Hugo Will-Boissonnat
séquence
« Petit arrangement avec l'ordre »
J'ai décidé d'aborder ce sujet à travers une séquence d'images narratives. J'ai voulu représenter l'ordre, celui de notre société, en mettant en scène un groupe habillé de manière sobre, formant un cercle fermé qui est à l'image de notre société d'aujourd'hui, stigmatisant ceux qui sortent du lot, ceux qui détonnent avec la norme. A partir de cette norme, la société défini les outsiders et les élites. Tous ceux qui sortent des sentiers battu sont caractérisé d'exclu, de marginaux et n'arrivent pas à se faire une place dans ce cercle prisé et sélectif. Il n'y accèdent pas tant qu'ils sont ce qu'ils ont décidé d'être. Faut-il se plier aux règles et renoncer à ce que nous sommes pour être accepter dans le cercle, s'arranger avec l'ordre dicté par la société au risque de ne plus être sois même ?
Je voulais faire une série d'image très simple, un cadrage identique pour toutes les photos. Pour le lieu, j'ai opté pour une ancienne salle de classe, car c'est à l'école que l'on intériorise les normes et les valeurs propres à notre société. C'est à cette période de la vie que l'on décide de suivre la norme ou de sortir des sentiers battus. J'ai choisi de faire la séquence en noir et blanc pour rester sur l'idée de neutralité. Pour ce qui est de la mise en page, les photos sont alignées verticalement pour symbolisé l’ordre, et pour donner une dynamique narrative à la séquence.
A travers mes photos, l'homme marginal se plie à la volonté de la société afin d'être intégrer, ceci symbolisé par le changement de vêtement. Le groupe fait dorénavant attention à lui, et ils le laissent entrer dans le cercle.
séquence
« Petit arrangement avec l'ordre »
J'ai décidé d'aborder ce sujet à travers une séquence d'images narratives. J'ai voulu représenter l'ordre, celui de notre société, en mettant en scène un groupe habillé de manière sobre, formant un cercle fermé qui est à l'image de notre société d'aujourd'hui, stigmatisant ceux qui sortent du lot, ceux qui détonnent avec la norme. A partir de cette norme, la société défini les outsiders et les élites. Tous ceux qui sortent des sentiers battu sont caractérisé d'exclu, de marginaux et n'arrivent pas à se faire une place dans ce cercle prisé et sélectif. Il n'y accèdent pas tant qu'ils sont ce qu'ils ont décidé d'être. Faut-il se plier aux règles et renoncer à ce que nous sommes pour être accepter dans le cercle, s'arranger avec l'ordre dicté par la société au risque de ne plus être sois même ?
Je voulais faire une série d'image très simple, un cadrage identique pour toutes les photos. Pour le lieu, j'ai opté pour une ancienne salle de classe, car c'est à l'école que l'on intériorise les normes et les valeurs propres à notre société. C'est à cette période de la vie que l'on décide de suivre la norme ou de sortir des sentiers battus. J'ai choisi de faire la séquence en noir et blanc pour rester sur l'idée de neutralité. Pour ce qui est de la mise en page, les photos sont alignées verticalement pour symbolisé l’ordre, et pour donner une dynamique narrative à la séquence.
A travers mes photos, l'homme marginal se plie à la volonté de la société afin d'être intégrer, ceci symbolisé par le changement de vêtement. Le groupe fait dorénavant attention à lui, et ils le laissent entrer dans le cercle.