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La basilique Notre-Dame-du-Saint-Cordon est une basilique catholique située à Valenciennes, dans le Nord. La façade. Les trois portails, les tourelles polygonales épaulant la tour, les deux niveaux de clochetons ajourés et les tabernacles cantonnant la flèche octogonale composent une façade de forme pyramidale. Notre-Dame-du-Saint-Cordon représente une étape essentielle du renouveau du style Néo-gothique au Nord-Pas-de-Calais, avant la Cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille à Lille.

Le Gour Emir est un mausolée situé à Samarcande, en Ouzbékistan, lieu de sépulture de Tamerlan (aussi connu sous le nom de Timour, Timur Lang ou Timour le boiteux) et de sa descendance.

 

Le Gour Emir (traduction : tombe de l'émir) occupe une place importante dans l'histoire de l'architecture persane. Il est en effet le précurseur et le modèle des grandes sépultures mogholes, comme le tombeau de Humayun à Delhi ou le Taj Mahal à Āgrā. Il fut aussi la source d'inspiration principale de Nicolas Vassiliev pour la mosquée de Saint-Pétersbourg en 1910.

 

Un premier mausolée a été construit en 1401, du vivant de Tamerlan, par son petit-fils préféré et successeur désigné, Muhammad Sultan, pour y abriter la dépouille de son grand-père, alors que celui-ci désirait être enterré sobrement, à l'instar de Gengis Khan. « Juste une pierre et mon nom dessus » avait-il dit.

 

Ce mausolée était un ensemble architectural construit autour d'une cour intérieure bordée de quatre iwan. À l'est se dressait une madrasa, tandis qu'à l'ouest s'élevait une khanaka où se trouvait une mosquée à coupole. Comme au Taj Mahal actuellement, la construction était entourée de quatre minarets. Aujourd'hui, il ne reste que les traces des fondations de ce mausolée, le portail encore richement décoré où subsiste l'inscription en persan « Construit par le faible esclave Mohamed, fils de Mahmoud, d'Ispahan » et une partie de l'iwan clôturant la cour intérieure du côté sud.

 

Mais Muhammad Sultan est tué lors d'une campagne en Perse en 1403 et Tamerlan fit alors construire un autre mausolée qu'il désirait le plus beau qui soit. À peine le dôme surmontant la mausolée achevé, Tamerlan le fit détruire, exigeant la construction d'un dôme plus imposant. Les ouvriers travaillèrent jour et nuit, terminant l'édifice en quinze jours !

 

En 1405, Tamerlan meurt et son corps embaumé de musc et de camphre est secrètement enterré aux côtés de Muhammad Sultan dans la khanaka du premier ensemble, situé juste devant le Gour Emir.

 

Les luttes de succession ayant pris fin en 1409, les dépouilles furent translatées au Gour Emir, où elles se trouvent toujours. Tamerlan repose aux pieds de son maître spirituel le cheik Mir-Said-Bereke, suivant sa volonté.

 

Le petit-fils de Tamerlan, l'architecte, astronome et savant Ulugh Beg rapporta de Mongolie le bloc de néphrite (du jade) qui recouvre le tombeau de Tamerlan qu'il entoura d'une barrière de marbre ajouré.

 

Édifiée au début du XIIème siècle, cette église dépendait autrefois d'un prieuré clunisien. La filiation clunisienne s'exprime dans les choix architecturaux innovants, initiés à Cluny, telle la voûte en berceau brisé. La rude pierre de grès s'est révélée peu propice à l'épanouissement de la sculpture (hormis l'agneau mystique sur le tympan du portail sud), mais a permis la construction d'un édifice puissant, dominé par son imposant clocher ajouré de baies géminées sur deux niveaux.

Clessé est fier de son église dont la façade et le clocher octogonal sont caractéristiques de l’art roman en Mâconnais. Construite en pierre calcaire à la fin du 11e siècle et dans la première partie du 12e siècle, on retrouve un décor d’arcatures lombardes sur le pignon de la façade et sur le premier niveau du clocher. Le niveau supérieur du clocher, d’aspect plus tardif, est ajouré de baies géminées avec colonnettes, chapiteaux et archivoltes sous des arcatures lombardes. Il est coiffé par une toiture moderne en tuiles vernissées. A l’intérieur, la nef simple de trois travées est charpentée et la travée de chœur est couverte par une coupole sur trompes supportée par quatre arcs en plein cintre. Vers 1670, un large chœur à chevet plat a remplacé l’abside romane. Les chapelles latérales, formant un faux-transept, datent du 16e et du 19e siècle et conservent des culots sculptés. La tourelle et la sacristie sont également du 19e siècle.

La commune de Saint-Dizant-du-Gua porte le nom d'un ancien évêque de Saintes au VIIe siècle.

Fortement reconstruit à l'époque gothique, puis au XVIIIe siècle et à la fin du XIXe siècle, c'est un édifice malgré tout roman dont il ne reste que peu de parties d'origine.

L'ancien clocher complètement disparu a été remplacé par un clocher porche très élancé de style romano-ogival à la fin du XIXe siècle.

Le porche ouvert en plein cintre repose sur de fortes piles. L'étage intermédiaire est ajouré de doubles baies en plein cintre sur de longues et fines colonnes. La tour octogonale est cantonnée de pinacles surmontant les contreforts d'angle. Elle est agrémentée d'une galerie à balustrade et de pyramidions.

 

Un grand merci pour vos favoris, commentaires et encouragements toujours très appréciés.

 

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J'ai assorti un plat en bambou ajouré placé en plein soleil pour répondre au thème Shadow du Monday Mondays du 13 avril 2020. En ces moments difficiles de confinement, il faut prendre le temps de travailler de la macro pour s'occuper. #Macro #MacroMondays #Shadow

Portail de la nef sud

Le portail de la nef sud est mieux conservé que son voisin et plus authentique que son homologue au nord. Il le dépasse en richesse des détails, et suit une conception différente avec un grand tympan ajouré au-dessus d'une porte rectangulaire à double vantail.

 

La commune de Saint-Dizant-du-Gua porte le nom d'un ancien évêque de Saintes au VIIe siècle.

Fortement reconstruit à l'époque gothique, puis au XVIIIe siècle et à la fin du XIXe siècle, c'est un édifice malgré tout roman dont il ne reste que peu de parties d'origine.

