Europe. Les familles qui restaient ont du déménager. On va faire exploser la Muraille de Chine au printemps de l'an 2000. Peut être qu'il fallait le faire, mais pour les gens du quartier c'est un gros morceau de notre Histoire qu'on nous détruit.1954: les premiers travaux à Beaulieu : la campagne devient une ville à grands coups de bulldozer..Le projet est de construire en grande quantité des logements de bonne qualité, avec tout le confort, des chambres pour les enfants, l'eau, le chauffage central, des sanitaires, des arbres et des pelouses, et surtout .... des loyers accessibles pour tous. Ce seront les Habitations à Loyers Modérés, les HLM.Il faudra les construires en dehors des villes, pour en finir avec le mélange des industries et des logements, qui amène le bruit et la pollution. Y prévoir tous les équipements : commerces, écoles, collèges, lycées, transports, parcs, équipements sportifs, police, pompiers, Postes. Construire des villes entières où tout le monde aura accès à ce qui n'était encore que le luxe de quelques gens très riches.Cinq villes sont choisies pour être prioritaires : Paris ( Pantin ) et Lyon ( Bron-Parilly) à cause de leur taille, Angers et Rouen détruites dans les bombardements de 1944, Saint-Etienne, la ville la plus sinistrée de France pour le logement. C'est là que naissent les cinq premières Zone à Urbaniser en Priorité, les ZUP, modèles de l'urbanisme pour toute une génération. Elles ne s'appellent pas encore comme ça : on les construites avant que l'expression de ZUP existe, c'est de leur réussite que naitra le modèle repris partout pour lequel on inventera le mot plus tard.Beaulieu I: le projet d'urbanismeMaquette de 1953 - Projet des architectes Gouyon-ClémentUne architecture géométrique, de grands espaces, des arbres, des formes qui soulignent le relief.La ZUP de Beaulieu est construite en quatre tranches:- Beaulieu I ( Beaulieu ) de 1953 à 1955- Beaulieu II ( La Marandinière ) en 1959- Beaulieu III ( Montchovet ) en 1964, dont fait partie la Muraille de Chine, le grand immeuble le long du boulevard à gauche.- Beaulieu IV ( La Palle ) en 1971Le quartier:Au premier plan, en bas à droite Beaulieu, la Marandinière est à droite derrière l'autoroute, Montplaisir à gauche, Monchovet au milieu, le long du boulevard de la Palle.A gauche des tennis, les batiments du collège de Beaulieu. C'était l'autre collège de la ZEP, le seul collège "sensible" de France a avoir été fermé, en 1995.Nouvelles techniques, nouveaux matériaux :Construire vite pour un prix raisonnable oblige à inventer de nouvelles techniques, d'autant que l'on manque de travailleurs qualifiés.La construction s'industrialise: immeubles à structure porteuse ( des poteaux en béton armé tiennent les dalles, ce ne sont plus les murs qui soutiennent les immeubles ), murs rideaux ( les murs sont fait de morceaux préfabriqués accrochés aux dalles ), éléments standardisés ( les éléments: murs, tuyauterie, portes et fenêtres, sanitaires, etc... sont tous identiques, fabriqués en usine en grande série, installés de la même façon dans tous les immeubles ), nouveaux matériaux ( matières plastiques, béton armé, acier ) qui ne s'utilisaient pas dans la construction traditionnelle.Cela permet de diminuer les prix, en automatisant les fabrications, mais aussi parce qu'on peut utiliser des ouvriers beaucoup moins qualifiés, qui ne font que du montage et que l'on paye moins cher.Bien après les gens se plaindront de ces appartements tous identiques, de ces matériaux peu agréables, de la taille inhumaine des batiments.Mais à l'époque il faut compter deux à trois ans d'attente pour obtenir un appartement dans le quartier. Les familles sont si contentes de leur quartier tout neuf que les collègiens qui prennent le bus emportent une paire de bottes en plus de leur chaussures pour aller des immeubles à l'arrêt de bus : pas question de ramener de la boue dans les bus ou dans les escaliers.La crise du logement:1950 : la France connait la pire crise du logement de son Histoire. La crise économique de 1929 puis la guerre de 1939-1945 ont arrêté la construction de logements, déja insuffisante avant 1930, pendant plus de vingt ans.La France est au maximum du "baby-boom" ( période de très forte natalité qui commence à la fin de la guerre ) : les 40 millions de français de 1950 font deux fois plus de bébés que les 60 millions d'aujourd'hui. La très forte croissance économique relance l'immigration. Plus de la moitié des familles sont mal logées alors que la France commence la plus forte croissance démographique de son Histoire.La IV° République, héritière du programme de la Résistance donne la priorité aux besoins sociaux : école, santé, logement, sur la rentabilité financière. L'Etat, les villes, sont décidés à investir dans le logement, qui est déclaré prioritaire dans le Plan d'organisation de l'économie.Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.Une barre d’habitation innovanteA l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons.Conception et réalisation d’un quartier entierPour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période.Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaoniqueLe centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville.L’avis de l’architecteDe toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. St-Etienne Cimaise Architectes -Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits.Que prévoit-on pour la reconstruction?Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée.C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.Cela paraît paradoxal, pour du logement social!Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»!On croit rêver...C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques.Pourquoi cette différence?Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer.Dans quels domaines?Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour? A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.Culturellement, la ville est aussi très active...Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.La population comprend-elle cette volonté?Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour.Le chantier de l'autoroute de Saint Etienne 01 nov. 1965, la video içi www.ina.fr/video/LXC9610041788 - ST-Etienne,Montchovet (Beaulieu III) "la Muraille de Chine" construction 1962-1964, architecte HUR/FARRAT/GOUYON.Rappelez vous...Aout 1983, François Mitterand, se déplace incognito à la Muraille de Chine à Saint-Etienne. Quelques mois plus tard, la grande réhabilitation de cette barre d’habitation sera lancée.& le 24 octobre 1987 : visite officielle à Saint-Etienne. Il retourne à La Muraille de Chine pour constater les travaux. Le même jour il se rendra à Saint-Chamond et Roanne.« En 1983, le président s’est rendu à Montchovet à l’improviste »François Mitterrand est venu une première à Montchovet en 1983 incognito. Pourquoi une telle démarche ?C’est l’architecte Roland Castro qui a convaincu le président d’aller dans des quartiers populaires. Son but était de lui montrer où vivaient les gens à cette époque et qu’il fallait entreprendre un programme de rénovation.François Mitterrand m’a appelé et m’a dit d’organiser trois ou quatre » descentes » sur le terrain mais le président ne voulait ni policiers, ni gendarmes. Il m’a simplement demandé d’avertir, par correction, le préfet une fois arrivé. C’était d’ailleurs le meilleur gage de sécurité car lorsque vous n’êtes pas attendu, il n’y a pas de risques. Nous sommes donc allés à Saint-Etienne à Montchovet, aux Minguettes à Lyon, dans le 93.. et, à chaque fois, à l’improviste> Quelle a été la réaction des habitants ?Ils étaient très étonnés de croiser le président de la République dans leur cage d’escaliers ! Partout, nous avons reçu un accueil très chaleureux.Nous étions quatre : le président, Roland Castro, un policier et moi-même. Je me souviens qu’aux Minguettes, le président a été invité par une famille pour boire le thé. Les habitants étaient très heureux que le président s’intéresse à eux.> Comment François Mitterrand a-t-il réagi en voyant la vie de ses quartiers ?Il était fasciné. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était, pour lui, une découverte mais il était un rural et le fait de se confronter à la vie de ces gens qui vivaient dans de grandes barres fut enrichissant.> Ces visites impromptues ont-elles été suivies d’effets ?Oui car la mission Banlieues 89 est née de ces visites de terrain. Ce fut d’ailleurs la naissance de la politique de la ville.> En 1987, cette fois, la visite fut officielle - Proposer de nouveaux logements dans une démarche environnementale forte. Dans la poursuite des opérations engagées depuis 2001 (démolition de la Muraille de Chine en 2000, implantation du CHPL, de l ’AIMV en 2005), une qualité résidentielle s'affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d'habitat variée (en forme comme en type de produits). Le dynamisme du quartier s'appuie sur l'accueil et le développement de services, d'activités économiques et d'équipements d'agglomération (centre nautique, Nouveau Théâtre de Beaulieu...) et de proximité (salles de sport, travaux dans les écoles). Les atouts paysagers du site sont pleinement exploités dans une démarche environnementale forte. L'aménagement des espaces libres et la requalification des axes structurants et de desserte renforcent les liaisons internes aux quartiers et les ouvrent sur l'ensemble de la ville. Beaulieu, un patrimoine de qualité, valorisé et adapté à ses occupants40 logement ont été adaptés au vieillissement de leur occupants (bacs à douche, volets électriques, aménagement des ascenseurs, …). L'amélioration des espaces extérieurs, résidentiels ou publics (rue K.Marx, square Renoir, allée Clémenceau) viendra rendre plus conviviaux ces lieux de vie partagés. Petite Marandinière : une cité jardin qui se rénove en gardant son caractère Sur la Petite Marandinière, 320 logements de Métropole Habitat ont été rénovés. Les bâtiments ont été transformés pour arriver à 32 logements, avec création de T3, T4, et T5 en tenant compte de la rénovation thermique et du confort des logements. 54 logements ont été construits, répartis en 6 bâtiments à l'architecture contemporaine et fonctionnelle (surfaces généreuses, double ou triple orientation, terrasse ou loggia). En parallèle, les espaces publics ont été réaménagés dans une démarche environnementale durable et innovante : résidentialisation et embellissement des espaces extérieurs, traitement paysager d'ensemble, requalification des voiries et des circulations douces adaptées aux usages, gestion optimisée du stationnement et des eaux pluviales...Une nouvelle mixité pour le quartier : les maisons de ville "Jardins Sembat" 22 maisons de ville (du T3 au T5) ont été construites à l’angle de la rue Marcel Sembat et du boulevard de Fraissinette. Conçu et développé par l'équipe XXL-Civita-Spirit, ce projet se caractérise par la qualité de la construction (matériaux durables, aménagement soigné des espaces extérieurs…) et par la mise en valeur paysagère du site, ouvert sur les collines du Pilat. 3 types de maisons ont été proposées en location libre : maisons jumelées le long du boulevard de Fraissinette, maisons en pente en fond de parcelle adossée au talus, maisons patio au cœur de l’îlot. Un nouveau centre nautique sur le secteur Loti Souhaité par les habitants, exemplaire d’une démarche participative de coproduction, le centre nautique Yves Naime a été ouvert à l'été 2013, en remplacement de l'ancienne piscine de la Marandinière. Ce centre nautique comprend un bassin sportif (25m, 6 lignes d'eau), un bassin destiné aux activités ludiques (bains bouillonnants, aquagym...), une pataugoire et des plages extérieures.Grande Marandinière : un secteur d'habitat en développement . Après la démolition de la barre Sisley et celle en cours de la barre Féguide, c'est un nouveau quartier qui se dessine sur ce secteur. La reconfiguration de la rue Sisley en voie de promenade avec des vues en belvédère et l'aménagement d'une « coulée verte » ont profondément modifié le paysage urbain du secteur. Ce nouvel environnement a permis à Métropole Habitat de réaliser un programme immobilier de 27 logements locatifs. Dans ce bâtiment collectif moderne et fonctionnel, chaque logement comporte un espace extérieur privatif, balcon ou terrasse. Au rez-de-chaussée, des locaux d'activités (centre social espace-loisirs) ou de services sont déployés le long de la nouvelle rue Sisley. La Palle : des résidentialisations de qualitéLa résidentialisation des immeubles du boulevard de la Palle apporte aux habitants de nouvelles terrasses privatives en rez-de-chaussée, des espaces en cœur d’îlots plus agréables, et de nouveaux parcours piétonniers avec aires de jeux. Elle s’accompagne de la réhabilitation des immeubles (réfection des façades, changement des garde-corps…). Des opérations de résidentialisation ont été menées immeuble par immeuble de 2006 à 2009. Elles permettent de définir les limites entre les parties publiques ouvertes à tous, et les parties privées. Des petits jardins privatifs sont ainsi aménagés pour chaque logement de rez-de-chaussée.Le Pont Aven : du logement social à haute performance environnementaleDéveloppé par Métropole Habitat, le Pont-Aven est un exemple en matière de construction écologique. Il accueille 20 logements sociaux du T2 au T5. L’ensemble de la conception du bâtiment intègre des critères environnementaux : parois extérieures en brique mono-mur, eau chaude solaire, chauffage collectif au gaz naturel, ventilation intérieure à double flux pour une meilleure circulation de l’air, équipements électriques et sanitaires économes en énergie. La toiture végétalisée permet quant à elle une meilleure conservation de la fraîcheur en été, les auvents du toit protègent les fenêtres du soleil et les eaux de pluie seront récupérées pour arroser les espaces extérieurs…Résultat : une diminution des rejets en CO2 et une baisse significative des charges de chauffage pour les locataires.Favoriser l'accessibilité et les relations inter-quartiers Le réaménagement du boulevard de la Palle a favorisé une meilleure desserte du quartier en transports en commun. Une station de taxis, des pistes cyclables et des pelouses ont été aménagées le long du boulevard, sécurisant ainsi la traversée piétonne entre les terrasses Roinat et le centre hospitalier. A l'intérieur du quartier, la trame piétonnière a été développée dans le principe d'une continuité paysagère entre les différents secteurs. Initiée avec l’aménagement des terrasses Roinat, une coulée verte, nouveau poumon vert du quartier, facilitant la circulation des piétons et des cyclistes, relie désormais le boulevard de la Palle, et plus loin le bois d'Avaize, au Parc de l'Europe. - Après la seconde guerre mondiale, un immense chantier s'ouvre en France dans le but de loger massivement une population démunie, les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre , le film parle de St-Etienne entre autre avec les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée : www.dailymotion.com/video/xgj74q .Jusqu'au milieu des années 1970, cette période dite des « Trente Glorieuses l'après guerre et montre la plupart des grandes réalisations de 1945 à 1960. A travers les exemples de la région parisienne et de quelques grandes villes françaises sont posé les problèmes de la diversité architecturale, de l'esthétique et de l'harmonie entre le passé et l'avenir. Les images montrent les grands ensembles de Beaulieu, la Marandiniére, à Saint-Etienne, la cité le Haut du Lièvre à Nancy, des cités à Sarcelles, Asnières, Bron-Parilly, Epinay, Pantin, Bobigny, la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille, le front de mer à Royan, la video de l'Année 1962, une réalisation de Philippe Brunet içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz » fut le terrain de nombreuses expérimentations architecturales et urbanistiques, fondées notamment sur les idées émises plus tôt dans le siècle par le Mouvement moderne.Aujourd'hui, ces ensembles bâtis sont au cœur d'une autre actualité, liée à leur adaptation à l'évolution des modes de vie de notre société contemporaine. Cette question qui se posa dès la fin des années 1970 apparaît sous un jour nouveau, avec les premières démolitions dans les années 1980 et, plus récemment, le vaste programme de réhabilitation mis en place dans le cadre de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain.Après Les Grands Ensembles. Une histoire qui continue…, ce nouvel ouvrage, fruit de la collaboration entre l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et l'Université Jean Monnet, apporte un éclairage nouveau sur cet héritage bâti, mettant au jour simultanément la question de son vécu et celle des acteurs engagés dans son édification. En réunissant quinze auteurs spécialistes de ce domaine, il s'agit de regrouper autant de points de vue, pour comprendre la diversité et la complexité des enjeux liés à la postérité de ce bâti. - « Petite enquête sur Beaulieu – Le Rond-Point », La Tribune du centre et du sud-est, 13 octobre 1955 et « Le chantier de Beaulieu – Le Rond-Point (1ère tranche) sera terminé le 30 juin 1956 très exactement »,La Tribune du centre & du sud-est, 26 juin 1956 -«St-Etienne, la place des grands ensembles dans l’histoire de l’habitat social français »Saint-Étienne/Beaulieu, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la cité de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 boutiques. Des parrains prestigieux et l’élite de l’architecture sté- phanoise sont mobilisés pour ce premier grand ensemble local.Tantôt les bâtiments suivent le dessin de la courbe de niveau 600, devenue rue Le Corbusier, tantôt ils s’installent perpendi-culairement à la pente, reliés à la rue par des passerelles ou de grands escaliers. A l’implantation exemplaire des bâtiments répond une maîtrise raffinée du végétal d’accompagnement, décliné selon les modes habituels aux squares urbains, avec une virtuosité étonnante dus aux talents de l’ingénieur des Services techniques de la ville, Jean Marc, associé à l’équipe de concep-tion dès l’origine de l’opération.Le vocabulaire de l’art des jardins s’adapte au grand ensemble : les espaces sont découpés à partir des courbes de niveau et des allées, et caractérisés par un système de haies et de contre-haies (haies étagées doubles ou triples) constituées de troènes com-muns ou dorés, prunus, berbéris et buffets de laurier, et sont plantés d arbres rythmés et colorés (érables négundo et acacias), ou parfois fastigiés (la gamme d’arbres est d’ailleurs peu riche), selon un dessin géométrique et des alternances de couleurs. Ces espaces verts ne sont réalisés qu’à partir de 1964, après avoir été longtemps laissés en prairies fauchées. Cet état de fait, dû au départ à l’étirement des financements des projets d’espaces exté-rieurs, s’inscrivait aussi dans la logique de conception de notre ingénieur, qui pensait « qu’il était nécessaire de laisser vivre un groupe d’habitations avant de planter » – afin de reprendre notamment les chemins tracés par l’usage.Cette réalisation révèle le décalage entre les réflexions et les savoir-faire architecturaux et paysagers et exprime quelques traits caractéristiques de la pratique paysagiste. Le festonnage des haies qui jalonne les espaces extérieurs rejoint celui des collines boca- gères surplombant les bâtiments. Il rappelle le site environnant et inspirera plus tard l’AUA et Alexandre Chemetoff pour la réhabilitation du quartier de Montreynaud.Relevons que, sans l’action concertée des services de la ville et de l’office d’HLM, qui finança entièrement la réalisation des espaces verts, rien n’aurait été fait à cette époque, compte tenu du désintérêt pour cet aspect du projet des principaux responsables du chantier. « D’ailleurs, à cette époque, les architectes ne jouaient pas au paysagiste… », queleques superbes videos du Ministere de la Cohésion et des Territoires içi : .Naissance d'une banlieue mort d'un village 2000 www.dailymotion.com/video/x1a98izRéalisateur : Sidney Jézéquel Production : Les Films Roger Leenhardt Sujet : la commune de Goussainville (95) --------Quatre murs et un toit 1953 www.dailymotion.com/video/xk6xui Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) ----------------Le Bonheur est dans le béton www.dailymotion.com/video/x413amo - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie ---------------------Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.--- Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq ----SAINT-ETIENNE BEAULIEU une barre d’habitation innovanteA l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaoniqueLe centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecteDe toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc( l'OPAC l'office public de logements sociaux, devenu plus tard Métropole-Habitat, est la plus importante au niveau National, c'est la plus grosse boite d'HLM). Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanchedans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans laville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :les premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris. Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»L"apres guerre...Que prévoit-on pour la reconstruction? Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
