ARMEL-BEAUFILS Émile Jean Un jour de Pardon
Émile Jean ARMEL-BEAUFILS
(Rennes, 1882 - Saint-Briac, 1952)
Un jour de Pardon
QUIMPER Musée de la Faïence
Émile Jean Armel-Beaufils fait ses études à Fougères, puis dans un lycée rennais. Par la suite, il étudie principalement en faculté de droit, puis de lettres. Parallèlement, il suit les cours du soir de l'Ecole des beaux-arts de Rennes.
De 1903 à 1906 il est élève de l'Ecole des beaux-arts de Rennes avant d'intégrer jusqu'en 1909 l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Il fréquente alors les ateliers Merson puis Mercié et Labatut.
A sa sortie des Beaux-Arts, il commence à exposer au Salon des artistes français où il obtiendra une médaille de bronze en 1914, une médaille d’argent en 1921, une médaille d'or en 1924 et ne cessera d’exposer qu'en 1951. Mobilisé puis réformé durant la guerre, il va particulièrement s'illustrer dans les commandes d'ouvrages commémoratifs. Entre 1917 et 1920, il ne réalise pas moins de 9 monuments aux morts en Bretagne. On doit aussi à Armel-Beaufils un certain nombre de monuments commémoratifs (à Anatole Le Braz (Perros-Guirec et Saint-Brieuc) ou encore Aristide Briand à Trébeurden).
Sa collaboration avec la manufacture Henriot débute aux environs de 1929, alors qu'il présente au Salon des artistes décorateurs un Jour de Pardon en grès et la Pennèrès. La même année, on sait qu'il expose des céramiques à Douarnenez dans le cadre de l'exposition d'Art Breton Moderne. Au total, semble-t-il, 8 modèles seront créés pour la manufacture : la Pennheres de Plougastel, Femme de Ploaré assise un jour de pardon, La petite Plougastel, Trois fillettes de Plougastel en danse, Départ pour la procession, Petite Ouessantine, une céramique animalière : le calculo, et enfin un buste d'enfant que l'on peut rapprocher du portrait de Claude Sanson-Henriot portant un bonnet d'Ouessant.
Cartel du musée
ARMEL-BEAUFILS Émile Jean Un jour de Pardon
Émile Jean ARMEL-BEAUFILS
(Rennes, 1882 - Saint-Briac, 1952)
Un jour de Pardon
QUIMPER Musée de la Faïence
Émile Jean Armel-Beaufils fait ses études à Fougères, puis dans un lycée rennais. Par la suite, il étudie principalement en faculté de droit, puis de lettres. Parallèlement, il suit les cours du soir de l'Ecole des beaux-arts de Rennes.
De 1903 à 1906 il est élève de l'Ecole des beaux-arts de Rennes avant d'intégrer jusqu'en 1909 l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Il fréquente alors les ateliers Merson puis Mercié et Labatut.
A sa sortie des Beaux-Arts, il commence à exposer au Salon des artistes français où il obtiendra une médaille de bronze en 1914, une médaille d’argent en 1921, une médaille d'or en 1924 et ne cessera d’exposer qu'en 1951. Mobilisé puis réformé durant la guerre, il va particulièrement s'illustrer dans les commandes d'ouvrages commémoratifs. Entre 1917 et 1920, il ne réalise pas moins de 9 monuments aux morts en Bretagne. On doit aussi à Armel-Beaufils un certain nombre de monuments commémoratifs (à Anatole Le Braz (Perros-Guirec et Saint-Brieuc) ou encore Aristide Briand à Trébeurden).
Sa collaboration avec la manufacture Henriot débute aux environs de 1929, alors qu'il présente au Salon des artistes décorateurs un Jour de Pardon en grès et la Pennèrès. La même année, on sait qu'il expose des céramiques à Douarnenez dans le cadre de l'exposition d'Art Breton Moderne. Au total, semble-t-il, 8 modèles seront créés pour la manufacture : la Pennheres de Plougastel, Femme de Ploaré assise un jour de pardon, La petite Plougastel, Trois fillettes de Plougastel en danse, Départ pour la procession, Petite Ouessantine, une céramique animalière : le calculo, et enfin un buste d'enfant que l'on peut rapprocher du portrait de Claude Sanson-Henriot portant un bonnet d'Ouessant.
Cartel du musée