L'ancien clocher complètement disparu a été remplacé par un clocher porche très élancé de style romano-ogival à la fin du XIXe siècle.

Le porche ouvert en plein cintre repose sur de fortes piles. L'étage intermédiaire est ajouré de doubles baies en plein cintre sur de longues et fines colonnes. La tour octogonale est cantonnée de pinacles surmontant les contreforts d'angle. Elle est agrémentée d'une galerie à balustrade et de pyramidions.

 

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« L’église Notre Dame de l’Assomption à Combloux, a été érigée de 1781 à 1787. Sa silhouette, équilibrée et vigoureuse est affinée, par un clocher à bulbe à lanternon ajouré de baies jumelles reposant sur des colonnettes médianes. » … ete.combloux.com/patrimoine-culturel/1/203356-eglise-baro...

Le village de Jarjayes se révèle peu à peu, derrière un large champ fraîchement travaillé. La vieille église ruinée dresse son respectable clocher-mur ajouré de deux yeux veufs de leurs cloches. Lorsque le chemin s'élève depuis le col de la Sentinelle vers le hameau du même nom, l'église Saint-Thomas-Saint-Restitut (voir aussi : www.flickr.com/photos/145414276@N08/35819581493 ) est en effet la première à paraître, édifiée sur un promontoire rocheux dominant le précipice taillé par le torrent du Merdarel. Du centre du village, on ne distingue encore rien d'ici, mis à part l'indiscret clocher de l'église actuelle qui surveille notre progression vers le haut de la pente. En arrière-plan, de l'autre côté de l'Avance, l'ubac de la Montagne Saint-Maurice élève ses vastes forêts jusqu'à plus de 1400 mètres.

Couronnant l'ensemble, un belvédère, ajouré sur chacune de ses faces de 2 grandes fenêtres tréflées, annonce les constructions aériennes qui se développeront dans les parties hautes des châteaux forts à la fin du XIVe siècle.

photo d'une œuvre de Nikos Aliagas, prise à travers le panneau ajouré figurant sur sa photo!

Canon EOS 6D - f/4 - 1/160 sec - 100 mm - ISO 100

 

- for challenge Flickr group: Macro Mondays, theme: Gold or Silver

 

- a vintage (ca. 1930) silver plated cake fork, showing a crane bird in the ajour part.

 

- this type of fork was used to ''spear" a slice of cake and bring it to your own dish.

 

- blog.zilver.nl/zilveren-cakeprikker-ontrafeld/

 

De cakeprikker is nou niet een voorwerp dat we allemaal kennen. Toch is het ontwerp heel karakteristiek : het is een slanke, lange vork met 3 tanden. Denk aan de drietand van Neptunus, en dan met een lange middentand. De twee iets kortere zijtanden wijken wat naar buiten. Deze cakeprikkers zijn in grote getale gemaakt: je komt er iedere brocante en antiek markt weer een aantal tegen. Maar hoe gebruik je ze eigenlijk?

 

In het begin van de 20e eeuw werd het mode om voor bijna ieder gerecht een ander stuk diengereedschap – ofwel schep – te hebben. De bestekcassettes werden steeds uitgebreider, want al die bijzondere scheppen moesten er een plaats in krijgen. Zo ook de cakeprikker.

 

De naam zegt het al : voor het serveren van cake. Maar die rare puntvork was ook handig bij het serveren van andere onhandelbare dingen, zoals soesjes en oliebollen. Een flinke prik, en je kon de buit op je bordje laden.

 

Om te zien hoe (en eigenlijk ook : of) die cakeprikker werkt, heb ik een cake gebakken. Een gewone rechttoe-rechtaan cake. En toen ben ik gaan proberen : prikker onder het plakje schuiven, punt omhoog en naar je bordje. Geen succes kan ik melden – je komt niet lekker tussen die gestapelde plakjes. In de zijrand dan? Ook geen succes, de rand is te hard. Je schuift als je niet uitkijkt alle cakeplakjes van de presenteerschaal op het tafelkleed. Dan maar midden in het plakje. Vooraf dacht ik dat dit een rampenscenario was : spies de prikker erin en het wordt een brokkenboel. Maar niks ervan : wanneer je met een vinnig prikje die cakeprikker midden in het plakje jast – de 2 buitenste punten moeten ook net in het plakje zitten – dan kan je wonderwel het plakje cake zonder gedoe oppakken en op je bordje laten glijden.

 

Eet smakelijk.

 

La façade occidentale résume à elle seule l’opulence de l’église. Un ample arc en anse de panier est surmonté d’une accolade ouvragée sur laquelle figure une statue de saint André (saint patron de la Bourgogne).

Cette façade occidentale a la forme d’un vaste triangle divisé en trois bandes verticales :

- le corps central correspond à la nef et les deux pignons latéraux couvrent les bas-côtés.

- Le corps central est divisé lui-même en trois étages par des balcons ajourés.

- Le portail dont les sculptures très riches encadrent un tympan, montre Philibert et Marguerite présentés au Christ par leurs saints patrons. Sur le trumeau, on trouve saint Nicolas de Tolentin avec son étoile. L’église de Brou est placée sous son patronage. De part et d’autre, figurent les apôtres saints Pierre et Paul, patrons du prieuré bénédictin antérieur.

 

Aux niveaux supérieurs se détachent trois grandes fenêtres gothiques puis encore au dessus un pignon triangulaire terminé par un fleuron et deux pinacles. On découvre dans le portail la plupart des motifs décoratifs qui fleuriront dans l’église :

- Les marguerites : armes parlantes de la princesse,

- Le P et le M liés par les lacs d’amour,

- Les emblèmes bourguignons : la croix de saint André (en X) unie au briquet.

L'édifice fut construit en tant que cathédrale au XIVe siècle dans une architecture d'inspiration méridionale.

La cathédrale a gardé cependant son aspect massif d'origine, avec des murs épais de trois mètres à certains endroits. Elle possède échauguettes et meurtrières, afin d'en faciliter la défense.

