Le collier de première épouse
Cette femme de l’ethnie Hamer, comme toutes les femmes Hamer, est d’une patience et d’une impassibilité étonnantes durant la pose interminable du collier de première épouse.
Elle a eu un enfant, elle a prouvé sa fertilité et peut donc, si elle le souhaite, porter ce collier traditionnel
Son mari est comptable aux douanes à la ville voisine mais il a choisi de vivre au village selon les traditions. C’est un des traits remarquables de l’évolution des mœurs de cette ethnie, cependant très exposée aux contacts avec « la civilisation », de garder un ensemble de traditions très vivantes même si l’aspect extérieur des individus et des femmes en particulier, a tendance à s’occidentaliser.
Ce collier est fait de lanières de cuir assemblées, fermé par des tubes de métal dans lequel il faut faire entrer les lanières. L’opération est longue et laborieuse car elle est réalisée à l’aide d’un outillage minimaliste, un poinçon, pas même une aiguille.
Le collier de première épouse
Cette femme de l’ethnie Hamer, comme toutes les femmes Hamer, est d’une patience et d’une impassibilité étonnantes durant la pose interminable du collier de première épouse.
Elle a eu un enfant, elle a prouvé sa fertilité et peut donc, si elle le souhaite, porter ce collier traditionnel
Son mari est comptable aux douanes à la ville voisine mais il a choisi de vivre au village selon les traditions. C’est un des traits remarquables de l’évolution des mœurs de cette ethnie, cependant très exposée aux contacts avec « la civilisation », de garder un ensemble de traditions très vivantes même si l’aspect extérieur des individus et des femmes en particulier, a tendance à s’occidentaliser.
Ce collier est fait de lanières de cuir assemblées, fermé par des tubes de métal dans lequel il faut faire entrer les lanières. L’opération est longue et laborieuse car elle est réalisée à l’aide d’un outillage minimaliste, un poinçon, pas même une aiguille.