twitter.com/Memoire2cite - Après 1945, les collines agricoles du sud-est de la ville connaissent un programme d’urbanisation de grande ampleur pour répondre à la crise du logement. Près de 4600 logements sociaux vont ainsi être construits en quatre tranches successives de 1953 à 1970 : Beaulieu, la Marandinière, Montchovet, la Métare et la Palle formant aujourd’hui les quartiers sud-est. Touché par la crise économique et urbaine de dingue, le secteur sud-est apparaît à la fin des années 1990 comme un espace monofonctionnel dédié en totalité à l’habitat locatif social et porté par un seul bailleur l'OPAC devenu Métropole Habitat. Bien que bénéficiant de nombreux atouts (accessibilité et environnement agréable...), le quartier souffre du gigantisme de son urbanisation et du manque de résidentialisation des unités d’habitation. Par une action en profondeur et dans la durée, la Ville de Saint-Étienne, à travers son Programme de Rénovation Urbaine (PRU), a amorcé une transformation durable du quartier depuis 1989 avec la 1ere demolition du programme à la rue Pierre Loti le 31 janvier 1989 (BANLIEUE89), 30 ans de renouvellement urbain sur la ville.... une ville pilote en la matiere des 1990. Aujourd'hui et demain Les quartiers sud-est vont poursuivre leur mutation, avec l’appui continu de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine et ses partenaires l'ANRU2. Développer le secteur économiqueL'objectif est de dynamiser l’économie dans ce territoire en portant de nouveaux projets et en restructurant l’offre commerciale de proximité. La Ville de Saint-Étienne a prévu la création de nouvelles zones d’activités permettant l’accueil d’entreprises. Ainsi une zone d’activités économiques, rue Pierre Loti, répondra aux besoins fonciers des entreprises et des artisans locaux. Ce projet de zone économique, en visibilité directe de la RN 88, permettra l’implantation d’une cinquantaine d’entreprises et la création de 300 emplois. Un nouveau centre commercial sur le secteur de la Marandinière, couplé à la démolition des centres commerciaux de la Palle et Sembat, permettra de restructurer et moderniser l’offre commerciale de proximité. Renouveller l'offre d'habitat Une qualité résidentielle s’affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d’habitat variée qui émerge depuis plusieurs années. Les nombreuses démolitions réalisées et à venir (Boulevard des Mineurs en 2018 et immeubles Loti en 2020), ainsi que les réhabilitations d’immeubles en cours, vont permettre de diversifier l’offre de logements. L’un des objectifs du projet urbain est donc de conforter la vocation résidentielle du quartier en stimulant l’offre et en accompagnant des projets comme la construction de logements passifs sur le secteur de Beaulieu, la transformation de l’ancienne école Baptiste-Marcet et la réhabilitation de logements à Monchovet. Améliorer le cadre de vie des habitantsLes quartiers sud-est bénéficient d’un environnement naturellement riche et varié, à l’interface entre les grands parcs de la ville (jardin des Plantes, parc de l’Europe, Bois d’Avaize) et le Pilat. Le projet urbain de la Ville de Saint-Étienne prévoit de relier ces espaces naturels entre-eux avec la création d’une continuité verte, qui permettra aux marcheurs et autres randonneurs de bénéficier d’un véritable réseau de chemins autour de la commune. Le boulevard Alexandre-de-Fraissinette, véritable colonne vertébrale du quartier, et la rue Pierre-Loti seront entièrement revus pour assurer un meilleur partage de l’espace entre tous les modes de déplacements (voiture, vélo et piéton) et assurer un maillage inter-quartiers plus efficace. fr.calameo.com/read/0005441131b4119eaa674Depuis 2014, la rénovation urbaine dans les quartiers sud-est s’est traduite par de nombreux travaux: la construction du centre commercial de la Grande Marandinière, l’aménagement d’un lotissement de treize maisons individuelles passives, impasse Clémenceau, les rénovations des écoles de Montchovet et de Beaulieu, la réhabilitation de locaux rue Henri-Dunant (pour y installer la Maison des associations), et enfin les démolitions récentes du centre commercial du boulevard de la Palle et d’un garage, au 41 rue de Terrenoire.Démolitions mais aussi constructions sont au programme. Plusieurs acteurs entrent en jeu dans le financement de ces projets, notamment l’ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) mais aussi la Ville, le Département et la Région. Ainsi, le contrat avec l’ANRU, signé le 14 mars, dégage une somme de 23 millions d’euros, somme à laquelle il faut ajouter 3,3 millions d’euros de la Région. Pour les années à venir, les objectifs visent à la poursuite du développement économique, de la mutation de l’habitat par des constructions individuelles ou de petits immeubles, des démolitions ponctuelles, de la valorisation des espaces publics et du renforcement des espaces du quartier. Deux secteurs sont concernés : Loti et la Grande Marandinière. Le 11 AVRIL 1964, le développement de la ville de Saint Etienne, et ses travaux ..La ville de Saint Etienne se développe tout comme l'ensemble du territoire... Pour accompagner cet accroissement de population, de nouveaux quartiers se construisent aux abords de la ville chaque jours. Et pour faire face aux problèmes de circulation, un boulevard périphérique a été aménagé. Réalisé à l'occasion de la construction de la déviation sud de l'autoroute de Saint Etienne, ce reportage témoigne de la visite du sénateur maire de la ville, Mr. Michel DURAFOUR, sur le chantier du tunnel de la déviation. Accueilli par Mr. Rocher, président de la société forêzienne de travaux publics, Michel DURAFOUR découvre avec les membres du conseil municipal l'avancée des travaux. (voir aussi le chantier de l A 47 avec la video du tunnel du rond-point içi : www.ina.fr/video/LXC9610041788 . Ce quartier est né des programmes de grands ensembles mis en œuvre à partir des années 1950 afin de réduire la pénurie de logements. La mairie choisit donc de développer un quartier moderne 4 600 logements en HLM pour pouvoir loger plus de 30 000 habitants avec des loyers modérés dans des bâtiments modernes. Ce quartier avait comme emblème un des plus grands immeubles d’Europe surnommé la Muraille de Chine qui était visible depuis l’autoroute. Ce quartier s’est construit en quatre tranches : Beaulieu I (Beaulieu) de 1953 à 1955 ; Beaulieu II (La Marandinière) en 1959 ; Beaulieu III (Montchovet) en 1964 ; Beaulieu IV (La Palle) en 1971. Il est aujourd’hui en profonde mutation avec un programme de renouvellement urbain qui prévoit la démolition de plus 1000 logements et la reconstruction de 250. Bâtiments spécifiques : CHPL (Centre Hospitalier Privé de la Loire) qui remplace la Muraille de Chine ; Ecole Nationale d'ingénieurs de Saint-Etienne Un modèle de l'urbanisme des années 1950. Beaulieu-Montchovet: La ville choisit de construire un immense quartier neuf de plus de 4.600 logements, prévu pour loger 30.000 habitants, sur les basses pentes du Pilat, à la sortie sud-est de Saint-Etienne.Entre les forêts, qui seront classées parc naturel quelques années plus tard, et les quartiers chics du cours Fauriel, c'est un des endroits les mieux situés de la ville.C'est aussi le seul grand emplacement proche du centre où il n'y aie pas eu de mines, parce que les couches de charbon s'arrêtent juste avant : le terrain est assez solide pour supporter de gros immeubles. Içi le chantier de construction de MONTCHOVET soit Beaulieu 3, la continuitée des constructions HLM de nos quartiers sud-est (les chantiers de l'OPAC) , la vidéo içi :www.ina.fr/video/LXF99004401 .Retour sur son historique de 1962 à aujourd'hui e n 2018.Un grand-Ensemble qui rappelle combien la politique d'urbanisme des années 1960 et suivantes a été conduite en dépit du bon sens la video içi www.google.fr/search?q=montchovet+ina&oq=montchovet+i... et là www.ina.fr/video/CAC00029801 , mais aussi içi www.ina.fr/video/CAC00029801 - avec Claude BARTOLONE içi avec la Visite à Saint Etienne du ministre délégué à la ville le jour de la démolition de la muraille de Chine. Rencontre avec des associations pr discuter du futur du quartier Montchovet. www.ina.fr/video/LY00001263573 - fresques.ina.fr/rhone-alpes/fiche-media/Rhonal00046/demol... - et les differentes videos de la demolition la encore : La démolition de la "muraille de Chine" de Saint Etienne www.youtube.com/watch?v=aq1uOc6Gtd0, www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc terrible :( ^^ l interview de Michel Thiolliere Le Grisou.fr a interviewé Michel Thiollière, ancien maire de Saint-Etienne et sénateur de la Loire, membre du Parti radical et actuel vice-président de la Commission de régulation de l'énergie. Il livre son analyse sur les prochaines échéances politiques, notamment la campagne des municipales en cours à Saint-Etienne, les alliances de la droite et du centre, mais aussi le mandat de Maurice Vincent. Michel Thiollière s'attarde également sur les besoins de l'agglomération stéphanoise et évoque les enjeux énergétiques en France.(Interview : Maxime Petit -- Réalisation : Studios Bouquet) www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48,"François Mitterrand, après la visite de deux quartiers -l'un à Saint Etienne et l'autre à Vénissieux, inscrits sur la liste de ceux à réhabiliter -, parle du plan de réhabilitation pour de meilleures conditions de logement.François Mitterrand / Georgina Dufoix / Gilbert Trigano / François Dubanchet / Marcel Houël Thèmes : Grands travaux et grands projetsLe Président > 1er septennat 1981-1988 > 1981-1986 ÉclairageDepuis la fin des années 1970, la région lyonnaise apparaît comme l'épicentre des violences urbaines qui se déroulent en France. Durant l'été 1981, des violences urbaines ont conduit le gouvernement à engager le plus tôt possible une nouvelle politique en faveur des quartiers dégradés. Malgré les premières opérations de réhabilitation engagées par la Commission nationale pour le développement social des quartiers, la situation demeure extrêmement tendue dans un certain nombres de quartiers populaires. L'assassinat d'un jeune de la Cité des 4 000 par un habitant en juillet 1983 a ravivé les débats autour du thème du "mal des grands ensembles" selon l'expression de l'époque. D'autre part, le contexte politique conduit également le pouvoir à s'intéresser encore davantage à la question de la dégradation urbaine dans la mesure où de très nombreux quartiers populaires n'ont pas cette fois-ci apporté leurs suffrages aux candidats de la gauche.La visite de François Mitterrand dans deux quartiers dégradés de la région lyonnaise constitue donc un signal fort à l'égard des populations qui y vivent. Ce déplacement fait également écho à celui réalisé quelques jours plus tôt au sein de la Cité des 4 000 à La Courneuve en Seine Saint Denis (voir Visite de François Mitterrand à La Courneuve). Le principe est d'ailleurs le même et il est exprimé par le président de la République : voir par lui-même l'état réel de ses quartiers. Le fait qu'il soit mentionné dans le reportage que "ces visites surprises" se soient faites dans la "plus grande discrétion" (notamment sans les élus locaux concernés) marque effectivement la volonté du président de la République d'établir une sorte de lien direct avec les habitants qui vivent dans ces quartiers. Il ne s'agit pas de faire l'annonce de nouvelles mesures mais "de voir les choses par moi-même" selon l'expression utilisée par François Mitterrand lors de son allocution à la Préfecture à Lyon. Au moment où la Commission nationale pour le développement social des quartiers établit la liste définitive des 22 quartiers qui bénéficieront d'un programme de réhabilitation, la visite du président de la République sur le terrain suggère une forme de "présidentialisation" du thème de la réhabilitation des grands ensembles.La création au même moment de Banlieue 89 suscitée par deux architectes proches de François Mitterrand, Roland Castro et Michel Cantal-Duparc, suggère également l'intérêt du président de la République pour les questions urbaines (voir Inauguration de l'exposition organisée par Banlieue 89)."http://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00106/visite-de-francois-mitterrand-a-saint-etienne-et-aux-minguettes.html JournalisteVisites surprises qui se sont déroulées dans la plus grande discrétion, seule Madame Georgina Dufoix, Secrétaire d’Etat à la Famille et aux Immigrés, Monsieur Gilbert Trigano, le PDG du Club Méditerranée qui participe à la Commission Dubedout, et deux collaborateurs du Chef de l’État étaient présents. Ni à Saint-Étienne, ni à Vénissieux, les autorités locales n’y ont participés. Peu avant midi, le Président est arrivé à la Préfecture du Rhône à Lyon où s’est déroulée pendant 45 minutes une séance de travail avec les élus locaux et notamment Messieurs Dubanchet, Maire de Saint-Étienne et Houël, Maire de Vénissieux. Réunion qui a donné l’occasion d’aborder les problèmes de fond, devait souligner François Mitterrand.(Bruit)François MitterrandLes deux quartiers que je viens de visiter, celui de Montchovet à Saint-Étienne et celui de Monmousseau à l’intérieur des Minguettes sur la commune de Vénissieux, sont inscrits sur la liste des 22 quartiers à réhabiliter, retenus, proposés par la Commission Dubedout devenue la Commission Pesce, et retenus par le Gouvernement. Et je compte appliquer nos efforts pour qu’effectivement, ces quartiers soient réhabilités, c’est-à-dire, soient habitables. Qu’on y trouve, pour ceux qui y vivent, euh, suffisamment de convivialité, de capacité de développer une famille et, euh, revenant de son travail quand on en a, de pouvoir vivre avec les autres. Les conditions de logement, la construction de ces ensembles, les liaisons avec l’extérieur, l’école, le sport, les espaces verts, bref, l’espace tout court, contribuent, vous le comprenez bien à, au futur équilibre, ou contribueront au futur équilibre de ces quartiers. Alors, je préfère voir les choses par moi-même. Il faut bien se dire que à l’origine de nombreux désordres sociaux se trouvent ces fâcheuses, ces déplorables conditions de vie. Et moi, je veux lutter contre ces désordres et pour cela, il faut que je m’attaque avec le Gouvernement et ceux qui ont la charge auprès de moi, je veux absolument m’attaquer aux sources d’un malaise et d’un déséquilibre social qui sont d’une immense ampleur. Raison de plus pour commencer par un bout avec énergie et continuité. Et de ce point de vue, je compte bien, au cours des semaines et des mois à venir, persévérer dans cette enquête personnelle qui me permet ensuite de donner des instructions précises à ceux qui participent à la gestion de l’État., à Saint-Étienne comme dans les communes de sa proche banlieue. Une sorte de grand monument à la gloire des HLM, comme si on avait fait exprès de la faire aussi énorme pour montrer comme les gens étaient fiers de ce quartier. Autour on construit tout ce qu'il faut pour les habitants : une école, Montchovet, qui donne sur le grand pré derrière, une MJC, une piscine, un centre commercial, avec la Poste, plus tard le bureau de police. En 1978, comme les enfants des habitants grandissent, on ouvre un deuxième collège dans la ZUP. Il prendra le nom de Jean Dasté, qui a créé la Comédie de Saint-Etienne, le plus grand théatre de province en France, et son école de comédiens. Après 1984 les loyers des HLM ont augmenté, beaucoup d'habitants sont partis. La population de Saint-Etienne diminue surtout dans les quartiers sud : beaucoup de gens déménagent vers la plaine du Forez, moins froide, où il y a la place de batir des maisons. On a rénové beaucoup d'appartements anciens en ville : la crise du logement est finie. On ne sait même plus qu'elle a existé. Les ZUP ont vieilli et la plupart des gens préfèrent se loger dans des appartements récents. Alors on ferme : le collège de Beaulieu, l'école de la Marandinière, la Poste. La Muraille coute très cher à entretenir : il n'y a plus asssez d'habitants pour payer les frais. Les HLM ont décidé de la détruire: c'est le plus gros projet de démolition jamais réalisé en Europe. Les familles qui restaient ont du déménager. On va faire exploser la Muraille de Chine au printemps de l'an 2000. Peut être qu'il fallait le faire, mais pour les gens du quartier c'est un gros morceau de notre Histoire qu'on nous détruit.1954: les premiers travaux à Beaulieu : la campagne devient une ville à grands coups de bulldozer..Le projet est de construire en grande quantité des logements de bonne qualité, avec tout le confort, des chambres pour les enfants, l'eau, le chauffage central, des sanitaires, des arbres et des pelouses, et surtout .... des loyers accessibles pour tous. Ce seront les Habitations à Loyers Modérés, les HLM.Il faudra les construires en dehors des villes, pour en finir avec le mélange des industries et des logements, qui amène le bruit et la pollution. Y prévoir tous les équipements : commerces, écoles, collèges, lycées, transports, parcs, équipements sportifs, police, pompiers, Postes. Construire des villes entières où tout le monde aura accès à ce qui n'était encore que le luxe de quelques gens très riches.Cinq villes sont choisies pour être prioritaires : Paris ( Pantin ) et Lyon ( Bron-Parilly) à cause de leur taille, Angers et Rouen détruites dans les bombardements de 1944, Saint-Etienne, la ville la plus sinistrée de France pour le logement. C'est là que naissent les cinq premières Zone à Urbaniser en Priorité, les ZUP, modèles de l'urbanisme pour toute une génération. Elles ne s'appellent pas encore comme ça : on les construites avant que l'expression de ZUP existe, c'est de leur réussite que naitra le modèle repris partout pour lequel on inventera le mot plus tard.Beaulieu I: le projet d'urbanismeMaquette de 1953 - Projet des architectes Gouyon-ClémentUne architecture géométrique, de grands espaces, des arbres, des formes qui soulignent le relief.La ZUP de Beaulieu est construite en quatre tranches:- Beaulieu I ( Beaulieu ) de 1953 à 1955- Beaulieu II ( La Marandinière ) en 1959- Beaulieu III ( Montchovet ) en 1964, dont fait partie la Muraille de Chine, le grand immeuble le long du boulevard à gauche.