si on le cherche
Les autres photos sont là : La place du livre dans tout ça ? - Salon du Livre 2009
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Il est parfois des situations cruelles. Situations qui se produisent quand même assez souvent au Salon du Livre, où une personnalité se retrouve seule face au constat de l’absence de public.
Je suis passé plusieurs fois devant ce ‘stand’ Albin Michel « Tiens ! François Chérèque ! profitons-on en pour vite faire un portrait pendant qu’il n’y a personne ! »
J’ai pu ainsi faire ce portrait, bien dégagé, finalement représentatif de l’absence de précipitation autour de la personne François Chérèque et de son livre d’entretien avec Carole Barjon.
Cette impression de solitude et peut-être aussi d’embarras, j’extrapole, était renforcé par la présence d’une barrière devant le stand Albin Michel. Le genre de barrière métallique, utilisée pour canaliser les foules, les maintenir à distance.
Quand je suis repassé, un unique ‘lecteur’ dialoguait avec F.Chérèque, mais de l’autre côté de ladite barrière. Un peu comme s’il voulait bien marquer qu’il voulait rester à distance. J’ai voulu prendre la photo mais le temps de tout régler avec mon machin et… trop tard !
J’ai une certaine estime pour François Chérèque. Particulièrement après qu’il ait répondu, par micro interposé, à notre Secrétaire d'Etat à la blague nulle : lors de la précédente manifestation sociale de janvier 2009, Santini avait exprimé son sentiment face à ce mode de contestation selon lui complètement dépassé, et suggéré aux grévistes de faire comme au Japon et de plutôt porter un brassard ‘en grève’ tout en continuant à travailler.
Ce à quoi F.Chérèque, plutôt énervé, avait répondu d’un pertinent : « et pourquoi pas une plume dans le cul ?!!!... ».
Je crois que je vais lire son bouquin, à Chérèque.
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Il est parfois des situations cruelles. Situations qui se produisent quand même assez souvent au Salon du Livre, où une personnalité se retrouve seule face au constat de l’absence de public.
Je suis passé plusieurs fois devant ce ‘stand’ Albin Michel « Tiens ! François Chérèque ! profitons-on en pour vite faire un portrait pendant qu’il n’y a personne ! »
J’ai pu ainsi faire ce portrait, bien dégagé, finalement représentatif de l’absence de précipitation autour de la personne François Chérèque et de son livre d’entretien avec Carole Barjon.
Cette impression de solitude et peut-être aussi d’embarras, j’extrapole, était renforcé par la présence d’une barrière devant le stand Albin Michel. Le genre de barrière métallique, utilisée pour canaliser les foules, les maintenir à distance.
Quand je suis repassé, un unique ‘lecteur’ dialoguait avec F.Chérèque, mais de l’autre côté de ladite barrière. Un peu comme s’il voulait bien marquer qu’il voulait rester à distance. J’ai voulu prendre la photo mais le temps de tout régler avec mon machin et… trop tard !
J’ai une certaine estime pour François Chérèque. Particulièrement après qu’il ait répondu, par micro interposé, à notre Secrétaire d'Etat à la blague nulle : lors de la précédente manifestation sociale de janvier 2009, Santini avait exprimé son sentiment face à ce mode de contestation selon lui complètement dépassé, et suggéré aux grévistes de faire comme au Japon et de plutôt porter un brassard ‘en grève’ tout en continuant à travailler.
Ce à quoi F.Chérèque, plutôt énervé, avait répondu d’un pertinent : « et pourquoi pas une plume dans le cul ?!!!... ».
Je crois que je vais lire son bouquin, à Chérèque.