Sharmila Sharma et Rajendra Kumar Gangani (Musée Guimet)
Sharmila Sharma et Rajendra Kumar Gangani
lors de leur spectacle, le vendredi 22 mars
à l'auditorium du musée Guimet - musée national des arts asiatiques
Accompagnés par Vinod Kumar (chant), Prabhu Edouard (tabla), Michel Guay (sitar) et Henri Tournier (flûte)
Spectacle produit en partenariat avec Kalasangam
Site de l'auditorium du musée Guimet
www.guimet.fr/fr/auditorium/spectacles/sharmila-sharma-et...
Hubert Laot, le programmateur responsable de l'auditorium du musée Guimet a offert aux amateurs de danse kathak deux soirées d'exception, vendredi 22 et samedi 23 mars, avec des artistes au sommet de leur art : la danseuse Sharmila Sharma, bien connue en France où elle enseigne et se produit régulièrement et son maître : Pandit Rajendra Kumar Gangani, l'un des plus grands danseurs de Kathak, de l’École de Jaipur dans le Rajasthan.
Tous deux ont montré leur virtuosité technique en enchainant des figures rythmiques incroyablement complexes en duo avec le prodigieux tabliste : Prabhu Edouard qui les accompagnait et dialoguait avec eux.
Mais si l'art du Kathak qui s'est développé en Inde à l'époque des grands moghols accorde une place importante au rythme et aux mouvements des pieds , il demande également aux danseurs qui le pratiquent de parfaitement maitriser l'art du mime. Dans une courte pièce mimée évoquant la pluie, Rajendra Kumar Gangani a fait une démonstration éblouissante de sa capacité à transmettre des sensations au public à travers un petit récit en faisant les gestes les plus simples.
Les deux danseurs ont commencé et terminé le spectacle du vendredi soir avec des duos parfaitement chorégraphiés et exécutés à un rythme endiablé comme l'exige le style kathak.
Une fois encore, l'auditorium du musée Guimet a fait la différence avec d'autres scènes parisiennes. Il est depuis des années un véritable lieu de référence comme doit l'être un musée national dans tous les domaines dont il traite, le public ne s'y trompe pas car tous ses spectacles sont le plus souvent complets.
Sharmila Sharma et Rajendra Kumar Gangani (Musée Guimet)
Sharmila Sharma et Rajendra Kumar Gangani
lors de leur spectacle, le vendredi 22 mars
à l'auditorium du musée Guimet - musée national des arts asiatiques
Accompagnés par Vinod Kumar (chant), Prabhu Edouard (tabla), Michel Guay (sitar) et Henri Tournier (flûte)
Spectacle produit en partenariat avec Kalasangam
Site de l'auditorium du musée Guimet
www.guimet.fr/fr/auditorium/spectacles/sharmila-sharma-et...
Hubert Laot, le programmateur responsable de l'auditorium du musée Guimet a offert aux amateurs de danse kathak deux soirées d'exception, vendredi 22 et samedi 23 mars, avec des artistes au sommet de leur art : la danseuse Sharmila Sharma, bien connue en France où elle enseigne et se produit régulièrement et son maître : Pandit Rajendra Kumar Gangani, l'un des plus grands danseurs de Kathak, de l’École de Jaipur dans le Rajasthan.
Tous deux ont montré leur virtuosité technique en enchainant des figures rythmiques incroyablement complexes en duo avec le prodigieux tabliste : Prabhu Edouard qui les accompagnait et dialoguait avec eux.
Mais si l'art du Kathak qui s'est développé en Inde à l'époque des grands moghols accorde une place importante au rythme et aux mouvements des pieds , il demande également aux danseurs qui le pratiquent de parfaitement maitriser l'art du mime. Dans une courte pièce mimée évoquant la pluie, Rajendra Kumar Gangani a fait une démonstration éblouissante de sa capacité à transmettre des sensations au public à travers un petit récit en faisant les gestes les plus simples.
Les deux danseurs ont commencé et terminé le spectacle du vendredi soir avec des duos parfaitement chorégraphiés et exécutés à un rythme endiablé comme l'exige le style kathak.
Une fois encore, l'auditorium du musée Guimet a fait la différence avec d'autres scènes parisiennes. Il est depuis des années un véritable lieu de référence comme doit l'être un musée national dans tous les domaines dont il traite, le public ne s'y trompe pas car tous ses spectacles sont le plus souvent complets.