- Beaulieu IV ( La Palle ) en 1971Le quartier:Au premier plan, en bas à droite Beaulieu, la Marandinière est à droite derrière l'autoroute, Montplaisir à gauche, Monchovet au milieu, le long du boulevard de la Palle.A gauche des tennis, les batiments du collège de Beaulieu. C'était l'autre collège de la ZEP, le seul collège "sensible" de France a avoir été fermé, en 1995.Nouvelles techniques, nouveaux matériaux :Construire vite pour un prix raisonnable oblige à inventer de nouvelles techniques, d'autant que l'on manque de travailleurs qualifiés.La construction s'industrialise: immeubles à structure porteuse ( des poteaux en béton armé tiennent les dalles, ce ne sont plus les murs qui soutiennent les immeubles ), murs rideaux ( les murs sont fait de morceaux préfabriqués accrochés aux dalles ), éléments standardisés ( les éléments: murs, tuyauterie, portes et fenêtres, sanitaires, etc... sont tous identiques, fabriqués en usine en grande série, installés de la même façon dans tous les immeubles ), nouveaux matériaux ( matières plastiques, béton armé, acier ) qui ne s'utilisaient pas dans la construction traditionnelle.Cela permet de diminuer les prix, en automatisant les fabrications, mais aussi parce qu'on peut utiliser des ouvriers beaucoup moins qualifiés, qui ne font que du montage et que l'on paye moins cher.Bien après les gens se plaindront de ces appartements tous identiques, de ces matériaux peu agréables, de la taille inhumaine des batiments.Mais à l'époque il faut compter deux à trois ans d'attente pour obtenir un appartement dans le quartier. Les familles sont si contentes de leur quartier tout neuf que les collègiens qui prennent le bus emportent une paire de bottes en plus de leur chaussures pour aller des immeubles à l'arrêt de bus : pas question de ramener de la boue dans les bus ou dans les escaliers.La crise du logement:1950 : la France connait la pire crise du logement de son Histoire. La crise économique de 1929 puis la guerre de 1939-1945 ont arrêté la construction de logements, déja insuffisante avant 1930, pendant plus de vingt ans.La France est au maximum du "baby-boom" ( période de très forte natalité qui commence à la fin de la guerre ) : les 40 millions de français de 1950 font deux fois plus de bébés que les 60 millions d'aujourd'hui. La très forte croissance économique relance l'immigration. Plus de la moitié des familles sont mal logées alors que la France commence la plus forte croissance démographique de son Histoire.La IV° République, héritière du programme de la Résistance donne la priorité aux besoins sociaux : école, santé, logement, sur la rentabilité financière. L'Etat, les villes, sont décidés à investir dans le logement, qui est déclaré prioritaire dans le Plan d'organisation de l'économie.Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.Une barre d’habitation innovanteA l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons.Conception et réalisation d’un quartier entierPour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période.Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaoniqueLe centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville.L’avis de l’architecteDe toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. St-Etienne Cimaise Architectes -Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits.Que prévoit-on pour la reconstruction?Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée.C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.Cela paraît paradoxal, pour du logement social!Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»!On croit rêver...C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques.Pourquoi cette différence?Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer.Dans quels domaines?Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour? A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.Culturellement, la ville est aussi très active...Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.La population comprend-elle cette volonté?Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour.Le chantier de l'autoroute de Saint Etienne 01 nov. 1965, la video içi www.ina.fr/video/LXC9610041788 - ST-Etienne,Montchovet (Beaulieu III) "la Muraille de Chine" construction 1962-1964, architecte HUR/FARRAT/GOUYON.Rappelez vous...Aout 1983, François Mitterand, se déplace incognito à la Muraille de Chine à Saint-Etienne. Quelques mois plus tard, la grande réhabilitation de cette barre d’habitation sera lancée.& le 24 octobre 1987 : visite officielle à Saint-Etienne. Il retourne à La Muraille de Chine pour constater les travaux. Le même jour il se rendra à Saint-Chamond et Roanne.« En 1983, le président s’est rendu à Montchovet à l’improviste »François Mitterrand est venu une première à Montchovet en 1983 incognito. Pourquoi une telle démarche ?C’est l’architecte Roland Castro qui a convaincu le président d’aller dans des quartiers populaires. Son but était de lui montrer où vivaient les gens à cette époque et qu’il fallait entreprendre un programme de rénovation.François Mitterrand m’a appelé et m’a dit d’organiser trois ou quatre » descentes » sur le terrain mais le président ne voulait ni policiers, ni gendarmes. Il m’a simplement demandé d’avertir, par correction, le préfet une fois arrivé. C’était d’ailleurs le meilleur gage de sécurité car lorsque vous n’êtes pas attendu, il n’y a pas de risques. Nous sommes donc allés à Saint-Etienne à Montchovet, aux Minguettes à Lyon, dans le 93.. et, à chaque fois, à l’improviste> Quelle a été la réaction des habitants ?Ils étaient très étonnés de croiser le président de la République dans leur cage d’escaliers ! Partout, nous avons reçu un accueil très chaleureux.Nous étions quatre : le président, Roland Castro, un policier et moi-même. Je me souviens qu’aux Minguettes, le président a été invité par une famille pour boire le thé. Les habitants étaient très heureux que le président s’intéresse à eux.> Comment François Mitterrand a-t-il réagi en voyant la vie de ses quartiers ?Il était fasciné. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était, pour lui, une découverte mais il était un rural et le fait de se confronter à la vie de ces gens qui vivaient dans de grandes barres fut enrichissant.> Ces visites impromptues ont-elles été suivies d’effets ?Oui car la mission Banlieues 89 est née de ces visites de terrain. Ce fut d’ailleurs la naissance de la politique de la ville.> En 1987, cette fois, la visite fut officielle - Proposer de nouveaux logements dans une démarche environnementale forte. Dans la poursuite des opérations engagées depuis 2001 (démolition de la Muraille de Chine en 2000, implantation du CHPL, de l ’AIMV en 2005), une qualité résidentielle s'affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d'habitat variée (en forme comme en type de produits). Le dynamisme du quartier s'appuie sur l'accueil et le développement de services, d'activités économiques et d'équipements d'agglomération (centre nautique, Nouveau Théâtre de Beaulieu...) et de proximité (salles de sport, travaux dans les écoles). Les atouts paysagers du site sont pleinement exploités dans une démarche environnementale forte. L'aménagement des espaces libres et la requalification des axes structurants et de desserte renforcent les liaisons internes aux quartiers et les ouvrent sur l'ensemble de la ville. Beaulieu, un patrimoine de qualité, valorisé et adapté à ses occupants40 logement ont été adaptés au vieillissement de leur occupants (bacs à douche, volets électriques, aménagement des ascenseurs, …). L'amélioration des espaces extérieurs, résidentiels ou publics (rue K.Marx, square Renoir, allée Clémenceau) viendra rendre plus conviviaux ces lieux de vie partagés. Petite Marandinière : une cité jardin qui se rénove en gardant son caractère Sur la Petite Marandinière, 320 logements de Métropole Habitat ont été rénovés. Les bâtiments ont été transformés pour arriver à 32 logements, avec création de T3, T4, et T5 en tenant compte de la rénovation thermique et du confort des logements. 54 logements ont été construits, répartis en 6 bâtiments à l'architecture contemporaine et fonctionnelle (surfaces généreuses, double ou triple orientation, terrasse ou loggia). En parallèle, les espaces publics ont été réaménagés dans une démarche environnementale durable et innovante : résidentialisation et embellissement des espaces extérieurs, traitement paysager d'ensemble, requalification des voiries et des circulations douces adaptées aux usages, gestion optimisée du stationnement et des eaux pluviales...Une nouvelle mixité pour le quartier : les maisons de ville "Jardins Sembat" 22 maisons de ville (du T3 au T5) ont été construites à l’angle de la rue Marcel Sembat et du boulevard de Fraissinette. Conçu et développé par l'équipe XXL-Civita-Spirit, ce projet se caractérise par la qualité de la construction (matériaux durables, aménagement soigné des espaces extérieurs…) et par la mise en valeur paysagère du site, ouvert sur les collines du Pilat. 3 types de maisons ont été proposées en location libre : maisons jumelées le long du boulevard de Fraissinette, maisons en pente en fond de parcelle adossée au talus, maisons patio au cœur de l’îlot. Un nouveau centre nautique sur le secteur Loti Souhaité par les habitants, exemplaire d’une démarche participative de coproduction, le centre nautique Yves Naime a été ouvert à l'été 2013, en remplacement de l'ancienne piscine de la Marandinière. Ce centre nautique comprend un bassin sportif (25m, 6 lignes d'eau), un bassin destiné aux activités ludiques (bains bouillonnants, aquagym...), une pataugoire et des plages extérieures.Grande Marandinière : un secteur d'habitat en développement . Après la démolition de la barre Sisley et celle en cours de la barre Féguide, c'est un nouveau quartier qui se dessine sur ce secteur. La reconfiguration de la rue Sisley en voie de promenade avec des vues en belvédère et l'aménagement d'une « coulée verte » ont profondément modifié le paysage urbain du secteur. Ce nouvel environnement a permis à Métropole Habitat de réaliser un programme immobilier de 27 logements locatifs. Dans ce bâtiment collectif moderne et fonctionnel, chaque logement comporte un espace extérieur privatif, balcon ou terrasse. Au rez-de-chaussée, des locaux d'activités (centre social espace-loisirs) ou de services sont déployés le long de la nouvelle rue Sisley. La Palle : des résidentialisations de qualitéLa résidentialisation des immeubles du boulevard de la Palle apporte aux habitants de nouvelles terrasses privatives en rez-de-chaussée, des espaces en cœur d’îlots plus agréables, et de nouveaux parcours piétonniers avec aires de jeux. Elle s’accompagne de la réhabilitation des immeubles (réfection des façades, changement des garde-corps…). Des opérations de résidentialisation ont été menées immeuble par immeuble de 2006 à 2009. Elles permettent de définir les limites entre les parties publiques ouvertes à tous, et les parties privées. Des petits jardins privatifs sont ainsi aménagés pour chaque logement de rez-de-chaussée.Le Pont Aven : du logement social à haute performance environnementaleDéveloppé par Métropole Habitat, le Pont-Aven est un exemple en matière de construction écologique. Il accueille 20 logements sociaux du T2 au T5. L’ensemble de la conception du bâtiment intègre des critères environnementaux : parois extérieures en brique mono-mur, eau chaude solaire, chauffage collectif au gaz naturel, ventilation intérieure à double flux pour une meilleure circulation de l’air, équipements électriques et sanitaires économes en énergie. La toiture végétalisée permet quant à elle une meilleure conservation de la fraîcheur en été, les auvents du toit protègent les fenêtres du soleil et les eaux de pluie seront récupérées pour arroser les espaces extérieurs…Résultat : une diminution des rejets en CO2 et une baisse significative des charges de chauffage pour les locataires.Favoriser l'accessibilité et les relations inter-quartiers Le réaménagement du boulevard de la Palle a favorisé une meilleure desserte du quartier en transports en commun. Une station de taxis, des pistes cyclables et des pelouses ont été aménagées le long du boulevard, sécurisant ainsi la traversée piétonne entre les terrasses Roinat et le centre hospitalier. A l'intérieur du quartier, la trame piétonnière a été développée dans le principe d'une continuité paysagère entre les différents secteurs. Initiée avec l’aménagement des terrasses Roinat, une coulée verte, nouveau poumon vert du quartier, facilitant la circulation des piétons et des cyclistes, relie désormais le boulevard de la Palle, et plus loin le bois d'Avaize, au Parc de l'Europe. - Après la seconde guerre mondiale, un immense chantier s'ouvre en France dans le but de loger massivement une population démunie, les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre , le film parle de St-Etienne entre autre avec les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée : www.dailymotion.com/video/xgj74q .Jusqu'au milieu des années 1970, cette période dite des « Trente Glorieuses l'après guerre et montre la plupart des grandes réalisations de 1945 à 1960. A travers les exemples de la région parisienne et de quelques grandes villes françaises sont posé les problèmes de la diversité architecturale, de l'esthétique et de l'harmonie entre le passé et l'avenir. Les images montrent les grands ensembles de Beaulieu, la Marandiniére, à Saint-Etienne, la cité le Haut du Lièvre à Nancy, des cités à Sarcelles, Asnières, Bron-Parilly, Epinay, Pantin, Bobigny, la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille, le front de mer à Royan, la video de l'Année 1962, une réalisation de Philippe Brunet içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz » fut le terrain de nombreuses expérimentations architecturales et urbanistiques, fondées notamment sur les idées émises plus tôt dans le siècle par le Mouvement moderne.Aujourd'hui, ces ensembles bâtis sont au cœur d'une autre actualité, liée à leur adaptation à l'évolution des modes de vie de notre société contemporaine. Cette question qui se posa dès la fin des années 1970 apparaît sous un jour nouveau, avec les premières démolitions dans les années 1980 et, plus récemment, le vaste programme de réhabilitation mis en place dans le cadre de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain.Après Les Grands Ensembles. Une histoire qui continue…, ce nouvel ouvrage, fruit de la collaboration entre l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et l'Université Jean Monnet, apporte un éclairage nouveau sur cet héritage bâti, mettant au jour simultanément la question de son vécu et celle des acteurs engagés dans son édification. En réunissant quinze auteurs spécialistes de ce domaine, il s'agit de regrouper autant de points de vue, pour comprendre la diversité et la complexité des enjeux liés à la postérité de ce bâti. - « Petite enquête sur Beaulieu – Le Rond-Point », La Tribune du centre et du sud-est, 13 octobre 1955 et « Le chantier de Beaulieu – Le Rond-Point (1ère tranche) sera terminé le 30 juin 1956 très exactement »,La Tribune du centre & du sud-est, 26 juin 1956 -«St-Etienne, la place des grands ensembles dans l’histoire de l’habitat social français »Saint-Étienne/Beaulieu, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la cité de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 boutiques. Des parrains prestigieux et l’élite de l’architecture sté- phanoise sont mobilisés pour ce premier grand ensemble local.Tantôt les bâtiments suivent le dessin de la courbe de niveau 600, devenue rue Le Corbusier, tantôt ils s’installent perpendi-culairement à la pente, reliés à la rue par des passerelles ou de grands escaliers. A l’implantation exemplaire des bâtiments répond une maîtrise raffinée du végétal d’accompagnement, décliné selon les modes habituels aux squares urbains, avec une virtuosité étonnante dus aux talents de l’ingénieur des Services techniques de la ville, Jean Marc, associé à l’équipe de concep-tion dès l’origine de l’opération.Le vocabulaire de l’art des jardins s’adapte au grand ensemble : les espaces sont découpés à partir des courbes de niveau et des allées, et caractérisés par un système de haies et de contre-haies (haies étagées doubles ou triples) constituées de troènes com-muns ou dorés, prunus, berbéris et buffets de laurier, et sont plantés d arbres rythmés et colorés (érables négundo et acacias), ou parfois fastigiés (la gamme d’arbres est d’ailleurs peu riche), selon un dessin géométrique et des alternances de couleurs. Ces espaces verts ne sont réalisés qu’à partir de 1964, après avoir été longtemps laissés en prairies fauchées. Cet état de fait, dû au départ à l’étirement des financements des projets d’espaces exté-rieurs, s’inscrivait aussi dans la logique de conception de notre ingénieur, qui pensait « qu’il était nécessaire de laisser vivre un groupe d’habitations avant de planter » – afin de reprendre notamment les chemins tracés par l’usage.Cette réalisation révèle le décalage entre les réflexions et les savoir-faire architecturaux et paysagers et exprime quelques traits caractéristiques de la pratique paysagiste. Le festonnage des haies qui jalonne les espaces extérieurs rejoint celui des collines boca- gères surplombant les bâtiments. Il rappelle le site environnant et inspirera plus tard l’AUA et Alexandre Chemetoff pour la réhabilitation du quartier de Montreynaud.Relevons que, sans l’action concertée des services de la ville et de l’office d’HLM, qui finança entièrement la réalisation des espaces verts, rien n’aurait été fait à cette époque, compte tenu du désintérêt pour cet aspect du projet des principaux responsables du chantier. « D’ailleurs, à cette époque, les architectes ne jouaient pas au paysagiste… », queleques superbes videos du Ministere de la Cohésion et des Territoires içi : .Naissance d'une banlieue mort d'un village 2000 www.dailymotion.com/video/x1a98izRéalisateur : Sidney Jézéquel Production : Les Films Roger Leenhardt Sujet : la commune de Goussainville (95) --------Quatre murs et un toit 1953 www.dailymotion.com/video/xk6xui Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) ----------------Le Bonheur est dans le béton www.dailymotion.com/video/x413amo - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie ---------------------Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.--- Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq ----SAINT-ETIENNE BEAULIEU une barre d’habitation innovanteA l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaoniqueLe centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecteDe toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc( l'OPAC l'office public de logements sociaux, devenu plus tard Métropole-Habitat, est la plus importante au niveau National, c'est la plus grosse boite d'HLM). Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanchedans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans laville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :les premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris. Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»L"apres guerre...Que prévoit-on pour la reconstruction? Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
twitter.com/Memoire2cite Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije …
archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ...
museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije Cardem les 60 ans de l'entreprise de démolition française tres prisée des bailleurs pour les 80, 90's (1956 - 2019) toute l'Histoire de l'entreprise içi www.youtube.com/watch?v=Yyf1XGvTZYs - 69 LYON & la Cardem pour la démolition de la barre 230 Quartier la Duchère le 2 juillet 2015, youtu.be/BSwidwLw0NA pic.twitter.com/5XgR8LY7At -34 Béziers - C'était Capendeguy le 27 janv 2008 En quelques secondes, 450 kg d'explosifs ont soufflé la barre HLM de 492 lgts, de 480 m, qui laissera derrière elle 65.000 tonnes de gravas. www.youtube.com/watch?v=rydT54QYX50 … … Les usines Peugeot - Sochaux Montbéliard. 100 ans d'histoire en video www.youtube.com/watch?v=X4w3CxXVAyY … - 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
- Villeneuve-la-Garenne, La Caravelle est à mettre au crédit de Jean Dubuisson, l’un des architectes les plus en vue des années 1960, www.dailymotion.com/video/x1re3h5 via @Dailymotion - AMIENS les HLM C'était le 29 juillet 2010, à 11h02. En quelques secondes, cette tour d'habitation s'est effondrée, détruite par implosion. Construite en 1961, la tour avait été vidée de ses habitants quelques années auparavant. www.youtube.com/watch?v=ajz2xk5KBNo … … - Les habitants de Montreynaud parlent de leur quartier et de cette destruction entre nostalgie et soulagement içi en video www.dailymotion.com/video/xmiwfk - Les bâtiments de la région parisienne - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/CAF96034508/les-batiments-de-la-region-p... … via @Inafr_officiel - Daprinski - George Michael (Plaisir de France remix) www.youtube.com/watch?v=sJeH-nzlj3I
Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … …
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
www.twitter.com/Memoire2cite -😊 Levittown: The Construction and Systematic Execution of Discrimination in Modern Suburbia (NHD 2018) www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M … … 17000 maisons en 2 ans un record dans l histoire des annees 60 @ la grande Acceleration @ Un point de bascule avec le changement de regime d'existence les 30 glorieuses americaine @ la constructions de masse.., ici LEVITTOWN a LONGISLAND, 17000 pavillons en 2 ans un Record...Yes this is it my Our Home Town: Levittown, PA (1954) - www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M les 30 glorieuses atomique @ le projet PLOWSHARE de 1957 LE FILM ICI www.youtube.com/watch?v=kpjFU_kBaBE … STRAUSS le promoteur du nucleaire Americain les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur le developpement solaire... les occasions manquées de soigner notre humanité..www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc … Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015 www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin) www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije Maison de Banlieue et de l'Architecture 41 rue Geneviève Anthonioz De Gaulle, Athis-Mons Mercredi et samedi de 14h à 18h, sauf les 20avril, 1er et 8 mai, 1er juin, 2 et 9 novembre. www.portesessonne.fr/Institution/Toute-l-actu/Sortir-et-D... …
Içi le LOIRET AVEC MONTARGIS @ LES HLM www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ … Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage du basculement dans l’anthropocène de la nature par l’homme.La grande accélération qui fait définitivement basculé le monde dans l'anthropocene(Ère de l'Homme) s'explique pas seulement par la croissançe démographique.. mais par l'incroyable dynamisme des sciençes des techniques, et des talents des Entreprises à vendre leurs produits..les 30 Glorieuses Américaine @ le climatiseur fait son apparition... la promesse de la Maison éléctrique, invite à un confort nouveau...il ne s agissait plus de chauffer les maisons , mais etre capable de les refroidir... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …çe pour que le chauffage,la climatisation et le tout electrique devienne la norme dans le monde, les Industriels de l'elec imposent aux lotissements, le raccordement a l electricite, via des deals avec le BTP, ils signent ainssi la mort de la maison solaire :( les 30 Glorieuses & l'arrivée du Confort Electrique... les industriels de l 'éléctricité çe vendent en inventeur du Futur font barrage a des tas d'autres idees comme la maison tout solaire qui aurai pu avoir toutes ses chances... "When you live , electrik me" veux tout dire ..
… les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur la Maison Solaire... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs.…De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète @ le film içi www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …
…L'homme a mangé la Terre _ 1960 les 30 Glorieuses dans le plastique @ l'Alathon ,le Delrin,le Lucite,le Teflon , les Molécules,la Grande distribution & les hypermarchés,le salon de l 'auto,les arts ménagers,la consommation de masse alimente encore plus fortement les emissions Co2 De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.
Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.
Liaisons dangereuses
En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.
Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! Le lien direct vers le film : cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... … 🎥@Cinematheque42 ▶ içi MONTREYNAUD cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... - Içi
LA COTONNE MONTFERRE cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... bit.ly/2KK0n1D - 69 Vénissieux 1984 Images des Minguettes dans le clip ORIGINAL Envole moi de jean jacques Goldman la V.O. là www.facebook.com/icivenissieux/videos/2042888055963468/ … & clip officiel içi www.youtube.com/watch?v=oltptNDHocw … - Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Structure Couleurs d'une cité provençale en 1975 extrait du film Bâtir mieux plus vite et moins cher @ le BTP en 1975, l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant...Une nouvelle cité provençale ... dai.ly/xyjudq Jacques Tati & la villa Arpel @ le film "mon Oncle"
www.ina.fr/video/R09119655 TURQUIE - Cette ville fantôme a pourrait servir de tournage à un film d'horreur. La commune de Mudurnu, au nord de la Turquie, compte des centaines de répliques de châteaux français tous à l'abandon www.youtube.com/watch?v=qGML4Ej7muM … www.youtube.com/watch?v=U8cFGOnxns4 … Démolition Tour DEF mercredi 23 juin 2010 - Cité Balzac Création artistique autour de la démolition d'un bâtiment. Ce film a été réalisé par les équipes de Plug N' Prod. www.youtube.com/watch?v=L9A_lUN1TPU … 42 - SAINT-ETIENNE LOIRE - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, en 1962, les vues des HLM de RHONE ALPES de PARIS & plus... en FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet
Saint-Etienne l' Extension Marandiniere 1957-59 architecte Jean Farat 42 St-Etienne LOIRE - la Marandiniere les espaces verts @ les 30 G & Jacques SIMON - Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». www.dailymotion.com/video/xgj74q LE FILM 42 - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, 1962, le FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije ,Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! ▶ bit.ly/2KK0n1D la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruite.Le film montre à Strasbourg, Mulhouse, des réalisation moderne de grands ensembles et des images d'archive de la reconstruction du Havre de Saint Nazaire.Le film se termine à Marseille sur les réalisation nouvelles autour du vieux port puis on assiste à l'inauguration de la Cité Radieuse par le ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme Eugène Claudius-Petit en présence de son architecte Le Corbusier à qui le ministre remet la cravate de commandeur de la légion d'honneur. www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695... Mémoire2cité Mémoire2Ville Mémoire de l'Habitat,içi la page listant mes 43 albums photos disponibles, çe x 1000 pour chacuns d'entre eux ..Merci aux 5859 followers qui porte une attention particuliere à nos quartiers..
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruit
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
playground_postcard_milwaukee
Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
mémoire2cité - Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au xixe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme. Ce texte est paru dans le numéro 4 de la revue Jef Klak « Ch’val de Course », printemps-été 2017. La version ici publiée en ligne est une version légèrement remaniée à l’occasion de sa republication dans le magazine Palais no 27 1, paru en juin 2018. la video içi www.youtube.com/watch?v=Uwj1wh5k5PY The concept for adventure playgrounds originated in postwar Europe, after a playground designer found that children had more fun with the trash and rubble left behind by bombings -inventing their own toys and playing with them- than on the conventional equipment of swings and slides. Narrator John Snagge was a well-known voice talent in the UK, working as a newsreader for BBC Radio - jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds/ - www.collectorsweekly.com/articles/chasing-the-vanishing-p... or children, playgrounds are where magic happens. And if you count yourself among Baby Boomers or Gen Xers, you probably have fond memories of high steel jungle gyms and even higher metal slides that squeaked and groaned as you slid down them. The cheerful variety of animals and vehicles on springs gave you plenty of rides to choose from, while a spiral slide, often made of striped panels, was a repeated thrill. When you dismounted from a teeter-totter, you had to be careful not to send your partner crashing to the ground or get hit in the head by your own seat. The tougher, faster kids always pushed the brightly colored merry-go-round, trying to make riders as dizzy as possible. In the same way, you’d dare your sibling or best friend to push you even higher on the swing so your toes could touch the sky. The most exciting playgrounds would take the form of a pirate ship, a giant robot, or a space rocket.
“My husband would look at these big metal things and go, ‘Oh my God, those are the Slides of Death!'” - insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
Today, these objects of happy summers past have nearly disappeared, replaced by newer equipment that’s lower to the ground and made of plastic, painted metal, and sometimes rot-resistant woods like cedar or redwood. The transformation began in 1973, when the U.S. Congress established the Consumer Product Safety Commission, which began tracking playground injuries at hospital emergency rooms. The study led to the publication of the first Handbook for Public Playground Safety in 1981, which signaled the beginning of the end for much of the playground equipment in use. (See the latest PPS handbook here.) Then, the American Society for Testing and Materials created a subcommittee of designers and playground-equipment manufacturers to set safety standards for the whole industry. When they published their guidelines in 1993, they suggested most existing playground surfaces, which were usually asphalt, dirt, or grass, needed to be replaced with pits of wood or rubber mulch or sand, prompting many schools and parks to rip their old playgrounds out entirely.
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
Top: A Space Age rocket-themed playground set by Miracle Playground Equipment, introduced circa 1968, photographed in Burlington, Colorado, in 2009. Above: Two seesaws and a snail-shaped climber, circa 1970s, photographed in Vandergrift, Pennsylvania, in 2007. (Photos by Brenda Biondo)
That said, removing and replacing playground equipment takes money, so a certain amount of vintage playground equipment survived into the next millennium—but it’s vanishing fast. Fortunately, Brenda Biondo, a freelance journalist turned photographer, felt inspired to document these playscapes before they’ve all been melted down. Her photographs capture the sculptural beauty and creativity of the vintage apparatuses, as well as that feeling of nostalgia you get when you see a piece of your childhood. After a decade of hunting down old playgrounds, Biondo published a coffee-table book, 2014’s Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playgrounds, 1920-1975, which includes both her photographs of vintage equipment and pages of old playground catalogs that sold it.
Starting this November, Biondo’s playground photos will hit the road as part of a four-year ExhibitsUSA traveling show, which will also include vintage playground postcards and catalog pages from Biondo’s collection. The show will make stops in smaller museums and history centers around the United States, passing through Temple, Texas; Lincoln, Nebraska; Kansas City, Missouri; and Greenville, South Carolina. Biondo talked to us on the phone from her home in small-town Colorado, where she lives with her husband and children.
This 1975 Miracle catalog page reads, "This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast." (Courtesy of Brenda Biondo)This 1975 Miracle catalog page reads, “This famous Lifetime Whirl has delighted three generations of children and still is a safe, playground favorite. Although it has gone through many improvements many of the original models are still spinning on playgrounds from coast to coast.” (Courtesy of Brenda Biondo)Collectors Weekly: What inspired you to photograph playgrounds?Biondo: In 2004, I happened to be at my local park with my 1-year-old daughter, who was playing in the sandbox. I had just switched careers, from freelance journalism to photography, and I was looking for a starter project. I looked around the playground and thought, “Where is all the equipment that I remember growing up on?” They had new plastic contraptions, but nothing like the big metal slides I grew up with. After that, I started driving around to other playgrounds to see if any of this old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly. That got to me.I felt like somebody should be documenting this equipment, because it was such a big part—and a very good part—of so many people’s childhoods. I couldn’t find anybody else who was documenting it, and I didn’t see any evidence that the Smithsonian was collecting it. As far as I could tell, it was just getting ripped up and sent to the scrap heap. At first, I started traveling around Colorado where I live, visiting playgrounds. Eventually, I took longer trips around the Southwest, and then I started looking for playgrounds whenever I was in any other parts of the country, like around California and the East Coast. It was a long-term project—shot over the course of a decade. And every year that I was shooting, it got harder and harder to find those pieces of old equipment.
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
This merry-go-round, photographed in Cañon City, Colorado, in 2006, is very similar to the Lifetime Whirl above. In the background are a rideable jalopy and animals, including four attached to a teeter-totter. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did you find them?
Biondo: I would just drive around. I started hunting down local elementary schools and main-street playgrounds as well as neighborhood playgrounds. If I had a weekend, I would say, “OK, I’m going to drive from my home three hours east to the Kansas border, stay overnight and drive back.” Along the way, I would stop at every little town that I’d pass. They usually had one tiny main-street playground and one elementary school. I never knew what I was going to find. In a poorer area, a town often doesn’t have much money to replace playground equipment, whereas more affluent areas usually have updated their playgrounds by now. It was a bit of a crap shoot. Sometimes, I’d drive for hours and not really find anything—or I’d find one old playground after the other, because I happened to be in an area where equipment hadn’t been replaced.
I couldn’t get to every state, so I had to shoot where I was. I think there certainly are still old playgrounds out there, especially in small towns. But there’s fewer and fewer of them every year. My book has something like 170 photographs. I would guess that half the equipment pictured is already gone. Sometimes, I’d go back to a playground with a nice piece of equipment a year later to reshoot it, maybe in different lighting or a different season, and so often it had been removed. That pressured me to get out as often as I could because if I waited a few weeks, that piece might not be there anymore.
A 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
a 1911 postcard shows girls playing on an outdoor gymnasium at Mayo Park in Rochester, Minnesota.
Collectors Weekly: What did you learn about playground history?
Biondo: I didn’t know American playgrounds started as part of the social reform or progressive movement of the early 1900s. Reformers hoped to keep poor inner-city immigrant kids safe and out of trouble. Back then, city children were playing in the streets with nothing to do, and when cars became more popular, kids started to get hit by motorists. Child activists started building playgrounds in big cities like Boston, Chicago, and New York as a way to help and protect these kids. These reformers felt they could build model citizens by teaching cooperation and manners through playgrounds. These early main-street parks would also have playground leaders who orchestrated activities such as games and songs.
“I started driving to playgrounds to see if any old equipment still existed. I found very little of it and realized it was disappearing quickly.”
In the late 1800s, Germans developed what they called “sand gardens,” which are just piles of sand where kids can come dig and build things. There were few of those in the United States as well. But by the early 1900s, the emphasis of playgrounds was on the apparatuses, things kids could climb on or swing on.
Soon after I started researching playground history, I happened to stumble on an eBay auction for a 1926 catalog that the playground manufacturers used to send to schools. At that point, I wasn’t thinking of doing a book, but I thought I could do something with it. I won the catalog; I paid, like, $12 for it. And it was so interesting because I could see this vintage equipment when it was brand new and considered modern and advanced. The manufacturers boasted about how safe it was and how it was good for building both muscles and imaginations.
After that, I would always search on eBay for playground catalogs, and I ended up with about three dozen catalogs from different manufacturers. My oldest is 1916, and my newest is from 1975. So I would take a photograph of some type of merry-go-round, and then I might find that same merry-go-round in a 1930 catalog. Often in the book, I pair my picture with the page from the catalog showing when it was first manufactured. I discovered a couple dozen manufacturers, which tended to be located in the bigger industrial areas with steel manufacturing, like Trenton, New Jersey, and Kokomo and Litchfield, Indiana. Pueblo, Colorado, even had a playground manufacturer. Burke and GameTime were big 20th century companies, and actually are among few still in existence.
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
The cover of a 1926 catalog for EverWear Manufacturing Company. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: I recently came across an old metal slide whose steps had the name of the manufacturer, American, forged in openwork letters.
Biondo: I love those. One of the last pages in the book shows treads from six different slides, and they each had the name of their manufacturer in them, including Porter, American, and Burke. One time when I was traveling, I did a quick side trip to a small town with an elementary school. In the parking lot was this old metal slide with the American step treads, lying on its side. You could tell it had just been ripped off out of the concrete, which was still attached to the bottom, and was waiting for the steel recyclers to come and take it away.
I thought, “Oh my gosh, just put it on eBay! Somebody is going to want that. Don’t melt it down.” But nobody thinks about this stuff getting thrown away when it should be preserved. If you go on eBay, you can find a lot of those small animals on springs that little kids ride, because they’re small enough to be shipped. Once I saw someone selling one of those huge rocket ships, which had been dismantled, on eBay, but I don’t know if anybody ever bid on it. It’s rare to see the big stuff, because it is so expensive to ship. It’s like, “What kind of truck do you need to haul this thing away?” I don’t know of anyone who’s collecting those pieces, but I hope somebody is.
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name "American" in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
A metal slide in Victor, Colorado, had step treads with the name “American” in them. Photographed in 2008. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: It seems like an opportunity for both starting a collection or repurposing the material.
Biondo: I photographed many of the apparatuses as if they were sculptures because they have really cool designs and colors. Even when they’re worn down, the exposed layers of paint can be beautiful. Hardly anybody stops to look at it that way. People drive by and think, “Oh, there’s an old, rusty, rundown playground.” But if you take the time to look closely at this stuff, it’s really interesting. Just by looking at these pieces, you can picture all the kids who played on them.
Collectors Weekly: Aren’t people nostalgic for their childhood playgrounds?
Biondo: While I was taking the pictures, I visited Boulder, Colorado, which is a very affluent community. I was sure there would be no old playground equipment there. When I was driving around, all of a sudden, I looked over and saw this huge rocket ship. It turns out that one of the original NASA astronauts, Scott Carpenter, grew up in Boulder, and this playground was built in the ’60s to honor their hometown boy. Because of that, the citizens of Boulder never wanted to take down the rocket ship. One of the first exhibitions of this photography project happened in Boulder, and at the opening, I sold four prints of that rocket ship. People would come up to me at the exhibition, and they’d go, “Oh my gosh, I grew up playing on this when I was a little kid! Now, my kids are playing on it, and I’m so excited that I can get a picture of it and hang it in their bedroom.” So people have a strong nostalgic attachment to this equipment. It’s sad that most of it’s not going to be around for much longer.
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship play set seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
A 1968 Miracle Playground Equipment catalog features the huge rocket-ship playset seen at the top of this story. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Besides slides and animals on springs, what were some other pieces that were common in older playgrounds?
