IMG_2112BBA OFFICIAL CONTEMPORARY ART: AN ART WITHOUT ROOTS
L'ART CONTEMPORAIN INSTITUTIONNEL : UN ART SANS RACINES
L'art continue dans les ateliers. Ses artistes sont absents des institutions, ignorés des médias, n'ont pas accès à la commande publique et sont exclus des filières de consécration, ils vivent difficilement. Ils sont confronté quotidiennement aux méthodes stupéfiantes, aliénantes et culpabilisantes de "l'art contemporain", seul art légitime.
Aude KERROS L'Art Caché. Les dissidents de l'art contemporain. Eyrolles 2013
"Il faut trouver du sens" Michel Pastoureau. (les couleurs du Moyen Age)
Les Musées d'Art Contemporain font apercevoir un phénomène qui devient vite flagrant, obsédant à partir du moment où le visiteur en a pris conscience : le passé des hommes, l'histoire des civilisations y est totalement absent. C'est une fois encore le même constat : c'est l'inverse des Beaux Arts. Un Anti-Art.
l'Art Contemporain Officiel est un amas de trucs divers qui constituent un étalage de présent, un présent omniprésent totalement coupé de tout environnement spatial ou temporel :
Des toiles unies, colorées ou pas, des lignes, des points, des traits et des cercles, des carrés ou rectangles diversement colorés, et bien sûr des taches, surtout des taches. Des gravats, des tuyaux, des balais, des serpillières, des échelles, des lits, des chaises et tables bancales, des entassements de choses diverses : charbon, pierre, cartons, papiers, plastiques. Des poutrelles rouillées, tordues, cassées, des cartons assemblés, des vêtements et chiffons entassés, des boites ouvertes ou fermées, des machineries cassées ou concassées, des tubulures, poutres de ciment, moellons, parpaings, tuiles, briques entières ou pulvérisées, des tubes de néon, des sacs vides ou des sacs pleins (il paraît que conceptuellement c'est très différent), toutes les sortes de tuyaux (fer, ciment, plastiques), du caoutchouc, des seaux, brocs, pots; des palissades, des téléphones, des machines à écrire emballées ou pas, des éviers, des urinoirs, des vélos, des fruits et légumes, toute une épicerie diverse, comme au super-marché.
Des objets sans identité réelle, sans "personnalité", sans capacité empathique, car ils ne s'inscrivent dans aucun contexte, ni celui de l'utilité, ni celui géographique, ni celui historique.
Rien dans ces musées qui puisse enraciner le visiteur dans l'histoire de sa communauté ou d'une quelconque communauté. Le spectateur est enfermé dans un présent constant, obsédant, terrifiant par son anonymat et son absence de tout repère identitaire. L'art contemporain c'est la maladie d'Alzheimer à l'échelle de la société : chaque instant se succède sans être relié à l'instant d'avant et encore moins à un passé loitain.
L'art contemporain officiel est à l'évidence conçu pour effacer la mémoire des hommes et pouvoir mieux ainsi orienter les restes d'intelligence qui survivront à ce traitement. Il est facile de comprendre pourquoi le public principal de ces musées d'art contemporain sont les élèves des écoles, collèges et lycée.
Cette situation n'est en effet pas le résultat d'un hasard mais d'une volonté politique fondée sur une idéologie parfaitement identifiable : l'idéologie des "Lumières" interprétée au paroxysme de ses extrémismes.
L'art contemporain officiel, celui des musées qui portent ce nom, met en pratique, dans le domaine de l'esthétique, un principe fondamental de l'idéologie des Lumières : La Table Rase. Le passé européen est rétrograde et obscurantiste, c'est le temps des Ombres. Il doit disparaître totalement pour que l'Humanité nouvelle puisse s'épanouir dans la Modernité, que les "Lumières" seules représentent. Les Lumières sont un Nouveau Nouveau Testament. Mais bien plus radical que le Nouveau Testament l'était par rapport à l'Ancien. Ce Nouveau Nouveau Testament renie totalement l'Ancien, et ne cherche pas à se présenter comme sa continuation ou sa rénovation.
