bruxelles.mabelle2010
La Fleur en Papier Doré - bistrot bruxellois
En octobre 2008, "Het Goudblommeke in Papier" est récompensé par le prix Caïus pour la restauration de ce bisrot bruxellois.
Le prix Patrimoine Région de Bruxelles-Capitale est le vrai coup de cœur du jury. Il récompense la société coopérative La Fleur en Papier Doré, spécialement créée pour mener à bien son projet : la restauration de l’estaminet bruxellois du même nom. Le café date de 1947 et a servi d’écrin au poète anarchiste Gérard van Bruane. Rapidement, il devient le « stamcafé » des surréalistes bruxellois. Mais en juin 2006, l’établissement tombe en faillite et est voué à la décrépitude.
C’était compter sans l’intervention d’une cinquantaine de particuliers qui ont décidé de mettre la main à la pâte – et à la poche – pour faire revivre le lieu. Le directeur du projet n’est autre que Dany Verbiest, créateur de Studio 100 et véritable amoureux de culture. « Surtout de ce que j’appelle la “vraie” culture, celle des gens. La Fleur, c’est n’est pas qu’un café, c’est un véritable temple culturel. Magritte, Alechinsky, Hergé… le fréquentaient assidûment. C’est un café unique au monde qui a tant apporté au niveau culturel, tant au niveau flamand que francophone. Je voulais que mes enfants puissent encore voir ce que l’art était dans le temps. C’était un projet un peu fou mais on a réussi ! Ce Caïus, c’est toute l’équipe qui le mérite. »
La Fleur en Papier Doré - bistrot bruxellois
En octobre 2008, "Het Goudblommeke in Papier" est récompensé par le prix Caïus pour la restauration de ce bisrot bruxellois.
Le prix Patrimoine Région de Bruxelles-Capitale est le vrai coup de cœur du jury. Il récompense la société coopérative La Fleur en Papier Doré, spécialement créée pour mener à bien son projet : la restauration de l’estaminet bruxellois du même nom. Le café date de 1947 et a servi d’écrin au poète anarchiste Gérard van Bruane. Rapidement, il devient le « stamcafé » des surréalistes bruxellois. Mais en juin 2006, l’établissement tombe en faillite et est voué à la décrépitude.
C’était compter sans l’intervention d’une cinquantaine de particuliers qui ont décidé de mettre la main à la pâte – et à la poche – pour faire revivre le lieu. Le directeur du projet n’est autre que Dany Verbiest, créateur de Studio 100 et véritable amoureux de culture. « Surtout de ce que j’appelle la “vraie” culture, celle des gens. La Fleur, c’est n’est pas qu’un café, c’est un véritable temple culturel. Magritte, Alechinsky, Hergé… le fréquentaient assidûment. C’est un café unique au monde qui a tant apporté au niveau culturel, tant au niveau flamand que francophone. Je voulais que mes enfants puissent encore voir ce que l’art était dans le temps. C’était un projet un peu fou mais on a réussi ! Ce Caïus, c’est toute l’équipe qui le mérite. »