f w.
dance serpula
rien n’est vraiment juste, ensuite il y a la création, une salle ouverte contre un mur, des verres entourés de feuilles, sentir les doigts, la pression, les choses que l’on essaye d’abstraire et les choses que l’on essaye de comprendre, ceux qui entendent sont éveillés, une salle et la louange d’une forêt autour, des âmes errantes, des cavités, autrefois avec des bêtes, l’enveloppe de quelques nuages d’expressions glissent sur un drap, le vent attire le vide, un biseau entre les vertèbres traverse le versant, le temple d’un jour se déplie, une heure sans fin, une histoire sans fin, très tard, trop tard, des escaliers qui surmontent, qui emportent les saisons pour pressentir les illusions, les allusions d’illusions jusqu’au bout de la mémoire, la persuasion de l’enfance, l’effort d’un pardon tordu par des visions, coincés entre le poids d’une torche et d’une pénombre écrasées ensemble, les sentiments, contaminés par des veines serpentines, des serpules insidieuses par intervalles qui se palpent et palpitent, interminablement, tandis qu’un lac brun s’absorbe tout entier, m’enserrant les pieds, blêmissant le ciel en même temps, par leur pouvoir d’abandon à tous deux, chargés d’offrir les rêves aux tonnerres et aux sabots,
tu es l’écho soudain.
_
in-stinct II
dance serpula
rien n’est vraiment juste, ensuite il y a la création, une salle ouverte contre un mur, des verres entourés de feuilles, sentir les doigts, la pression, les choses que l’on essaye d’abstraire et les choses que l’on essaye de comprendre, ceux qui entendent sont éveillés, une salle et la louange d’une forêt autour, des âmes errantes, des cavités, autrefois avec des bêtes, l’enveloppe de quelques nuages d’expressions glissent sur un drap, le vent attire le vide, un biseau entre les vertèbres traverse le versant, le temple d’un jour se déplie, une heure sans fin, une histoire sans fin, très tard, trop tard, des escaliers qui surmontent, qui emportent les saisons pour pressentir les illusions, les allusions d’illusions jusqu’au bout de la mémoire, la persuasion de l’enfance, l’effort d’un pardon tordu par des visions, coincés entre le poids d’une torche et d’une pénombre écrasées ensemble, les sentiments, contaminés par des veines serpentines, des serpules insidieuses par intervalles qui se palpent et palpitent, interminablement, tandis qu’un lac brun s’absorbe tout entier, m’enserrant les pieds, blêmissant le ciel en même temps, par leur pouvoir d’abandon à tous deux, chargés d’offrir les rêves aux tonnerres et aux sabots,
tu es l’écho soudain.
_
in-stinct II