"Zig-Zag" Florian et Michael Quistrebert, Centre de Création Contemporaine Olivier Debré, Tours, Indre-et-Loire, France
Les 9 toiles présentées sont donc conçues comme une décomposition du vocabulaire cinétique : couleurs, lumières, formes et suggestion du mouvement sont évoqués, sans toutefois parvenir aux caractéristiques de ce mouvement (jeux d'optique, sensation d'expansion dans l'espace, etc.), générant ainsi interrogations et frustrations chez le spectateur.La vidéo quant à elle, est construite comme une augmentation du vocabulaire cinétique1 : la peinture a disparu, le mouvement n'est plus suggéré, il existe concrètement à travers l'animation visuelle et la scénographie. L'exagération distillée avec humour par le duo de frères, se présente au public comme une véritable expérience, un parcours initiatique conçu pour provoquer une réaction physique chez le spectateur : les éléments plastiques sont perçus par l'œil, éprouvés par le corps et doivent générer à terme, des projections mentales.
The 9 paintings presented are thus conceived as a decomposition of the kinetic vocabulary : colors, lights, forms and suggestion of the movement are evoked, without however reaching the characteristics of this movement (optical games, sensation of expansion in the space, etc.), thus generating interrogations and frustrations for the viewer. The video, for its part, is constructed as an increase in the kinetic vocabulary: the painting has disappeared, the movement is no longer suggested, it exists concretely throughout the world. visual animation and scenography. The exaggeration distilled with humor by the duo of brothers, is presented to the public as a real experience, an initiatory course designed to provoke a physical reaction in the viewer: the plastic elements are perceived by the eye, experienced by the body and must eventually generate mental projections.
"Zig-Zag" Florian et Michael Quistrebert, Centre de Création Contemporaine Olivier Debré, Tours, Indre-et-Loire, France
Les 9 toiles présentées sont donc conçues comme une décomposition du vocabulaire cinétique : couleurs, lumières, formes et suggestion du mouvement sont évoqués, sans toutefois parvenir aux caractéristiques de ce mouvement (jeux d'optique, sensation d'expansion dans l'espace, etc.), générant ainsi interrogations et frustrations chez le spectateur.La vidéo quant à elle, est construite comme une augmentation du vocabulaire cinétique1 : la peinture a disparu, le mouvement n'est plus suggéré, il existe concrètement à travers l'animation visuelle et la scénographie. L'exagération distillée avec humour par le duo de frères, se présente au public comme une véritable expérience, un parcours initiatique conçu pour provoquer une réaction physique chez le spectateur : les éléments plastiques sont perçus par l'œil, éprouvés par le corps et doivent générer à terme, des projections mentales.
The 9 paintings presented are thus conceived as a decomposition of the kinetic vocabulary : colors, lights, forms and suggestion of the movement are evoked, without however reaching the characteristics of this movement (optical games, sensation of expansion in the space, etc.), thus generating interrogations and frustrations for the viewer. The video, for its part, is constructed as an increase in the kinetic vocabulary: the painting has disappeared, the movement is no longer suggested, it exists concretely throughout the world. visual animation and scenography. The exaggeration distilled with humor by the duo of brothers, is presented to the public as a real experience, an initiatory course designed to provoke a physical reaction in the viewer: the plastic elements are perceived by the eye, experienced by the body and must eventually generate mental projections.