les césars de la honte
Concernant la nomination de Darmanin au ministère de l'intérieur, il faut lire par exemple cet article de la journaliste Isabelle Germain (Nouvelles News) :
www.lesnouvellesnews.fr/affaire-darmanin-pourquoi-la-pres...
"L’exécutif a l’indignation sélective. Il s’est, dans le passé, séparé de responsables politiques mis en cause dans des affaires allant de la consommation de homards à des suspicions de conflit d’intérêt, sans qu’il y ait eu de condamnation pénale. Mais quand un ministre de l’Intérieur est en cause alors même qu’il a reconnu avoir obtenu des faveurs sexuelles en échange d’une promesse d’intervention dans un dossier, halte là ! Ce sont les féministes qui se trouvent mises en accusation, elles bafoueraient la « présomption d’innocence ». Pourtant, d’une part, la « présomption d’innocence » n’a pas été évoquée quand d’autres responsables ont été révoqués avant d’avoir été condamnés par la justice. Et, d’autre part, un des faits reprochés au ministre a été reconnu par lui-même, et pourrait être qualifié de « trafic d’influence » ou « d’abus de pouvoir » selon certains juristes. Est-ce acceptable juste parce qu’il s’agit de faveurs sexuelles ?"
les césars de la honte
Concernant la nomination de Darmanin au ministère de l'intérieur, il faut lire par exemple cet article de la journaliste Isabelle Germain (Nouvelles News) :
www.lesnouvellesnews.fr/affaire-darmanin-pourquoi-la-pres...
"L’exécutif a l’indignation sélective. Il s’est, dans le passé, séparé de responsables politiques mis en cause dans des affaires allant de la consommation de homards à des suspicions de conflit d’intérêt, sans qu’il y ait eu de condamnation pénale. Mais quand un ministre de l’Intérieur est en cause alors même qu’il a reconnu avoir obtenu des faveurs sexuelles en échange d’une promesse d’intervention dans un dossier, halte là ! Ce sont les féministes qui se trouvent mises en accusation, elles bafoueraient la « présomption d’innocence ». Pourtant, d’une part, la « présomption d’innocence » n’a pas été évoquée quand d’autres responsables ont été révoqués avant d’avoir été condamnés par la justice. Et, d’autre part, un des faits reprochés au ministre a été reconnu par lui-même, et pourrait être qualifié de « trafic d’influence » ou « d’abus de pouvoir » selon certains juristes. Est-ce acceptable juste parce qu’il s’agit de faveurs sexuelles ?"