Son clocher octogonal de 43 mètres de haut est de style toulousain : ses trois étages ajourés sont percés de baies géminées couvertes d'arcs en mitre. L’édification du clocher date probablement des années 1370, composée de deux étages surmontés d’un toit en tuile, il fut élevé jusqu’à trois étages et couronné d’une balustrade au XVIIème siècle puis fut doté d’un carillon de 24 cloches, fondues pour la plupart à la Révolution.

 

Vaste église du XIXè s. (première pierre posée en 1876) à 3 nefs voûtées d’ogives. L’église resta inachevée jusqu’en 1956, où l’on construisit une façade en béton armé et un clocher ajouré surmonté d’une croix. Beaux vitraux des XIXè et XXè s.

 

En 1854, Jules Magen construit pour l’église des Jacobins un grand-orgue de 3 claviers.

En 1880, l’orgue est doté d’un 4ème clavier d’accouplements.

Maurice Puget restaure l’instrument en 1928 et 1938.

Entre 1960 et 1970, Maurice Billières effectue quelques travaux.

En 1996, Pierre Saby effectue le transfert de l’instrument en l’église du Sacré-Coeur en remplacement d’un orgue de Kurt Schwenkedel qui venait de la salle Prat à Marseille.

 

Buffet néogothique en chêne présentant 4 tourelles plates et 3 grandes plates faces garnies de tuyaux en étain. Le soubassement est sculpté. 4 claviers de 54 notes et un pédalier de 30 notes. Console en fenêtre. Transmissions mécaniques avec assistance Barker. Partie instrumentale classée M.H. en 1982.

Occupant un site stratégique sur les bords de la rivière l'Anglin, cette petite cité a conservé son caractère médiéval. Elle est un des "Plus Beaux Villages de France".

 

Centre d'artisanat d'art, Angles-sur-l'Anglin est célèbre pour ses ateliers de textiles à armure toile ajourés : "Les jours d'Angles", nés au XIXe siècle.

Ossuaire du 17e siècle, admirablement ajouré d'un double rang de balustres. L'accès se fait par une porte cintrée située à l'extérieur de l'enclos.

 

EGLISE DE LE BERSAC

 

Environs de SERRES

Laisse.

**Déverbal de laisser [1] adopté à des époques différentes, et des sens différents : 1. « lien lâche donnant une certaine liberté à l'animal » ; 2. parce qu'à l'origine, la laisse est un couplet, une tirade pour laquelle on donne libre cours à la voix, on la laisse aller d'un trait sans fléchissement, à rapprocher du syntagme d’une laisse « d'un trait » ; 3. « ce qu'on laisse, ce qui est laissé. »

fr.wiktionary.org/wiki/laisse

 

Pas de Louve. C’est le nom du col. L’hiver là-haut : le chemin à l’ombre grimpe sur la neige glacée... A la bascule du col, pente très raide, signalée comme telle sur l’horoscope du Topo-guide. Pas de quoi fouetter un pécheur ordinaire. Le Topo dans le sac, je déclare mon indépendance et suis la tranchée d’un ravin. Les bras un peu hostiles des églantiers me signalent parfois que je ne suis pas leur hôte privilégié ; ici, plus de neige, la terre brune encore un peu lourde prépare les prochaines poussées des sèves et des saveurs fleuries. L’herbe sèche craque comme du pain sec, attend la relève.

Plus bas, perché au-dessus des fermes dans la vallée, un édifice à peine distinct s’enrubanne de murs épais. Je retrouve le chemin qui m’offre sa trace ondulant dans les marnes, contourne les chênes aux solides bras torves qui sèment maintenant leurs feuilles séchées, s’approche du talus, mais a aussitôt un mouvement de recul. Un ruisseau presque à sec déjà mais qui n’a pas peur du ridicule s’est creusé une profonde veine cave où le sentier n’a pas encore le cœur de descendre.

Une chapelle. Une chapelle perchée au bord du ravin couvert de pins. Une chapelle au clocher ajouré dressé comme un mur, on en voit en beaucoup d’endroits ici. Je plane sur la pente, des pierres roulent, calmant le jeu hâtif de mes chaussures, me saisis de touffes de genêts qui m’aérofreinent, la chapelle est en face de moi maintenant, de l’autre côté du ruisseau qui gazouille de bond en bond, où plonge enfin le chemin, qui court y boire et s’ébroue aussitôt en deux boucles entre les pins.

Une chapelle maintenant au-dessus de moi, auréolée dans le chaud du ciel de condensations qui ambitionnent de devenir nuages, peut-être même paroles divines. Courbes grasses dans l’azur, laisses, odeur laiteuse d’avions de ligne aux parcours convergents, patrouilles d’une France qui a choisi ce lieu à mille lieues de ses artères palpitantes pour briller de ses feux, un jour de magique extase.

AD

 

Une vue de l’extrémité nord du Patio de los Arrayanes (Myrtes), Palacio des Comares du complexe palatial Alhambra, Grenade, Espagne.

 

Le Patio de los Arrayanes (Myrtes) doit son nom aux buissons des myrtes qui entourent l'étang central et dont la couleur verte vive contraste avec le sol en marbre blanc du patio. Il est parfois appelé Patio de la Alberca (Bassin), en raison de la taille du bassin central qui a 34 mètres de long et 7,10 mètres de large. Ce bassin est alimenté par deux vasques en marbre qui se trouvent à chaque extrémité sous des portiques supportés par des colonnes avec des chapiteaux cubiques et avec sept arcs semi-circulaires décorés avec des losanges ajourés et des inscriptions de louange à Dieu.

 

L'arc central est plus grand que les autres et présente des écoinçons de l'arc solides avec une décoration de motifs végétaux et des chapiteaux de muqarnas (stalactites). Dans la partie supérieure de la galerie nord, qui fait partie du Palacio des Comares avec son imposante Torre de Comares, il existe un parapet avec deux petites tours latérales, qui furent reconstruites en 1890 parce que les toits de cette galerie et de la suivante avaient brulé.

 

Les extrêmes de la galerie présentent des placards avec des arcs, des coupoles et des consoles de muquarnas (stalactites). Le bas du mur de la galerie est orné d'azulejos qui datent de la fin du 16e siècle et présentent dans la partie supérieure une inscription d'un poème d'Ibn Zamrak en l’honneur de Muhammad V après la conquête d'Algésiras en 1368.