Biondo: I didn’t come across as many old swings as I expected. I thought they would be all over the place, but I guess they’re gone now because they were so easy to replace. I tended to find merry-go-rounds more frequently—you know, the one where you’d run around pushing them and then jump on. When my kids were younger, they’d go out playground hunting with me, and the merry-go-rounds were their favorite things. They’re just so fun. The other thing you don’t find often is the seesaw or teeter-totter, and that was my favorite.The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado's R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
The Karymor Stationary Jingle Ring Outfit appeared in the 1931 playground catalog put out by Pueblo, Colorado’s R.F. Lamar and Co. (Photo by Brenda Biondo)
Before I started this project, I didn’t know there was such a variety of equipment. I figured I’d see seesaws, swings, slides, and merry-go-rounds. But I had no idea there were such things as revolving swings, which would be attached to a spinning pole via outstretched metal arms. Many mid-century pieces had themes from pop culture like “The Wizard of Oz,” “Cinderella,” “Denis the Menace,” cowboys and Indians, and Saturday-morning cartoons. During the Space Age, you started to see pieces of equipment shaped like rocket ships and satellites, because in the ’60s, Americans were so excited about space exploration. What was going on in the broader culture often got reflected in playground equipment.
Pursuing the catalogs was eye-opening. I live about an hour and a half south of Denver, so I often looked for playgrounds around the city. There, I’d find these contraptions where were shaped like umbrella skeletons, but then they had these rings hanging off the spindles. I’ve never seen them outside of Colorado. Then I bought a 1930s catalog from the manufacturer in Pueblo, Colorado, which is only 45 minutes from me, and it featured this apparatus. Later, I met people in Denver who’d say, “Oh, yeah, I remember that thing as a kid. It’s kind of like monkey bars where you had to try and get from ring to ring swinging and hanging by your arms.” There was so much variety, and even so many variations on the basics.I have a cool catalog from 1926 from the manufacturer Mitchell, which doesn’t exist anymore. I looked at one of the contraptions they advertised and I was like, “Oh my God, this looks like a torture device!” It was their own proprietary apparatus and maybe it didn’t prove to be very popular. I had never seen something like that on a playground. There probably weren’t very many of them installed.
This strange Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Brenda Biondo says she's never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
This Climbing Swing from the 1926 Mitchell Manufacturing Company catalog looks a bit like a torture device. Biondo’s never found one in the wild. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: After a while, were you able to date pieces just by looking at them?
Biondo: From looking at the catalogs, I certainly got a better idea of when things were built. But there were a handful things I couldn’t find in the catalogs. You can guess the age by knowing the design, as well as by looking at the amount of wear and the height of the piece. Usually, the taller it was, the older it was. One of the oldest slides I photographed was probably from the ’30s. I climbed to the top to shoot it as if the viewer were going to go down the slide. Up there, the place where you’d sit before sliding had been used for so many years by so many kids that I could see an outline of all the butts worn into the metal. You can imagine all the children who must have gone down that slide to wear the metal down like that.
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
This 1930s-era slide, found in Sargents, Colorado, in 2007, developed a butt-shaped imprint. (Photo by Brenda Biondo)
Collectors Weekly: How did Modernism influence playground design?
Biondo: In 1953, the Museum of Modern Art in New York held a competition for playground design. Modern Art was just getting popular, and the idea of incorporating the theories of Modernist design into utilitarian objects was in the air, and was translated into playgrounds for several years. I have a 1967 catalog that features very abstract playground equipment made from sinuous blobs of poured concrete. And you’ve probably seen some of it, but there’s not too much of that around. That’s another example of how broader cultural trends were reflected in playgrounds.
When most people think of playgrounds, they say, “Oh, that’s a kiddie subject. There’s not much to it.” But when you start looking into them, you realize playgrounds are a fascinating piece of American culture—they go back a hundred years and played a part in most Americans’ lives. These playground pieces are icons of our childhood.
Collectors Weekly:What was the impact of the Consumer Product Safety Commission, which launched in 1973?
Biondo: Things started to change after that, which is why I limited to book to apparatuses made before 1975. New playgrounds were starting to be build out of plastic and fiberglass. I looked up the statistics, and according to the little research I’ve done—contrary to what you’d expect—there’s not much difference in the number of injuries on older equipment versus injuries on equipment today. A “New York Times” article from 2011 called “Can a Playground Be Too Safe?” explains that studies show when playground equipment was really high and just had asphalt underneath it and not seven layers of mulch, thekids knew they had to be careful because they didn’t want to fall. Nowadays, when everything is lower and there’s so much mulch, kids are just used to jumping down and falling and catching themselves. So kids learned to assess risk by playing on the older equipment. They also learned to challenge themselves because it is a little scary to go up to the top of the thing.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
This old postcard of Shawnee Park in Kansas City, Kansas, circa 1912, shows how tall slides could get.
At my local park where you have new equipment, the monkey bars aren’t that high and there’s mulch below it, but a child fell and broke their arm last year. When I was talking to the principal at the school where they had just torn out that old American slide, I asked her, “Why did you replace the equipment?” She said, “We felt the parents in the community were expecting to have a little bit newer and nicer equipment. And this stuff had been here for so long.” And I said, “Have you seen a difference in injury rates since you put up your newer equipment?” She replied, “I’ve been a principal here several years, and we never had a serious broken-bone injury on the playground until four months ago on the new equipment.”
There were some nasty accidents in the ‘60s and ’70s, where kids got their arms or their heads caught in the contraptions. Those issues definitely needed to be assessed. What’s interesting is the Consumer Product Safety Commission never issued requirements, just suggested guidelines. But manufacturers felt that if their equipment didn’t meet those guidelines, they’d be vulnerable to liability. Everybody went to the extreme, making everything super safe so they wouldn’t risk getting sued.A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
A 1970s-era climbing-bar apparatus, photographed in Rocky Ford, Colorado, in 2006. (Photo by Brenda Biondo)
In the last decade, people have been looking at playground-equipment design and trying to make it more challenging and more encouraging of imaginative play, but without making it more likely someone’s going to get injured. And adults, I think, are realizing kids are spending more time indoors on devices so they want to do everything they can to encourage kids to still get outside, run around, and climb on things.
Collectors Weekly: You don’t need a playground to hurt yourself. When I was a kid, I fell off a farm post and broke my arm.Biondo: Oh, yeah, kids have been falling out trees forever—they always want to climb stuff. Playground politics are always evolving. Even in the 1920s, the catalogs talked about how safe their equipment was, and they were selling these 30-foot slides. Sometimes, I’d be out with my family on a vacation, and we’d make a little side tour to look for an old playground to shoot. My husband would look at these big metal things and go, “Oh my God, those are the Slides of Death!” because they were so huge and rickety. But back then, these were very safe pieces of equipment compared to what kids had been playing on before.
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
A page from the 1971 GameTime catalog offering rideable Saddle Mates. (Courtesy of Brenda Biondo)
Collectors Weekly: Growing up in the 1980s, I always hated the new fiberglass slides because I’d end up with all these tiny glass shards in my butt.
Biondo: Yeah, I remember that, too. It’s always something. It is fun to talk to people about playgrounds because it reminds them of all the fun stuff they did as kids. When people see pictures of these metal slides, they tell me, “Oh my gosh, I remember getting such a bad burn from a metal slide one summer!” The metal would get so hot in the sun, and kids would take pieces of wax paper with them to sit on so they’d go flying down the slide. I have some old postcards that show playgrounds from the early ’20s. The wood seesaws not only were huge, but they had no handles so you had hold on to the sides of the board where you sat. I’m looking at that like, “Oh my God!” It’s all relative.
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Kids ride the rocking-boat seesaw at a Milwaukee, Wisconsin, park in this postcard postmarked 1910.
(To see more of Brenda Biondo’s playground photos and vintage catalog pages, pick up a copy of her book, “Once Upon a Playground: A Celebration of Classic American Playground, 1920-1975.” To find an exhibition of Biondo’s playground project, or to bring it to your town, visit the ExhibitsUSA page. To learn more about creative mid-century playgrounds around the globe, also pick up, “The Playground Project” by Xavier Salle and Vincent Romagny.) insh.world/history/playground-equipment-of-yesterday-that...
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www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
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museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije :- que dire de RICARDO BOFFIL Les meilleures balades que j’ai fait autour de Paris je les ai faites dans l’application Plans. Je ne minore pas le rôle de Google Maps, révolution cartographique sans précédent et sans égale, qui aura réalisé nos fantasmes d’Aleph borgesien — l’idée d’un point d’où le monde serait visible en totalité — parachevé Mercator et permis d’explorer des parties du globe inconnues de Cook, Bougainville et Amundsen. Je n’oublie pas non plus cet exercice de cartographie au collège, qui nous avait démontré que nous étions à 3 cartes IGN de la capitale, et que le tissu urbain était de plus en plus serré à mesure que nous avancions vers le nord. Mais Plan possédait une fonctionnalité inédite, le Flyover, technologie à l’origine destinée aux pilotes de chasse, et qui fournissait des rendus 3D spectaculaire des bâtiments survolés — ainsi que des arbres et des déclivités du sol.
On quittait enfin les champs asphyxiants de la photographie aérienne pour des vues à l’oblique des villes visitées : après un siècle d’écrasement — la photographie aérienne est étroitement contemporaine du bombardement aérien — les villes reprenaient enfin de la vigueur et remontaient vers le ciel. J’avais d’ailleurs effectué moi-même une manœuvre de redressement similaire le jour où j’étais parti, à pied depuis Paris, visiter à Nanterre une exposition sur la photographie aérienne. J’étais à la quête des premières vues de Paris qu’avait prises Nadar depuis un ballon captif. À défaut de ces images, définitivement manquantes, j’avais parcouru, après la Grande Arche, les derniers kilomètres de la Voie Royale, cette prodigieuse perspective historique partie du Louvre — rare exemple de frise chronologique implémentée dans une structure urbanistique.
J’avais en réalité un peu dévié de la ligne droite pour aller voir les tours Nuages d’Emile Aillaud, le Facteur Cheval du modernisme, dont je connaissais déjà les autres chefs d’œuvres d'architecture naïve, les nouilles chinoises de Grigny et le spaghetti de Pantin.
C’était précisément l’usage que j’avais fait de l’application Plans : j’étais parti à la recherche de tous les groupements de tour qu’elle m’avait permis d’identifier, sur mon iPad. Je les faisais tourner avec deux doigts, comme un éclaireur qui marcherait autour d’un donjon, avant de les immortaliser, sous leur plus bel angle, par une capture d’écran.Un éclaireur autour d’un donjon : c’était exactement cela, qui m’avait fasciné. Les guerres territoriales entre Les Tarterêts de Corbeil et les Pyramides d’Evry avaient marqué mon enfance. La notion de cité, telle qu’elle avait été définie, à partir des années 80, dans le second âge des grands ensembles, l’âge du déclin, avait conservé un cachet médiéval. Ici, vivaient guetteurs et trafiquants, condottieres à la tête d’une écurie de go-fast et entretenant des chenils remplis de mâtins rares et dangereux. Ici, l’État central ne remplissait plus ses tâches régaliennes, ici la modernité laïque était entrée en crise. Mais ce que j’avais découvert, en collectionnant ces captures d’écran, c’était à quel point l’urbanisme de la banlieue parisienne était, strictement, d’obédience médiévale. On était passé, d’un seul mouvement et sans même s’en rendre compte de Château-Gaillard à la Cité 4000, du Donjon de Vincennes aux tours de Sarcelles, du château de Gisors aux choux fleurs de Créteil.J’ai même retrouvé la colonne détruite du désert de Retz dans le babylonien château d’eau de Noisiel.
Des hauteurs de Rosny à celle de Chanteloup, du plateau de Clichy à la dalle d’Argenteuil, on avait bizarrement livré des pastiches inconscients de la grande architecture militaire médiévales : les environs de Paris s’étaient retrouvés à nouveau fortifiés, la vieille tour de Montlhéry n’était plus solitaire, et même les immeubles de briques rouges qui avaient succédé à l’enceinte de Thiers évoquaient des murailles.
Et ce que j’avais initialement pris pour des anomalies, des accidents malheureux du post-modernisme, les grand ensembles voûtés et cannelés de Ricardo Boffil, étaient peut-être ce qui exprimait le mieux tout cela — ou du moins qui clôturaient avec le génie le plus clair cet âge des grands ensembles.
Car c’était cela, ces Carcassonnes, ces Acropoles, ces Atlandides qui surnageaient avec le plus de conviction au milieu des captures d’écrans de ruines médiévales qui s’accumulaient sur mon bureau.
Si décriées, dès leur construction, pour leur kitch intolérable ces mégastructures me sont soudain apparues comme absolument nécessaires.
Si les Villes Nouvelles n’ont jamais existé, et persisteront dans la mémoire des hommes, elles le doivent à ces rêveries bizarres et grandioses, à ces hybridations impossibles entre les cités idéales de Ledoux et les utopies corbuséennes.
L’Aqueduc de Saint-Quentin-en-Yvelines, les Espaces d’Abraxas à Marne-la-Vallée, les Colonnes de Saint-Christophe à Cergy-Pontoise sont les plus belles ruines du Grand Paris.
www.franceculture.fr/emissions/la-conclusion/ricardo-bofill immerssion dans le monde du logement social, l'univers des logements sociaux, des H.B.M au H.L.M - Retour sur l'histoire du logement collectif d'apres guerre - En Françe, sur l’ensemble du territoire avant, 4 millions d’immeubles étaient vétustes, dont 500.000 à démolir; au total 10% des logements étaient considérés comme insalubres et 40% réputés d’une qualité médiocre, et surpeuplés. C’est pour ces raisons que, à partir de 1954, le Ministre à la Reconstruction et au Logement évalue le besoin en logements à 2.000.660, devenant ainsi une priorité nationale. Quelques années plus tard à l’appel de l’Abbé Pierre, le journaliste Gilbert Mathieu, en avril 1957 publiait dans le quotidien Le Monde une série d’articles sur la situation dramatique du logement : Logement, notre honte et dénonçant le nombre réduit de logements et leur impitoyable état. Robert Doisneau, Banlieue après-guerre, 1943-1949 /Le mandat se veut triple : reconstruire le parc immobilier détruit durant les bombardements essentiellement du printemps/été 1944, faire face à l’essor démographique et enfin résorber l’habitat insalubre notamment les bidonvilles et les cités de transit. Une ambition qui paraît, dès le début, très élevée, associée à l’industrialisation progressive de la nation entre autre celle du secteur de la construction (voir le vidéo de l’INA du 17 juillet 1957 intitulée La crise du logement, un problème national. Cela dit, l’effort pour l’État français était d’une ampleur jamais vue ailleurs. La double nécessité de construire davantage et vite, est en partie la cause de la forme architecturale excentrique qui constituera les Grands Ensembles dans les banlieues françaises. Cinq caractéristiques permettent de mieux comprendre ce terme : la rupture avec le tissu urbain ancien, un minimum de mille logements, une forme collective (tours, barres) de quatre jusqu’à vingt niveaux, la conception d’appartements aménagés et équipés et enfin une gestion destinée pour la plupart à des bailleurs de logement social.
Pour la banlieue parisienne leur localisation s’est opérée majoritairement dans la périphérie, tandis que dans les autres cas, plus de la moitié a été construite dans le centre ville, le plus souvent à la limite des anciens faubourgs.
Architecture d’Aujourd’hui n° 46, 1953 p. 58-55
C’est le triomphe de l’urbanisme fonctionnel et rationaliste cher à Le Corbusier. Entre 1958 et 1973, cent quatre-vingt-quinze Zones à Urbaniser en Priorité (ZUP) sont créées, comprenant deux millions de logements, essentiellement de type populaire en Habitations à Loyer Modéré (HLM), mais pas exclusivement, remplaçant ainsi les anciennes Habitations à Bon Marché (HBM) crées en 1894. Selon le décret du 27 mars 1954 qui en fixe les conditions d’attribution, les bénéficiaires de la législation n’ont pas changé, ce sont toujours des « personnes peu fortunées vivant principalement de leur salaire », selon la loi Strauss de 1906. En 1953, tous les HLM voient leur surface maximale se réduire, en passant de 71 à 65 mètres carrés pour un quatre pièces. L’accès au logement des familles modestes se fera donc au détriment de la qualité et quantité de l’espace habité pour des familles nombreuses. À ce propos, le sociologue Thierry Oblet a bien montré comment se sont articulées les pensées des architectes et des ingénieurs modernistes, avec leur souci planificateur d’un État interventionniste[8] grâce à l’hégémonie du béton, de la ligne droite et de la standardisation de la construction.
Les exemples de cette architecture restent nombreux : de la Cité de 4000 (pour 4000 logements) à la Courneuve en Seine-Saint-Denis (93) aux logements de 15 étages aux balcons pétales, appelés « Chou-fleur » à Créteil en Val-de Marne (94) dessinés au début des années 70 par l’architecte Gérard Grandval. De la Cité des nuages à Nanterre dans les Hauts-de-Seine (92) à la Grande borne construite entre 1967 et 1971 sur le territoire des communes de Grigny et Viry-Châtillon, dans l’Essonne (91) en passant par la Noé à Chanteloup-les-Vignes dans le département des Yvelines (78) scénario du célèbre film La Haine[9] de Kassovits.
Récemment, plusieurs expositions photographiques se sont
concentrées sur cette nouvelle figure de l’urbanisme fonctionnaliste français de l’après-guerre. Par exemple Toit&Moi, 100 ans de logement social (2012), Les Grands ensembles 1960-2010 (2012) produite par l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, selon un projet du Ministère de la Culture et de la Communication. Enfin l’exposition Photographie à l’œuvre, (2011-2012) d’Henri Salesse, photographe du service de l’inventaire du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme et Voyage en périphérie (2012) de Cyrus Cornut.
