Young and old, Syrian women adjust to new conditions
“I wish I still had my sisters. That is the first thing I think of when I wake up,” Sorouq says. She was out for fresh air with her sisters on the first day of Ramadan when a bomb exploded in front of them. Her 18-month-old sister Ghalia, whom she was carrying, and her two sisters were killed while she was wounded. Initially introvert after this horrific incident, Sorouq attended workshops by Save the Children and is now able to talk more openly, though some psychological scars take longer to heal than physical ones.
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Sorouq explique qu'elle était sortie prendre l'air avec ses sœurs le premier jour du Ramadan lorsqu'une bombe a explosé devant elles. La bombe l'a blessée du bras jusqu'à l'épaule et a tué Ghalia, sa sœur de 18 mois qu'elle portait dans ses bras, ainsi que ses deux autres sœurs. Après cela, Sorouq s'est refermée sur elle-même. Mais maintenant, après avoir participé à des ateliers de Save the children, elle a envie de parler, même si elle a encore du mal à évoquer ce qui s’est passé. Les cicatrices psychologiques prennent plus de temps à guérir que les séquelles physiques. «J'aimerais tant que mes sœurs soient encore là. C'est la première chose à laquelle je pense quand je me réveille», dit Sorouq.
Photo credit: Save the Children / Hedinn Halldorsson
Young and old, Syrian women adjust to new conditions
“I wish I still had my sisters. That is the first thing I think of when I wake up,” Sorouq says. She was out for fresh air with her sisters on the first day of Ramadan when a bomb exploded in front of them. Her 18-month-old sister Ghalia, whom she was carrying, and her two sisters were killed while she was wounded. Initially introvert after this horrific incident, Sorouq attended workshops by Save the Children and is now able to talk more openly, though some psychological scars take longer to heal than physical ones.
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Sorouq explique qu'elle était sortie prendre l'air avec ses sœurs le premier jour du Ramadan lorsqu'une bombe a explosé devant elles. La bombe l'a blessée du bras jusqu'à l'épaule et a tué Ghalia, sa sœur de 18 mois qu'elle portait dans ses bras, ainsi que ses deux autres sœurs. Après cela, Sorouq s'est refermée sur elle-même. Mais maintenant, après avoir participé à des ateliers de Save the children, elle a envie de parler, même si elle a encore du mal à évoquer ce qui s’est passé. Les cicatrices psychologiques prennent plus de temps à guérir que les séquelles physiques. «J'aimerais tant que mes sœurs soient encore là. C'est la première chose à laquelle je pense quand je me réveille», dit Sorouq.
Photo credit: Save the Children / Hedinn Halldorsson