Ces "Lumières" sont comme le Coran: il n'existe pas de sociétés valables avant elles et en dehors d'elles. Les racines doivent être totalement coupées entre le passé et le présent des peuples pour ne laisser subsister que la vraie doctrine. Selon les Grands Prêtres du Mondialisme ce serait le prix à payer pour garantir, grâce à la disparition des nations, ethniques et culturelles un avenir radieux, la paix et un paradis sur terre.
La disparition des racines des hommes c'est en effet le même projet que la disparition des Nations.
L'art contemporain officiel est un art spécialement conçu pour les peuples déracinés, émigrés, immigrés, mélangés : rien n'y rappelle leurs origines, leurs cultures spécifiques, leurs anciens territoires. C'est le projet mondialiste en art.
OFFICIAL CONTEMPORARY ART: AN ART WITHOUT ROOTS
Art continues in the workshops. His artists are absent from institutions, ignored by the media, do not have access to public commissions and are excluded from the channels of consecration, they live with difficulty. They are confronted on a daily basis with the astonishing, alienating and guilt-laden methods of "contemporary art", the only legitimate art.
Aude KERROS The Hidden Art. Dissidents of contemporary art. Eyrolles 2013
"Il faut trouver du sens" Michel Pastoureau. (les couleurs du Moyen Age)
Museums of Contemporary Art show a phenomenon that quickly becomes obvious, obsessive from the moment the visitor became awareof it : the past of men, the history of civilizations are totally absent. This is again the same observation: it is the opposite of the Fine Arts. An Anti-Art.
Official Contemporary Art is a cluster of various stuff, that constitute a display of the present, an omnipresent present totally cut off from any spatial or temporal environment:
United paintings, coloured or not, lines, dots, strokes and circles, colorful squares or rectangles, and of course an infinity of stains and lines of all kinds. Rubble, pipes, brooms, mops, ladders, beds, chairs and wobbly tables. Heaps of various things: coal, stone, cardboard, paper, plastics. Rusted, twisted, broken joists, assembled cartons, clothes and rags piled up, open or closed boxes, broken or crushed machinery, tubing, cement beams, rubble, blocks, tiles, Whole or pulverized bricks, neon tubes, empty bags or full bags (it seems that conceptually it is very different), all kinds of pipes (iron, cement, plastics), rubber, buckets, jugs, pots.... Palisades, telephones, typewriters packed or not, sinks, urinals, bicycles, fruits and vegetables, a whole diverse grocery store, like in the supermarket.
Objects without real identity, without "personality", without empathic capacity, because they do not fit into any context, neither that of utility, nor that of geography, nor that of history.
Nothing in these museums that can root the visitor in the history of his community or any community. The viewer is locked in a constant present, obsessive, terrifying by his anonymity and his absence of any identity mark. Contemporary art is Alzheimer's disease at the level of society: every moment follows one without being connected to the moment before and even less so to a lointain past.
The official contemporary art is obviously designed to erase the memory of men and be better able to orient the remains of intelligence that will survive this treatment. It is easy to understand why the main audience of these contemporary art museums are students from schools, colleges and high schools.
This situation is indeed not the result of chance but of a political will based on a perfectly identifiable ideology: the ideology of the "Enlightenment" interpreted at the paroxysm of its extremisms.
Official contemporary art, that of the museums that bear this name, puts into practice, in the field of aesthetics, a fundamental principle of the Enlightenment ideology: La Table Rase (The clean slate) . The European past is retrograde and obscurantist, it is the time of the Shadows. He must disappear completely so that the new Humanity can flourish in the Modernity, that the "Lights" alone represent. The Enlightenment is a New New Testament. But much more radical than the New Testament was compared to the Old. This New New Testament totally denies the Old, and does not seek to present itself as its continuation or renovation.
These "Enlightenment" are like the Koran: there are no valid societies before and outside of them. The roots must be totally cut off between the past and the present of peoples, to leave only the true doctrine. According to the Great Priests of Mondialism it would be the price to pay to ensure, through the disappearance of nations, ethnic and cultural, an radiant future, peace and paradise on earth.
The disappearance of the roots of men is indeed the same project as the disappearance of Nations.
Official contemporary art is an art especially conceived for the uprooted, emigrated, immigrant, mixed peoples: there is nothing reminiscent of their origins, their specific cultures, their former territories. This is the globalist project applied to art.