 

L'Alhambra, nom signifiant « La Rouge » en arabe à cause de la couleur rougeâtre des pierres, est un ensemble palatial constituant l'un des monuments majeurs de l'architecture islamique. Acropole médiévale la plus majestueuse du monde méditerranéen, située sur le plateau de la Sabika qui domine la ville, elle se compose essentiellement de quatre parties incluses dans son enceinte fortifiée : l'Alcazaba, les palais nasrides, le Généralife, ses jardins, et le palais de Charles Quint.

 

Grenade est la capitale de la province de Grenade au sud-est de l'Andalousie. Elle s'étend sur plusieurs collines au pied de la Sierra Nevada, au confluent de trois rivières, le Beiro, le Darro et le Genil. Dès l'Antiquité, la ville connaît la culture ibère puis les Carthaginois et les Romains. La conquête de la région par la dynastie des Zirides au 11e siècle marque le début du royaume de Grenade, période au cours de laquelle plusieurs dynasties musulmanes se succèdent. En 1492, les Rois catholiques conquièrent la ville et l'intègrent à la couronne de Castille en tant que royaume catholique. Des persécutions s'ensuivent envers les juifs puis les musulmans, même les convertis (morisques).

 

Haut lieu culturel et touristique, Grenade abrite notamment le célèbre palais de l’Alhambra, un chef-d'œuvre de l'architecture hispano-arabe avec les merveilleux jardins du Generalife qui sont inscrits depuis 1994 au patrimoine mondial de l’UNESCO (WHL-314bis) avec le quartier résidentiel de l'Albaicin qui conserve un riche ensemble d'architecture vernaculaire maure dans laquelle l'architecture andalouse traditionnelle se fond harmonieusement.

Neige, glace, ombre et lumière. La nature invente des formes étonnantes dans les talus de neige, entasse, cisaille, refond, dans de brèves compositions aux architectures inédites.

Le Calvaire Monumental de Guéhenno

  

Les âmes en peines… · Pevar Den youtu.be/ZkXy2kzct7U

  

Entre Vannes et Josselin, bien loin des diocèses de Cornouaille et de Léon, où les plus grands calvaires ont été érigés, le calvaire de Guéhenno est le seul classé Calvaire Monumental de Bretagne dans le Morbihan.

 

Il a été érigé en 1550 par un nommé Guillouic, sous le règne d'Henri II, pendant l'âge d'or de la Bretagne. Une période prospère liée au développement de la culture du lin et du chanvre, de la pomme de terre et du blé noir et sans doute à Guéhenno, des carrières de granit !

Un soir de décembre 1794, en pleine Terreur, le calvaire et son enclos sont pillés et brisés par des soldats en route vers Josselin. Les habitants en dissimulent les morceaux dans l'ossuaire, les greniers, les champs et les chemins creux.

L'arrivée, en 1853, de l'abbé Jacquot dans la paroisse sonne le renouveau du grand calvaire. Aidé par son vicaire, il entreprend de relever le calvaire et sculpte lui-même certaines statues afin de constituer un ensemble harmonieux. Porté par une inspiration sans limite, il décide d'y ajouter de nouveaux éléments, statues et bas-reliefs. En 1863, il lui adjoint un ossuaire.

 

Le calvaire est réalisé en pierres de taille de granit, d'un ton beige à grain fin, extraites des carrières de Guéhenno. La qualité du granit permet un travail de la pierre très précis et offre des possibilités d'ajourement et de refouillement étonnantes. De nouveau restauré en 2002, à partir des techniques minutieusement décrites par l'Abbé Jacquot le calvaire de Guéhenno fait partie de l'association des 7 calvaires monumentaux de Bretagne.

 

Le calvaire et l'ossuaire du cimetière de Guéhenno font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 24 janvier 1924

  

La Tour de la Sacristie :

L'église est flanquée au nord-est et au nord-ouest de deux tours. On rapprochera ce parti d'ensemble de celui de certains "châteaux gascons" contemporains, caractérisés par une "salle" unie à deux tours. La plus monumentale des deux tours de La Romieu est celle de l'est, de forme octogonale. Peut-être doit-on évoquer à son sujet l'exemple du château que les sires de Firmacon avaient fait construire, non loin de là, au Mas d'Auvignon. Epaulée par six vigoureux contreforts, la tour de La Romieu comporte 3 belles salles superposées, voûtées d'ogives et éclairées par des fenêtres étroites. On passe d'un étage à l'autre à l'aide d'un escalier à vis enfermé dans une tourelle carrée. Traditionnellement on identifie la salle inférieure avec la sacristie (c'est encore sa destination actuelle), la seconde avec la salle capitulaire et la troisième avec la salle des archives, l'ordre des deux dernières étant parfois interverti. Couronnant l'ensemble, un belvédère, ajouré sur chacune de ses faces de 2 grandes fenêtres tréflées, annonce les constructions aériennes qui se développeront dans les parties hautes des châteaux forts à la fin du XIVe siècle. Il est surmonté d'une balustrade découpée de petites roses. Probablement les 3 salles étaient-elles peintes, mais seule la sacristie a conservé son décor. Dans les compartiments de la voûte, 16 anges tiennent les couronnes, jouent de la trompette ou balancent un encensoir. La tête nimbée de rayons, selon une formule très répandue dans le Sud-Ouest de la France à la fin du XIIIe siècle et dans la première moitié du XIVe, ces silhouettes gracieuses se détachent sur un fond blanc. Sur les murs des quadrilobes renfermant des écussons armoriés, le plus souvent indistincts, alternent avec des octogones. Ceux-ci portent dans les rangées inférieures des personnages à mi-corps et dans les parties hautes des murs un décor abstrait.

Cette photo a joué à

Quel est ce lieu?

Église romane du 12e siècle sans doute construite par les moines bénédiction de Cluny.

Elle se compose d’une nef unique voûtée d’un berceau brisé, que trois doubleaux partagent en deux travées.

Le clocher, de plan carré et d’aspect trapu ,s’élève sur la travée de chœur. Il est ajouré sur trois faces (est, nord, sud) de deux bases appareillées en plein cintre. A l’ouest, une seule et large baie a été percée.

L'abside est ornée d'arcatures lombardes.

www.bourgogneromane.com/edifices/germagny.htm

 

A quelques pas de l’église se dresse un curieux monument, la Lanterne des Morts. Elle date du XIIème, présente la forme d’une tourelle avec au sommet un pavillon ajouré de plusieurs ouvertures d’où rayonnait la lumière de la lampe hissée chaque soir à son sommet. Elle surgit du passé, simple, mystérieuse et mélancolique. Comme la lumière des cierges, elle marquait la dévotion des vivants aux morts qui dormaient dans le cimetière à ses pieds. Elle éclairait la nuit inquiétante, chassait les mauvais esprits, rassurait le voyageur attardé dans les ténèbres et indiquait aux marins naviguant sur l’Allier leur position.

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Tights : Izzie's - Chevron Tights beige.

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Beret : ::C'est la vie !:: Aime Beret. In main store.

 

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Hair : Exile:: Hazel. At The Fifty

Skin and blush : [Glam Affair] Clover [Lelutka EvoX] Blush. At Dubai Event.

Eye makeup : Shiny Stuffs EvoX Gothic Disco 6 75%

 

Decor :

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Édifice sans transept dont la nef à un seul vaisseau compte quatre travées. Jusqu'au XIXe siècle, une tribune en occupait une bonne partie. Le fronton est de style roman ainsi que le clocher, célèbre par son style ajouré. Le portail occidental, particulièrement remarquable, est entouré de nombreuses colonnes et surmonté de cinq voussures finement sculptées. Cette église caractéristique du roman saintongeais est généralement qualifiée de "perle de la Saintonge". Les murs portent la trace des différentes périodes : certaines parties sont en moellons alors que d'autres sont constituées exclusivement de pierres de taille.

Inspirée des chalets suisses d’Arenenberg où l’empereur passa son enfance, il fut achevé en 1864.

 

Un E, en ferronnerie, initiale de l’impératrice surmontée de la couronne impériale, orne l’imposte de la porte d’entrée. Cette lettre rappelle à qui il était destiné. Son élégante architecture, avec sa dentelle de bois sur la corniche, ses pignons ajourés de trèfles décoratifs, ses balcons à balustres, ses pièces de réception, sa dizaine de chambres et ses ouvertures sur le parc ne suffirent pas à séduire la noble épouse bafouée. Eugénie de Montijo ne revint jamais à Vichy.

Le pont Centralbron (à gauche) avec, en arrière-plan, le clocher ajouré de la Riddarholmskyrkan, située au Birger Jarls Torg 2, sur l’île Riddarholmen, et la silhouette rouge-vin du Stadshuset, l’hôtel de ville, au Hantverkargatan 1, à Stockholm, la capitale de Suède.

 

Une vue à partir de la terrasse surélevée près de l’échangeur Slussen, un secteur qui a été très transformé depuis et a été renommé Guldgränd.

 

La Riddarholmskyrkan date de 1280 et faisait partie d’un couvent franciscain. Au fil des siècles, plusieurs chapelles funéraires ont été ajoutées à l’édifice, mais ce n’est qu’après le grand incendie de 1835 que fut érigée la spectaculaire flèche de béton ajourée qui donne l’illusion d’un ouvrage de dentelle noire. Elle fait partie des symboles caractérisant la ville de Stockholm. Elle est visible et reconnaissable de toutes les îles de la ville.

 

Situé au débouché de Burnhusviken dans le lac Mälaren, l'hôtel de ville Stadshuset étale ses façades de brique rouge "Renaissance italienne" que domine la haute tour d'angle carrée (106 m). L'édifice conçu vers 1900 par Ragnar Östberg fut le projet architectural du 20e siècle à Stockholm, un parfait exemple du style architectural appelé "romantique national" devenu le symbole de la ville. Surmontant la tour de 106 m, on voit la lanterne "Tre Kronor" d'or du 14e siècle, symbole héraldique de la Suède depuis cette époque.

 

Stockholm, la capitale de la Suède, est située sur un vaste archipel de la mer Baltique, comprenant 14 îles et plus de 50 ponts. Les rues pavées et les bâtiments de couleur ocre de Gamla Stan (la vieille ville) abritent la cathédrale de Storkyrkan du 13e siècle, le palais royal de Stockholm et le musée Nobel, consacré au prix Nobel. Des ferries et des bateaux de tourisme transportent les passagers entre les îles.

Pour le superbe porche, en bois ajouré et peint

Eglise Saint-Serge de Radonège, 93 rue de Crimée Paris 19e

 

"Cette paroisse protestante du XIXe siècle, qui était à l'abandon en 1918, a été acquise le jour de la fête de Saint-Serge par l’Eglise orthodoxe russe. Elle en prit donc le nom. Avant la guerre, elle accueillait de nombreux émigrés allemands qui laissèrent place, après la Révolution de 1917, aux réfugiés russes arrivés à Paris. Située dans le quartier des Buttes-Chaumont, l'église est protégée par un îlot de verdure. L'extérieur offre aux visiteurs curieux un porche ouvragé en bois coloré. L'intérieur de l'église a été décoré par le peintre russe Dimitri Semionovitch Stelletsky dans le style néo-gothique russe..."

 

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Important édifice du XVe siècle ayant conservé un clocher en granit à campanile ajouré, suivant le type des clochers bretons. Des restaurations portent les dates de 1608 et 1662. Les sacristies et la chapelle de fonts baptismaux sont modernes. L'église est couverte par une charpente apparente qui conserve, par endroit, des fragments de sablières, d'entraits et abouts de poinçons sculptés. Le porche nord est voûté en pierre. Au-dessus de ce porche, se trouve une salle. La clôture du choeur est formée de balustres tournés du XVIIe siècle. Dans cette balustrade, au transept nord, ont été incorporés treize panneaux en bois, sculptés et peints, représentant la Passion, depuis la Cène jusqu'à la Résurrection.

Jeudi 22 Avril 2021 – Autoroute A3 en direction de Paris, toujours autant de trafic, en même temps difficile pour ces routiers de faire du télétravail... (font pas d’effort non plus...)

