"Lola de Valence" d'A. Modigliani (Musée de l'Orangerie, Paris)
Lola de Valence
Oeuvre d'Amedeo Modigliani (1884-1920)
1915
Huile sur papier, montée sur panneau de bois
Metropolitan Museum of Art, New-York
Modigliani a systématiquement intégré les caractéristiques stylistiques de l'art africain dans ses portraits. Cette œuvre représente Lola de Valence, une célèbre danseuse qui avait déjà été représentée pour Edouard Manet. Rappelant un type de masque fabriqué au Congo français, la forme allongée de la tête et les traits abstraits du visage apparaissent également dans les sculptures de Modigliani, Bien que l'artiste ait abandonné la sculpture en 1914 pour se concentrer exclusivement à la peinture, son style sculptural aux influences africaines est resté une référence pour ses portraits peints jusqu'à sa mort en 1920. Extrait de la notice du MET
www.metmuseum.org/art/collection/search/489642
Oeuvre présentée dans l'exposition "Amedeo Modigliani. Un peintre et son marchand", Musée de l'Orangerie, Paris
Près d’un siècle après la rencontre entre les deux hommes en 1914, cette exposition se propose de revenir sur l’un des moments emblématiques de la vie d’Amedeo Modigliani, celui où Paul Guillaume devient son marchand. Elle s’attache à explorer la manière dont les liens entre les deux personnages peuvent éclairer la carrière de l’artiste. Extrait du site de l'exposition
www.musee-orangerie.fr/fr/agenda/expositions/amedeo-modig...
On sort un peu frustré de cette petite exposition centrée sur les relations entre Amedeo Mogliani et son premier marchand Paul Guillaume. Le nombre modeste de peintures de l'artiste qui sont exposées en est la raison principale, essentiellement des portraits dont ceux qu'il a réalisés de Paul Guillaume regroupés en début d'exposition. Deux sculptures, quelques photographies, des documents d'archives et quelques masques africains rappelant ses sources d'inspiration complètent les peintures. On peut comprendre ces limitations car le musée de l'Orangerie qui conserve les Nymphéas de Claude Monet mais aussi la collection Paul Guillaume se doit de produire des expositions en rapport avec ses missions. On découvre dans l'exposition de beaux portraits de Modigliani moins connus du grand public mais aucun des nus qui ont fait sa réputation (sulfureuse à l'époque), c'est dommage. La dernière salle avec son montage audiovisuel sur les tableaux accrochés aux murs des salons de Paul Guillaume est peu attractive, elle semble devoir remplir les vides. On a connu en ce lieu très visité de Paris des expositions plus ambitieuses.
"Lola de Valence" d'A. Modigliani (Musée de l'Orangerie, Paris)
Lola de Valence
Oeuvre d'Amedeo Modigliani (1884-1920)
1915
Huile sur papier, montée sur panneau de bois
Metropolitan Museum of Art, New-York
Modigliani a systématiquement intégré les caractéristiques stylistiques de l'art africain dans ses portraits. Cette œuvre représente Lola de Valence, une célèbre danseuse qui avait déjà été représentée pour Edouard Manet. Rappelant un type de masque fabriqué au Congo français, la forme allongée de la tête et les traits abstraits du visage apparaissent également dans les sculptures de Modigliani, Bien que l'artiste ait abandonné la sculpture en 1914 pour se concentrer exclusivement à la peinture, son style sculptural aux influences africaines est resté une référence pour ses portraits peints jusqu'à sa mort en 1920. Extrait de la notice du MET
www.metmuseum.org/art/collection/search/489642
Oeuvre présentée dans l'exposition "Amedeo Modigliani. Un peintre et son marchand", Musée de l'Orangerie, Paris
Près d’un siècle après la rencontre entre les deux hommes en 1914, cette exposition se propose de revenir sur l’un des moments emblématiques de la vie d’Amedeo Modigliani, celui où Paul Guillaume devient son marchand. Elle s’attache à explorer la manière dont les liens entre les deux personnages peuvent éclairer la carrière de l’artiste. Extrait du site de l'exposition
www.musee-orangerie.fr/fr/agenda/expositions/amedeo-modig...
On sort un peu frustré de cette petite exposition centrée sur les relations entre Amedeo Mogliani et son premier marchand Paul Guillaume. Le nombre modeste de peintures de l'artiste qui sont exposées en est la raison principale, essentiellement des portraits dont ceux qu'il a réalisés de Paul Guillaume regroupés en début d'exposition. Deux sculptures, quelques photographies, des documents d'archives et quelques masques africains rappelant ses sources d'inspiration complètent les peintures. On peut comprendre ces limitations car le musée de l'Orangerie qui conserve les Nymphéas de Claude Monet mais aussi la collection Paul Guillaume se doit de produire des expositions en rapport avec ses missions. On découvre dans l'exposition de beaux portraits de Modigliani moins connus du grand public mais aucun des nus qui ont fait sa réputation (sulfureuse à l'époque), c'est dommage. La dernière salle avec son montage audiovisuel sur les tableaux accrochés aux murs des salons de Paul Guillaume est peu attractive, elle semble devoir remplir les vides. On a connu en ce lieu très visité de Paris des expositions plus ambitieuses.