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After conducting multiple studies on all ranges of military weapons after the Achaian-Axis of Edge War and subsequent round up actions (establishing Firm senate control and what not) Achaian military minds and scientists issued a report to the senate, which found its way to Big Gun Vic, whom is nothing more than a senator himself ~~though through multiple attempts to centralize power around himself, some may say he IS the senate~~ This report made special note of the effectiveness of the 20mm anti tank guns on the lighter tankkets and Light tanks. It was also noted that the breakthrough tanks used, Achaian S-47 Medium tanks, were still not completely immune to anti tank fire. Another consideration was the construction of other, small gun nations and oilets so called “heavy” tanks. To think nations, ones that did not win wars like Big Vic does, where mocking BGVs supremely disciplined and eager Achaian soldiers, along with the Achaian defenders, who fight for the oldest republic in the world, the defense of their homeland, and glorification in their history books. Even though some treaty forbade him from it, BGV didn't read it right and ordered the construction of the world largest tank, combining the two separate projects the GoG - 2 and the BGV - 1 into what you see, the Biggus Vicus - 3.
P and Q
Long Range Radio (+1) This vehicle has a top-tier radio, and can communicate with friendlies at longer ranges. Multiplies cost by 1.1, round up in all cases.
Not OSHA Compliant (-1): Does the breech block have potential to pulverize you if you get behind it? Does live ammunition sit under your gunner’s seat? Are there fuel tanks placed next to the driver? This vehicle is not very safe for the crew to operate and may kill the crew in situations where other tanks won’t, but at least you save money! Divides production by 1.1, round down in all cases.
Thats all you need to Know :^)
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Tandis le soleil se met en couche, la rame TGV-R 501 en vitesse sur la LN 8 / LGV-Est, assure le TGV inOui 2524 Strasbourg - Paris Est avec un arrêt en gare de Champagne-Ardenne TGV.
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Bonhams Grand Palais Paris
1947 Delage D6 3 litres compétition Grand Prix/Sport biplace
Ex-Phillippe Ãtancelin, Maurice Trintignant, August Veuillet, Charles Pozzi
Châssis n° 880003
Nous sommes absolument ravis d'offrir une voiture de compétition française classique, dans un état magnifique, issue de cette période si romantique de la résurrection du sport automobile au lendemain du grand traumatisme causé par la seconde guerre en Europe. Dans un climat de reconstruction marqué par les rigoureuses pénuries de l'après-guerre â dans laquelle la récession privait de tout ce qui est considéré aujourd'hui comme indispensable à la vie quotidienne â un noyau dur de passionnés de sport automobile cherchait la joie et la gaité libératrice et l'occasion tant attendue de reprendre la compétition automobile.
Au cours de cette époque, la grande confrérie du sport automobile, en France, en Belgique, en Italie et au Royaume-Uni, se retrouvait pour mettre en pratique toutes les vieilles recettes, et quelques-unes fraîchement improvisées, pour naviguer entre les restrictions, les pénuries et les tracasseries administratives de l'après-guerre, pour gagner une existence qu'ils espéraient fructueuse, grâce à leurs activités en compétition. En Europe continentale, la fourniture de pneus, d'huile, de bougies et même d'essence pour la compétition était extrêmement limitée. La situation au Royaume-Uni était un peu meilleure, notamment en ce qui concernait les pneumatiques, l'essence et l'huile, et la plupart des équipes britanniques qui se déplaçaient se rendait place de la Madeleine, à Paris, où elles faisaient une première étape à chacune de leur tournée européenne, afin de vendre à des passionnés français, volontaires et entreprenants, leurs pièces de rechange, souvent à moitié usées, des pneus, des bougies et même de l'essence et de l'huile. Les affaires se faisaient au prix fort, toujours en liquide, et tandis que les équipes britanniques poursuivaient en utilisant leur papier-monnaie pour payer leurs frais, les équipes françaises, tout particulièrement, préparaient fébrilement leurs voitures pour courir avec ces fournitures toutes fraîches.
C'est dans ce climat que les automobiles Delage de l'écurie Watney, comme le magnifique exemplaire présenté ici, allaient courir après la guerre. En 1938-1939, Delage avait gagné à Donington Park et terminé second aux 24 Heures du Mans. Après la guerre, la marque Delage réapparut sur la scène de la compétition automobile, sous la houlette de l'homme d'affaire parisien Walter Watney.
La voiture châssis n°880003, proposée aujourd'hui à la vente, faisait partie d'un lot de seulement cinq voitures semblables, préparées par l'usine Delage pour son retour à la compétition. Elle fut engagée au cours des saisons 1947 à 1949 comme voiture d'usine dans des épreuves telles que le Grand Prix de Pau et le Grand Prix de Belgique 1947, les 24 Heures de Spa et les 12 Heures de Paris 1948 et les 24 Heures du Mans 1949. Durant cette période, elle fut confiée à de grands pilotes français, des vedettes comme Philippe 'Phi-Phi' Ãtancelin, futur vainqueur au Mans et au Grand Prix de Monaco sur Ferrari et Cooper, Maurice Trintignant, l'importateur Porsche en France Auguste Veuillet et par le futur importateur Ferrari Charles Pozzi.