Important édifice du XVe siècle ayant conservé un clocher en granit à campanile ajouré, suivant le type des clochers bretons. Des restaurations portent les dates de 1608 et 1662. Les sacristies et la chapelle de fonts baptismaux sont modernes. L'église est couverte par une charpente apparente qui conserve, par endroit, des fragments de sablières, d'entraits et abouts de poinçons sculptés. Le porche nord est voûté en pierre. Au-dessus de ce porche, se trouve une salle. La clôture du choeur est formée de balustres tournés du XVIIe siècle. Dans cette balustrade, au transept nord, ont été incorporés treize panneaux en bois, sculptés et peints, représentant la Passion, depuis la Cène jusqu'à la Résurrection.

L'église de Saint-Marc est un lieu de culte à l'origine de tradition catholique érigé en 1955 et 1956. L'édifice présente un plan en croix latine terminé par un chevet plat. Les deux versants du toit en béton plissé se prolongent jusqu'aux fondations. De forme triangulaire, la façade et la moitié supérieure des deux extrémités du transept sont vitrées et constituent les seules ouvertures sur la nef. Le clocher hors oeuvre en béton se compose de trois triangles ajourés, disposés en « Y » et couronnés d'une croix. Le lieu de culte est situé dans un quartier résidentiel du secteur Bagotville, dans l'arrondissement de La Baie de la ville de Saguenay.

 

Ce bien est classé immeuble patrimonial. Il fait aussi partie du site du patrimoine du Noyau-Institutionnel-de-Saint-Marc-de-Bagotville, cité par la municipalité et comprenant également le presbytère, la statue de saint Marc écrivant l'Évangile, l'école primaire Georges-Vanier, l'Atelier des Arts et un parc.

  

L'église de Saint-Marc est construite afin de desservir un nouveau secteur résidentiel de Bagotville, alors en pleine expansion. Après la Seconde Guerre mondiale, le Saguenay-Lac-Saint-Jean connaît une croissance urbaine importante. Celle-ci est due à une économie florissante particulièrement liée aux industries de l'aluminium, des pâtes et papiers ainsi qu'aux activités portuaires en eaux profondes. À Bagotville, le rôle de l'aéroport et de la base militaire, aménagés en 1942, se diversifie. La paroisse de Saint-Marc est érigée canoniquement le 2 juillet 1953. Une chapelle temporaire est bâtie jusqu'à l'ouverture de l'église en 1956.

 

La conception de ce lieu de culte avant-gardiste du point de vue liturgique et architectural découle de la rencontre du prêtre Charles-Auguste Boily (1909-1975) et de l'architecte Paul-Marie Côté (1921-1969). Originaire du Saguenay, ce dernier revient pratiquer dans la région après ses études à l'École des beaux-arts de Montréal. Côté est un acteur important de l'architecture religieuse moderne au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Les plans de l'église de Saint-Marc prévoient, entre autres, un autel face aux fidèles, pratique qui ne devient officielle qu'après le concile Vatican II. Cette assemblée qui se tient de 1962 à 1965 vise à réévaluer les positions de l'Église dans une société en transformation. Le renouveau liturgique prône, notamment, une participation plus active des fidèles lors des célébrations. Dès sa construction, l'église de Saint-Marc attire l'attention à travers le Canada à cause des techniques utilisées, de sa dalle de béton plissé et de sa forme novatrice. Elle fait l'objet de nombreux articles de journaux et de revues spécialisées. L'édifice est précurseur des lieux de culte québécois de tradition catholique des années 1960 et 1970.

 

Au cours des années suivant sa construction, quelques éléments ornementaux complètent l'église. En 1959, les cloches et la statue de Mario Mauro (1920-1985), représentant saint Marc écrivant l'Évangile, sont installées. Un an plus tard, un crucifix, un chemin de croix sculpté en Italie par Ferdinand Parathoner ainsi que des statues de saint Joseph et de la Vierge viennent orner l'intérieur. Les fonts baptismaux de Claude Grenier sont bénis en 1961. L'école Georges-Vanier, qui rappelle l'architecture du lieu de culte et aussi élevée selon les plans de Paul-Marie Côté, s'ajoute à l'ensemble en 1962. Par la suite, quelques interventions sont effectuées sur l'église, dont divers travaux de réfection sur la toiture (notamment le recouvrement du béton par une tôle ondulée) ainsi que le réaménagement intérieur comprenant l'agrandissement du choeur, la modification du maître-autel, le retrait de la table de communion, le déplacement de l'orgue et la transformation des fonts baptismaux.

 

Le noyau institutionnel composé de l'église de Saint-Marc, du presbytère, de la statue de saint Marc écrivant l'Évangile, de l'école primaire Georges-Vanier, de l'Atelier des Arts et d'un parc est constitué site du patrimoine en 1991. Le culte catholique est célébré dans l'église jusqu'en 2006, date de la fusion des paroisses Saint-Marc et Saint-Alphonse. Le bâtiment est alors vendu à La Bible parle-Saguenay, une communauté évangélique.

 

L'église de Saint-Marc est classée en 2009. Le site du patrimoine du Noyau-Institutionnel-de-Saint-Marc-de-Bagotville est devenu un site patrimonial cité à l'entrée en vigueur de la Loi sur le patrimoine culturel en 2012.

  

Source: www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode...

Au centre du chœur, le tombeau de Philibert ii est dit « moderne » car il comprend deux niveaux : en haut, le prince de Savoie en tenue officielle, dit « au vif », et en bas, le simple mortel, nu dans son linceul, appelé « transi ».

 

Pour permettre aux sculpteurs de réaliser leur travail avec le plus de ressemblance possible, des portraits peints et sculptés sont envoyés à Brou. Le gisant de Philibert « au vif » nous présente ainsi le jeune duc, la tête tournée vers sa femme et les mains orientées vers sa mère, revêtu de ses habits d’apparat et du collier de l’ordre de l’ Annonciade, les pieds appuyés sur un lion, symbole de force.

 

Des « enffans » ou putti (à la mode italienne) tiennent l’écu de Savoie et le heaume de Philibert. À l’étage inférieur, le soubassement ajouré (typiquement flamboyant) laisse deviner le transi. La petite statuaire qui entoure le tombeau a été réalisée par un atelier flamand implanté en terre de Bresse à partir de 1513.

Ces gracieuses jeunes femmes vêtues à la mode brabançonne sont en fait des sibylles, c’est-à-dire des prophétesses de l’Antiquité, qui auraient prédit la vie du Christ. Parmi elles, la plus célèbre est sans doute Agrippa, jeune femme à la longue tresse et à la tournure élégante, sur la robe de laquelle on devine un fouet censé évoquer la flagellation du Christ

Halle construite entre 1825 et 1828 par l'architecte Fragneau.

Elle se situe au centre de la place triangulaire qu'entourent des maisons dont le rez-de-chaussée forme galerie couverte, localement appelée "Enbans". De plan circulaire, la halle comprend deux parties. Un portique extérieur soutenu par vingt colonnes. Un noyau central ajouré de huit arcades sur lesquelles s'élèvent une lanterne qu'éclairent quatre fenêtres.

Eglise qui représente un exemple notable de l’architecture arabo-normande qui a fleuri en Sicile sous la domination normande. Cette église est rattachée à celle de Santa Maria dell’Ammiraglio.

L'extérieur présente un parement de maçonnerie compact en grès adouci par des arcs aveugles partiellement occupés par des fenêtres et des embouts ajourés. Au sommet, le profil solennel des trois dômes rouges caractéristiques en forme de bulbe et des merlons de style arabe forme un contraste chromatique harmonieux avec la monochromie sévère des murs. Une telle méthode de construction se trouvait plus fréquemment dans les Pouilles, dont les églises ont probablement servi de modèle à San Cataldo. L’arête supérieure du cube est décorée avec une bande circonférentielle inscrite en calligraphie coufique. Ceci est typique de l’architecture arabo-normande unique à la Sicile. Le plan de l’église montre la prédilection des Normands, issue de leur organisation militaire, pour les formes simples et graves. Par ailleurs, le bâtiment montre combien la langue de l’architecture normande était internationale à cette époque, tout comme le vocabulaire qui marque les parties de l’église, comme le clocher, peuvent être comparés aux bâtiments contemporains, comme l’abbaye aux Dames à Caen, en Normandie, ou la cathédrale de Durham en Angleterre. Dans le même temps, l’église présente des caractéristiques typiques de l’architecture islamique, comme la préférence pour les formes cubiques, les arcatures aveugles qui articulent les murs extérieurs de l’église et le toit sphérique typique à dômes rouges. L'architecture de l'Église San Cataldo est une architecture arabo-normand.

 

Eglise qui représente un exemple notable de l’architecture arabo-normande qui a fleuri en Sicile sous la domination normande. Cette église est rattachée à celle de Santa Maria dell’Ammiraglio.

L'extérieur présente un parement de maçonnerie compact en grès adouci par des arcs aveugles partiellement occupés par des fenêtres et des embouts ajourés. Au sommet, le profil solennel des trois dômes rouges caractéristiques en forme de bulbe et des merlons de style arabe forme un contraste chromatique harmonieux avec la monochromie sévère des murs. Une telle méthode de construction se trouvait plus fréquemment dans les Pouilles, dont les églises ont probablement servi de modèle à San Cataldo. L’arête supérieure du cube est décorée avec une bande circonférentielle inscrite en calligraphie coufique. Ceci est typique de l’architecture arabo-normande unique à la Sicile. Le plan de l’église montre la prédilection des Normands, issue de leur organisation militaire, pour les formes simples et graves. Par ailleurs, le bâtiment montre combien la langue de l’architecture normande était internationale à cette époque, tout comme le vocabulaire qui marque les parties de l’église, comme le clocher, peuvent être comparés aux bâtiments contemporains, comme l’abbaye aux Dames à Caen, en Normandie, ou la cathédrale de Durham en Angleterre. Dans le même temps, l’église présente des caractéristiques typiques de l’architecture islamique, comme la préférence pour les formes cubiques, les arcatures aveugles qui articulent les murs extérieurs de l’église et le toit sphérique typique à dômes rouges. L'architecture de l'Église San Cataldo est une architecture arabo-normand.

La chapelle Saint-Conogan ou « de Lescogan » est située dans un environnement verdoyant sur le bord du chemin reliant le village de Lescogan à celui de Kersquivit.

 

Il s’agit d’un édifice en granite présentant une forme de croix latine et un chevet plat. Long d’environ quinze mètres et large d’une dizaine de mètres au transept, il possède un clocheton ajouré orné de nombreuses têtes de personnages variés accessible par un escalier extérieur aménagé sur le rampant nord.

Pour Louis XV, deux couronnes furent réalisées : une en or émaillé et l'autre, conservée au Louvre, en argent doré et ornée de pierreries. Cependant, en 1729, cette dernière fut dépecée et on remplaça les pierres d'origine par des copies. La couronne ne servait qu'à l'occasion du sacre et reposait à l'abbaye de Saint-Denis avec les autres instruments de cérémonie, appelés regalia.

 

La Couronne de Louis XV est composée d'une calotte de satin brodé et cerclée d'une structure métallique d'où partent des arceaux ajourés surmontés d'une fleur de lys. Le bandeau est ceint de deux files de perles et de huit pierres de couleur (saphirs, rubis, topazes et émeraudes) alternant avec des diamants. Le départ des arceaux est marqué par des fleurs de lys formées par cinq diamants. Le célèbre Régent, acheté quelques années avant le sacre, orne la fleur de devant. Les huit diamants quadrangulaires qui constituent le sommet des fleurs appartiennent à la série des dix-huit Mazarins. Enfin la couronne est également surmontée d'une fleur de lys faite de feuilles d'acanthe en argent comportant dix-sept diamants complétés par le Sancy. Sur la calotte sont cousus ving-quatre autres diamants. En 1729, perles et pierres précieuses furent remplacées par des copies à la demande de Louis XV. Au total, la couronne comportait 282 diamants (161 grands et 121 petits), 64 pierres de couleur (dont 16 rubis, 16 saphirs et 16 émeraudes) et 237 perles.

 

On connaît deux descriptions de cette œuvre : la première publiée par Le Mercure, un mois après le sacre, en novembre 1722, et la seconde servant de légende à une gravure de Sébastien Antoine. Celle-ci signale bien que la couronne était ornée de 64 pierres de couleur mais elle ne mentionne que 273 diamants et indique quelques variantes par rapport à l'état connu aujourd'hui. Il est donc possible que l'aspect actuel ne soit pas tout à fait fidèle à la composition d'origine et que les différences soient la conséquence de la restauration faite par le joaillier M. Maillard en 1780. Bien qu'ornée de pierres factices et malgré les légères modifications subies, la couronne personnelle de Louis XV nous révèle le faste des cérémonies royales ainsi que la virtuosité des joailliers du XVIIIe siècle.

