The Hand Holds Back the Storm
D'après une oeuvre d'Auguste Rodin (1840-1917)
In the stillness of bronze,
a tempest coils beneath the skin.
Fingers clenched not in fury,
but in defiance —
as if to keep the heavens from collapsing,
as if one gesture might silence the thunder
of a thousand thoughts.
Frozen in a moment
where chaos meets resistance,
the hand does not tremble.
It remembers.
It endures.
It holds back the storm.
Dans l’immobilité du bronze,
une tempête serpente sous la peau.
Les doigts ne se crispent pas de colère,
mais de défi —
comme pour empêcher le ciel de s’effondrer,
comme si un seul geste pouvait faire taire
le tonnerre de mille pensées.
Figée dans l’instant
où le chaos affronte la résistance,
la main ne tremble pas.
Elle se souvient.
Elle endure.
Elle retient l’orage.
The Hand Holds Back the Storm
D'après une oeuvre d'Auguste Rodin (1840-1917)
In the stillness of bronze,
a tempest coils beneath the skin.
Fingers clenched not in fury,
but in defiance —
as if to keep the heavens from collapsing,
as if one gesture might silence the thunder
of a thousand thoughts.
Frozen in a moment
where chaos meets resistance,
the hand does not tremble.
It remembers.
It endures.
It holds back the storm.
Dans l’immobilité du bronze,
une tempête serpente sous la peau.
Les doigts ne se crispent pas de colère,
mais de défi —
comme pour empêcher le ciel de s’effondrer,
comme si un seul geste pouvait faire taire
le tonnerre de mille pensées.
Figée dans l’instant
où le chaos affronte la résistance,
la main ne tremble pas.
Elle se souvient.
Elle endure.
Elle retient l’orage.