Il s’agissait là non seulement d’un progrès matériel, mais aussi démocratique, donnant ainsi à chaque citoyen, la possibilité d’accéder à son petit appartement doté de tous les conforts de l’époque. La recherche d’économie et de rapidité dans la conduite des chantiers portent à l’utilisation du béton comme matériel privilégié et à des plans architecturaux aussi simples que possible avec la réalisation de logements standardisés, dont les barres et les tours deviennent les figures principales : Au mitan des années cinquante, apparurent d’étranges formes urbaines. Des immeubles d’habitation de plus en plus longs et de plus en plus hauts, assemblés en blocs qui ne s’intégraient pas aux villes existantes. Ces blocs s’en différenciaient ostensiblement et parfois comme systématiquement, s’en isolaient. Ils semblaient faire ville à part. Surtout ils ne ressemblaient pas à ce qu’on avait l’habitude d’appeler ville. Et leur architecture aussi, qui était tellement déroutante. On les a nommés » grands ensembles. Cité de l’Abreuvoir, Bobigny (93), 2003 (Inventaire général du Patrimoine, Région Ile de France / Stéphane Asseline)
Bref, entre 1946 et 1975 le parc immobilier français passe de 12,7 millions à 21 millions de logements. Environ 8 millions de ceux-ci sont neufs, construits entre 1953-1975 – dont la moitié sous forme de grands ensembles – et près de 80 % des logements grâce à une aide de l’État avec des crédits publics. Le nombre de logements sociaux passe de moins de 500.000 à près de 3 millions, dont 43 % en région parisienne, où la demande est la plus forte[11]. Ce qui témoigne d’un effort énorme. Secrétariat d’État à la Reconstruction et au Logement, Supplément du logement en 1954, cité par Bachmann, C. Le Guennec, N., Violences urbaines…Op.cit, p.24. Alors que l’hiver 1954 est particulièrement rigoureux, l’abbé Pierre lance un appel en faveur des sans-logis et déshérités et organise des collectes de vêtements et de nourriture pour les plus démunis. Cela nous rappelle également que les inégalités sociales restaient particulièrement importantes à l’époque, malgré les débuts de la croissance économique, et que la crise du logement n’était pas encore complètement résolue. Danièle Voldman, La reconstruction des villes françaises de 1940 à 1954 : histoire d’une politique, Paris, L’Harmattan, 1997. Les Actualités françaises, La crise du logement, un problème national, 17 juillet, 1957, in fresques.ina.fr/…/la-crise-du-logement-un-probleme-n…, consulté le 20/02/2014. C’est l’urbaniste Marcel Rotival dans un numéro d’Architecture d’Aujourd’hui de juin 1935 (vol.1, n°6, juin 1935, p.57) qui propose pour la première fois cette terminologie pour désigner les Habitations à Bon Marché (HBM) et leur transformation en Habitations à Loyer Modéré (HLM), par la loi du 21 juillet 1951: « Nous espérons, un jour, sortir des villes comme Paris, non seulement par l’avenue des Champs Elysées, la seule réalisation de tenue sans laquelle Paris n’existerait pas, mais sortir par Belleville, par Charonne, par Bobigny, etc., et trouver harmonieusement disposés le long de larges autostrades, au milieu de grands espaces boisés, de parcs, de stades, de grandes cités claires, bien orientées, lumineusement éclairées par le soleil. » Largement reprise depuis les années 1950 dans le jargon administratif et public, elle apparaît pour la première fois dans un texte officiel qu’en 1973 avec la Circulaire Guichard, alors Ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Equipement, du Logement et du tourisme. Celui-ci met un terme à la politique initiée après-guerre afin « d’empêcher la réalisation des formes d’urbanisation désignées généralement sous le nom de “grands ensembles”, peu conforme aux aspirations des habitants et sans justification économique sérieuse ». Paradoxalement, le terme de grands ensembles s’officialise donc au moment même où ils son mis en question. ZUP est un acronyme qui signifie Zone à Urbaniser en Priorité. Elles ont été créées par le décret N°58-1464 du 31 décembre 1958, afin de planifier et d’encadrer sur le territoire national, le développement urbain pour répondre à la carence de logements face à l’accroissement démographique et favoriser enfin la résorption de l’habitat insalubre. Oblet, Thierry, Gouverner la ville. Les voies urbaines de la démocratie moderne, Paris, PUF, 2003. En particulier par l’intermédiaire de la Société centrale de construction et de la Société centrale pour l’équipement du territoire, créées au milieu des années 1950 en tant que filiales de la Caisse des dépôts et consignations.
Kassovitz, Mathieu, La Haine, France, 1995.
Cornu, Marcel, Libérer la ville, Bruxelles, Casterman, 1977, p.60. Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015
www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin)
www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...
42 LOIRE ST-ETIENNE MONTREYNAUD tout une histoire youtu.be/ietu6yPB5KQ - Mascovich & la tour de Montreynaud www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE … -Travaux dalle du Forum à Montreynaud Saint-Etienne www.youtube.com/watch?v=0WaFbrBEfU4 … & içi www.youtube.com/watch?v=aHnT_I5dEyI … - et fr3 là www.youtube.com/watch?v=hCsXNOMRWW4 … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline et sur les pentes de cette colline s’accroche une petite ville, un quartier, un peu à part. Cet endroit niché au milieu de la verdure, c’est le quartier de Montreynaud. www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo&fbclid=IwAR2ALN4d... …Et sinon, avez-vous remarqué au dessus du P de AGIP ? On voit, dans le film, la Tour Réservoir Plein Ciel du quartier de Montreynaud, détruite 3 ans plus tard par foudroyage ! Sûr que @Memoire2cite a des photos du quartier et de la tout à l'époque ! ;-) 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
twitter.com/Memoire2cite Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.l'UNION SOCIALE POUR L HABITAT fete ses 90 ans "TOUT savoir tout voir, tout connaitre, sur le LOGEMENT SOCIAL des HLM aux HBM avec le Musée HLM" en ligne sur le WEB içi www.banquedesterritoires.fr/lunion-sociale-pour-lhabitat-... … De grandes barres d’immeubles, appelées les grands ensembles, sont le symbole de nos banlieues. Entrée Libre revient sur le phénomène de destruction de ces bâtiments qui reflètent aujourd’hui la misere www.youtube.com/watch?v=mCqHBP5SBiM twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije …
archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ...
museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije :- que dire de RICARDO BOFFIL Les meilleures balades que j’ai fait autour de Paris je les ai faites dans l’application Plans. Je ne minore pas le rôle de Google Maps, révolution cartographique sans précédent et sans égale, qui aura réalisé nos fantasmes d’Aleph borgesien — l’idée d’un point d’où le monde serait visible en totalité — parachevé Mercator et permis d’explorer des parties du globe inconnues de Cook, Bougainville et Amundsen. Je n’oublie pas non plus cet exercice de cartographie au collège, qui nous avait démontré que nous étions à 3 cartes IGN de la capitale, et que le tissu urbain était de plus en plus serré à mesure que nous avancions vers le nord. Mais Plan possédait une fonctionnalité inédite, le Flyover, technologie à l’origine destinée aux pilotes de chasse, et qui fournissait des rendus 3D spectaculaire des bâtiments survolés — ainsi que des arbres et des déclivités du sol.
On quittait enfin les champs asphyxiants de la photographie aérienne pour des vues à l’oblique des villes visitées : après un siècle d’écrasement — la photographie aérienne est étroitement contemporaine du bombardement aérien — les villes reprenaient enfin de la vigueur et remontaient vers le ciel. J’avais d’ailleurs effectué moi-même une manœuvre de redressement similaire le jour où j’étais parti, à pied depuis Paris, visiter à Nanterre une exposition sur la photographie aérienne. J’étais à la quête des premières vues de Paris qu’avait prises Nadar depuis un ballon captif. À défaut de ces images, définitivement manquantes, j’avais parcouru, après la Grande Arche, les derniers kilomètres de la Voie Royale, cette prodigieuse perspective historique partie du Louvre — rare exemple de frise chronologique implémentée dans une structure urbanistique.
J’avais en réalité un peu dévié de la ligne droite pour aller voir les tours Nuages d’Emile Aillaud, le Facteur Cheval du modernisme, dont je connaissais déjà les autres chefs d’œuvres d'architecture naïve, les nouilles chinoises de Grigny et le spaghetti de Pantin.
C’était précisément l’usage que j’avais fait de l’application Plans : j’étais parti à la recherche de tous les groupements de tour qu’elle m’avait permis d’identifier, sur mon iPad. Je les faisais tourner avec deux doigts, comme un éclaireur qui marcherait autour d’un donjon, avant de les immortaliser, sous leur plus bel angle, par une capture d’écran.Un éclaireur autour d’un donjon : c’était exactement cela, qui m’avait fasciné. Les guerres territoriales entre Les Tarterêts de Corbeil et les Pyramides d’Evry avaient marqué mon enfance. La notion de cité, telle qu’elle avait été définie, à partir des années 80, dans le second âge des grands ensembles, l’âge du déclin, avait conservé un cachet médiéval. Ici, vivaient guetteurs et trafiquants, condottieres à la tête d’une écurie de go-fast et entretenant des chenils remplis de mâtins rares et dangereux. Ici, l’État central ne remplissait plus ses tâches régaliennes, ici la modernité laïque était entrée en crise. Mais ce que j’avais découvert, en collectionnant ces captures d’écran, c’était à quel point l’urbanisme de la banlieue parisienne était, strictement, d’obédience médiévale. On était passé, d’un seul mouvement et sans même s’en rendre compte de Château-Gaillard à la Cité 4000, du Donjon de Vincennes aux tours de Sarcelles, du château de Gisors aux choux fleurs de Créteil.J’ai même retrouvé la colonne détruite du désert de Retz dans le babylonien château d’eau de Noisiel.
Des hauteurs de Rosny à celle de Chanteloup, du plateau de Clichy à la dalle d’Argenteuil, on avait bizarrement livré des pastiches inconscients de la grande architecture militaire médiévales : les environs de Paris s’étaient retrouvés à nouveau fortifiés, la vieille tour de Montlhéry n’était plus solitaire, et même les immeubles de briques rouges qui avaient succédé à l’enceinte de Thiers évoquaient des murailles.
Et ce que j’avais initialement pris pour des anomalies, des accidents malheureux du post-modernisme, les grand ensembles voûtés et cannelés de Ricardo Boffil, étaient peut-être ce qui exprimait le mieux tout cela — ou du moins qui clôturaient avec le génie le plus clair cet âge des grands ensembles.
Car c’était cela, ces Carcassonnes, ces Acropoles, ces Atlandides qui surnageaient avec le plus de conviction au milieu des captures d’écrans de ruines médiévales qui s’accumulaient sur mon bureau.
Si décriées, dès leur construction, pour leur kitch intolérable ces mégastructures me sont soudain apparues comme absolument nécessaires.
Si les Villes Nouvelles n’ont jamais existé, et persisteront dans la mémoire des hommes, elles le doivent à ces rêveries bizarres et grandioses, à ces hybridations impossibles entre les cités idéales de Ledoux et les utopies corbuséennes.
L’Aqueduc de Saint-Quentin-en-Yvelines, les Espaces d’Abraxas à Marne-la-Vallée, les Colonnes de Saint-Christophe à Cergy-Pontoise sont les plus belles ruines du Grand Paris.
www.franceculture.fr/emissions/la-conclusion/ricardo-bofill immerssion dans le monde du logement social, l'univers des logements sociaux, des H.B.M au H.L.M - Retour sur l'histoire du logement collectif d'apres guerre - En Françe, sur l’ensemble du territoire avant, 4 millions d’immeubles étaient vétustes, dont 500.000 à démolir; au total 10% des logements étaient considérés comme insalubres et 40% réputés d’une qualité médiocre, et surpeuplés. C’est pour ces raisons que, à partir de 1954, le Ministre à la Reconstruction et au Logement évalue le besoin en logements à 2.000.660, devenant ainsi une priorité nationale. Quelques années plus tard à l’appel de l’Abbé Pierre, le journaliste Gilbert Mathieu, en avril 1957 publiait dans le quotidien Le Monde une série d’articles sur la situation dramatique du logement : Logement, notre honte et dénonçant le nombre réduit de logements et leur impitoyable état. Robert Doisneau, Banlieue après-guerre, 1943-1949 /Le mandat se veut triple : reconstruire le parc immobilier détruit durant les bombardements essentiellement du printemps/été 1944, faire face à l’essor démographique et enfin résorber l’habitat insalubre notamment les bidonvilles et les cités de transit. Une ambition qui paraît, dès le début, très élevée, associée à l’industrialisation progressive de la nation entre autre celle du secteur de la construction (voir le vidéo de l’INA du 17 juillet 1957 intitulée La crise du logement, un problème national. Cela dit, l’effort pour l’État français était d’une ampleur jamais vue ailleurs. La double nécessité de construire davantage et vite, est en partie la cause de la forme architecturale excentrique qui constituera les Grands Ensembles dans les banlieues françaises. Cinq caractéristiques permettent de mieux comprendre ce terme : la rupture avec le tissu urbain ancien, un minimum de mille logements, une forme collective (tours, barres) de quatre jusqu’à vingt niveaux, la conception d’appartements aménagés et équipés et enfin une gestion destinée pour la plupart à des bailleurs de logement social.
Pour la banlieue parisienne leur localisation s’est opérée majoritairement dans la périphérie, tandis que dans les autres cas, plus de la moitié a été construite dans le centre ville, le plus souvent à la limite des anciens faubourgs.
Architecture d’Aujourd’hui n° 46, 1953 p. 58-55
C’est le triomphe de l’urbanisme fonctionnel et rationaliste cher à Le Corbusier. Entre 1958 et 1973, cent quatre-vingt-quinze Zones à Urbaniser en Priorité (ZUP) sont créées, comprenant deux millions de logements, essentiellement de type populaire en Habitations à Loyer Modéré (HLM), mais pas exclusivement, remplaçant ainsi les anciennes Habitations à Bon Marché (HBM) crées en 1894. Selon le décret du 27 mars 1954 qui en fixe les conditions d’attribution, les bénéficiaires de la législation n’ont pas changé, ce sont toujours des « personnes peu fortunées vivant principalement de leur salaire », selon la loi Strauss de 1906. En 1953, tous les HLM voient leur surface maximale se réduire, en passant de 71 à 65 mètres carrés pour un quatre pièces. L’accès au logement des familles modestes se fera donc au détriment de la qualité et quantité de l’espace habité pour des familles nombreuses. À ce propos, le sociologue Thierry Oblet a bien montré comment se sont articulées les pensées des architectes et des ingénieurs modernistes, avec leur souci planificateur d’un État interventionniste[8] grâce à l’hégémonie du béton, de la ligne droite et de la standardisation de la construction.
Les exemples de cette architecture restent nombreux : de la Cité de 4000 (pour 4000 logements) à la Courneuve en Seine-Saint-Denis (93) aux logements de 15 étages aux balcons pétales, appelés « Chou-fleur » à Créteil en Val-de Marne (94) dessinés au début des années 70 par l’architecte Gérard Grandval. De la Cité des nuages à Nanterre dans les Hauts-de-Seine (92) à la Grande borne construite entre 1967 et 1971 sur le territoire des communes de Grigny et Viry-Châtillon, dans l’Essonne (91) en passant par la Noé à Chanteloup-les-Vignes dans le département des Yvelines (78) scénario du célèbre film La Haine[9] de Kassovits.
Récemment, plusieurs expositions photographiques se sont
concentrées sur cette nouvelle figure de l’urbanisme fonctionnaliste français de l’après-guerre. Par exemple Toit&Moi, 100 ans de logement social (2012), Les Grands ensembles 1960-2010 (2012) produite par l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, selon un projet du Ministère de la Culture et de la Communication. Enfin l’exposition Photographie à l’œuvre, (2011-2012) d’Henri Salesse, photographe du service de l’inventaire du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme et Voyage en périphérie (2012) de Cyrus Cornut.
Il s’agissait là non seulement d’un progrès matériel, mais aussi démocratique, donnant ainsi à chaque citoyen, la possibilité d’accéder à son petit appartement doté de tous les conforts de l’époque. La recherche d’économie et de rapidité dans la conduite des chantiers portent à l’utilisation du béton comme matériel privilégié et à des plans architecturaux aussi simples que possible avec la réalisation de logements standardisés, dont les barres et les tours deviennent les figures principales : Au mitan des années cinquante, apparurent d’étranges formes urbaines. Des immeubles d’habitation de plus en plus longs et de plus en plus hauts, assemblés en blocs qui ne s’intégraient pas aux villes existantes. Ces blocs s’en différenciaient ostensiblement et parfois comme systématiquement, s’en isolaient. Ils semblaient faire ville à part. Surtout ils ne ressemblaient pas à ce qu’on avait l’habitude d’appeler ville. Et leur architecture aussi, qui était tellement déroutante. On les a nommés » grands ensembles. Cité de l’Abreuvoir, Bobigny (93), 2003 (Inventaire général du Patrimoine, Région Ile de France / Stéphane Asseline)
Bref, entre 1946 et 1975 le parc immobilier français passe de 12,7 millions à 21 millions de logements. Environ 8 millions de ceux-ci sont neufs, construits entre 1953-1975 – dont la moitié sous forme de grands ensembles – et près de 80 % des logements grâce à une aide de l’État avec des crédits publics. Le nombre de logements sociaux passe de moins de 500.000 à près de 3 millions, dont 43 % en région parisienne, où la demande est la plus forte[11]. Ce qui témoigne d’un effort énorme. Secrétariat d’État à la Reconstruction et au Logement, Supplément du logement en 1954, cité par Bachmann, C. Le Guennec, N., Violences urbaines…Op.cit, p.24. Alors que l’hiver 1954 est particulièrement rigoureux, l’abbé Pierre lance un appel en faveur des sans-logis et déshérités et organise des collectes de vêtements et de nourriture pour les plus démunis. Cela nous rappelle également que les inégalités sociales restaient particulièrement importantes à l’époque, malgré les débuts de la croissance économique, et que la crise du logement n’était pas encore complètement résolue. Danièle Voldman, La reconstruction des villes françaises de 1940 à 1954 : histoire d’une politique, Paris, L’Harmattan, 1997. Les Actualités françaises, La crise du logement, un problème national, 17 juillet, 1957, in fresques.ina.fr/…/la-crise-du-logement-un-probleme-n…, consulté le 20/02/2014. C’est l’urbaniste Marcel Rotival dans un numéro d’Architecture d’Aujourd’hui de juin 1935 (vol.1, n°6, juin 1935, p.57) qui propose pour la première fois cette terminologie pour désigner les Habitations à Bon Marché (HBM) et leur transformation en Habitations à Loyer Modéré (HLM), par la loi du 21 juillet 1951: « Nous espérons, un jour, sortir des villes comme Paris, non seulement par l’avenue des Champs Elysées, la seule réalisation de tenue sans laquelle Paris n’existerait pas, mais sortir par Belleville, par Charonne, par Bobigny, etc., et trouver harmonieusement disposés le long de larges autostrades, au milieu de grands espaces boisés, de parcs, de stades, de grandes cités claires, bien orientées, lumineusement éclairées par le soleil. » Largement reprise depuis les années 1950 dans le jargon administratif et public, elle apparaît pour la première fois dans un texte officiel qu’en 1973 avec la Circulaire Guichard, alors Ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Equipement, du Logement et du tourisme. Celui-ci met un terme à la politique initiée après-guerre afin « d’empêcher la réalisation des formes d’urbanisation désignées généralement sous le nom de “grands ensembles”, peu conforme aux aspirations des habitants et sans justification économique sérieuse ». Paradoxalement, le terme de grands ensembles s’officialise donc au moment même où ils son mis en question. ZUP est un acronyme qui signifie Zone à Urbaniser en Priorité. Elles ont été créées par le décret N°58-1464 du 31 décembre 1958, afin de planifier et d’encadrer sur le territoire national, le développement urbain pour répondre à la carence de logements face à l’accroissement démographique et favoriser enfin la résorption de l’habitat insalubre. Oblet, Thierry, Gouverner la ville. Les voies urbaines de la démocratie moderne, Paris, PUF, 2003. En particulier par l’intermédiaire de la Société centrale de construction et de la Société centrale pour l’équipement du territoire, créées au milieu des années 1950 en tant que filiales de la Caisse des dépôts et consignations.
