Abbatiale romane de Saint-Jouin-de-Marnes, Deux-Sèvres, France
De la vaste abbaye, il ne subsiste aujourd’hui pour l’essentiel que l’église abbatiale, qui est par contre dans un état de conservation tout à fait remarquable.
L’église a été construite entre 1095 et 1130 sous l’impulsion du moine Raoul, bâtisseur et réformateur de l’ordre. Au XIII eme siècle ont été ajoutées les voûtes Plantagenêt. Après la campagne de Du Guesclin en 1372, des travaux de fortification du chevet et du transept sud ont été effectués. C’est Pierre d’Amboise qui fit édifier le cloître en 1476. Il n’en reste aujourd’hui que la partie sud, accolée à l’église.
Bien que le bâtiment ait été remanié et réparé au fil des drames subis, son architecture globale reste très fidèle à ses origines.
En contournant l’édifice par le sud, on parvient à une esplanade qui permet d’observer plus en détail le chevet. Les lourds contreforts, qui ont été rajoutés pour consolider, et la grande élévation de l’abside gâtent un peu la silhouette générale lui donnant une forme un peu trapue.On distingue bien sur la gauche une partie fortifiée qui a été conservée lors des travaux de réhabilitation de la fin du 19e siècle
Of the vast abbey, it remains today essentially the abbey church, which is in contrast in a state of conservation quite remarkable.
The church was built between 1095 and 1130 under the leadership of the monk Raoul, builder and reformer of the order. In the 13th century were added the Plantagenet vaults. After the Du Guesclin campaign in 1372, bedside and south transept fortification works were carried out. It was Pierre d'Amboise who had the cloister built in 1476. It remains today only the southern part, contiguous to the church.
Although the building has been redesigned and repaired over the dramas suffered, its overall architecture remains very faithful to its origins.
By skirting the building from the south, you come to an esplanade that allows you to observe the chevet in more detail. The heavy buttresses, which have been added to consolidate, and the great elevation of the apse spoil a little the general silhouette giving it a somewhat stocky shape. There is clearly on the left a fortified part which was preserved during the works of rehabilitation of the late 19th century
Abbatiale romane de Saint-Jouin-de-Marnes, Deux-Sèvres, France
De la vaste abbaye, il ne subsiste aujourd’hui pour l’essentiel que l’église abbatiale, qui est par contre dans un état de conservation tout à fait remarquable.
L’église a été construite entre 1095 et 1130 sous l’impulsion du moine Raoul, bâtisseur et réformateur de l’ordre. Au XIII eme siècle ont été ajoutées les voûtes Plantagenêt. Après la campagne de Du Guesclin en 1372, des travaux de fortification du chevet et du transept sud ont été effectués. C’est Pierre d’Amboise qui fit édifier le cloître en 1476. Il n’en reste aujourd’hui que la partie sud, accolée à l’église.
Bien que le bâtiment ait été remanié et réparé au fil des drames subis, son architecture globale reste très fidèle à ses origines.
En contournant l’édifice par le sud, on parvient à une esplanade qui permet d’observer plus en détail le chevet. Les lourds contreforts, qui ont été rajoutés pour consolider, et la grande élévation de l’abside gâtent un peu la silhouette générale lui donnant une forme un peu trapue.On distingue bien sur la gauche une partie fortifiée qui a été conservée lors des travaux de réhabilitation de la fin du 19e siècle
Of the vast abbey, it remains today essentially the abbey church, which is in contrast in a state of conservation quite remarkable.
The church was built between 1095 and 1130 under the leadership of the monk Raoul, builder and reformer of the order. In the 13th century were added the Plantagenet vaults. After the Du Guesclin campaign in 1372, bedside and south transept fortification works were carried out. It was Pierre d'Amboise who had the cloister built in 1476. It remains today only the southern part, contiguous to the church.
Although the building has been redesigned and repaired over the dramas suffered, its overall architecture remains very faithful to its origins.
By skirting the building from the south, you come to an esplanade that allows you to observe the chevet in more detail. The heavy buttresses, which have been added to consolidate, and the great elevation of the apse spoil a little the general silhouette giving it a somewhat stocky shape. There is clearly on the left a fortified part which was preserved during the works of rehabilitation of the late 19th century