IMG_2112BBA OFFICIAL CONTEMPORARY ART: AN ART WITHOUT ROOTS
L'ART CONTEMPORAIN INSTITUTIONNEL : UN ART SANS RACINES
L'art continue dans les ateliers. Ses artistes sont absents des institutions, ignorés des médias, n'ont pas accès à la commande publique et sont exclus des filières de consécration, ils vivent difficilement. Ils sont confronté quotidiennement aux méthodes stupéfiantes, aliénantes et culpabilisantes de "l'art contemporain", seul art légitime.
Aude KERROS L'Art Caché. Les dissidents de l'art contemporain. Eyrolles 2013
"Il faut trouver du sens" Michel Pastoureau. (les couleurs du Moyen Age)
Les Musées d'Art Contemporain font apercevoir un phénomène qui devient vite flagrant, obsédant à partir du moment où le visiteur en a pris conscience : le passé des hommes, l'histoire des civilisations y est totalement absent. C'est une fois encore le même constat : c'est l'inverse des Beaux Arts. Un Anti-Art.
l'Art Contemporain Officiel est un amas de trucs divers qui constituent un étalage de présent, un présent omniprésent totalement coupé de tout environnement spatial ou temporel :
Des toiles unies, colorées ou pas, des lignes, des points, des traits et des cercles, des carrés ou rectangles diversement colorés, et bien sûr des taches, surtout des taches. Des gravats, des tuyaux, des balais, des serpillières, des échelles, des lits, des chaises et tables bancales, des entassements de choses diverses : charbon, pierre, cartons, papiers, plastiques. Des poutrelles rouillées, tordues, cassées, des cartons assemblés, des vêtements et chiffons entassés, des boites ouvertes ou fermées, des machineries cassées ou concassées, des tubulures, poutres de ciment, moellons, parpaings, tuiles, briques entières ou pulvérisées, des tubes de néon, des sacs vides ou des sacs pleins (il paraît que conceptuellement c'est très différent), toutes les sortes de tuyaux (fer, ciment, plastiques), du caoutchouc, des seaux, brocs, pots; des palissades, des téléphones, des machines à écrire emballées ou pas, des éviers, des urinoirs, des vélos, des fruits et légumes, toute une épicerie diverse, comme au super-marché.
Des objets sans identité réelle, sans "personnalité", sans capacité empathique, car ils ne s'inscrivent dans aucun contexte, ni celui de l'utilité, ni celui géographique, ni celui historique.
Rien dans ces musées qui puisse enraciner le visiteur dans l'histoire de sa communauté ou d'une quelconque communauté. Le spectateur est enfermé dans un présent constant, obsédant, terrifiant par son anonymat et son absence de tout repère identitaire. L'art contemporain c'est la maladie d'Alzheimer à l'échelle de la société : chaque instant se succède sans être relié à l'instant d'avant et encore moins à un passé loitain.
L'art contemporain officiel est à l'évidence conçu pour effacer la mémoire des hommes et pouvoir mieux ainsi orienter les restes d'intelligence qui survivront à ce traitement. Il est facile de comprendre pourquoi le public principal de ces musées d'art contemporain sont les élèves des écoles, collèges et lycée.
Cette situation n'est en effet pas le résultat d'un hasard mais d'une volonté politique fondée sur une idéologie parfaitement identifiable : l'idéologie des "Lumières" interprétée au paroxysme de ses extrémismes.
L'art contemporain officiel, celui des musées qui portent ce nom, met en pratique, dans le domaine de l'esthétique, un principe fondamental de l'idéologie des Lumières : La Table Rase. Le passé européen est rétrograde et obscurantiste, c'est le temps des Ombres. Il doit disparaître totalement pour que l'Humanité nouvelle puisse s'épanouir dans la Modernité, que les "Lumières" seules représentent. Les Lumières sont un Nouveau Nouveau Testament. Mais bien plus radical que le Nouveau Testament l'était par rapport à l'Ancien. Ce Nouveau Nouveau Testament renie totalement l'Ancien, et ne cherche pas à se présenter comme sa continuation ou sa rénovation.