Inutile de présenter l'illustre marque Delage. Sous la direction de son fondateur Louis Delâge, elle fut, pendant plusieurs décennies, le véritable joyau de la couronne de l'industrie automobile française. Sous la direction dynamique et novatrice de Louis Delâge, la marque fit connaître son nom au monde entier dès 1906 dans la Coupe de L'Auto des voiturettes. En 1913, Delage présenta son premier six cylindres en ligne et la marque sortit de la Grande Guerre 1914-1918 suffisamment forte pour s'engager dans un ambitieux programme de compétition en Grand Prix, tandis que Louis Delâge lui-même confirmait sa sulfureuse réputation de noceur, toujours accompagné des plus belles jeunes femmes de la société Parisienne. Il s'acheta un somptueux château à la campagne, une luxueuse maison de ville à Paris et, bien sûr, un yacht sur la Côte d'Azur. Au cours des années 1920, Delage offrit dix-sept moteurs différents, à quatre, six et huit cylindres, et quelque sept voitures de course différentes dont le point culminant fut la fabuleuse 8 cylindres en ligne suralimentée de 1500 cm3 qui domina outrageusement les saisons de Grands Prix 1926 et 1927.
Mais la grande marque vacilla et finalement tomba pendant la grande dépression de 1929-1933, se retrouvant insolvable en 1935. Walter Watney, son distributeur pour la région parisienne, acquit les droits de la marque, ses projets et ses avoirs pour 2 millions de francs, mais, réalisant que continuer à construire des voitures n'était pas dans ses moyens, il en céda la production à Delahaye.
Toujours est-il que la Delage personnelle la plus raffinée de Walter Watney qui était équipé d'un moteur D6 3 litres conçu par Michelat et monté dans un châssis Delahaye 135, impressionna le jeune fils de Louis Gérard, 'le roi des machines à sous de Paris' à l'époque. Gérard père la lui acheta âla payant en sacs de pièces de 20 centimes, dit-on â et il l'engagea aussitôt dans un programme de courses pour le plaisir et le profit.
Il pilota sa Delage en compagnie de Jacques de Valence aux 24 Heures du Mans 1937 où il termina quatrième en remportant la classe 3 litres. Il gagna ensuite le Tourist Trophy du RAC britannique en 1938 à Donington Park et amena Watney à suivre son exemple en ramenant Delage à la compétition à peu de frais.
Watney fit construire et préparer deux Delage D6-70 de compétition, profondément modifiées et préparées par son directeur technique, Antoine Pinier, équipées de moteurs de 2988 cm3 à trois carburateurs, de 150 ch. Les voitures coururent sous les couleurs de l'écurie Walter Watney, avec Gérard et Georges Monneret comme pilotes habituels. Une carrosserie deux places, austère et légère, fut réalisée à la main pour les deux voitures par OLD (Olivier-Lecanut-Deschamps), avec des ailes motocyclettes amovibles et un éclairage pour la route qui permettaient aux D6-70 de courir aussi bien en Grand Prix qu'en Sport dans les courses d'endurance.
Au Mans en 1939, Gérard et Monneret terminèrent seconds au classement général et remportèrent la classe 3 litres. Pour les Mille Miglia de 1940, bien que la France soit déjà en guerre, les Delage de l'écurie Watney furent confiées aux équipages italiens Piero Taruffi/Luigi Chinetti et Gianfranco Comotti/Archimede Rosa, mais tous deux abandonnèrent.
En tout, seulement sept de ces Delage D6 3 litres furent construites, les deux voitures d'avant-guerre, suivies par cinq autres D6-70 après la guerre, dont la voiture proposée ici fait partie. Leur conception et leur construction solides â associées à leur puissance élevée, leur tenue de route et leur freinage â en faisaient de redoutables concurrentes tant en Grand Prix qu'en endurance.
Pesant environ 900 kg prête à courir, 880.003, telle qu'elle se présente ici, peut dépasser les 220 km/h. Au cours de la saison 1947, cette Delage alors neuve est, pense-t-on, celle qui fut pilotée par Ãtancelin/Henry Grignard au Grand Prix de Pau. Elle fut ensuite pilotée par Ãtancelin à Perpignan, Marseille et Nîmes, puis par René Achard à Saint-Hélier, sur l'île de Jersey, avant que le grand Maurice Trintignant ne la reprenne pour le Grand Prix de Suisse à Berne (où il termina septième) et le Grand Prix de Belgique à Spa-Francorchamps (une excellente 5e place). Au Grand Prix de la Marne, sur le circuit de Reims-Gueux, Trintignant/Henri Louveau se partageaient 880.003.
La voiture fut achetée par Auguste Veuillet en 1948. Ses résultats avec la voiture comprennent une belle 4e place au 24 Heures de Spa où il partageait la voiture avec Varet, tandis qu'il apparaissait aussi à son volant à Chimay, au Grand Prix de Paris et aux 12 Heures de Paris à Montlhéry. Veuillet conserva la voiture en 1949, la partageant avec Mouche au Mans dans le premier Grand Prix d'endurance de 24 Heures ressuscité après la guerre, puis pilotant seul, il termina second à Sarrebruck et 6e au Grand Prix de l'ACF.
En 1950, cette Delage D6-70 était devenue obsolète face aux nouvelles Sport et aux voitures de Grand Prix qui étaient apparues, mais Veuillet continua d'engager la voiture, termina 9e à Rouen, puis abandonna au Grand Prix de Paris et aux 12 Heures de Paris à Montlhéry.
Auguste Veuillet â qui allait plus tard fonder la fameuse société Sonauto â vendit cette voiture à Charles Pozzi en 1951. Charles Pozzi engagea alors la voiture vieillissante pendant la saison 1951, à la course en ville d'Oporto, au Portugal, où il termina 13e. Par la suite, il la conserva pendant plusieurs années, la conduisant à nouveau pour le rallye Delage en 1966 et au Grand Prix historique de La Baule, jusqu'en 1979. En 1981, elle passa aux mains de Claude Achain et, en 2002, elle fut achetée par le vendeur.
Telle que proposée ici, cette Delage de compétition évocatrice, avec sa provenance exceptionnelle chargée d'émotion et son histoire si romantique â est accompagnée d'un rapport d'expertise du spécialiste Hervé Charbonneaux. Il confirme qu'elle est « dans un état d'origine exceptionnel, le seul exemplaire survivant toujours équipé de sa carrosserie d'époque, avec un historique connu, tant en compétition qu'en collection (Ãtancelin, Veuillet, Pozzi, Achain), depuis son origine. Elle a connu des succès importants, en Grand Prix comme en endurance, entre 1947 et 1951 et a été pilotée par M. Trintignant et P. Ãtancelin... »
Que dire de plus ? Il s'agit d'une voiture de compétition bleu de France particulièrement importante et parfaitement authentique de cette période si particulière des années 1940. C'est une voiture agréable à conduire et avec laquelle courir, elle procurera un grand plaisir et offrira de remarquables performances avec un panache qui fera la joie de n'importe quel acheteur passionné. Son historique limpide et son magnifique pedigree en compétition feront de cette Delage complètement d'origine et parfaitement préservée une concurrente de première importance dans la plupart des manifestations et représente une occasion unique d'acquérir une importante pièce de l'histoire de la compétition française.
Nous recommandons la plus grande considération et l'inspection la plus minutieuse et souhaitons remercier Patrick Delâge et Hervé Charbonneaux pour leur aide précieuse dans les recherches sur cette voiture exceptionnelle.
Cyperacée de 50 cm avec des tiges triangulaires et sans poils à l’exception de quelques piquants. Feuilles ressemblent à de l’herbe et rugueuses au toucher. Inflorescence de 1-4 épis, ayant chacun 12 -50 épillets, la queues des épis ayant jusqu'à 6 cm. Achaines à trois côtés d'un brun violacé. (cf. wikipédia).
Un groupe de civils dont le garde champêtre avec un képi ? et des Gi's sur un Panzer Tiger I (type E) devant des devantures fermées où on peut lire :
Bonneterie Cavelier-Chauvin, Charcuterie Bellier-Forget.
Le char semble intact, aucune immatriculation visible, peinture de camouflage.
Ce char est stationné devant le 17-19 de la rue Lalouette à proximité du parvis de l'église Notre-Dame au centre ville de Marle (Aisne). (Locaux ancienne Charcuterie ACHAIN).
Voir ici en 2008 :
www.flickr.com/photos/mlq/8202800882/in/photostream
autresphotosnormandie
Selon le livre : "Rückmarsch - Then & Now" de Jean-Paul Pallud:
"Des auteurs ont souvent écrit qu'il appartenait à la s.SS-Panzer-Abteilung 101 mais cette unité était bien loin de là et le camouflage ne correspond pas. Il est possible en fait que ce soit un des trois Tiger de la Panzer-Kompanie (Fkl) 316 attachée en juin 1944 à la Panzer-Lehr-Division "
Voir page 312 aimablement communiquée par l'auteur :
www.flickr.com/photos/mlq/3839477216/
La ville est libérée le 31 août, par le CCB du Col. Truman Everett Boudinot de la 3rd US AD qui y bivouaquera.
Pour en savoir plus :
www.flickr.com/photos/mlq/1327700199/in/pool-autresphotos...
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