Kassovitz, Mathieu, La Haine, France, 1995.
Cornu, Marcel, Libérer la ville, Bruxelles, Casterman, 1977, p.60. Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015
www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin)
www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...
42 LOIRE ST-ETIENNE MONTREYNAUD tout une histoire youtu.be/ietu6yPB5KQ - Mascovich & la tour de Montreynaud www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE … -Travaux dalle du Forum à Montreynaud Saint-Etienne www.youtube.com/watch?v=0WaFbrBEfU4 … & içi www.youtube.com/watch?v=aHnT_I5dEyI … - et fr3 là www.youtube.com/watch?v=hCsXNOMRWW4 … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline et sur les pentes de cette colline s’accroche une petite ville, un quartier, un peu à part. Cet endroit niché au milieu de la verdure, c’est le quartier de Montreynaud. www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo&fbclid=IwAR2ALN4d... …Et sinon, avez-vous remarqué au dessus du P de AGIP ? On voit, dans le film, la Tour Réservoir Plein Ciel du quartier de Montreynaud, détruite 3 ans plus tard par foudroyage ! Sûr que @Memoire2cite a des photos du quartier et de la tout à l'époque ! ;-) 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
- Que de chemin parcouru, Muraille de Chine La Palle Beaulieu jusqu'aux années 90. L habitat se transforme et s adapte aux nouveaux besoins. Autre temps, période d'essor économique et du "vivre ensemble". Merci à @Memoire2cite pour cette introspection du passé! -
www.twitter.com/Memoire2cite -😊 Levittown: The Construction and Systematic Execution of Discrimination in Modern Suburbia (NHD 2018) www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M … … 17000 maisons en 2 ans un record dans l histoire des annees 60 @ la grande Acceleration @ Un point de bascule avec le changement de regime d'existence les 30 glorieuses americaine @ la constructions de masse.., ici LEVITTOWN a LONGISLAND, 17000 pavillons en 2 ans un Record...Yes this is it my Our Home Town: Levittown, PA (1954) - www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M les 30 glorieuses atomique @ le projet PLOWSHARE de 1957 LE FILM ICI www.youtube.com/watch?v=kpjFU_kBaBE … STRAUSS le promoteur du nucleaire Americain les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur le developpement solaire... les occasions manquées de soigner notre humanité..www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc … Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015 www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin) www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije Maison de Banlieue et de l'Architecture 41 rue Geneviève Anthonioz De Gaulle, Athis-Mons Mercredi et samedi de 14h à 18h, sauf les 20avril, 1er et 8 mai, 1er juin, 2 et 9 novembre. www.portesessonne.fr/Institution/Toute-l-actu/Sortir-et-D... …
Içi le LOIRET AVEC MONTARGIS @ LES HLM www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ … Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage du basculement dans l’anthropocène de la nature par l’homme.La grande accélération qui fait définitivement basculé le monde dans l'anthropocene(Ère de l'Homme) s'explique pas seulement par la croissançe démographique.. mais par l'incroyable dynamisme des sciençes des techniques, et des talents des Entreprises à vendre leurs produits..les 30 Glorieuses Américaine @ le climatiseur fait son apparition... la promesse de la Maison éléctrique, invite à un confort nouveau...il ne s agissait plus de chauffer les maisons , mais etre capable de les refroidir... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …çe pour que le chauffage,la climatisation et le tout electrique devienne la norme dans le monde, les Industriels de l'elec imposent aux lotissements, le raccordement a l electricite, via des deals avec le BTP, ils signent ainssi la mort de la maison solaire :( les 30 Glorieuses & l'arrivée du Confort Electrique... les industriels de l 'éléctricité çe vendent en inventeur du Futur font barrage a des tas d'autres idees comme la maison tout solaire qui aurai pu avoir toutes ses chances... "When you live , electrik me" veux tout dire ..
… les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur la Maison Solaire... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs.…De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète @ le film içi www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …
…L'homme a mangé la Terre _ 1960 les 30 Glorieuses dans le plastique @ l'Alathon ,le Delrin,le Lucite,le Teflon , les Molécules,la Grande distribution & les hypermarchés,le salon de l 'auto,les arts ménagers,la consommation de masse alimente encore plus fortement les emissions Co2 De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.
Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.
Liaisons dangereuses
En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.
Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! Le lien direct vers le film : cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... … 🎥@Cinematheque42 ▶ içi MONTREYNAUD cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... - Içi
LA COTONNE MONTFERRE cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... bit.ly/2KK0n1D - 69 Vénissieux 1984 Images des Minguettes dans le clip ORIGINAL Envole moi de jean jacques Goldman la V.O. là www.facebook.com/icivenissieux/videos/2042888055963468/ … & clip officiel içi www.youtube.com/watch?v=oltptNDHocw … - Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Structure Couleurs d'une cité provençale en 1975 extrait du film Bâtir mieux plus vite et moins cher @ le BTP en 1975, l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant...Une nouvelle cité provençale ... dai.ly/xyjudq Jacques Tati & la villa Arpel @ le film "mon Oncle"
www.ina.fr/video/R09119655 TURQUIE - Cette ville fantôme a pourrait servir de tournage à un film d'horreur. La commune de Mudurnu, au nord de la Turquie, compte des centaines de répliques de châteaux français tous à l'abandon www.youtube.com/watch?v=qGML4Ej7muM … www.youtube.com/watch?v=U8cFGOnxns4 … Démolition Tour DEF mercredi 23 juin 2010 - Cité Balzac Création artistique autour de la démolition d'un bâtiment. Ce film a été réalisé par les équipes de Plug N' Prod. www.youtube.com/watch?v=L9A_lUN1TPU … 42 - SAINT-ETIENNE LOIRE - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, en 1962, les vues des HLM de RHONE ALPES de PARIS & plus... en FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet
Saint-Etienne l' Extension Marandiniere 1957-59 architecte Jean Farat 42 St-Etienne LOIRE - la Marandiniere les espaces verts @ les 30 G & Jacques SIMON - Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». www.dailymotion.com/video/xgj74q LE FILM 42 - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, 1962, le FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije ,Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! ▶ bit.ly/2KK0n1D la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruite.Le film montre à Strasbourg, Mulhouse, des réalisation moderne de grands ensembles et des images d'archive de la reconstruction du Havre de Saint Nazaire.Le film se termine à Marseille sur les réalisation nouvelles autour du vieux port puis on assiste à l'inauguration de la Cité Radieuse par le ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme Eugène Claudius-Petit en présence de son architecte Le Corbusier à qui le ministre remet la cravate de commandeur de la légion d'honneur. www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695... Mémoire2cité Mémoire2Ville Mémoire de l'Habitat,içi la page listant mes 43 albums photos disponibles, çe x 1000 pour chacuns d'entre eux ..Merci aux 5859 followers qui porte une attention particuliere à nos quartiers..
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruit
Mémoire2cité c est aussi la musique @ Cadeau la REVUE DETAIILLE DES BEST OF 12 INCH GOLD DISCO FUNK COMPILATION 90S www.discogs.com/label/433949-Best-Of-12-Inch-Gold
A1 Booker Newberry III– Love Town
Producer – Bobby Eli
Producer – Bobby Eli
A2 Band AKA– Joy
A3 Aretha Franklin– Get It Right
Producer – Luther Vandross
Producer – Luther Vandross
A4 Jeffrey Osborne– Stay With Me Tonight
Producer – George Duke
Producer – George Duke
B1 Kenny G (2)– Hi, How Ya Doin'
Producer – Wayne Brathwaite
Producer – Wayne Brathwaite
B2 Terri Wells– I'll Be Around
Producer – Nick Martinelli
Producer – Nick Martinelli
B3 The O'Jays– Extraordinary Girl
Producer – Gamble & Huff
Producer – Gamble & Huff
B4 Atlantic Starr– Silver Shadow The Whispers– And The Beat Goes On 6:43
A2 Bobby Thurston– Check Out The Groove 7:29
A3 One Way Featuring Al Hudson– Music 7:14
A4 Linx– You're Lying 6:36
B1 Brothers Johnson– Stomp 6:22
B2 Earth, Wind & Fire– Star 4:26
B3 Herbie Hancock– You Bet Your Love 8:10
B4 Dynasty– I Don't Wanna Be A Freak (But I Can't Help Myself) 7:14 Earth, Wind & Fire– Let's Groove 6:51
A2 Evelyn King– I'm In Love 5:56
A3 Quincy Jones– Ai No Corrida 6:27
A4 Rodney Franklin– The Groove 3:33
B1 Tom Browne– Funkin' For Jamaica (N.Y.) 4:42
B2 Yarbrough & Peoples– Don't Stop The Music 7:53
B3 Frantique– Strut Your Funky Stuff 5:48
B4 Leon Haywood– Don't Push It, Don't Force It
The Whispers– It's A Love Thing
Written-By – D. Meyers*, W. Shelby*
Written-By – D. Meyers*, W. Shelby*
5:06
A2 Aretha Franklin– Jump To It 6:33
A3 Shalamar– I Can Make You Feel Good 4:20
A4 The O'Jays– Put Our Heads Together 7:01
B1 Earth, Wind & Fire– I've Had Enough 4:34
B2 Evelyn King– Love Come Down 6:09
B3 Oliver Cheatham– Get Down Saturday Night 7:33
B4 Manhattans– Crazy
A1 Gwen Guthrie– (They Long To Be) Close To You 7:14
A2 Terri Wells– You Make It Heaven 5:30
A3 Billy Griffin– Serious 5:00
A4 Jeffrey Osborne– On The Wings Of Love 4:01
B1 Earth, Wind & Fire– After The Love Has Gone 4:31
B2 Atlantic Starr– Secret Lovers 5:28
B3 Champaign– How 'Bout Us 4:34
B4 The S.O.S. Band– Weekend Girl
Mai Tai History
–Loose Ends Hanging On A String (Contemplating)
–52nd Street Tell Me (How It Feels)
–Ca$hflow Mine All Mine
–Gwen Guthrie Ain't Nothin' Goin' On But The Rent
–Total Contrast Takes A Little Time
–René & Angela I'll Be Good
–Aurra You And Me Tonight
A1 Band AKA– Grace 6:23
A2 Second Image– Can't Keep Holding On 4:30
A3 Billy Griffin– Hold Me Tighter In The Rain 5:30
A4 Shakatak– Night Birds 6:19
B1 Sharon Brown– I Specialize In Love 7:15
B2 Vicky D*– This Beat Is Mine 5:53
B3 Howard Johnson– So Fine 5:28
B4 The Jones Girls– Nights Over Egypt 4:38
Earth, Wind & Fire With The Emotions– Boogie Wonderland 8:21
A2 G.Q.*– Disco Nights (Rock Freak) 5:51
A3 Al Hudson & The Partners– You Can Do It 7:03
A4 Herbie Hancock– I Thought It Was You 8:56
B1 Crusaders*– Street Life 7:49
B2 Phyllis Hyman– You Know How To Love Me 7:34
B3 Isley Brothers*– It's A Disco Night (Rock Don't Stop) 8:54
B4 Quincy Jones– Stuff Like That
Masquer crédits
A1 Isley Jasper Isley– Caravan Of Love
Written-By – C. Jasper*, E. Isley*, M. Isley*
Written-By – C. Jasper*, E. Isley*, M. Isley*
5:43
A2 Heatwave– Always And Forever
Written-By – R. Temperton*
Written-By – R. Temperton*
6:14
A3 M'tume*– Juicy Fruit
Written-By – M'tume*
Written-By – M'tume*
7:03
A4 Marvin Gaye– (Sexual) Healing
Written-By – D. Ritz*, M. Gaye*, O. Brown*
Written-By – D. Ritz*, M. Gaye*, O. Brown*
4:50
B1 Billy Paul– Let's Make A Baby
Written-By – Gamble/Huff*
Written-By – Gamble/Huff*
7:11
B2 Carl Anderson– Buttercup
Written-By – S. Wonder*
Written-By – S. Wonder*
4:19
B3 Nicole* With Timmy Thomas– New York Eyes
Written-By – Timmy Thomas
Written-By – Timmy Thomas
5:38
B4 S.O.S. Band*– Just Be Good To Me
Written-By – T. Lewis/J. Harris III*
Shannon– Let The Music Play 6:03
A2 Man Parrish– Hip Hop, Be Bop (Don't Stop) 5:36
A3 Full Force– Alice I Want You Just For Me 6:09
A4 Whodini– Haunted House Of Rock 7:42
B1 Hot Streak– Body Work 8:23
B2 Break Machine– Street Dance 6:28
B3 Bar-Kays– Sexomatic 6:24
B4 Herbie Hancock– Rockit
McFadden & Whitehead– Ain't No Stoppin' Us Now 10:45
A2 Anita Ward– Ring My Bell 8:08
A3 Jackie Moore– This Time Baby 7:09
A4 The Real Thing– Can You Feel The Force 7:35
B1 The Jacksons– Shake Your Body (Down To The Ground) 8:40
B2 Light Of The World– Time 10:59
B3 The Players Association– Turn The Music Up 6:25
B4 Positive Force– We Got The Funk
Evelyn Thomas– High Energy 7:49
A2 Eartha Kitt– Where Is My Man 6:25
A3 Divine– You Think You're A Man 7:58
A4 Barbara Pennington– On A Crowded Street 9:52
B1 Amii Stewart– Light My Fire (1985 Remix) 7:36
B2 Miquel Brown– So Many Men, So Little Time 8:12
B3 Boys Town Gang– Can't Take My Eyes Off You 9:48
B4 Village People– Y.M.C.A.