Ces "Lumières" sont comme le Coran: il n'existe pas de sociétés valables avant elles et en dehors d'elles. Les racines doivent être totalement coupées entre le passé et le présent des peuples pour ne laisser subsister que la vraie doctrine. Selon les Grands Prêtres du Mondialisme ce serait le prix à payer pour garantir, grâce à la disparition des nations, ethniques et culturelles un avenir radieux, la paix et un paradis sur terre.
La disparition des racines des hommes c'est en effet le même projet que la disparition des Nations.
L'art contemporain officiel est un art spécialement conçu pour les peuples déracinés, émigrés, immigrés, mélangés : rien n'y rappelle leurs origines, leurs cultures spécifiques, leurs anciens territoires. C'est le projet mondialiste en art.
OFFICIAL CONTEMPORARY ART: AN ART WITHOUT ROOTS
Art continues in the workshops. His artists are absent from institutions, ignored by the media, do not have access to public commissions and are excluded from the channels of consecration, they live with difficulty. They are confronted on a daily basis with the astonishing, alienating and guilt-laden methods of "contemporary art", the only legitimate art.
Aude KERROS The Hidden Art. Dissidents of contemporary art. Eyrolles 2013
"Il faut trouver du sens" Michel Pastoureau. (les couleurs du Moyen Age)
Museums of Contemporary Art show a phenomenon that quickly becomes obvious, obsessive from the moment the visitor became awareof it : the past of men, the history of civilizations are totally absent. This is again the same observation: it is the opposite of the Fine Arts. An Anti-Art.
Official Contemporary Art is a cluster of various stuff, that constitute a display of the present, an omnipresent present totally cut off from any spatial or temporal environment:
United paintings, coloured or not, lines, dots, strokes and circles, colorful squares or rectangles, and of course an infinity of stains and lines of all kinds. Rubble, pipes, brooms, mops, ladders, beds, chairs and wobbly tables. Heaps of various things: coal, stone, cardboard, paper, plastics. Rusted, twisted, broken joists, assembled cartons, clothes and rags piled up, open or closed boxes, broken or crushed machinery, tubing, cement beams, rubble, blocks, tiles, Whole or pulverized bricks, neon tubes, empty bags or full bags (it seems that conceptually it is very different), all kinds of pipes (iron, cement, plastics), rubber, buckets, jugs, pots.... Palisades, telephones, typewriters packed or not, sinks, urinals, bicycles, fruits and vegetables, a whole diverse grocery store, like in the supermarket.
Objects without real identity, without "personality", without empathic capacity, because they do not fit into any context, neither that of utility, nor that of geography, nor that of history.
Nothing in these museums that can root the visitor in the history of his community or any community. The viewer is locked in a constant present, obsessive, terrifying by his anonymity and his absence of any identity mark. Contemporary art is Alzheimer's disease at the level of society: every moment follows one without being connected to the moment before and even less so to a lointain past.
The official contemporary art is obviously designed to erase the memory of men and be better able to orient the remains of intelligence that will survive this treatment. It is easy to understand why the main audience of these contemporary art museums are students from schools, colleges and high schools.
This situation is indeed not the result of chance but of a political will based on a perfectly identifiable ideology: the ideology of the "Enlightenment" interpreted at the paroxysm of its extremisms.
Official contemporary art, that of the museums that bear this name, puts into practice, in the field of aesthetics, a fundamental principle of the Enlightenment ideology: La Table Rase (The clean slate) . The European past is retrograde and obscurantist, it is the time of the Shadows. He must disappear completely so that the new Humanity can flourish in the Modernity, that the "Lights" alone represent. The Enlightenment is a New New Testament. But much more radical than the New Testament was compared to the Old. This New New Testament totally denies the Old, and does not seek to present itself as its continuation or renovation.
These "Enlightenment" are like the Koran: there are no valid societies before and outside of them. The roots must be totally cut off between the past and the present of peoples, to leave only the true doctrine. According to the Great Priests of Mondialism it would be the price to pay to ensure, through the disappearance of nations, ethnic and cultural, an radiant future, peace and paradise on earth.
The disappearance of the roots of men is indeed the same project as the disappearance of Nations.
Official contemporary art is an art especially conceived for the uprooted, emigrated, immigrant, mixed peoples: there is nothing reminiscent of their origins, their specific cultures, their former territories. This is the globalist project applied to art.