Allier ~ Auvergne

Bourbonnais

 

Le château du XII ème siècle, possession des d’Arfeuilles fut démoli en 1880, à l’exception de la tour nord très remaniée. Sur son emplacement, le comte d’Arfeuilles fit construire la demeure actuelle dans le style néo gothique, sur les plans de Jean Moreau. Bâtie sur une éminence, la façade ouest domine la vallée de l’Allier. Le château présente un plan en L, à un étage et combles aménagés en surcroît. Il est flanqué à l’angle nord est de la tour circulaire du XII ème siècle, couronnée d’un chemin de ronde sur mâchicoulis et coiffée d’une poivrière terminée d’un lanternon. L’angle nord-ouest est occupé par une tourelle ronde contenant, au rez de chaussée, la première travée d’une chapelle qui se poursuit vers le nord par un chevet à pans.

 

L’entrée s’ouvrait primitivement au centre de la façade ouest mais elle fut reportée au XX ème siècle au pied d’un pavillon carré accolé à l’angle sud du château. La façade postérieure est animée par une aile en retour terminée par un mur pignon; elle forme un angle rentrant dans lequel est logé un porche surmonté d’une terrassé a garde corps ajouré. Dans l’autre angle, formé par la jonction de cette aile et du pavillon sud, s’élève une tourelle ronde plus haute que les autres bâtiments. Le toit d’ardoise est éclairé par d’importantes lucarnes à fenêtres

pendantes.

Ce château sera la résidence d’été du maréchal Pétain en 1944.

www.allier-hotels-restaurants.com/poi/chateau-du-lonzat-2/

Le musée d'art moderne Louisiana se trouve dans l'agglomération d'Humlebæk au Danemark. Il se trouve à une demi-heure de Copenhague en voiture.

 

La maison du XIXe siècle ornée de balcons ajourés qui accueille le musée s'appelait au départ Louisiana et c'est de là que le musée tire son nom. Elle abrite l'administration.

 

Le musée fondé par Knud W. Jensen a été inauguré en 1959. Il est constitué de galeries modulables, construites les unes après les autres.

Eglise Saint-Serge de Radonège. Le lieu de culte est à l'étage, au rez-de-chaussée, c'est une salle paroissiale + une bibliothèque

 

L'église était un temple protestant luthérien jusqu'à la fin de la Première Guerre Mondiale. Vendue aux enchères après la guerre, elle est rachetée par l'Eglise orthodoxe russe le jour de la Saint Serge de Radonège dont elle prend alors le nom. Des modifications seront effectuées dont la plus spectaculaire est l'ajout de ce proche en bois ajouré et peint. L'intérieur de l'église est réaménagé et décoré par le peintre russe Dimitri Semionovitch Stelletsky dans le style néo-gothique russe.

Situé au cœur de la vallée de l'Ubaye, à flanc de montagne, le château des Magnans, extraordinaire « villa mexicaine » a été construit par Louis Fortoul, fondateur de Las Fabricas de Francia à Guadalajara, entre 1903 et 1914.

Conçue par l’architecte Ramelli, « érigée sur un puissant soubassement de moellons à bossages rustiques, l’imposante silhouette blanche rappelle le palais de Monaco et certains palais seigneuriaux des villes italiennes (on pense aussi au château de Neuschwanstein de Louis II de Bavière). Elle concentre sur l’élévation méridionale tous les éléments d’une architecture gothique de fantaisie : tour carrée surmontée d’un belvédère, galerie supportée par de faux mâchicoulis, tourelle crénelée et baies trilobées, jumelées ou triplées sous des arcs de décharge moulurés. (...)

Un escalier monumental extérieur double, à volées droites et garde-corps ajouré, met en scène l’accès principal.

A l’intérieur, une monumentale verrière éclaire la cage d’escalier. Œuvre néogothique du peintre-verrier grenoblois Louis Balmet, elle s’insère dans la logique de pastiche archéologique du programme architectural ».

Le château est aujourd’hui une résidence d’hôtes.

www.grandsudinsolite.fr/1956-04-alpes-de-haute-provence-l...

 

Pour ses façades et toitures ainsi que l'escalier extérieur, le château des Magnans fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 2 juin 1986.

Comme dans de nombreuses bastides, vous la trouverez à l’angle nord-est de la place centrale entourée de « cornières » (ce sont les couverts en Guyenne).

Ce qui reste de l’église originelle bâtie en 1250, la base de ses murs et le portail typique du gothique agenais. Il faut dire que sa situation intégrée à l'enceinte de la ville lui créa quelques désagréments lors des différents conflits et en particulier des guerres de religion. Puis, le manque d’entretien du aux difficultés économiques du XVIIe siècle firent que les voûtes de la nef s’effondrèrent ! L'église n’est restaurée qu’en 1715. Le clocher prend son aspect de postiche de fortification en 1923. Ca ne l’empêche pas d’être foudroyé à peine reconstruit ! . Le chevet est ajouré pour y placer des vitraux. le vitrail du haut – est l’œuvre d'un maître verrier de Bordeaux -et les trois du bas en dalle de verre réalisés par les Pères Bénédictins d'Encalcat dans le Tarn.

Le portail Notre-Dame s'ouvre sur la deuxième travée de la nef, côté nord, face à l'abside de la chapelle Notre-Dame-la-Ronde. L'essentiel de son décor doit dater du dernier quart du XIIIe siècle. Le tympan est ajouré avec une rose suivant le type rémois et le linteau n'est pas sculpté.

 

Le soubassement des piédroits et des contreforts situés de part et d'autre sont sculptés en partie basse avec des draperies, et, au-dessus, une suite de compartiments en losanges à gauche, avec des figures fantastiques, en rectangles à droite, contenant des scènes historiées tirées de l'histoire de David, de l'impératrice Hélène, de sainte Marguerite et de saint Étienne. La plupart de ces panneaux sont d'origine.

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