A1 Galaxy (4) Featuring Phil Fearon– Dancing Tight 6:12
A2 Glenn Jones– I Am Somebody 6:22
A3 Evelyn King– Your Personal Touch 5:47
A4 Loose Ends– Emergency (Dial 999) 6:47
B1 Cheryl Lynn– Encore 5:20
B2 Jones Girls*– You Can't Have My Love 4:24
B3 Windjammer– Tossing And Turning 6:40
B4 Alicia Myers– You Get The Best From Me (Say Say Say)
Real To Reel– Love Me Like This 6:41
A2 Marvin Gaye– My Love Is Waiting 5:12
A3 Keni Burke– Risin' To The Top (Give All You Got) 5:14
A4 Astrud Gilberto– Girl From Ipanema 5:20
B1 Gene Chandler– Does She Have A Friend For Me 3:34
B2 Heatwave– Mind Blowing Decisions 4:17
B3 Lowrell*– Mellow, Mellow Right On 10:43
B4 Sylvia*– Pillow Talk
Crown Heights Affair– You Gave Me Love 5:55
A2 Coffe*– Casanova 6:10
A3 Stephanie Mills– I Never Knew Love Like This Before 5:27
A4 Carl Carlton– She's A Bad Mama Jama (She's Built, She's Stacked) 5:48
B1 Gap Band*– Burn Rubber On Me 5:33
B2 Kool & The Gang– Celebration 5:00
B3 Freeez– Southern Freeez 5:40
B4 Central Line– Walking Into Sunshine
Earth, Wind & Fire Featuring The Emotions Boogie Wonderland 8:21
–GQ Disco Nights (Rock Freak) 5:51
–Al Hudson & The Partners You Can Do It 7:03
–Herbie Hancock I Thought It Was You 8:56
–The Crusaders Street Life 7:49
–Phyllis Hyman You Know How To Love Me 7:34
–The Isley Brothers It's A Disco Night (Rock Don't Stop) 8:54
–Quincy Jones Stuff Like That
The Whispers And The Beat Goes On 6:43
–Bobby Thurston Check Out The Groove 7:29
–One Way Featuring Al Hudson Music 7:14
–Linx You're Lying 6:36
–Brothers Johnson Stomp 6:22
–Earth, Wind & Fire Star 4:26
–Herbie Hancock You Bet Your Love 8:10
–Dynasty I Don't Wanna Be A Freak (But I Can't Help Myself)
–Earth, Wind & Fire Let's Groove 6:51
–Evelyn King I'm In Love 5:56
–Quincy Jones Ai No Corrida 6:27
–Rodney Franklin The Groove 3:33
–Tom Browne Funkin' For Jamaica (N.Y.) 4:42
–Yarbrough & Peoples Don't Stop The Music 7:53
–Frantique Strut Your Funky Stuff 5:48
–Leon Haywood Don't Push It, Don't Force It
–The Whispers It's A Love Thing 5:06
–Aretha Franklin Jump To It 6:33
–Shalamar I Can Make You Feel Good 4:20
–The O'Jays Put Our Heads Together 7:01
–Earth, Wind & Fire I've Had Enough 4:34
–Evelyn King Love Come Down 6:09
–Oliver Cheatham Get Down Saturday Night 7:33
–Manhattans Crazy
–Booker Newberry III Love Town
–Band AKA Joy
–Aretha Franklin Get It Right
–Jeffrey Osborne Stay With Me Tonight
–Kenny G (2) Hi, How Ya Doin'
–Terri Wells I'll Be Around
–The O'Jays Extraordinary Girl
–Atlantic Starr Silver Shadow
1 Gwen Guthrie– (They Long To Be) Close To You 7:14
2 Terri Wells– You Make It Heaven 5:30
3 Billy Griffin– Serious 5:00
4 Jeffrey Osborne– On The Wings Of Love 4:01
5 Earth, Wind And Fire*– After The Love Has Gone 4:31
6 Atlantic Starr– Secret Lovers 5:28
7 Champaign– How 'Bout Us 4:34
8 S.O.S. Band*– Weekend Girl
Mai Tai History
–Loose Ends Hanging On A String (Contemplating)
–52nd Street Tell Me (How It Feels)
–Ca$hflow Mine All Mine
–Gwen Guthrie Ain't Nothin' Goin' On But The Rent
–Total Contrast Takes A Little Time
–René & Angela I'll Be Good
–Aurra You And Me Tonight
Band Aka Grace 6:23
–Second Image Can't Keep Holding On 4:30
–Billy Griffin Hold Me Tighter In The Rain 5:30
–Shakatak Night Birds 6:19
–Sharon Brown I Specialize In Love 7:15
–Vicky D* This Beat Is Mine 5:53
–Howard Johnson So Fine 5:28
–The Jones Girls Nights Over Egypt
Isley Jasper Isley Caravan Of Love 5:43
–Heatwave Always And Forever 6:14
–M'tume* Juicy Fruit 7:03
–Marvin Gaye (Sexual) Healing 4:50
–Billy Paul Let's Make A Baby 7:11
–Carl Anderson Buttercup 4:19
–Nicole* With Timmy Thomas New York Eyes 5:38
–S.O.S. Band* Just Be Good To Me 8:56
Primis Player Placeholder
–Shannon Let The Music Play 6:03
–Man Parrish Hip Hop, Be Bop (Don't Stop) 5:36
–Full Force Alice I Want You Just For Me 6:09
–Whodini Haunted House Of Rock 7:42
–Hot Streak Body Work 8:23
–Break Machine Street Dance 6:28
–Bar-Kays Sexomatic 6:24
–Herbie Hancock Rockit
McFadden & Whitehead– Ain't No Stoppin' Us Now (Special Disco Version) 10:45
2 Anita Ward– Ring My Bell (12" Version) 8:08
3 Jackie Moore– This Time Baby (Special Disco Version) 7:09
4 Real Thing*– Can You Feel The Force 7:35
5 Jacksons*– Shake Your Body (Down To The Ground) (Special Disco Remix) 8:40
6 Light Of The World– Time (Remix) 10:59
7 The Players Association– Turn The Music Up! 6:25
8 Positive Force– We Got The Funk
Evelyn Thomas– High Energy
Producer, Written-By – Ian Levine and Fiachra Trench
Producer, Written-By – Ian Levine and Fiachra Trench
7:49
2 Eartha Kitt– Where Is My Man
Engineer – Bill Scheniman
Producer – Jacques Morali
Producer [Executive] – Henri Belolo
Engineer – Bill Scheniman
Producer – Jacques Morali
Producer [Executive] – Henri Belolo
6:25
3 Divine– You Think You're A Man
Directed By – Matt Aitken, Mike Stock, Pete Ware
Producer – Barry Evangeli, Pete Waterman
Directed By – Matt Aitken, Mike Stock, Pete Ware
Producer – Barry Evangeli, Pete Waterman
7:58
4 Barbara Pennington– On A Crowded Street
Engineer [Mix] – Graham Dickson
Mixed By [An M&M Mix] – John Morales & Sergio Munzibai
Producer – Ian Levine and Fiachra Trench
Engineer [Mix] – Graham Dickson
Mixed By [An M&M Mix] – John Morales & Sergio Munzibai
Producer – Ian Levine and Fiachra Trench
9:52
5 Amii Stewart– Light My Fire (1985 Remix)
Producer [Original Productions], Remix – Barry Leng
Remix – Alan Coulthard
Producer [Original Productions], Remix – Barry Leng
Remix – Alan Coulthard
7:36
6 Miquel Brown– So Many Men, So Little Time
Composed By, Producer – Ian Levine
Composed By, Producer – Ian Levine
8:12
7 Boys Town Gang– Can't Take My Eyes Off You
Producer – Bill Motley
Producer [Executive] – Will Smith (4)
Producer – Bill Motley
Producer [Executive] – Will Smith (4)
9:48
8 Village People– Y.M.C.A.
Mixed By – Michael Hutchinson
Producer – Jacques Morali
Galaxy (4) Featuring Phil Fearon Dancing Tight 6:12
–Glenn Jones I Am Somebody 6:22
–Evelyn 'Champagne' King* Your Personal Touch 5:47
–Loose Ends Emergency (Dial 999) 6:47
–Cheryl Lynn Encore 5:20
–Jones Girls* You Can't Have My Love 4:24
–Windjammer Tossing And Turning 6:40
–Alicia Myers You Get The Best From Me (Say Say Say)
Real To Reel– Love Me Like This
Written-By – Dominic Leslie*, Leon F. Sylvers III*, Leroy Hall
Written-By – Dominic Leslie*, Leon F. Sylvers III*, Leroy Hall
6:41
2 Marvin Gaye– My Love Is Waiting
Written-By – Gordon Banks
Written-By – Gordon Banks
5:12
3 Keni Burke– Risin' To The Top (Give It All You Got)
Written-By – A. Felder*, D. Gant*, K. Burke*
Written-By – A. Felder*, D. Gant*, K. Burke*
5:14
4 Astrud Gilberto– Girl From Ipanema
Written-By – Jobim*, De Moraes*
Written-By – Jobim*, De Moraes*
5:20
5 Gene Chandler– Does She Have A Friend For Me
Written-By – Stone*, Gibbons*
Written-By – Stone*, Gibbons*
3:34
6 Heatwave– Mind Blowing Decisions
Written-By – J. Wilder*
Written-By – J. Wilder*
4:17
7 Lowrell*– Mellow, Mellow Right On
Written-By – F. Simon*, G. Redmond*, J. Simon*, L. Brownlee*
Written-By – F. Simon*, G. Redmond*, J. Simon*, L. Brownlee*
10:43
8 Sylvia*– Pillow Talk
Written-By – Robinson*
Crown Heights Affair– You Gave Me Love
Written-By – Ida Reid
Written-By – Ida Reid
5:55
2 Coffee– Casanova
Written-By – J. Armstead*, M. Middlebrook*
Written-By – J. Armstead*, M. Middlebrook*
6:10
3 Stephanie Mills– I Never Knew Love Like This Before
Written-By – Mtumé*, Lucas*
Written-By – Mtumé*, Lucas*
5:27
4 Carl Carlton– She's A Bad Mama Jama (She's Built, She's Stacked)
Written-By – Leon Haywood
Written-By – Leon Haywood
5:48
5 Gap Band*– Burn Rubber On Me
Written-By – C. Wilson*, L. Simmons*, R. Taylor*
Written-By – C. Wilson*, L. Simmons*, R. Taylor*
5:33
6 Kool & The Gang– Celebration
Written-By – Kool & The Gang, Ronald Bell
Written-By – Kool & The Gang, Ronald Bell
5:00
7 Freeez– Southern Freez
Written-By – Stennett*, Rocca*, Maas*
Written-By – Stennett*, Rocca*, Maas*
5:40
8 Central Line– Walking Into Sunshine
Written-By – Linton Beckles, Lipson Francis, Roy Carter
Jocelyn Brown– Somebody Else's Guy 6:28
2 Sister Sledge– Thinking Of You 4:23
3 Change– Change Of Heart 7:02
4 Fonda Rae– Tuch Me 9:09
5 The Intruders– Who Do You Love? 6:10
6 Paul Hardcastle– You're The One For Me / Daybreak / A.M. (Medley) 6:31
7 Steve Arrington– Feel So Real 6:53
8 Princess– Say I'm Your No. 1 6:16
Sister Sledge– He's The Greatest Dancer
Written-By – Bernard Edwards & Nile Rodgers
Written-By – Bernard Edwards & Nile Rodgers
6:01
2 Edwin Starr– Contact
Written-By – Edwin Starr
Written-By – Edwin Starr
7:12
3 Gloria Gaynor– I Will Survive
Written-By – Dino Fekaris, Freddie Perren
Written-By – Dino Fekaris, Freddie Perren
8:00
4 Kool & The Gang– Ladies Night
Written-By – George M. Brown*, Kool & The Gang
Written-By – George M. Brown*, Kool & The Gang
6:22
5 Gene Chandler– Get Down
Written-By – J. Thompson*
Written-By – J. Thompson*
8:16
6 Chic– Good Times
Written-By – Bernard Edwards & Nile Rodgers
Written-By – Bernard Edwards & Nile Rodgers
7:39
7 Narada Michael Walden– I Shoulda Loved Ya
Written-By – Willis*, Walden*, Stevens*
Written-By – Willis*, Walden*, Stevens*
6:31
8 Change– Searching
Written-By – M. Malavasi*, P. Slade*
1 Womack & Womack– Love Wars
Written-By – C. Womack/L. Womack*
Written-By – C. Womack/L. Womack*
8:13
2 Change– You Are My Melody
Written-By – T. Lewis/J. Harris III*
Written-By – T. Lewis/J. Harris III*
6:23
3 Steve Arrington– Dancin' In The Key Of Life
Written-By – I. Arrington*, S. Arrington*
Written-By – I. Arrington*, S. Arrington*
6:04
4 Jocelyn Brown– I Wish You Would
Written-By – J. Brown*, N. Bennett*
Written-By – J. Brown*, N. Bennett*
5:30
5 Patrice Rushen– Forget Me Nots
Written-By – F. Washington*, P. Rushen*, T. McFadden*
Written-By – F. Washington*, P. Rushen*, T. McFadden*
7:13
6 Cool Notes*– In Your Car
Written-By – S. McIntosh*
Written-By – S. McIntosh*
6:03
7 Paul Hardcastle– Rainforest
Written-By – P. Hardcastle*
Written-By – P. Hardcastle*
5:12
8 Princess– After The Love Has Gone (Bad Mix)
Written-By – Stock/Aitken/Waterman*
Harold Melvin & The Blue Notes*– Don't Leave Me This Way
Written-By – Gilbert*, Gamble*, Huff*
Written-By – Gilbert*, Gamble*, Huff*
6:09
2 Odyssey (2)– Native New Yorker
Written-By – D. Randall*, S. Linzer*
Written-By – D. Randall*, S. Linzer*
5:33
3 Real Thing*– You To Me Are Everything (The Decade Re-Mix 76/86)
Written-By – K. Gold*, M. Denne*
Written-By – K. Gold*, M. Denne*
9:51
4 Heatwave– The Groove Line
Written-By – R. Temperton*
Written-By – R. Temperton*
4:18
5 The Ritchie Family– The Best Disco In Town
Written-By – H. Belolo*, J. Morali*, P. Hurtt*, R. Rome*
Written-By – H. Belolo*, J. Morali*, P. Hurtt*, R. Rome*
6:35
6 Shalamar– Take That To The Bank
Written-By – K. Spencer*, L. Sylvers*
Written-By – K. Spencer*, L. Sylvers*
6:52
7 Evelyn 'Champagne' King*– Shame
Written-By – Fitch*, Cross*
Written-By – Fitch*, Cross*
6:31
8 Crown Heights Affair– Galaxy Of Love
Written-By – F. Nerangis*, V. Britton*
Written-By – F. Nerangis*, V. Britton*
5:55
Grandmaster Flash & The Furious Five– The Message
Written-By – Chase*, Fletcher*, Glover*, Robinson*
Written-By – Chase*, Fletcher*, Glover*, Robinson*
7:12
2 Pointer Sisters– Automatic
Written-By – Walsh*, Goldenberg*
Written-By – Walsh*, Goldenberg*
4:46
3 Third World– Try Jah Love
Written-By – A. McCully*, S. Wonder*
Written-By – A. McCully*, S. Wonder*
9:18
4 Shalamar– A Night To Remember
Written-By – C. Sylvers*, D. Myers*, N. Beard*
Written-By – C. Sylvers*, D. Myers*, N. Beard*
5:08
5 Odyssey (2)– Inside Out
Written-By – J. Rae*
Written-By – J. Rae*
6:21
6 Rockers Revenge Featuring Donnie Calvin– Walking On Sunshine
Vocals – Donnie Calvin
Written-By – E. Grant*
Vocals – Donnie Calvin
Written-By – E. Grant*
9:34
7 Imagination– Just An Illusion
Written-By – Ingram*, John*, Jolley*, Swain*
Written-By – Ingram*, John*, Jolley*, Swain*
6:36
8 Kool & The Gang– Get Down On It
Written-By – J. Taylor*, Kool & The Gang, R. Bell*
Cameo– Word Up! 6:00
2 Cool Notes*– Spend The Night 5:55
3 Kool & The Gang– Fresh 4:23
4 Alyson Williams– Sleep Talk 7:56
5 Joyce Sims– All And All (Parts 1&2) 10:23
6 Luther Vandross– Never Too Much 5:44
7 The Pasadenas– Tribute (Right On) (The Q Street Mix) 5:14
8 Midnight Star– Midas Touch 6:35
www.discogs.com/label/433949-Best-Of-12-Inch-Gold Voir moins
www.twitter.com/Memoire2cite -😊 Levittown: The Construction and Systematic Execution of Discrimination in Modern Suburbia (NHD 2018) www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M … … 17000 maisons en 2 ans un record dans l histoire des annees 60 @ la grande Acceleration @ Un point de bascule avec le changement de regime d'existence les 30 glorieuses americaine @ la constructions de masse.., ici LEVITTOWN a LONGISLAND, 17000 pavillons en 2 ans un Record...Yes this is it my Our Home Town: Levittown, PA (1954) - www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M les 30 glorieuses atomique @ le projet PLOWSHARE de 1957 LE FILM ICI www.youtube.com/watch?v=kpjFU_kBaBE … STRAUSS le promoteur du nucleaire Americain les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur le developpement solaire... les occasions manquées de soigner notre humanité..www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc … Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015 www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin) www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije Maison de Banlieue et de l'Architecture 41 rue Geneviève Anthonioz De Gaulle, Athis-Mons Mercredi et samedi de 14h à 18h, sauf les 20avril, 1er et 8 mai, 1er juin, 2 et 9 novembre. www.portesessonne.fr/Institution/Toute-l-actu/Sortir-et-D... …
Içi le LOIRET AVEC MONTARGIS @ LES HLM www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ … Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage du basculement dans l’anthropocène de la nature par l’homme.La grande accélération qui fait définitivement basculé le monde dans l'anthropocene(Ère de l'Homme) s'explique pas seulement par la croissançe démographique.. mais par l'incroyable dynamisme des sciençes des techniques, et des talents des Entreprises à vendre leurs produits..les 30 Glorieuses Américaine @ le climatiseur fait son apparition... la promesse de la Maison éléctrique, invite à un confort nouveau...il ne s agissait plus de chauffer les maisons , mais etre capable de les refroidir... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …çe pour que le chauffage,la climatisation et le tout electrique devienne la norme dans le monde, les Industriels de l'elec imposent aux lotissements, le raccordement a l electricite, via des deals avec le BTP, ils signent ainssi la mort de la maison solaire :( les 30 Glorieuses & l'arrivée du Confort Electrique... les industriels de l 'éléctricité çe vendent en inventeur du Futur font barrage a des tas d'autres idees comme la maison tout solaire qui aurai pu avoir toutes ses chances... "When you live , electrik me" veux tout dire ..
… les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur la Maison Solaire... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs.…De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète @ le film içi www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …
…L'homme a mangé la Terre _ 1960 les 30 Glorieuses dans le plastique @ l'Alathon ,le Delrin,le Lucite,le Teflon , les Molécules,la Grande distribution & les hypermarchés,le salon de l 'auto,les arts ménagers,la consommation de masse alimente encore plus fortement les emissions Co2 De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.
Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.
Liaisons dangereuses
En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.
Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! Le lien direct vers le film : cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... … 🎥@Cinematheque42 ▶ içi MONTREYNAUD cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... - Içi
LA COTONNE MONTFERRE cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... bit.ly/2KK0n1D - 69 Vénissieux 1984 Images des Minguettes dans le clip ORIGINAL Envole moi de jean jacques Goldman la V.O. là www.facebook.com/icivenissieux/videos/2042888055963468/ … & clip officiel içi www.youtube.com/watch?v=oltptNDHocw … - Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Structure Couleurs d'une cité provençale en 1975 extrait du film Bâtir mieux plus vite et moins cher @ le BTP en 1975, l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant...Une nouvelle cité provençale ... dai.ly/xyjudq Jacques Tati & la villa Arpel @ le film "mon Oncle"
www.ina.fr/video/R09119655 TURQUIE - Cette ville fantôme a pourrait servir de tournage à un film d'horreur. La commune de Mudurnu, au nord de la Turquie, compte des centaines de répliques de châteaux français tous à l'abandon www.youtube.com/watch?v=qGML4Ej7muM … www.youtube.com/watch?v=U8cFGOnxns4 … Démolition Tour DEF mercredi 23 juin 2010 - Cité Balzac Création artistique autour de la démolition d'un bâtiment. Ce film a été réalisé par les équipes de Plug N' Prod. www.youtube.com/watch?v=L9A_lUN1TPU … 42 - SAINT-ETIENNE LOIRE - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, en 1962, les vues des HLM de RHONE ALPES de PARIS & plus... en FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet
Saint-Etienne l' Extension Marandiniere 1957-59 architecte Jean Farat 42 St-Etienne LOIRE - la Marandiniere les espaces verts @ les 30 G & Jacques SIMON - Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». www.dailymotion.com/video/xgj74q LE FILM 42 - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, 1962, le FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije ,Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! ▶ bit.ly/2KK0n1D la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruite.Le film montre à Strasbourg, Mulhouse, des réalisation moderne de grands ensembles et des images d'archive de la reconstruction du Havre de Saint Nazaire.Le film se termine à Marseille sur les réalisation nouvelles autour du vieux port puis on assiste à l'inauguration de la Cité Radieuse par le ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme Eugène Claudius-Petit en présence de son architecte Le Corbusier à qui le ministre remet la cravate de commandeur de la légion d'honneur. www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695... Mémoire2cité Mémoire2Ville Mémoire de l'Habitat,içi la page listant mes 43 albums photos disponibles, çe x 1000 pour chacuns d'entre eux ..Merci aux 5859 followers qui porte une attention particuliere à nos quartiers..
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945
Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruit